n° 14681 | Fiche technique | 22089 caractères | 22089Temps de lecture estimé : 14 mn | 01/12/11 |
Résumé: Quand votre chérie accepte de vous partager avec un garçon, un nouveau vent de sensualité souffle sur le couple. | ||||
Critères: fhh hbi cadeau amour fellation anulingus hsodo confession -couple+h -hbi | ||||
Auteur : Toubab (Érotomane mettant une pincée de réel dans ses récits) Envoi mini-message |
Mon plus grand bonheur aura commencé par ma plus grande peur.
La peur, sur l’instant, en entendant ma femme entrer dans le bureau où je me masturbais devant une vidéo porno. La peur, ensuite, plus diffuse et plus durable, de voir mon amour me fuir et s’éloigner à tout jamais.
Certes, il n’est pas rare qu’une femme surprenne son homme dans une telle situation. Mais est-il fréquent que, sur l’écran, ce soit deux mecs qui copulent gaillardement ?
Pendant de longues semaines, Astrid m’a évité. J’ai tenté de m’expliquer mais elle ne voulait pas en parler. À chaque fois que je voulais être tendre, elle s’esquivait. La tension était palpable et, pour nous qui ne nous étions jamais disputés, le moindre faux pas de l’autre était prétexte à s’énerver. Je ne dirais pas que notre couple se déchirait. C’était plus sournois que ça : il s’étiolait.
Il fallait bien que l’orage éclate. Ce fut une tornade. Par chance, nous étions à la campagne, sans personne pour nous entendre. Notre colère était proportionnelle à notre peur de perdre l’autre. Il y a eu des cris, des larmes, encore des cris, de nouvelles larmes et, enfin, quand toute notre tension fut évacuée, nous nous sommes serrés très fort dans les bras l’un de l’autre, en silence, jusqu’à dormir là, sur le canapé.
J’ai tout dit à Astrid.
Oui, je l’aime toujours. Toujours aussi fort. Même après quatorze ans de vie partagée. Même si, ces derniers temps, nous faisons l’amour moins souvent, mais sans doute plus intensément.
Non, je ne lui ai jamais menti, je ne l’ai jamais trompée. D’ailleurs, je conçois difficilement de le faire. Quand on s’est connus, j’avais vingt ans et elle dix-huit. Elle sortait d’une longue histoire d’amour, d’une rupture difficile, et il lui a fallu quelques semaines avant qu’elle ne m’ouvre ses bras et ses draps. Ce jour-là, je lui ai avoué n’avoir jamais fait l’amour à une fille. Elle a cru que j’étais vierge. Ce qui était vrai, mais seulement d’une certaine façon : j’avais déjà eu plusieurs expériences avec des garçons.
Peut-être qu’il me manque quelque chose. Peut-être que j’ai toujours eu en moi ce désir de sexe au masculin. Un désir qui ne se serait probablement pas réveillé si, un matin, je n’avais pas surpris notre petit voisin étreindre avec passion un autre garçon.
Au lendemain de notre explication, Astrid est venue me rejoindre dans la douche. Son corps de liane, ses petits seins pointus, son épaisse toison sombre qui contraste avec le blond de ses cheveux. À l’unisson de nos paroles, nos corps se sont lancés dans une longue déclaration d’amour qui, de la salle de bain à la chambre, nous a laissés apaisés, comblés et heureux.
***
Cette crise a eu du bon. Astrid et moi avons l’impression de nous retrouver et, du coup, notre couple et notre sexualité s’en trouvent renforcés. Si notre sexualité est épanouie, c’est parce que nous avons toujours su nous parler, parler de nos désirs et de nos envies. Un peu timides tous les deux, nous aimons, les soirs, nous retrouver pour un apéritif, où un peu d’alcool aide à libérer la parole et les corps.
Justement, en rentrant du travail, je vois ma belle en pleins préparatifs. Elle porte une longue tunique indienne en coton vaporeux, dont la transparence permet de se régaler de la vue de ses tétons pointus et de son pubis poilu. Une étreinte, trop brève à mon goût, puis je vais prendre une petite douche et me mettre à l’aise. Le printemps est là, il fait chaud, je décide de n’enfiler qu’un pantalon de kimono avant de la rejoindre.
Je viens de nous resservir. Astrid et moi sommes tendrement enlacés sur le canapé. Sa tunique est entrouverte jusqu’à son bassin. Mon pantalon est descendu à mi-cuisses. Chacun caresse le sexe de l’autre afin d’attiser encore le désir.
Je suis très surpris par cette révélation. Surpris et incapable de demander plus de précisions car déjà, Astrid vient de se pencher sur ma queue pour la prendre en bouche. Elle qui excelle dans cet exercice, je trouve qu’elle se surpasse. Surtout, pour la première fois, sa langue glisse le long de mon périnée et me gratifie d’une feuille de rose qui devient vite merveilleuse. Ma belle me lèche les fesses tout en me masturbant et j’aime ça. J’adore. C’est tellement bon que, lorsqu’elle me demande de me mettre à quatre pattes, je n’hésite pas un seul instant. Pourtant, c’est troublant de se trouver dans cette position. Troublant et jouissif car, désormais, elle me dévore l’anneau, dardant sa langue comme pour le pénétrer, s’aidant parfois d’un doigt.
Me voilà à nouveau sur le dos, jambes bien écartées, les lèvres de ma belle autour de mon sexe et un de ses doigts qui cherche à rejoindre son copain entre mes fesses. Je suis sur le point de jouir. Je perds mon érection et, pourtant, je vais éjaculer. Je préviens Astrid qui, d’un signe de la tête, me fait comprendre que je ne dois pas me retenir.
***
Début juillet.
Nous sommes invités à l’anniversaire de notre petit voisin. Celui-là même que j’avais surpris en pleine embrassade avec un autre garçon. Depuis que nous le savons, notre boîte à fantasme tourne à plein, surtout du côté d’Astrid. La veille au soir, notre câlin a été particulièrement torride et, alors qu’elle me chevauchait, elle m’a dit qu’elle adorerait me partager avec un homme et que, peut-être, à l’anniversaire… C’est la première fois que nous parlons d’introduire quelqu’un dans notre couple. Dans le feu de l’action, je me suis laissé prendre à son jeu. Mais, une fois l’excitation retombée, j’ai émis quelques réserves. En fait, je ne pense pas que j’aimerais la voir avec un autre homme.
Le soir, Vincent, le voisin, réalise l’exploit de faire tenir une quinzaine de personnes dans son petit appartement. Astrid est tout de suite très à l’aise, ce qui n’est pas mon cas. En plus d’être joyeuse, l’ambiance est très gay. Mais ce n’est pas ce qui me gêne. Non, ce qui me dérange c’est, d’abord, d’être le plus vieux et, ensuite, de paraître un peu négligé au milieu de ces jeunes hommes apprêtés avec soin. Mal rasé, en jean et polo, je regrette de ne pas avoir fait plus d’efforts pour être séduisant. Je dois passer pour l’hétéro bourru au milieu des homos raffinés.
Finalement, j’ai sans doute plus d’attentes vis-à-vis de cette soirée que ce que je pensais…
Je n’ai jamais été un pro de la drague, encore moins avec les mecs. Pourtant, j’aimerais séduire celui qui me fait face. Je suis sous le charme de sa peau sombre, de ses grands yeux noirs et de son visage délicatement dessiné de traits fins. Il est vraiment mignon, pour ne pas dire : canon. Quand il m’a abandonné deux minutes pour aller nous resservir un verre, je n’ai pas pu m’empêcher de le mater à la dérobée, de la même façon qu’on regarde furtivement une femme pour apprécier sa silhouette. De dos, si ce n’est les hanches moins marquées, on dirait Astrid…
Astrid qui, justement, nous rejoint et s’immisce dans la conversation. À son regard, je sais qu’elle a deviné mon trouble.
***
J’ai mal au ventre. Les tripes qui me chauffent depuis le réveil. Rien à voir avec un problème de digestion : c’est juste de l’émotion.
Aujourd’hui, j’amène Naïm faire un tour en moto. Une chevauchée mécanique et puis, qui sait, peut-être qu’en soirée…
Naïm, le jeune gars super mignon rencontré à la soirée chez Vincent. Quand Astrid m’a demandé s’il me plaisait, j’ai répondu franchement oui.
En fin de soirée, on s’est échangé nos numéros de portable pour s’organiser une virée en bécane. Dès le lendemain, il m’appelait. C’était hier. Naïm. Il m’a dit être franco-libanais. Étudiant en Master avec Vincent, il adore la moto mais n’a ni le temps ni l’argent pour passer le permis. Je lui ai proposé de l’emmener rouler avec la bénédiction de ma belle, qui a trouvé l’idée « géniale ».
Pendant que je termine de préparer la moto, Naïm est dans la chambre avec Astrid pour s’équiper. Quand ils me rejoignent au garage, j’ai la surprise de voir que ma chérie lui a fait passer son équipement à elle. C’est vrai qu’ils ont une morphologie assez proche et que mes affaires devaient être un peu petites. Mais je ne peux m’empêcher de penser qu’elle l’a fait exprès pour m’adresser un message. Quant à Naïm, il ne semble pas dérangé de porter des vêtements qui, s’ils sont complètement noirs, ont quand même une coupe féminine et cintrée.
La journée est encore plus chaude que prévue. Le mercure dépasse largement les trente degrés et ça chauffe sous les cuirs. Le début de la balade avec Naïm a été un peu difficile. Troublé par le contact de son corps contre le mien, j’avais du mal à me concentrer sur la conduite. Heureusement, ces premiers émois se sont atténués et, quand vient l’heure de manger, je suis tout focalisé sur la route. Et il vaut mieux car il est facile de louper la bifurcation qui mène à l’endroit que je nous ai choisi pour pique-niquer.
L’ombrage des arbres, le ruisseau qui forme un coude pour contourner un énorme rocher, plateforme où il fait bon se poser et se reposer. C’est charmant et complètement isolé. En venant ici, je reconnais avoir une petite idée derrière la tête. Aussi, en arrivant, je me défais de mon blouson mais aussi de mon t-shirt et de mes bottes. Naïm ne se fait pas prier pour en faire de même et j’apprécie énormément la vision de son torse nu. Ce mec m’attire et je sens qu’il m’en faudrait peu, là, pour lui sauter dessus. Sauf que je ne sais pas comment faire ni comment le dire.
Cela fait une bonne demi-heure que nous sommes installés, à se dévorer des yeux, quand Naïm me demande :
La fin du repas attendra. Nous voilà debout, face à face, à retirer nos lourds pantalons de cuir. À la vue de Naïm en string, ma queue se met à gonfler et je me maudis d’avoir mis un boxer blanc ce matin. Je me maudis encore plus après un passage dans l’eau : mon sous-vêtement est presque transparent. Malgré la relative fraîcheur de l’eau, je bande de plus en plus.
Naïm m’a fait un grand sourire qui me rassure un peu. Je lui raconte où j’en suis avec Astrid en évitant les détails les moins à mon avantage. Il n’a pas l’air choqué, ne nous prend pas pour des pervers. Là, je sais que ce sera avec lui. Par contre, si on reste dix minutes de plus sur place ce sera sans elle, ce que je refuse. Je sonne le départ comme pour couper court à toute envie. Avant de remonter sur la moto, je dis à Naïm qu’il peut prendre le temps de réfléchir pour savoir s’il veut nous aider, ou non, à réaliser notre fantasme.
Il me fait sa réponse, un peu plus tard, alors que nous roulons encore, en plaquant sa main sur ma queue au travers du cuir. Il me semble comprendre que la réponse est positive.
***
J’avoue avoir pris le chemin le plus court pour rentrer.
Astrid profite de notre balcon sans vis-à-vis pour bronzer en culotte. Avant de la rejoindre autour d’une boisson fraîche, Naïm et moi nous mettons à l’aise, dans la même tenue que ce midi. Difficile de paraître naturel avec une trique d’enfer. Difficile aussi de rester de marbre avec les petits seins adorables de ma chérie à ma gauche et le beau corps bronzé de notre ami à ma droite.
Un ange passe. Bientôt suivi par tout un groupe. Astrid pose une main sur ma cuisse et m’embrasse doucement.
***
De passage dans la chambre, Astrid me colle au mur et me dévore la bouche. Son excitation est aussi palpable que la mienne. Nous nous sommes exprimés l’un l’autre notre désir d’aller plus loin et de tout arrêter si jamais l’un de nous deux ne vivait pas bien la situation. Bizarrement, alors que nous intégrons un tiers dans notre intimité, je me sens amoureux d’elle comme rarement. Si je m’écoutais, je le lui montrerais sur le champ. Mais elle m’enjoint plutôt d’aller voir Naïm sous la douche pour savoir s’il n’a besoin de rien.
Naïm ne se fait pas prier pour m’ouvrir la porte de la cabine de douche et m’inviter à me glisser à ses côtés sous l’eau. Son sexe est magnifique, long et lourd, circoncis et entièrement rasé à l’exception d’une fine ligne de poils sur le pubis. J’avais oublié ce que ça fait de tenir la verge d’un autre dans la main. Ce poids, cette chaleur, ce mélange de raideur et de souplesse, et surtout cette douceur. Une douceur d’un lisse absolu au niveau du gland.
J’ai l’impression que tout se passe au ralenti. Nos baisers sont doux et nos caresses langoureuses. Même quand je m’agenouille pour prendre son sexe en bouche, je prends le temps de l’admirer, de le toucher et de l’apprécier du bout de la langue avant, enfin, d’introduire cette grosse fraise écarlate entre mes lèvres gourmandes. Je dois sans doute être un peu maladroit. Cela fait si longtemps. Pourtant, mon amant ne s’en plaint pas. Il me semble même que toute l’excitation de la journée n’est pas loin de se déverser.
Totalement pris par le plaisir de sucer, je n’ai pas entendu Astrid entrer. Ma première réaction est de rougir. C’est bête, puéril mais je ne peux pas m’en empêcher. Sans doute un peu de honte de me montrer dans une position où une femme ne devrait pas voir son homme.
Désormais, je ne suce plus seulement pour le plaisir de Naïm, je le fais aussi pour Astrid, dont une main caresse délicatement mes cheveux pendant qu’une autre me masturbe.
Pour la deuxième fois, Naïm vient de me stopper net pour éviter une éjaculation imminente. Autant, juste avant, je l’ai laissé reprendre son souffle en m’occupant de ses testicules, autant là je veux qu’il jouisse. Un regard, un signe de tête. Je pompe et aspire avec ardeur. Sa queue gonfle encore, il me prévient que ça vient. C’est le moment de se retirer. Mais non : mes lèvres font ventouses à la base de son gland pendant que son sperme envahit ma bouche puis ma gorge.
Je n’avais jamais avalé, mais là, il m’a semblé évident de le lui faire. Pour le remercier. Le remercier d’être si beau et d’être avec nous. Le remercier car, dans mon esprit, ce n’est pas moi qui lui offre une fellation, c’est lui qui me fait cadeau de sa virilité. Il éjacule dans ma bouche et je l’avale. Son sperme prend place en moi pendant que le mien se déverse sur la main d’Astrid et sur le fond de la cabine de douche.
***
Que dire du reste de la soirée ?
Je me sens être le centre du monde. Astrid et Naïm tout dévoués à moi et à ma jouissance. Une jouissance d’autant plus grande qu’eux-mêmes sont complices dans le plaisir. Il n’y a jamais de contact intime entre eux, sauf peut-être leurs lèvres qui s’effleurent quand leurs bouches se relaient autour de mon membre. Mais qu’à cela ne tienne : ce soir, c’est le partage qui procure le plaisir.
Je me revois en train de prendre Naïm. Mon sexe qui va-et-vient doucement dans son magnifique petit cul. Et ma chérie, collée à mon dos. Une main posée à la base de ma queue et une autre qui caresse ma poitrine. Sa toison contre mes fesses qui donne le rythme aux mouvements de mon bassin.
Plus tard, quand on me prépare. Naïm et moi engagé dans un 69 enfiévré. Il me fait basculer au-dessus de lui, jambes écartées et fesses cambrées. La langue d’Astrid ne tarde pas à darder vers mon anus offert. Léchage, doigtage… et enfin dépucelage. À quatre pattes. Ma chérie face à moi, les yeux dans les yeux. Mon amant derrière et son gland qui appuie, qui pousse, qui fait douloureusement sa place puis s’arrête, puis reprend sa progression… La douleur initiale a été brève. La sensation d’inconfort plus durable. Et puis, petit à petit, une chaleur qui me prend les reins et se diffuse à mon bas-ventre. Je me surprends à diriger le mouvement, poussant mes fesses vers mon amant. Et puis il y a ces petits cris qui m’échappent. C’est sourd, profond, guttural. Je gémis. Je jouis.
***
Naïm n’a pas voulu rester dormir dans la chambre d’amis. Mais il est revenu à deux reprises. Et puis il s’est trouvé un amoureux.
Quant à Astrid et moi, nous avons retrouvé une passion qui nous avait quittés depuis quelques temps. Ma douce s’est acheté une ceinture d’un type tout à fait spécial et, désormais, quand l’envie nous en prend, elle s’équipe de son sexe factice et devient un peu mon mec pour de délicieux instants.