n° 14678 | Fiche technique | 19233 caractères | 19233Temps de lecture estimé : 11 mn | 30/11/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Ginger, c'est ma chienne. Une superbe femelle de 3 ans au pelage sable, espiègle et intelligente. Moi, je suis Sultan, son mâle alpha, le dominant. | ||||
Critères: fh hplusag hotel telnet fsoumise hdomine hmast facial fellation sm -sm | ||||
Auteur : The sexy squirrel Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Ginger Chapitre 01 | Épisode suivant |
– CHAPITRE 1 –
Ginger, c’est ma chienne. Une superbe femelle de trois ans au pelage sable, espiègle et intelligente. Moi, je suis Sultan, son mâle alpha, le dominant. Elle me doit donc respect, fidélité et obéissance. Et, bien entendu, j’ai un droit de saillie permanent sur elle.
Ginger en fait, c’est Séverine. Je l’ai rencontrée il y a environ un an sur internet. En plus de notre proximité géographique, on avait en commun une allergie à l’écriture sms. Elle avait aussi apprécié que je ne lui propose pas un plan cul au bout de cinq lignes de dial. Vingt ans, célibataire, ça attire forcément les crevards. J’avais bien sûr aussi cette idée derrière la tête, mais il ne fallait surtout pas l’effaroucher. C’était donc parti pour un patient travail d’approche. Car je sentais que cette fille avait quelque chose de spécial. L’instinct sûrement…
La confiance venant au fil des connexions (on avait vite migré sur msn), elle avait fini par se confier sur sa vie intime. Laquelle se résumait en une seule véritable relation, la première, désespérante de naïveté ; bref, sans le moindre intérêt. Suivie de quelques aventures pour la plupart décevantes. Sauf en de rares occasions où, selon ses propres mots, elle s’était « abandonnée », son partenaire l’ayant « prise en mains ». Elle avait entrouvert la porte. Selon la bonne vieille technique du VRP coriace, j’y ai engagé le pied. Je n’allais plus la lâcher.
Je lui ai expliqué qu’une sexualité épanouie passait par la connaissance de ses désirs profonds. Qu’il n’y avait pas de honte à avoir, si ceux-ci n’étaient pas dans la norme. Qu’il n’y avait d’ailleurs pas de normes en la matière, à part celles que notre éducation judéo-chrétienne nous avait imposées. Sans parler de notre époque post-moderniste, avec le culte de l’égalité entre les deux sexes, et cette connerie de la part de féminité chez les hommes. Bref, que si elle aimait les hommes virils, que si elle prenait son pied quand elle se faisait baiser plutôt qu’en faisant l’amour, elle devait en prendre conscience, l’assumer, puis le vivre. J’avais volontairement conclu mon baratin par un langage plus cru, c’était du quitte ou double. De longues secondes d’attente devant mon écran et enfin sa réponse :
« Tu as peut-être raison, je vais y réfléchir ».
C’était loin d’être gagné, mais il était clair que j’avais marqué des points.
À partir de ce moment, le sexe devint le principal sujet de nos échanges. Séverine me raconta ces quelques rapports qui l’avaient menée à l’orgasme, ainsi que ses fantasmes de masturbation. Je la poussais par mes questions à entrer sans pudeur dans les détails. Je ne m’étais pas trompé, tout tournait bien autour de la soumission, mais je ne voulais pas l’effrayer et j’évitais soigneusement d’employer ce terme. Petit à petit, je sentais aussi mon emprise s’affirmer sur elle, je devenais plus directif, moins complaisant. Et je constatais avec satisfaction qu’elle s’y pliait sans protester. Tout évoluait dans le bon sens.
L’histoire bascula à l’occasion d’un dial où je remarquai encore une fois que son plaisir était nettement lié à sa docilité. Je fis la remarque suivante :
Le mot « maître », si employé dans le monde de la domination, m’était venu sans arrière-pensée. Je l’avais naturellement associé au chien domestique. Ou plutôt à la chienne. Une vraie chienne… une femme-chienne ! Une recherche sur Google plus tard, je découvrais l’équivalent anglais : petgirl. Des photos de filles à quatre pattes, tenues en laisse, enfermées dans des cages, mangeant dans des gamelles. Un blog français « Journal d’une petgirl », sûrement en partie fictif. Un sujet de forum sur Doctissimo où une certaine Tanya racontait sa propre expérience et répondait avec précision aux questions et remarques. Là, aucun doute possible, c’était de l’authentique. Elle renvoyait à un site de matériel spécialisé : des colliers bien sûr, mais aussi des fausses queues qui étaient en fait des plugs anaux prolongés par un morceau de fourrure. Des déguisements également, on appelait ça du furry… j’étais moins fan. Mais tout le reste chatouillait méchamment mon imaginaire. Et si j’essayais de faire de Séverine ma petgirl ?
Tous les espoirs seraient permis si j’orientais bien les choses en fonction de mon objectif. J’étais persuadé qu’il serait plus facile (façon de parler) de la prendre dès le début en tant que petgirl plutôt que de chercher à la faire évoluer vers cette condition à partir d’une relation d/s « classique ». Mais il fallait déjà qu’elle devienne ma soumise. Je fis donc évoluer nos conversations dans cette direction. Mes arguments répétés firent mouche, elle admit qu’elle avait en effet besoin d’un homme qui tenait fermement les rênes de leur relation. En un mot, un Maître. Dans la foulée, elle concéda que j’étais le mieux placé pour ce poste : après six mois de discussion, je la connaissais mieux que personne sur cet aspect de sa personnalité et j’exerçais déjà virtuellement cette autorité sur elle. Si elle le désirait, elle n’avait qu’à le demander, poliment bien sûr. Ce qu’elle fit. Ce fut à mon tour d’écrire :
« Je vais y réfléchir ».
Deux jours plus tard, je lui envoyai un mail que j’avais méticuleusement rédigé :
« Séverine,
Tu m’as demandé de devenir ton maître. Ce n’est pas un engagement que l’on prend à la légère, car il implique des responsabilités. Je devrai en effet veiller à ton épanouissement personnel, et notamment sur le plan sexuel. Je dirais que tu as presque le rôle le plus facile, car il te suffira d’obéir à mes ordres. J’ai longuement pesé le pour et le contre, et j’ai le plaisir de t’annoncer que j’accepte ta proposition. J’espère que tu en es honorée. Néanmoins, il y a deux conditions non négociables pour entrer à mon service.
Premièrement, je ne souhaite pas m’engager dans une relation continue avec toi. À 38 ans, j’aime mon indépendance et toi, tu as les activités d’une étudiante de 20 ans. Nous continuerons donc de vivre chacun de notre côté. Tu seras ma soumise quand nous communiquerons et pendant les périodes bien définies où nous nous retrouverons.
Deuxièmement, plus que ma soumise, je veux que tu deviennes durant ces moments ma chienne. Ce n’est pas Séverine que j’adopte, mais une vraie chienne. Je ne t’appellerai d’ailleurs plus par ton prénom humain, mais par le nom canin que je t’ai choisi : Ginger (car tu es née durant l’année des G). Moi je serai Sultan, ton maître et mâle dominant.
Le reste, tu le découvriras au fur et à mesure de ton dressage.
Je ne répondrai à aucune question car j’estime avoir été suffisamment clair. Si tu désires toujours te soumettre à moi selon ces conditions, réponds simplement OUI à ce mail. Dans le cas contraire, réponds NON et nos échanges s’arrêteront. Sache que ta décision est irrévocable et à effet immédiat. »
Sa réponse me parvint le lendemain. J’ai cliqué sur son message, un peu fébrilement je l’avoue. Un seul mot comme prévu : c’était « OUI ». J’ai souri en lui écrivant :
« C’est bien Ginger, brave chienne ».
– CHAPITRE 2 –
Peu de temps après, je lui ai fixé un premier rendez-vous dans un hôtel parisien, classe et discret. Je connaissais bien le réceptionniste de jour pour y avoir eu de nombreux 5 à 7 avec une précédente amante. Il ne serait pas étonné qu’une femme seule vienne retirer les clefs d’une chambre réservée à mon nom. Il aurait été sûrement plus conventionnel qu’on prenne d’abord un verre dans un café avant de passer aux choses sérieuses. Mais je voulais être cohérent jusqu’au bout : je n’aurais aucune relation physique avec Séverine. En ma présence, elle ne serait que Ginger. Cela imposait qu’elle se « métamorphose » en chienne avant que je ne la rejoigne. Je préparai donc une feuille d’instructions à son intention que je déposai au préalable sur le lit de la chambre. C’était mieux qu’un mail. Elle n’aurait pas le temps de gamberger, elle serait dos au mur.
En retournant une heure plus tard à l’hôtel, j’étais nerveux. Je m’assurai auprès de mon ami qu’une jeune fille avait bien pris les clefs, et surtout qu’elle n’était pas redescendue en courant. Je me suis retenu de lui demander comment il la trouvait. Je voulais me réserver la surprise. Car je n’avais jamais vu Séverine, même en photo, et réciproquement. Le déroulement de nos échanges nous avait fait zapper cette étape élémentaire de la drague sur internet. En ouvrant la porte, c’est un peu comme si je déballai une pochette surprise. Je ne savais pas trop ce que j’allais trouver à l’intérieur.
Elle était bien là, dans les dispositions exigées dans ma note. À savoir à quatre pattes, entièrement nue. Un joli brin de fille, une blonde à la silhouette svelte et aux formes harmonieuses. Elle tourna la tête en ma direction, visiblement aussi anxieuse que moi.
J’avais eu le temps de capter son regard : de beaux yeux verts. Ainsi que son visage. Elle était mignonne, très mignonne. J’avais l’impression d’avoir gagné la cagnotte au loto. Je répétai :
Mais je crois que c’est autant à moi qu’à elle que je m’adressai. De son côté, comme demandé, elle restait muette.
Sans me presser, je me suis approché d’elle et j’en ai fait le tour pour mieux la détailler. Difficile d’évaluer sa taille dans cette posture, elle n’était apparemment pas très grande, autour d’1,60 m. Sa peau était claire et visiblement douce, mais je m’interdisais pour l’instant de la toucher pour vérifier. Une chevelure jaune paille, coupée un peu en dessous des épaules. Des petits seins fermes. Une croupe galbée. Un cul à damner un saint. J’étais donc arrivé derrière elle.
Une seconde d’hésitation puis ses cuisses s’entrouvrirent.
Sur un ton autoritaire. Cette fois, obéissance instantanée. Elle exhiba une minette parfaitement dessinée, ornée d’une touffe dorée, surmontée d’un œillet tout serré. J’ai senti ma queue se raidir en un instant. Parce qu’en plus, sans le moindre doute possible, le rose clair de sa vulve brillait. Elle mouillait, la coquine…
Je suis revenu en face d’elle et je me suis accroupi. Premier contact avec ses cheveux sous la forme d’une caresse affectueuse.
Je plongeai ma main dans la poche de ma veste pour en sortir le collier que j’avais acheté la veille dans une animalerie. Une lanière de cuir beige clair, qui se nouait par une boucle et un passant discrets, avec un petit anneau pour y attacher une laisse. J’avais fait graver la petite plaque métallique des lettres « G i n g e r » manuscrites. Je passai l’objet devant ses yeux, guettant le signe d’une réprobation. Ni un mot, ni un geste. C’est presque solennellement que j’attachai le collier autour de son cou. Séverine devenait officiellement ma soumise, Ginger ma petgirl.
Je m’assis dans un fauteuil de l’autre côté de la chambre.
Elle se déplaça à quatre pattes, pas très souplement. Un point à améliorer notai-je.
Elle s’agenouilla, ses mains posées à plat sur le sol. Sa position l’obligeait à baisser la tête devant son maître, attitude parfaite de soumission.
Je voulais la laisser mariner comme ça quelques minutes et moi j’en profitai pour contempler le tableau qui m’était offert. Il allait au-delà de mes espérances. Difficile de rester de glace. Je bandai comme un âne, à l’étroit dans mon boxer et mon jean. Je me libérai de mon carcan. Une bite dressée face à une fille à genoux. Suite logique des événements :
Elle s’avança timidement à portée de fellation.
Sans hausser la voix, pour l’encourager dans son initiative. Sa langue qui se pose sur la base de ma hampe, qui y remonte tout du long. Une fois, deux fois, et encore. J’en frémissais. J’ai rabattu mon sexe contre mon ventre.
Sensation exquise de mes testicules ballottés par ses lapements. J’assurai une prise ferme dans ses cheveux et j’amenai ses lèvres contre mon gland. Elles s’entrebâillèrent. Une légère pression et je vis la moitié de ma queue disparaître dans sa bouche, puis ressortir luisante de salive. Je l’ai guidée sur quelques allers-retours pour donner le tempo et je la laissai ensuite se débrouiller seule. Elle esquissa le geste de se servir d’une main.
Elle y mit du cœur à l’ouvrage mais cela restait un peu amateur. Plaisant mais insuffisant. J’allais devoir me satisfaire moi-même. Je me suis levé, je l’ai empoignée derrière la nuque et de l’autre main je me suis branlé énergiquement juste au-dessus de sa face. En moins d’une minute, la délivrance, l’éjaculation, dans un râle rauque. Des giclées blanchâtres zébraient son joli visage. Elle n’avait pas regimbé.
Je me suis rhabillé tranquillement, une fois mon érection retombée. Cela suffisait pour une première séance. J’avais vérifié sa motivation. Ne pas la faire jouir lui indiquait clairement qui menait les débats. Que ce n’était pas du donnant-donnant. Je l’ai conduite dans la salle de bain pour la débarbouiller. Je récupérai aussi son collier, signifiant ainsi la fin de la partie. Je l’ai sentie désarçonnée. Un dernier :
Je suis sorti de la chambre sans lui jeter un regard. Au moment de quitter l’hôtel, je déposai à la réception un bristol sous enveloppe à lui remettre : « Tu vas recevoir un mail demain ». Signé Sultan.
« Séverine,
J’ai passé un très bon moment avec toi. Tu as bien tenu ton rôle de chienne et respecté ta place de soumise. Ce n’était pas parfait, mais pour un début, c’était plus que satisfaisant. Tu dois être certainement déçue que je ne me sois pas occupé de toi. Sache juste que je ne l’ai pas voulu pour cette première expérience.
Puisque tu es novice en la matière, je vais te détailler les éléments de base de notre relation. D’abord et avant tout, tu dois me faire confiance. Je ne ferai jamais rien qui ne mette en danger ta santé physique ou mentale. Ton dressage se déroulera sous mon contrôle et je sais exactement où je veux en venir. Je n’ai qu’un seul but : ton épanouissement en tant que soumise. Tu ne dois en avoir qu’un : satisfaire mes désirs de Maître. Si nous respectons ce schéma, nous prendrons chacun beaucoup de plaisir, sois-en assurée.
Laisse-toi guider, obéis à mes ordres et tu n’as rien à craindre. Néanmoins, si jamais tu estimes que quelque chose va trop loin, tu n’as qu’à dire le mot « JOKER » et je te promets que tout s’arrêtera à l’instant. Cette échappatoire n’est à employer qu’en ultime recours. Normalement tu n’en auras jamais besoin. Je serai en effet très attentif à tes réactions et j’aurai détecté ton malaise avant qu’il ne soit trop tard.
Je t’interdis d’employer un autre mot que celui-là en ma présence. Tu es une chienne, et une chienne aboie pour communiquer. Je te conseille donc de t’exercer pour maîtriser les différents types d’aboiements afin de te faire comprendre. Je suis sûr que tu y parviendras rapidement.
En cas de désobéissance, par exemple sur le point précédent, attends-toi à être punie. C’est absolument indispensable dans un tel processus d’éducation. Je tiens à te préciser que je ne prends pas de plaisir particulier à infliger des punitions. Au contraire, je préférerais m’en dispenser car cela signifiera que tu es une élève disciplinée. Je serai donc sévère, mais juste. Et en cas d’écart de conduite volontaire, je serai intransigeant.
Un dernier point de nature plus pratique : je veux pouvoir te saillir à cru, sans préservatif. Tu réaliseras donc un test HIV et tu m’en communiqueras les résultats scannés. Tu trouveras les miens en fichier attaché à ce mail. Ensuite, nous sommes adultes et responsables et savons ce qu’il convient de faire pour nous protéger chacun de notre côté. Pour la même raison, tu m’enverras aussi une preuve de contraception.
Pour conclure, je te répète de me faire confiance, de suivre fidèlement mes instructions, d’être docile, et tout se passera très bien. Tu as été très courageuse de t’engager dans cette voie, d’assumer pleinement ta nature profonde. Je t’assure que tu n’auras pas à le regretter.
PS : je n’attends aucune réponse ou commentaire à ce mail. Fais juste ce que je t’ai demandé. »
Les choses se déroulèrent encore mieux que prévu. Séverine donnait son sang, et était donc testée régulièrement. Elle m’avait envoyé un scan de sa carte de donneuse. Et aussi celui d’une ordonnance certifiant qu’elle portait un implant contraceptif. En m’expliquant son fonctionnement, elle m’informait même que cela avait temporairement stoppé ses règles. Elle me signifiait à mots couverts qu’elle serait ainsi toujours disposée à être saillie. Elle me plaisait de plus en plus cette petite.