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n° 14688Fiche technique264328 caractères264328
Temps de lecture estimé : 143 mn
12/12/11
Résumé:  Le hasard fait curieusement les choses. Tristan, qui a décidé de tourner une page difficile, va changer radicalement de style de vie et rattraper le temps perdu bien plus rapidement qu'il ne s'y attendait.
Critères:  -totalsexe -groupes -fbi -hbi fh fhh ff hh hhh fhhh grp fbi hbi inconnu voisins collègues gros(ses) grosseins hépilé fépilée plage sauna coiffure travail douche voir exhib nudisme noculotte fmast hmast massage intermast rasage rasage facial fellation
Auteur : Zwico  (Tout le plaisir, tous les plaisirs)      Envoi mini-message
Nouveau départ pour une nouvelle vie

1. Sauvetage



Le jour s’est déjà levé depuis quelque temps sur la ville. Dans une chambre d’hôtel, un jeune homme vient de tirer les rideaux. Le soleil, encore bas sur l’horizon, inonde soudain la pièce. Un soleil encore quelque peu blafard en cette mi-mai.


Ce soleil, c’est comme une renaissance pour lui. La veille, il a quitté la capitale. Ce poste, qui venait d’être créé à l’agence de Rochefort, était l’occasion pour lui pour repartir sur de nouvelles bases. Ce faisant, il venait de tirer un trait définitif sur cinq ans de vie commune.


Cinq ans de morosité. Cinq ans d’austérité. Tristan ne cesse d’y repenser.


Pour commencer, une bonne douche. Une douche purificatrice, tel un départ vers une nouvelle vie. L’eau coule. Presque fraîche, mais tellement bienfaisante. Il a oublié de se raser avant d’entrer dans la cabine, dommage, il préfère le faire avant. Ce faisant, il observe le buisson touffu qui masque en partie son sexe.


Cinq ans déjà. Cinq ans qu’il a cessé de se raser le sexe. Lui qui, autrefois, trouvait cela si agréable. Cinq ans de frustrations.


Sans hésiter, il ressort de la douche, se sèche sommairement, sort un ciseau de sa trousse de toilette et coupe rapidement le plus gros de ses poils pubiens. Laissant les boucles blondes se perdre au fond de la poubelle. Il prend ensuite son rasoir et son gel de rasage et commence tout d’abord par se raser le visage. Ces quelques minutes d’attente supplémentaires lui permettront de bien repenser une dernière fois à ces cinq longues années d’ennui.


Ça y est, son visage maintenant rasé, il va pouvoir enfin s’occuper de son sexe. Étaler la mousse et bien frotter pour la faire pénétrer. Ce n’est pas facile avec tous ces poils, vivement qu’ils soient partis. Vient ensuite le moment du rasage. Chaque passage des lames sur sa peau, c’est sa liberté qui revient. Ces poils qui se perdent dans l’eau du lavabo, c’est cinq ans de disette qui disparaissent.


Tristan retrouve déjà le plaisir incomparable du contact de la peau lisse. Alors qu’il n’a pas encore fini, son sexe se redresse déjà, tant mieux, ce sera plus pratique pour terminer proprement le rasage. Encore quelques minutes, et c’est avec le sexe encore recouvert de traces éparses de mousse à raser qu’il entre à nouveau dans la cabine de douche. L’eau fraîche achève de purifier son corps. Savonné, rincé, séché, Tristan ne peut résister à l’envie de se caresser le sexe. Si doux, si agréable. Il ne se retient pas longtemps, il prend son gland entre ses doigts et le décalotte. Son sexe se met immédiatement en érection, quelle vitesse de réaction ! Des sensations qu’il n’avait pas ressenties depuis bien longtemps.


Il va alors s’allonger sur le lit et continue à se caresser le sexe. Les sensations qu’il ressent sont si intenses qu’il ne se contrôle pas et s’éjacule dessus en quelques secondes. Un jet d’une force inattendue, puisqu’il en reçoit jusque sur le front et même sur le mur derrière lui. Une jouissance intense qui le laisse haletant et sans force pendant plusieurs minutes. Lorsqu’il reprend ses esprits, il se saisit de son paquet de mouchoirs pour nettoyer le mur, ainsi que le sperme qu’il a sur lui. Ceci fait, encore sonné par le plaisir qu’il vient de ressentir, il prend machinalement la télécommande et allume la télé, le temps de récupérer.


C’est l’heure de la météo. Beau temps et températures élevées sont prévus pour toute la journée. Pourquoi ne pas aller à la plage ? Mais où ? Les plages de Fouras et Chatelaillon ne sont pas très loin, vers le sud, il y a Marennes. Sinon, l’île d’Oléron, c’est un peu plus loin, mais on se sent toujours un peu plus dépaysé quand on va sur une île. En plus, il y est déjà venu autrefois, quand il était enfant, que de souvenirs ! Sur la carte, il retrouve rapidement l’itinéraire qui mène jusqu’à Boyardville. La suite, il devrait s’en souvenir sur place en reconnaissant les lieux.


Sa décision étant prise, il ne tarde guère, déjà impatient de s’allonger sur le sable fin. Néanmoins, un détour par le supermarché s’impose, le temps d’acheter de quoi manger, ainsi qu’une serviette de bain, un maillot et de la crème solaire. Ceci fait, il quitte enfin Rochefort en empruntant le grand viaduc qui enjambe la Charente. Quelques kilomètres plus loin, c’est un autre viaduc qui apparaît au loin. Le viaduc de l’île d’Oléron. Les souvenirs reviennent en lui. Direction Dolus tout d’abord, puis Boyardville.


Rien n’a vraiment changé. Il faut toujours longer le port pour prendre la direction des plages. Celle du centre-ville ne l’intéresse pas, trop peuplée. À la sortie du village, un rond-point. Accès aux plages à droite, ou bien tout droit. Recherchant avant tout la tranquillité, il choisit de continuer tout droit. Deux kilomètres plus loin, la route se termine en une boucle faisant office de parking, la plage est juste de l’autre côté de la dune. Impatient, il prend néanmoins le temps de choisir une place qui restera à l’ombre tout l’après-midi.


Le sac sur le dos et la voiture fermée, il prend enfin la direction de la plage. Un grand panneau attire alors son attention : plage naturiste. Son ex lui revient à nouveau à l’esprit. Elle avait toujours refusé d’aller sur ce type de plage alors qu’il aurait bien voulu essayer. C’est énervant ! Il repense encore à elle alors qu’il cherche à tout prix à oublier ces cinq années passées. À plusieurs reprises, en été, il avait essayé de la convaincre d’aller sur une telle plage, sans qu’elle se déshabille. Mais même ça, elle ne le voulait pas. L’occasion est trop belle, il prend résolument la direction de la zone naturiste.


Arrivé sur le sable, il ne peut que constater l’extrême tranquillité de l’endroit. On est hors saison, il n’y a presque personne. C’est une plage naturiste. Après tout, autant essayer. Ce sera une façon de tirer un trait de plus sur ces cinq longues années de monotonie.


Désirant néanmoins effectuer discrètement ce premier essai, il marche encore un peu pour se mettre à l’écart. Une famille est en train de partir, ils ont passé la matinée à la plage et partent manger. L’emplacement a l’air idéal, autant s’installer là. Les enfants ont creusé un grand trou dans lequel ils se cachaient, cela lui rappelle son enfance.


Serviette déployée, c’est le premier pas qui compte, et comme il n’y a personne aux alentours, c’est encore plus facile. Ses vêtements maintenant rangés dans son sac, il reste debout, nu, se laissant caresser le corps par la légère brise qui vient de la forêt. Une sensation de plaisir monte lentement en lui, c’est incroyable comme il est agréable de ne pas porter de maillot. C’est une révélation pour lui. Quel dommage de n’avoir pas pu essayer plus tôt, mais autant profiter de l’instant présent !


Midi vient de passer, il s’assied sur sa serviette et sort les sandwichs qu’il a pris pour son repas. Tandis qu’il mange, allongé sur le côté, il observe les passants, encore peu nombreux. Certains commencent à arriver, tandis que d’autres partent. Il y a ceux qui passent sans prêter attention à lui et ceux qui le regardent avec plus ou moins d’insistance. Même s’il se sent un peu gêné au début, il s’y habitue progressivement. Il réalise alors que son sexe intégralement rasé est une source d’intérêt pour les passants des deux sexes. D’ailleurs, la plupart des femmes qu’il entrevoit sont plus ou moins épilées, voire même intégralement, et de nombreux hommes le sont aussi.


Son repas terminé, il décide de faire une petite sieste. Mais avant tout, il faut se couvrir de crème solaire. C’est la première fois qu’il le fait nu. La sensation de nudité est déjà fort excitante, mais le fait de se caresser en public, même s’il n’y a personne aux environs, ajoute encore à cette excitation. Il sent son sexe grossir. Lorsqu’il le prend en main pour le couvrir de crème, il caresse sa peau lisse, fraîchement rasée, toute douce. Cela décuple encore son excitation et il se retrouve soudain en érection.


Il ne manquerait plus qu’il se produise la même chose que ce matin. Une éjaculation intempestive ? Non pas maintenant. Pas sur la plage, devant tout le monde. Quelle honte ce serait ! Il a soudain l’impression d’être observé de partout, malgré qu’il soit seul. Sans plus attendre, il s’allonge sur le ventre pour cacher son sexe devenu raide et il s’efforce de penser à autre chose.


Ce faisant, la chaleur du soleil et la digestion ne tardent pas à le plonger dans un sommeil profond.


Quand il se réveille, il est déjà quatorze heures. Il y a un peu plus de monde. La mer a pas mal monté depuis qu’il est arrivé. Plus que quelques mètres avant que l’eau n’arrive sur lui, heureusement qu’il s’est réveillé à temps. Il déplace donc ses affaires au pied de la dune, dans un petit renfoncement, bien tranquille.


S’installant maintenant sur le dos pour se faire bronzer l’autre côté, il espère que sa libido ne va pas encore lui provoquer une érection subite qui serait à nouveau fort gênante. Tout en pensant à cela, il observe ceux qui, comme lui, doivent déplacer leurs affaires pour éviter la submersion. Le niveau continue à monter, y aurait-il une grande marée aujourd’hui ?


Le trou creusé par les enfants s’est rempli d’eau. Il n’est plus visible que par intermittence. Quant à la bande de sable, elle se réduit progressivement. Les passants sont de plus en plus proches de lui, mais il commence à s’habituer à ces regards quelquefois insistants et même à y trouver une certaine satisfaction. Si on le regarde, c’est bien que son corps est digne d’intérêt.


Un gars arrive au loin, vêtu d’un bermuda et d’un polo à rayures. Les pieds nus, il marche tranquillement au bord de l’eau, celle-ci lui recouvrant les pieds par moments. Continuant nonchalamment sa balade, il n’hésite pas à observer discrètement le corps de Tristan, dénudé et offert à son regard, tandis qu’il se rapproche.


C’est alors que, soudain, le marcheur met un pied dans le trou submergé, il s’enfonce subitement jusqu’au genou. Essayant de se rétablir, il trébuche et tombe à plat ventre dans l’eau. Les vagues le recouvrent, puis se retirent. Il ne bouge plus.


Très inquiet, Tristan se lève sans hésiter et se précipite à son secours. Après l’avoir placé sur le dos, il le prend par les bras et le tire vers le haut de la plage, en direction de sa serviette.


L’autre homme reprend lentement ses esprits. Haletant, il crache du sable et de l’eau. Son regard se perd dans le sable tandis qu’il essaye de retrouver sa respiration. Trempé de la tête aux pieds, c’est en grelottant qu’il se tourne vers Tristan pour lui manifester sa gratitude. Quelques brèves phrases, entrecoupées de hoquets.



Tristan, qui se tient face à celui qu’il vient de sauver, a complètement oublié sa nudité dans le feu de l’action. C’est maintenant qu’il commence à le réaliser. Une légère gêne l’envahit, d’autant plus que l’autre homme, face à lui, le regarde, les yeux perdus dans le vide. Mais ces vêtements mouillés posent problème, l’homme est transi, le froid l’envahit. Il faut faire quelque chose. Tristan prend à nouveau l’initiative.



Tandis que Tristan l’accompagne jusqu’à sa serviette, l’homme retire avec difficulté son polo mouillé, dévoilant un corps légèrement musclé et délicatement bronzé. Retirer le bermuda s’avère plus difficile, le tissu restant collé à sa peau. Tristan décide alors de l’aider en tirant sur le tissu vers le bas.


Le bermuda glisse enfin. Dévoilant soudain son intimité. Tristan, agenouillé face à lui, est troublé par la vue qui s’offre à lui. L’homme ne porte pas de sous-vêtement. Nu sous son bermuda, son bronzage uniforme, assorti à ses cheveux bruns coupés court, ne présente aucune trace de maillot, et surtout, il est intégralement épilé.


Tristan ressent soudain une excitation au plus profond de lui. Cet homme face à lui a exactement le physique qu’il souhaiterait avoir, il ne lui manque que le bronzage, mais quelques journées de plage devraient suffire. Ce sexe lisse le captive, il faut qu’il passe à autre chose avant que le sien ne se redresse malgré lui. Il prend donc les vêtements mouillés et les dépose sur un buisson proche pour qu’ils sèchent.


L’homme, toujours mouillé, grelotte encore. Tristan sort alors sa serviette de son sac de plage et la pose sur les épaules de celui qu’il vient de sauver. Comme celui-ci, encore engourdi par le froid, ne réagit pas, il prend l’initiative de lui sécher le dos, puis le torse. L’homme se laisse faire.


La serviette est douce, Tristan ressent une troublante sensation, comme s’il caressait directement le corps de l’autre homme. Une sensation d’excitation monte en lui, des picotements le traversent, il sent que son sexe est en train de grossir à nouveau. Un rapide coup d’œil lui confirme qu’il n’est pas le seul à ressentir une telle sensation. Le sexe parfaitement épilé de l’inconnu commence à se redresser légèrement.


Et s’il osait ? Après tout il ne fait que l’essuyer, un geste tout à fait anodin, en principe. Il fait alors aller ses mains plus bas, jusqu’au sexe, qu’il parcourt rapidement de haut en bas. Lorsque la serviette dévoile à nouveau la verge de l’homme, elle a encore grossi. Aurait-il apprécié ? Tristan passe à nouveau la serviette sur le sexe de cet inconnu, mais plus lentement. Il se laisse faire. Cette fois-ci, Tristan sent le phallus de cet inconnu se raidir au creux de sa main. Lorsqu’il retire la serviette, le membre de chair se redresse soudain.


Un sentiment d’excitation traverse l’esprit de Tristan. Son sexe se redresse également. Il regarde alors l’homme qui lui fait face et lui sourit. Tandis qu’il lui rend son sourire, il se dit que la même idée est probablement en train de traverser leurs esprits. Après tout, c’est un inconnu, pourquoi ne pas se laisser aller et s’abandonner à des pulsions refoulées depuis si longtemps.


Tristan pose alors sa serviette et approche sa main du corps de l’autre homme. Celui-ci se laisse faire. Tristan ose aller plus loin et commence à le caresser. L’homme s’allonge alors, c’est un signe évident de consentement. Son corps intégralement épilé affole de plus en plus les sens de Tristan, car outre son sexe totalement glabre, son torse, ses jambes et ses bras sont également dépourvus de tout poil. Tristan se laisse guider par son désir et parcourt fébrilement le corps de cet inconnu, se rapprochant de son sexe. Il hésite encore un peu. L’homme commence à le caresser à son tour pour l’encourager. Tristan ose alors, sa main parcourt le pubis de l’inconnu, il s’enhardit et s’aventure plus loin, il effleure la verge déjà raide de son partenaire, puis ses bourses. Le trouble se propage en lui. La peau qu’il est en train de caresser est d’une incroyable douceur. Lisse, imberbe, glabre. C’est pourtant un corps d’adulte qu’il est en train de parcourir de ses mains.


Toujours agenouillé à côté de son partenaire allongé, il prend maintenant carrément son sexe raide en main et se met à le masturber. L’inconnu faisant de même tout en lui souriant. Tristan se retrouve en érection en quelques instants, tant il est excité. Il sent la jouissance arriver bien trop vite. Il faut qu’il se contrôle. Une éjaculation aussi précoce interromprait prématurément ce moment de pure extase.


Il se replace alors pour se dégager de l’emprise de son partenaire. Mais que faire maintenant ? Ce magnifique sexe lisse, fièrement dressé, le tente vraiment trop. Il se penche donc vers lui, ouvre la bouche et commence à lui lécher la verge et les bourses. Quel délice ! Rapidement, il le prend intégralement en bouche, le suçant goulûment et l’avalant le plus profondément possible. Son partenaire gémit sous l’effet de cette fellation langoureuse, il lui caresse les cheveux, le guidant dans ses mouvements pour augmenter son plaisir.


Au bout de quelques minutes de ce traitement, l’inconnu avertit Tristan qu’il est sur le point de jouir. Il se retire alors, ne voulant pas prendre le risque d’avaler le sperme d’un inconnu, et le reprend en main juste à temps pour voir son partenaire éjaculer sous ses yeux. Sonné par sa jouissance, l’homme reste inerte quelques instants, le corps barré par un épais trait de sperme qui va de son nombril à son sein droit.


Dès qu’il a repris ses esprits, il se met à genoux et, d’un geste de la main, propose à Tristan de s’allonger à sa place. Celui-ci accepte de bon gré, il se doute de ce qui va se passer. Pourvu qu’il parvienne à se retenir assez longtemps.


Son sexe ramolli se redresse immédiatement dans la main de l’inconnu qui est accroupi à côté de lui. Celui-ci, admiratif, le prend alors en bouche et s’efforce de rendre à Tristan tout le plaisir qu’il vient de recevoir. De son côté, Tristan, déploie des efforts considérables pour retarder autant que possible son éjaculation. Malgré tout, il doit se résoudre, après seulement quelques dizaines de secondes, à alerter son partenaire de l’imminence de sa jouissance.


L’homme ôte alors la bite de sa bouche, de justesse, car Tristan ne peut plus attendre. Il laisse s’échapper une grande giclée de sperme, qui s’écoule à son tour jusque dans son cou.


Tristan reprend lentement ses esprits. À côté de lui, son partenaire passe sa main droite sur son corps pour recueillir son propre sperme sur ses doigts. Il met ensuite ceux-ci dans sa bouche et les lèche tout en regardant Tristan, un sourire au coin de ses lèvres couvertes de sperme. Serait-ce une invitation à faire de même ? Après tout, pourquoi pas, puisqu’il n’a pas sucé son partenaire jusqu’au bout ? Il recouvre donc ses doigts de son propre sperme et les lèche tout en souriant à cet inconnu avec lequel il a partagé ces quelques instants de plaisir intense, mais trop bref.


Cela faisait longtemps que Tristan n’avait pas goûté à son sperme. Ce goût amer. Cet arrière-goût un peu fort. Il avait oublié tout cela. Depuis cinq ans au moins. Il repense à nouveau à ces cinq années écoulées. Tout va changer maintenant. Il est temps de rattraper le temps perdu.


Pensif, Tristan laisse son partenaire s’allonger à côté de lui. Sa serviette de bain n’est pas faite pour deux, mais en se serrant un peu, cela peut suffire. Épuisés, les deux hommes ne tardent pas à s’assoupir.


Le temps s’est écoulé, Tristan ne sait pas combien de minutes. Son amant improvisé vient de se lever et est en train de renfiler ses vêtements séchés. Il s’approche alors et lui dit quelques mots.



Tristan réalise alors le sens de cette courte phrase anodine.



Son partenaire d’un jour s’éloigne. À nouveau seul, Tristan se perd dans ses pensées. Il repense à ce qui vient de se passer. Ce n’est certainement pas en compagnie de son ex qu’il aurait pu concrétiser un tel fantasme. L’air est doux, le soleil est chaud. Rien ne lui fait regretter sa vie passée. Demain, ce sera son premier jour de travail à l’agence de Rochefort. Il sent déjà qu’il va se plaire dans la région.




2. Coïncidence



Le réveil vient de sonner, Tristan se lève de bonne humeur et ouvre les rideaux sans plus attendre. Le soleil est à nouveau de la partie, encore une belle journée qui s’annonce. Tristan se sent heureux. La mélancolie qui l’habitait hier matin a disparu. Le souvenir des cinq années écoulées semble déjà s’estomper. Cela serait-il dû à la relation fortuite et intense de la veille ? Peut-être…


Sans plus attendre, il se dirige vers la salle de bains et commence à se raser. Lorsqu’il a fini de s’occuper de son visage, il passe la main sur son pubis. Les poils ont déjà commencé à repousser, supprimant toute sensation de douceur. Laisser pousser sa toison serait un retour en arrière. Il se souvient des cinq années passées. Faisons table rase de tout ceci, se dit-il.


Tandis qu’il guide son rasoir sur ses bourses, Tristan se demande comment s’y prenait l’inconnu rencontré la veille pour avoir la peau du sexe aussi douce. Était-il fraîchement rasé ? Était-il naturellement glabre ? Il faudra qu’il se documente sur la question.


Rasé, lavé et habillé, il ne lui reste plus qu’à prendre le petit déjeuner avant de se rendre à son nouveau travail. Comment cela va-t-il se passer ? C’est ce à quoi il pense tandis qu’il trempe ses tartines dans le chocolat chaud. Une légère appréhension l’envahit, comme un jour de rentrée scolaire. Pas de quoi s’inquiéter, se dit-il, le changement n’est pas radical. Il fera le même travail, créer des sites Internet, dans la même société. Seuls ses collègues seront différents, mais il a déjà eu l’occasion de discuter par téléphone avec certains développeurs de l’agence de Rochefort.


Le petit-déjeuner terminé, il monte en voiture et part en direction du travail. Dix minutes ! C’est le temps qu’il lui faut pour arriver à destination et se garer sans grande difficulté. Jamais, à Paris, il n’aurait pu bénéficier d’une telle facilité de déplacement. Tous les jours, il devait passer quarante minutes le matin, et autant le soir, dans les transports en commun, et encore, quand tout se passait bien, les incidents et les grèves perturbant souvent cette situation optimale. En voiture, c’était encore pire, et il avait rapidement renoncé à une telle alternative.


Cinq ans, c’était aussi le temps qu’il était resté sur Paris pour travailler. C’est là qu’il avait rencontré son ex. Elle n’aurait jamais accepté de déménager à la campagne. Encore une différence entre eux. Plus il y repense et plus il se demande comment, avec autant de différences, ils ont pu rester aussi longtemps ensemble.


La porte d’entrée poussée, Tristan se retrouve dans le hall d’accueil où la secrétaire se charge d’appeler le directeur d’agence pour l’accueillir.



Quelques instants plus tard, un homme à peine plus âgé que lui pénètre dans le hall et vient à sa rencontre en lui serrant chaleureusement la main.



S’ensuit une visite en règle des bureaux de la société. La salle réseau, la salle des serveurs locaux, les postes de travail, ainsi que le personnel : designers, commerciaux… Les visages s’enchaînent, Tristan a le plus grand mal à retenir le prénom de tout le monde. Pour finir, son futur patron l’emmène là où il travaillera dorénavant.



Tristan se fige, blême. Son nouveau collègue aussi.


La vie est faite d’une succession de coïncidences. D’ailleurs, depuis le Big Bang initial, tout n’est que coïncidences : la recombinaison atomique, la naissance des étoiles, l’agrégation des planètes, la formation des acides aminés, l’apparition de l’ADN, les bactéries, les végétaux, les animaux, l’être humain, l’invention de l’écriture, du commerce, la découverte de l’électricité, de l’électronique et de l’informatique.


Tristan sait très bien qu’il avait une chance sur des milliards de milliards de milliards d’exister, et pourtant il est bien là. Que son nouveau collègue de travail soit l’homme qui lui fait présentement face, c’était encore au moins une chance sur cent mille. On n’est plus à cela près. Eh oui, il faut se rendre à l’évidence : cet homme face à lui, qui lui tend la main, la peau délicatement bronzée assortie à ses cheveux bruns coupés court, il l’a déjà vu, et pas plus tard qu’hier, quand ils se sont rencontrés sur la plage, qu’ils se sont caressés, puis sucés mutuellement.


Sortant de sa torpeur, Tristan serre enfin la main de son collègue, tout repensant au rapport sexuel qu’ils ont eu ensemble la veille. Arnaud, qui semble absent, est probablement dans le même état.


Le patron les ayant maintenant quittés. Tristan s’assied à son nouveau bureau, face à son collègue. Un silence pesant s’est installé. Finalement, Arnaud est le premier à reprendre la parole.



Suite à ce bref échange. Le silence retombe. Arnaud peine à prolonger la conversation.



Suite à cet accord, Arnaud reprend la parole et commence à expliquer à Tristan le fonctionnement de l’agence, l’architecture réseau, les outils informatiques présents sur son ordinateur. Cette formation improvisée, qui leur permet de changer de sujet, les amène jusqu’à l’heure du repas. Arnaud se lève alors.



Alors qu’ils viennent de se lever pour sortir, une jeune femme entre dans leur bureau. Vêtue d’un sweat-shirt et d’un jean, seuls ses cheveux blonds coupés au carré et la forme de son visage permettent de deviner que c’est une fille, d’autant plus que son sweat assez ample masque toute trace de sa poitrine. Elle prend immédiatement la parole en s’adressant à Tristan.



Elle quitte alors le bureau, Tristan et Arnaud ne tardant pas à faire de même.


Lorsqu’ils arrivent dans la rue, Arnaud reprend la parole.



Puis Tristan continue sa phrase à voix basse.



Cette conversation dure le temps d’aller jusqu’à une pizzeria. Ils y entrent et choisissent une table à l’écart pour pouvoir discuter tranquillement. Arnaud continue de mener la conversation.



Ils s’interrompent le temps que la serveuse leur donne la carte des pizzas, puis Arnaud reprend.



La serveuse est revenue pour prendre les commandes. Ils cessent donc brièvement leur conversation, jusqu’à ce qu’Arnaud puisse poser la question qui lui brûle les lèvres.



Arnaud marque un temps d’arrêt. Avant de reprendre la parole pour narrer son expérience de vie en couple, il réfléchit brièvement à ce par quoi il va commencer.



Ayant suspendu sa phrase, car la serveuse revenait avec les pizzas, Arnaud attend qu’elle soit repartie pour reprendre son récit.



Arnaud marque une pause, le temps d’avaler sa salive. Peut-être se remémore-t-il le goût du sperme qui coule dans sa bouche. Tristan en profite pour manifester sa stupéfaction.



Même s’il a mangé toute sa pizza en écoutant le récit d’Arnaud, Tristan a du mal à finir ses dernières bouchées. Il ne s’attendait pas à tout cela.





3. Débauche



De retour au travail, le reste de la journée leur semble fort long. L’un comme l’autre, ils attendent impatiemment la débauche. Heureusement, le passage de Cathy vers quinze heures va rompre la monotonie et leur apporter un peu d’animation.


Tristan n’avait pu observer que de manière fugace la jeune femme. Cette fois-ci, il peut le faire à loisir, tandis qu’elle lui expose son problème d’animation interactive. Ce qui l’intrigue le plus, c’est sa poitrine, ou plutôt l’absence de celle-ci. Quelle que soit la position qu’elle prend, pas le moindre bout de sein n’est visible. Est-ce son sweat-shirt ample qui masque toute trace de poitrine ou bien celle-ci est-elle totalement absente ?


De l’autre côté du bureau, Arnaud, qui a remarqué les efforts de Tristan, esquisse un sourire furtif. Ce n’est que quand Cathy est repartie qu’il prend la parole.



Deux heures plus tard, la journée de travail est enfin terminée. Tristan attend d’être sorti dehors pour évoquer le sujet qui les préoccupe depuis midi.



Tristan, qui est en train de manœuvrer pour sortir de sa place de parking, reprend la conversation.



Tandis qu’ils sont en train de cheminer en direction de l’hôpital, Arnaud questionne son ami.



Moins de dix minutes plus tard, ils arrivent au centre hospitalier. Par chance, le centre de dépistage, qui ferme assez tard, leur permet de disposer de résultats préliminaires le jour même, moyennant une heure d’attente.


Alors qu’ils sont en train de patienter, Tristan parcourt la notice explicative du test de dépistage.



Finalement, ils récupèrent les résultats de leurs tests HIV qui s’avèrent, pour leur plus grande joie, négatifs. Ils décident donc, sans plus attendre, d’en profiter pour passer la soirée ensemble. Tristan repasse d’abord par son hôtel pour récupérer ses affaires et régler la note, puis ils reprennent la direction du centre-ville, l’appartement d’Arnaud étant situé en périphérie du bassin à flot. Pas très grand, mais bien agencé, il est composé d’une pièce principale, dotée d’une cuisine à l’américaine, d’une chambre et d’une salle de bains.


Les deux garçons s’asseyent alors sur le canapé et commencent à parler de Rochefort et de l’appartement. Après quelques minutes, Arnaud se lève et va chercher deux bières. Tandis qu’il se rassied, il oriente la conversation.



Tristan laisse alors remonter les souvenirs dans son esprit.



Cette introduction suscite la curiosité d’Arnaud.



Arnaud, qui commence à se masturber à travers son pantalon est de plus en plus curieux de connaître la suite.



Tristan conclut alors son récit.



Tout en disant cela, Arnaud, qui n’a cessé de se caresser à travers son pantalon, s’approche de Tristan et commence à lui caresser le sexe à son tour. Les deux garçons se lèvent alors simultanément et retirent rapidement leurs vêtements. Leurs sexes, déjà en érection, se redressent soudainement lorsqu’ils retirent leurs caleçons.


Arnaud reprend la parole. Ses mots sont crus et directs, dictés par la pulsion qui lui traverse l’esprit.



La réponse de Tristan est immédiate. La même pulsion est certainement en train de l’animer.



Ils se ruent alors dans la salle de bains sans plus attendre. L’eau tiède coule sur leurs corps nus. Tristan se remémore son expérience passée tandis qu’ils sont en train de se savonner mutuellement les épaules, le torse et le sexe.



Tristan acquiesce tandis que son ami lui passe une serviette.



Les deux garçons vont alors dans la chambre et se placent immédiatement en position de 69. Chacun se met à caresser, lécher et sucer le sexe de l’autre sans plus attendre. La bouche pleine, Arnaud laisse néanmoins échapper un simple mot qui en dit beaucoup sur l’attente qui a duré toute cette journée.



De son côté Tristan ne peut s’empêcher d’admirer encore la qualité de l’épilation de son ami.



Tristan est le premier à sentir la jouissance venir. Il prévient immédiatement son ami, mais comme il s’y attendait, celui-ci continue néanmoins à le pomper jusqu’à temps de se faire remplir la bouche par le son jus gluant de son ami. Visiblement satisfait, Arnaud reprend la parole tout en avalant le sperme.



Tristan reprend sa fellation, qu’il avait abandonnée pour mieux profiter de sa jouissance. Léchant et suçant son copain du mieux qu’il peut, il ne tarde pas à être récompensé pour ses efforts. Arnaud le prévient qu’il ne va pas tarder à jouir, mais Tristan, bien décidé à tout recevoir en lui, continue de sucer cette belle bite toute douce et bien raide qui lui plaît tant. Quelques instants plus tard, un léger tressautement annonce l’arrivée d’une giclée qui s’écoule jusqu’au fond de sa gorge, lui remplissant copieusement la bouche de sperme. Quand il se relève, il a encore du mal à tout avaler et il en a même un peu qui ressort. Arnaud, qui s’en rend immédiatement compte, s’approche de lui pour lécher ce qui s’écoule à la commissure de ses lèvres.


Leurs bouches sont proches. Après tout, pourquoi ne pas essayer ? Les deux garçons n’hésitent pas un instant de plus. Leurs lèvres se rapprochent. Ils s’embrassent, mélangeant leurs langues et leurs spermes avec gourmandise tout en se caressant la poitrine, le ventre et le sexe encore gluant de sperme.


Haletants, ils restent allongés sur le lit une bonne dizaine de minutes avant de se décider à aller prendre à nouveau une douche. L’occasion pour eux de recommencer à se savonner et se caresser mutuellement. Une fois secs, ils sortent de la salle de bains sans se donner la peine de se rhabiller.


L’heure du repas approche et leur activité sexuelle les a mis en appétit. Arnaud fouille dans son congélateur et en sort des steaks hachés et une poche de poêlée de légumes. Quand à Tristan, il ne peut résister au désir de caresser son ami pendant que celui-ci fait la cuisine, ses mains parcourent son dos et ses hanches, puis passent de l’autre côté pour caresser sa poitrine, son ventre et son sexe. Tandis que la bite de son copain est en train de gonfler dans sa main, Tristan continue en l’embrassant dans le cou. Arnaud semble apprécier ce traitement, sa respiration s’accélère et son sexe durcit encore un peu plus. Il se retourne alors, laissant Tristan continuer à l’embrasser dans le cou, puis les seins, puis il descend plus bas, jusqu’au sexe, qu’il lèche consciencieusement sur toute la longueur. C’est ensuite Arnaud qui rend à Tristan les mêmes caresses buccales. Visiblement déchaînés, les deux garçons continuent à se caresser langoureusement jusqu’à ce que le repas soit prêt.


Tandis qu’ils sont en train de manger, toujours nus, Arnaud oriente à nouveau la discussion vers le sexe.



Tristan est en train d’imaginer la scène.



Toujours pensif, Tristan s’interroge sur son comportement passé.



Arnaud se lève alors pour aller chercher des yaourts dans le frigo. Il continue la conversation lorsqu’il revient à table.



Tristan réfléchit alors aux implications de cette proposition.



Le repas terminé, les deux garçons ne résistent pas longtemps à l’envie de recommencer. Arnaud s’allonge sur le canapé et Tristan vient se placer sur lui, en position de 69. Ils se sucent alors mutuellement sans plus attendre. Cette fois-ci, Tristan parvient à tenir plus longtemps et c’est presque simultanément qu’ils s’éjaculent mutuellement dans la bouche. Satisfaits, ils s’asseyent côte à côte sur le canapé tout en continuant à se caresser mutuellement le corps. Ce faisant, ils ne résistent pas à l’envie de se partager le sperme qu’ils ont jusque dans la gorge en s’embrassant.


Repus de sexe, ils demeurent assis sur le canapé à regarder la télé que vient d’allumer Arnaud. Le sexe encore collant, la bouche parfumée par une odeur persistante de sperme, ils restent affalés devant l’écran durant tout le reste de la soirée.


Vient ensuite l’heure de se coucher. Ils vont dormir ensemble, c’est une première. Ils disposent tous les deux d’un pyjama, mais ils préfèrent se coucher nus. Allongés dans le lit, leurs corps se rapprochent rapidement. Leurs mains courent sur le corps de l’autre. Ils ne s’endormiront pas si facilement que cela. En tout cas, pas avant une dernière étreinte.


Toujours mus par leurs pulsions, ils repoussent rapidement les draps et reprennent une position de 69 pour se sucer mutuellement. Leurs bites ont encore un arrière-goût de sperme. Cela surprend un peu au début, mais c’est finalement assez agréable. La jouissance, la troisième de cette fin de journée, est plus longue à venir, mais ils parviennent finalement à se remplir la bouche une dernière fois. Le sperme coule le long de leurs lèvres tandis qu’ils s’embrassent à nouveau. Finalement ils en recrachent sur leur ventre et s’étalent mutuellement leur jus gluant sur leur corps. Vidés, ils s’endorment rapidement, collés l’un à l’autre par le sperme en train de sécher.




4. Occasions



Le lendemain, le réveil est difficile. Les corps sont douloureux, en particulier au niveau de la verge, fortement sollicitée la veille. Pendant qu’Arnaud achève de se réveiller en prenant une douche, Tristan ne peut s’empêcher de pester tout en se rasant le sexe.



Tristan observe alors son ami de plus près tandis que celui-ci lève les bras. En effet : les aisselles d’Arnaud sont aussi glabres que son pubis. Tristan semble surpris.



Tristan lève ses bras et s’observe dans le miroir du meuble de toilette. Ses dessous de bras forment comme deux touffes de poils pubiens de chaque côté de son visage.



Arnaud sort alors sa tondeuse et s’approche de son ami.



Les bras en l’air, Tristan se laisse faire pendant qu’Arnaud tond les poils qu’il récupère dans le creux de la main. Une minute plus tard, c’est terminé et Tristan peut déjà admirer le changement tout en se caressant les aisselles.



Le temps s’est écoulé vite, ils restent nus pour prendre leur petit déjeuner, qu’ils ingurgitent en vitesse pour ne pas se mettre plus en retard. Ils n’ont ensuite plus qu’à s’habiller et partent alors au travail. C’est en arrivant sur place qu’ils réalisent que s’ils arrivent ensemble régulièrement, cela pourrait être rapidement remarqué et interprété, ce qui pourrait trahir leur orientation actuelle.


Cathy, qui arrive peu de temps après eux, vient leur dire bonjour. Les deux garçons remarquent immédiatement un changement dans sa tenue. Même si elle a conservé le jean, elle a troqué son sweat habituel pour un t-shirt rayé avec un col en V. C’est une tenue déjà un peu plus féminine, Tristan et Arnaud remarquent immédiatement cette amélioration, même s’ils s’efforcent de rester discrets. Toujours en proie à des problèmes d’animation, elle revient prendre conseil auprès de Tristan, celui-ci étant ravi de pouvoir lui rendre service.


Toujours aussi attentif à ce genre de détails discrets, Tristan parvient à deviner par moments le bout de ses seins à travers l’étoffe, pourtant épaisse. De plus en plus émoustillé, c’est une grande satisfaction pour lui lorsqu’elle se penche enfin en avant, lui dévoilant soudain le contenu de son décolleté. Rien ne cache ses seins. Aucun soutien-gorge, ni un quelconque débardeur ne viennent barrer le regard indiscret de Tristan. Il peut en profiter à loisir, car Cathy reste en position pour lui faire un schéma sur papier, mais il ne regarde pas le croquis, son regard étant totalement captivé par la poitrine de sa collègue. En fait, elle n’a pas de poitrine. Aussi plate qu’un homme, malgré qu’elle soit penchée en avant, seuls ses tétons proéminents sont le signe apparent de sa féminité.


Totalement subjugué, il ne parvient pas à se concentrer et peine à répondre à ses questions. Il demeure rêveur tandis que celle-ci a déjà quitté le bureau depuis quelque temps. C’est finalement Arnaud qui le tire de ses pensées.



Tristan ne répond pas à cela. Malgré tout, Cathy revient les voir plusieurs fois dans la journée. C’est à chaque fois Tristan qu’elle vient voir, et à chaque fois, elle se penche vers lui, lui dévoilant pour son plus grand plaisir sa poitrine toute plate.


L’heure du repas approche lorsqu’Arnaud réalise qu’il n’a pas encore pris rendez-vous pour l’épilation. Il appelle alors immédiatement en s’efforçant d’être le plus discret possible.



Il s’adresse alors à Tristan.



Ils s’interrompent soudain. Cathy, comme à son habitude, passe les voir juste avant le repas. Il semble bien qu’elle ait entendu la fin de la conversation. Même si elle fait semblant de rien, elle semble légèrement troublée, et ne se souvient plus de la raison de sa venue. Tristan en profite pour reprendre la main.



Tandis qu’elle vient de sortir, Tristan s’adresse à voix basse à son ami.



Cette fois-ci, ils se rendent dans un restaurant de grillades situé dans les environs. La conversation est bien plus sage que la veille. Au fil de celle-ci, Cathy, très bavarde, se met à parler d’elle.



Arnaud répond le premier.



Puis c’est à Tristan de prendre la parole.



Cathy se tourne alors vers Arnaud.



Cathy marque un bref temps d’arrêt, le temps de préparer sa phrase suivante.

Nous sommes donc tous les trois célibataires. On pourrait se faire des sorties ensemble !


Arnaud manque de s’étouffer en entendant cela. Il a soudainement l’impression que Cathy était attirée par lui depuis des mois, mais qu’elle n’en disait rien. Son comportement bizarre devient soudain cohérent dans son esprit, comment avait-il fait pour ne pas s’en rendre compte auparavant ? Peut-être que les rapports compliqués qu’il entretenait avec son ex l’empêchaient de réaliser ce qui se passait autour de lui. Il aura suffi que Tristan lui propose de venir manger avec eux pour que tout s’éclaircisse.


Le repas se termine tranquillement tandis qu’ils discutent de sujets plus légers. Le repas terminé, ils retournent travailler. On parle peu. Tous semblent assez absorbés par leurs pensées, repensant à la conservation passée.


L’après-midi étant assez chargé par le travail, ce n’est qu’une fois débauchés, alors qu’ils sont en train de faire route vers l’hôpital pour disposer des résultats définitifs de leurs tests HIV, qu’Arnaud en reparle avec Tristan.



Arrivés à l’hôpital, ils constatent avec satisfaction que leurs tests définitifs sont également négatifs. Ils retournent immédiatement à l’appartement, bien décidés à en profiter sans plus attendre. Arrivés en sueur à cause de la chaleur et de leur empressement, ils commencent d’abord par prendre une petite douche pour se rafraîchir. Arnaud y passe le premier, puis il cède sa place à son ami pendant qu’il se sèche.


C’est alors qu’il entend frapper à la porte d’entrée. Il noue sa serviette autour de sa taille et va ouvrir. C’est sa voisine, une petite brunette un peu ronde, vêtue d’une jupe et un t-shirt, qui vient lui demander de l’aide. Même si elle semble surprise au premier abord de la tenue d’Arnaud, elle s’adresse à lui tout naturellement tout en observant discrètement le physique agréable du jeune homme.



Arnaud allume sa télévision. L’image s’affiche.



Il réalise alors qu’il va avoir du mal à se dépêtrer d’elle, mais c’est à ce moment que Tristan, qui sort de la salle de bain tout en parlant à voix haute, pénètre nu dans la pièce.



C’est alors qu’il réalise que Tristan n’est pas seul. Il se pétrifie soudain devant la jeune femme qui le dévisage de la tête aux pieds tout en se mordillant les lèvres. Arnaud, qui ne semble guère plus à l’aise, ne sait que dire. C’est finalement la voisine qui reprend la parole.



Elle repart alors aussi soudainement qu’elle est arrivée. À nouveau seuls, Tristan reprend la parole.



Arnaud s’emporte alors.



Les deux garçons se rapprochent alors. Arnaud laisse tomber sa serviette au sol. Son sexe est déjà raide. Tristan le prend dans sa main et commence à le masturber. Arnaud fait de même et les deux garçons se retrouvent rapidement en érection. Tout en se branlant d’une main, les deux garçons se caressent mutuellement de l’autre. Leur désir montant très vite, ils se précipitent vers le lit et s’allongent tête-bêche pour se sucer et se lécher mutuellement. Visiblement surexcités, ils ne tardent pas à jouir, presque simultanément, chacun déchargeant abondamment dans la bouche de l’autre. Enfin apaisés, ils se replacent côte et côte et achèvent leur étreinte en s’embrassant langoureusement pour se partager le sperme qu’ils n’ont pas encore avalé.


Rassasiés, ils s’assoupissent rapidement, collés l’un à l’autre. Ce n’est que vers vingt heures qu’ils se réveillent soudain. La faim commence à se faire sentir, même si un curieux arrière-goût imprègne leur bouche. Ils restent nus pour préparer le repas et le consommer, puis pour regarder la télévision.


La soirée s’est écoulée. Alors qu’ils sont en train de se laver les dents, Tristan s’adresse à son ami.



Et joignant le geste à la parole, Arnaud en sort une boîte de l’armoire de toilette, ainsi qu’un tube de lubrifiant.



Ils retournent alors dans la chambre. Arnaud, qui se réjouit d’avance de se faire enculer, s’est déjà placé à quatre pattes sur le lit, prêt à se faire pénétrer pour son plus grand plaisir. Tristan vient d’abord se placer face à son ami, celui-ci se chargeant de le sucer pour le mettre en érection. Lorsqu’il a sa bite bien raide, Tristan déroule une capote dessus, va se placer de l’autre côté, enduit le cul de son copain de crème, puis présente son sexe dressé à l’entrée du petit trou. Arnaud, qui est habitué à ce genre de pratique, se détend alors et se laisse pénétrer sans grande difficulté. Rapidement, Tristan commence à pratiquer des allers-retours de plus en plus rapides entre les fesses de son compagnon. De son côté Arnaud ne cesse de gémir sous l’effet de la pénétration. Il ne peut s’empêcher de commenter ce qu’il ressent.



Tristan fait alors le tour de son copain, juste à temps pour lui inonder la gorge de sperme tiède et gluant à souhait. Lui aussi commence à prendre du plaisir à ce jeu pervers et il se surprend à insulter crûment son ami.



Sans hésiter, Tristan colle ses lèvres à celles de son amant, avalant ainsi une partie de son propre sperme.


Fermement décidé à se faire dépuceler le fion, il se met ensuite à sucer son amant pour rendre sa bite bien raide. Arnaud enfile alors une capote à son tour, pendant que Tristan se met en place sur le lit. Il enduit ensuite copieusement la rosette de son camarade, n’hésitant pas à y introduire progressivement tout d’abord un doigt, puis deux, puis trois, pour le préparer à la pénétration. Constatant avec satisfaction que celui-ci semble enfin prêt à l’accueillir, il présente sans plus attendre son gland devant le petit trou de son copain. Prudent, il le pénètre avec une grande douceur, très progressivement. Le visage de Tristan, qui était crispé au début, se détend peu à peu, tandis qu’il sent la bite de son ami l’envahir. Arnaud s’enquiert alors du confort de son partenaire.



En effet, Arnaud commence ses allers-retours avec une extrême lenteur, le temps d’habituer son amant à la pénétration. Puis progressivement, il se met à accélérer. Au bout que quelques minutes, il atteint un rythme régulier tandis que Tristan commence à gémir sous l’effet de l’excitation. Quelques minutes plus tard, Arnaud sent la jouissance arriver.



Arnaud ne se fait pas prier. Il se place face à son ami et envoie de copieux jets de sperme jusqu’au fond de sa gorge. Tristan, qui ne parvient pas à tout conserver dans la bouche, en laisse couler à la commissure de ses lèvres. Arnaud s’approche alors de lui et ils recommencent à s’embrasser goulûment tout en se caressant. Il s’adresse ensuite à son amant, tout en le regardant langoureusement.



Les deux garçons se regardent avec tendresse.



Ils continuent encore à s’embrasser passionnément tout en se caressant pendant de longues minutes. Perdu dans ses pensées, Tristan réagit soudain.





5. Complexe



Durant le reste de la semaine, Tristan demeure très perturbé par la situation dans laquelle il est plongé. Tiraillé entre son attrait pour les physiques hors normes de Cathy et Sandrine d’une part et sa liaison charnelle et quasi amoureuse avec Arnaud d’autre part. Pour l’instant, il ne sait guère vers quel bord pencher, le doute l’envahit progressivement.


Quant à Cathy, elle continue de venir les voir régulièrement. Toujours vêtue d’un jean, elle s’efforce de diversifier le haut de sa tenue : chemisier, pull léger, ou t-shirt. Ce qui est certain, c’est qu’elle ne porte jamais de soutien-gorge, Tristan ayant de fréquentes occasions de le vérifier. Ne voulant pas laisser Arnaud sur la touche, il prétexte à plusieurs reprises un travail urgent pour laisser Cathy aux bons soins de son copain.


Samedi est arrivé. Tristan est plus que jamais prêt à subir une épilation intégrale et définitive. Ses poils, qui ont repoussé depuis quatre jours, ne cessent de l’irriter, au propre comme au figuré. C’est donc sans regret, qu’il monte en voiture avec Arnaud, prêt à tirer un nouveau trait sur les cinq dernières années de sa vie.


Après une demi-heure de route, ils finissent par arriver près d’un bâtiment discret de construction récente, situé en lisière d’un sous-bois, quelque part au cœur de l’Aunis. Le grand parking situé devant laisse imaginer une forte fréquentation à certaines heures de la journée, même si moins d’une dizaine de voitures y sont actuellement stationnées.


Ils se présentent tout d’abord à l’accueil pour régler les droits d’entrée. En échange de quoi, ils reçoivent un bracelet électronique leur permettant d’accéder à leur vestiaire et de régler les diverses prestations et consommations. Ils se dirigent ensuite vers le vestiaire. Après y avoir rangé leurs vêtements, il ne leur reste plus que la serviette qu’on leur a confiée à l’entrée et qu’ils doivent mettre sous leurs fesses pour s’asseoir ou qu’ils peuvent également utiliser comme un paréo s’ils le souhaitent. Arnaud ne se donnant pas la peine de passer la serviette autour de sa taille, Tristan décide de faire de même et les deux garçons sortent donc nus des vestiaires.


C’est alors que Tristan réalise soudain l’ampleur du complexe libertin discrètement caché dans ce bâtiment anodin.


Au centre, une vaste agora avec un bar, des chaises et des tables, puis ensuite une scène et des gradins. Tout autour, organisées comme autant de magasins d’un centre commercial, on trouve les différentes prestations proposées : sauna, hammam, piscine, jacuzzi et massage sur la gauche ; gadgets en tous genres, librairie et vidéo club sur la droite ; au fond, on devine l’entrée de la discothèque. Et ce n’est pas tout, comme Arnaud le fait remarquer à Tristan, cela continue au premier étage, un grand balcon fait le tour de l’agora et donne accès à autant de services qu’au rez-de-chaussée : un magasin de lingerie et de vêtements sexy sur la droite ; un solarium, un salon de coiffure et un centre d’esthétique sur la gauche ; au fond, le donjon ; quant au restaurant, il est situé juste au-dessus du vestiaire.


En ce début de matinée, l’endroit est encore peu fréquenté. Quelques clients prennent un café, assis au bar. Certains sont nus, d’autres ont noué leur serviette autour de la taille. Deux femmes sont présentes, l’une totalement nue, les cuisses écartées avec désinvolture ; l’autre est habillée d’un body en dentelle noire et de bas autofixants assortis. Eh oui, ici chacun est libre de s’habiller comme il le veut… Ou pas.


La serveuse du bar est juste habillée d’une guêpière en dentelle avec un porte-jarretelles et une paire de bas. Quant au serveur, il porte un petit tablier blanc qui descend jusqu’à mi-cuisses mais ne cache rien de son torse et de son dos, ni de ses fesses d’ailleurs, puisqu’il ne porte aucun autre vêtement que ce carré de tissu.


Sans hésiter, Arnaud prend l’escalier qui mène au premier étage, suivi par Tristan, ce qui leur permet d’arriver jusqu’au salon d’esthétique. Une grande et athlétique brune aux cheveux frisés, la quarantaine, les accueille tout en observant sans grande discrétion leurs corps imberbes.



Cette formulation surprenante donne l’impression à Tristan qu’il est le conjoint d’Arnaud. Si cela le gêne un bref instant, il trouve finalement cette expression un rien provocante plutôt plaisante. Vu le lieu et les circonstances, autant assumer jusqu’au bout l’homosexualité qui le caractérise actuellement.


L’esthéticienne s’approche alors de lui pour observer sa pilosité. Sous sa blouse blanche légèrement transparente, il peut deviner une poitrine généreuse, maintenue en place par un soutien-gorge en dentelle assorti à ses cheveux noirs. Elle porte aussi des bas de la même couleur, probablement autofixants, à moins qu’elle n’ait un porte-jarretelles. C’est tout ce qu’il parvient à déceler en scrutant sa tenue. Soit elle ne porte rien d’autre, soit cela n’est pas visible à travers le tissu.


Elle reprend la parole tout en faisant le tour de Tristan pour observer son dos.



Arnaud se charge de la réponse à la place de son ami.



Mais elle propose plus.



Tristan réalise soudain que l’esthéticienne est en train d’insinuer qu’ils sont en couple et qu’il lui arrive de se faire sodomiser par Arnaud. Une nouvelle fois, ce sous-entendu l’incite à assumer malgré tout son actuel statut d’homosexuel. C’est donc tout naturellement qu’il interroge à son ami.



Tristan s’adresse alors à belle brune qui vient d’écouter leur discussion intime.



Arnaud prend alors la direction de la sortie.



Arnaud s’est accoudé au balcon quelques instants pour profiter de la vue sur l’agora. Un couple est en train de se caresser sur le grand canapé placé sur la scène, ce qui lui évoque des souvenirs. Un homme se dirige vers le salon d’esthétique, il s’agit certainement de l’assistant. Il est vêtu d’un t-shirt court et moulant qui laisse deviner sa musculature, et d’un short, également moulant, qui laisse deviner ses parties intimes.


Il reprend alors son chemin vers le salon de coiffure situé à deux pas. En y entrant, il remarque immédiatement que la coiffeuse qui l’accueille semble être nue sous sa bouse blanche. Ses seins pointent, ses tétons déforment le tissu, ses aréoles sont visibles par transparence. Lorsqu’elle précède Arnaud jusqu’au shampooing, celui-ci observe ses fesses. Aucune trace de culotte. Serait-elle vraiment nue sous sa blouse ? Il sent que son sexe se met déjà à grossir, pourvu qu’il parvienne à se contenir.


Après application du shampooing, elle lui prodigue un massage du cuir chevelu tellement agréable que son sexe commence à se redresser. Assis nu sur le fauteuil incliné, la tête penchée en arrière dans le bac à shampooing, il se doute bien que sa position est on ne peut plus impudique et provocante. Son fauteuil est orienté vers la vitrine, toute personne qui passe devant ne pourra pas manquer son état d’érection. Lorsqu’elle lui a essuyé les cheveux, elle l’invite à aller s’asseoir sur le siège de coiffure. Lorsqu’il se relève, il peut enfin constater visuellement que sa verge est bel et bien redressée. C’est ainsi qu’il fait les quelques pas qui le séparent du fauteuil, assumant totalement cette indécente érection. Quant à la coiffeuse, elle ne peut s’empêcher d’admirer cette belle bite bien raide et toute douce pendant qu’elle s’adresse à lui.



Arnaud s’assied donc sur la serviette qu’il a disposée sur le siège. Sa verge est toujours dressée, il s’en rend bien compte grâce au grand miroir placé face à lui. Ce miroir lui permet aussi d’observer à loisir la coiffeuse qui s’affaire autour de lui. Ses seins menus ballottent agréablement au rythme de ses mouvements, ses tétons ne cessent de pointer, constamment caressés par le tissu de sa blouse. Tout en observant ceci avec plaisir, Arnaud se dit que ce n’est pas ainsi que son érection cessera.


De son côté, Tristan est toujours entre les mains de l’esthéticienne et de son assistant. Équipés chacun d’un appareil à lumière pulsée, ils sont affairés sur son sexe. Après lui avoir épilé le pubis, ils se sont ensuite attaqués à la verge et aux bourses. La grande brune ne se gêne pas, elle prend fermement en main la verge de Tristan et la masturbe assez pour qu’elle soit en érection, leur permettant ainsi d’effectuer correctement leur travail. Puis ensuite, à plusieurs reprises, elle ou son assistant vont recommencer à le masturber pour le maintenir en érection jusqu’à la fin de leur intervention.


Pendant ce temps, Arnaud vient de finir de se faire couper les cheveux. La coiffeuse va donc chercher un miroir pour lui donner un aperçu de l’arrière de son cuir chevelu. Le miroir, posé en hauteur, sur un meuble, l’oblige à s’étirer autant qu’elle peut pour parvenir à l’atteindre. Ce faisant, sa blouse remonte sensiblement. Arnaud, qui la voit de trois quarts, scrute avec attention le haut de ses cuisses. Son intuition s’avère payante : la blouse s’entrouvre brièvement, laissant apercevoir son sexe aux lèvres épilées, surmonté d’une touffe de poils sur mont de vénus. Cette petite cochonne ne porte vraiment aucun sous-vêtement, et il en a maintenant la confirmation.


Sortant du salon de coiffure, il descend au rez-de-chaussée pour se doucher afin de se débarrasser des cheveux coupés qui commencent à le démanger. Les douches sont collectives, à côté de lui, deux filles sont en train de se caresser mutuellement tandis que l’eau ruisselle sur leurs corps bronzés. Cette scène de rêve est en train de l’exciter. Sentant l’érection venir à nouveau, il préfère quitter rapidement la douche pour aller s’asseoir dans le jacuzzi. Ainsi placé, il peut se masturber discrètement tout en les regardant s’introduire des doigts. Avec un peu de chance, elles vont peut-être, elles aussi, venir se joindre à lui dans le bain bouillonnant. C’est, en effet, ce qu’elles finissent par faire, mais manque de chance pour lui, elles sont rapidement rejointes par leurs copains, aux carrures de rugbymen. Le jacuzzi lui semble soudainement trop petit et Arnaud préfère s’en extraire.


L’esthéticienne et son assistant ont bien avancé dans leur travail. Tristan est maintenant totalement débarrassé de tous ses poils pubiens. Elle lui fait alors passer les bras par dessus la tête car ils vont maintenant s’occuper de ses aisselles. Toujours assise sur un tabouret à roulette, elle s’est rapprochée de son visage. Curieux, Tristan observe alors discrètement l’entrejambe de celle qui est en train de l’épiler. Les cuisses légèrement écartées, il n’a aucun mal à voir la fente de son sexe, celui-ci étant surmonté d’une bande de poils bruns consciencieusement taillés. Le fait-elle exprès ? Après tout, si elle ne voulait pas se montrer, elle mettrait une culotte. Si elle s’habille ainsi, c’est qu’elle aime le faire et que c’est permis ici. Alors il n’hésite pas à tourner à nouveau sa tête vers l’entrejambe de cette brune au corps athlétique. Celle-ci s’en rend immédiatement compte, mais elle se laisse mater sans réticence, preuve que son comportement est bien volontaire. Cependant, cette vue plaisante a un défaut, Tristan sent que son sexe est en train de se redresser. Les bras levés, complètement à la merci de l’homme et de la femme qui l’encadrent, il ne peut que rester passif et attendre que cela passe. L’esthéticienne, qui a bien remarqué le rapport de cause à effet, ne peut s’empêcher de sourire tout en écartant un peu plus les cuisses.


Quelques dizaines de mètres plus loin, Arnaud est en train de suer, allongé dans le hammam, tout en se caressant le sexe, lorsque les deux filles et les deux garçons du jacuzzi y pénètrent à leur tour, interrompant soudain sa masturbation langoureuse. Tous les quatre observent la bite en érection d’Arnaud, intégralement épilée et luisante de sueur. Les deux jeunes filles, qui n’ont conservé sur leur pubis qu’un mince ticket de métro, s’adressent à voix basse aux deux garçons, qui eux, ont encore toute leur pilosité.



Mais l’expression de refus de leurs copains indique clairement qu’ils n’en ont pas du tout envie.


L’un des deux garçons, accompagné d’une des filles, va se placer dans un coin du hammam, tandis que l’autre garçon et l’autre fille s’installent dans l’autre coin. Il semblerait donc qu’ils soient en couple, se dit Tristan qui les regarde faire, mais n’a pas osé reprendre ses caresses. Rapidement, ils se mettent à flirter, chacun dans son coin, s’embrassant et se caressant mutuellement, y compris le sexe. Tristan observe la scène avec plaisir et recommence tout naturellement à se masturber tandis qu’il profite du spectacle qui s’offre à lui. Les filles gémissent. Leurs regards s’attardent régulièrement sur le luisant sexe lisse de Tristan, il en est conscient et cela l’excite encore un peu plus.


Soudain, l’une des deux filles se lève et va vers l’autre groupe. Le garçon, qui doit être habitué à cela, cède alors sa place et va s’asseoir à côté de l’autre garçon. Les deux filles se mettent alors à se caresser mutuellement, tout en s’embrassant et en s’introduisant des doigts, comme elles le faisaient tout à l’heure sous la douche. Les deux garçons, de l’autre côté, les regardent faire. Placés côte à côte, chacun prend en main la bite de l’autre et ils se mettent à se masturber mutuellement sans gêne aucune tout en observant leurs copines. Cette situation peut paraître plutôt insolite, mais est si naturelle pour Tristan que cela l’excite encore un peu plus, cependant il doit limiter ses caresses car il sent qu’il risque de s’éjaculer dessus d’un instant à l’autre.


Cette scène dure plusieurs minutes, puis les deux filles discutent entre elles à voix basse et l’une des deux, probablement la plus hardie, se lève et s’approche de Tristan pour lui parler.



La jeune fille continue à observer fixement son phallus dressé, imberbe et luisant de sueur.



Alors elle se lance. Ses doigts parcourent d’abord le pubis, puis elle caresse la verge, et pour finir elle prend les testicules dans sa main. Elle se retourne vers son amie.



L’autre jeune fille s’approche donc et répète à peu près les mêmes mouvements.



Quant à Arnaud, il doit faire d’énormes efforts pour ne pas jouir dans pareille situation. La première jeune femme s’adresse alors à nouveau à lui.



Elle leur fait alors signe de venir, et même s’ils n’y semblent pas favorables au premier abord, ils finissent par accepter et ils viennent à leur tour caresser le sexe d’Arnaud. Puis elle s’adresse à nouveau à eux.



Les deux hommes ne savent pas quoi répondre. Arnaud se permet alors d’ajouter une précision.



La jeune fille sourit.



Finalement, Arnaud choisit de sortir du hammam. La chaleur commence à devenir pénible et il se sent si proche de l’éjaculation qu’une bonne douche fraîche serait vraiment la bienvenue. C’est alors qu’il retrouve Tristan, fraîchement épilé. Il ne peut s’empêcher de le caresser immédiatement, et ce dernier lui rend également ses caresses. Visiblement très excités, les deux garçons continuent en se masturbant mutuellement sous la douche, et ce malgré la présence d’un couple dans le jacuzzi qui les regarde faire avec curiosité et intérêt.



C’est donc avec leurs sexes encore à moitié redressés qu’ils pénètrent dans le sauna. À l’intérieur de celui-ci, un couple est en train de s’embrasser. Les deux garçons s’asseyent face à eux. Le mari, tout en continuant à bécoter sa femme, caresse ses seins bien fermes de taille moyenne, puis sa main descend, il lui écarte les jambes pour mieux exhiber son sexe imberbe aux yeux des deux garçons, puis il commence à la tripoter, provoquant rapidement des gémissements de la part de celle-ci. Tristan et Arnaud se mettent alors à se masturber en les regardant faire et ne tardent pas à se retrouver de nouveau en érection. Constatant qu’ils semblent intéressés par leurs ébats, le mari se lève et s’approche d’eux. Même s’il a encore des poils sur le torse et le ventre, il se donne néanmoins la peine de se raser la verge et les bourses, Arnaud et Tristan le remarquent immédiatement tandis qu’il s’adresse à eux.



Arnaud, habitué à ce genre de situation, lui répond.



L’homme leur sourit et invite sa femme à sortir, suivie de près par les garçons.


À proximité du sauna, de petites cabines simplement fermées par un rideau, sont alignées telles des cabines d’essayage. Elles sont destinées aux soins de massage, mais elles peuvent aussi être utilisées par les couples qui souhaitent un peu d’intimité. Ils entrent dans l’une d’elles mais le mari laisse volontairement le rideau ouvert. La femme monte sur la table de massage placée au milieu et s’allonge sur le dos. Arnaud et Tristan viennent de chaque côté et commencent à la caresser sous le regard excité de son mari, qui se masturbe tranquillement tout en les regardant. Ils pétrissent frénétiquement sa poitrine bien ferme, ses hanches, son ventre, son pubis, qui est parfaitement lisse. Ils poussent ensuite leur exploration plus loin, allant jusqu’à introduire leurs doigts entre ses lèvres intimes. Gémissant soudain, elle prend leurs bites en main et se met à les masturber. Elle jouit à plusieurs reprises sous l’effet de leurs caresses tandis que son mari s’astique frénétiquement en les regardant.


Très excité, il s’approche tout en continuant de s’astiquer. Il s’adresse alors aux garçons, qui continuent leur massage avec application.



N’attendant que cet accord, il éjacule soudain avec force sur le corps de sa femme. De nombreuses giclées de sperme tiède qui remontent jusqu’à son visage, recouvrant copieusement son corps, ainsi que les mains des garçons. Nullement gênés, ils continuent de la caresser, étalant consciencieusement le sperme du mari. Quand celui-ci, il se met à la caresser aussi, se penchant pour lécher son propre sperme et finissant en embrassant sa femme. Très excités, Tristan et Arnaud, qui se font toujours masturber, finissent par éjaculer sur elle à leur tour. Le mari, aidé par les deux garçons, étale alors tout ce sperme sur le ventre et les seins de sa femme. Calmés, ils quittent de la cabine et vont se doucher, les deux garçons sous une douche et le couple sous celle d’à côté. Ils n’ont plus qu’à s’essuyer mutuellement, une pile de serviettes de toilette étant à disposition à côté des douches.


De retour au centre de l’agora, nus comme la plupart des clients. Arnaud se tourne vers son ami.



Ils montent donc au premier étage. Les tables du restaurant s’étendent jusqu’au bord du balcon, c’est là qu’ils s’installent, bénéficiant ainsi d’une vue imprenable sur l’agora. Le serveur qui vient s’occuper d’eux n’est vêtu que d’un petit tablier, une petite pièce de tissu de trente centimètres de côté qui ne cache que son sexe. La serveuse, quant à elle, bénéficie d’un peu plus de tissu car son tablier remonte assez haut pour lui cacher les seins, mais pas plus, car son dos et ses fesses sont totalement dénudés. Il est même possible d’entrevoir quelquefois sa poitrine lorsqu’elle se penche en avant et que son tablier s’écarte de son corps. Tout en commençant leur repas, ils se racontent ce qui leur est arrivé durant la matinée.


Un couple vient de monter sur la scène au centre de l’agora, ils s’installent sur le grand canapé et commencent à se caresser devant les clients assis au bar, certains se rapprochent et vont s’asseoir sur les gradins qui entourent la scène. Quant à Tristan et Arnaud, ils regardent le spectacle depuis leur table tout en dégustant une copieuse salade composée.


À bien y regarder de plus près, le couple sur scène n’est autre que celui qu’ils ont rencontré dans le sauna. Assis face à face, ils commencent par s’enlacer tout en s’embrassant. La femme s’allonge ensuite sur le ventre tandis que son mari lui masse le dos. Au bout de quelques minutes, elle se retourne tandis qu’il continue à la masser, insistant sur ses seins et son sexe, il se retrouve rapidement en érection alors qu’il lui introduit plusieurs doigts dans la fente. Elle se met alors à le masturber doucement tout en gémissant, jusqu’à temps qu’ils échangent leurs places. C’est alors elle qui lui masse délicatement le dos. Lorsqu’il se retourne, il est encore en érection. Sa femme continue alors son massage sur le torse, le ventre, les cuisses et bien entendu, le sexe. Elle le prend fermement en main et se met à le masturber vigoureusement tandis qu’il recommence à lui introduire trois doigts dans la fente.


Arnaud et Tristan, qui ont une vue plongeante sur la scène, ne peuvent s’empêcher de se masturber tout en regardant ce délicieux spectacle. La femme enjambe alors son mari allongé et s’empale fougueusement sur sa bite dressée. Elle laisse ensuite s’écouler quelques secondes durant lesquelles la sensation de pénétration se répand en elle, puis elle commence des mouvements d’aller-retour pendant que son mari lui pelote les nichons, ceux-ci remuant allègrement au rythme de ses mouvements. Visiblement très excités et assez inspirés, ils changent de position à plusieurs reprises jusqu’au moment final ou le mari finit par être sur le point de jouir. Il se retire alors de sa femme, tient sa bite en main et laisse s’écouler plusieurs puissants jets de sperme qui recouvrent tout le corps de sa femme, du pubis jusqu’au visage. Ils se rasseyent alors face à face, et comme au début de leur étreinte, ils s’enlacent tout en s’embrassant, étalant de leurs mains le sperme répandu sur leurs corps. Pour finir, le mari lèche le visage et le cou de sa femme, pour recueillir dans sa bouche autant de sperme qu’il peut, afin d’en partager la dégustation avec celle-ci, et ce sous les applaudissements de l’assistance.


Arnaud accompagne ses applaudissements d’un commentaire.



Tristan veut regarder sa montre, mais comme il est nu, il n’en a pas. Arnaud lui indique alors la grande horloge située au-dessus de la scène. Il est presque quatorze heures.



En effet, depuis le balcon ils peuvent voir que les deux garçons au physique de rugbyman viennent de sortir du salon d’esthétique. Arnaud se dit alors que son conseil a été utile, il vient peut-être de faire deux nouveaux adeptes de l’épilation intégrale, les filles auront su être convaincantes. Il reste à table pour finir tranquillement son dessert tout en regardant Tristan s’éloigner. Il a tout le temps jusqu’à seize heures.


À peine entré dans la boutique, Tristan remarque un changement perceptible dans la tenue de l’esthéticienne. Elle ne porte plus de soutien-gorge. Sa poitrine généreuse remue allègrement sous sa blouse. Est-ce pour se mettre à l’aise, ou bien pour exciter Tristan, il ne le sait guère trop mais il sent que son sexe est à nouveau en train de durcir. Tandis qu’elle le fait s’allonger sur le dos pour vérifier la qualité de l’épilation du matin, elle défait un bouton de haut de sa blouse. Ses gros seins semblent maintenant vouloir sortir hors de son décolleté, cela ne l’embarrasse nullement mais Tristan sent que sa verge est sur le point de se redresser à nouveau.


Semblant satisfaite du petit effet qu’elle produit sur ce garçon qui pourrait presque être son fils, elle s’assied en prenant soin de laisser ses belles cuisses musclées légèrement écartées. Tristan n’hésite pas, il en profite pour mater à nouveau son entrejambe, il a une vue idéale sur sa vulve, légèrement entrouverte, et sa toison brune, finement coupée au carré. C’est alors qu’il remarque aussi une petite chaînette qui s’insinue entre ses lèvres. Visiblement, elle s’est introduit des boules de geisha. Les mouvements qu’elle fait avec ses jambes alors qu’elle est assise sont certainement destinés à les faire bouger. C’est trop pour Tristan, son sexe se redresse soudain.


L’assistant n’est pas le même que ce matin, il s’agit maintenant du serveur du restaurant. Toujours aussi peu habillé, il a juste troqué son petit tablier blanc pour un paréo coloré. Il est en train de vérifier de près l’épilation du pubis de Tristan lorsqu’il voit ce membre de chair se mettre en mouvement à quelques centimètres de ses doigts. Agréablement surpris, il en laisse échapper un murmure de surprise tandis qu’une bosse déforme soudain le tissu de son paréo.


La femme fait alors placer Tristan sur le ventre. Après lui avoir consciencieusement nettoyé les fesses, ils commencent l’épilation, chacun s’occupant d’une fesse. Peu velu, l’épilation est relativement rapide et ils peuvent alors passer à la dernière partie : le sillon fessier. L’assistant se charge alors de lui écarter les fesses pendant que l’esthéticienne retire consciencieusement tous les poils, jusqu’autour de l’anus. Elle étale ensuite une crème adoucissante sur les zones traitées. C’est à ce moment qu’elle applique son majeur sur le petit trou de Tristan.


Tandis qu’un frémissement le parcourt, il entend l’esthéticienne gémir fortement. Elle vient de jouir, mais placé sur le ventre, la tête en bas, il ne parvient pas à voir grand-chose. C’est quand il se rassied qu’il réalise qu’elle a entièrement déboutonné sa blouse. Ses gros nichons sont vraiment magnifiques. Voluptueux et généreux, juste comme Tristan les aime. Son corps, malgré la quarantaine, est resté ferme et musclé. Grande et pulpeuse, ses cuisses charnues et ses bras musclés, ses gros seins et ses hanches larges. Son anatomie est magnifiquement proportionnée et s’accorde merveilleusement avec son visage légèrement sévère.


Brièvement, Tristan l’imagine habillée d’un bustier en cuir noir et d’une paire de grandes bottes, assortis à ses cheveux et ses poils pubiens. Cette idée furtive suffit pour que sa verge se redresse encore une fois. C’est alors qu’elle prend la parole, ce qu’elle lui dit confirmant à demi-mot l’idée qui vient de lui traverser l’esprit.



Tristan sourit.



Tout en disant cela, il se caresse le corps pour éprouver la douceur de sa peau. Ce faisant, une telle caresse devant cette belle femme pulpeuse à souhait l’excite à nouveau et sa bite se redresse encore plus.



Ne disant rien, mais souriant tout en le regardant, elle pose un pied sur le bord du tabouret, ses cuisses écartées permettent à ses lèvres intimes de s’entrouvrir, elle approche alors sa main de sa chatte, se saisit de la chaînette et retire promptement les trois boules de geisha cachées dans son vagin.



Il salue alors l’esthéticienne et son assistant, dont le paréo s’est à nouveau relevé, il peut même voir ses bourses, bien entendu épilées.


Une fois redescendu au niveau de l’agora, il recherche immédiatement Arnaud du regard, impatient de lui raconter ce qui vient de lui arriver. Mais où a-t-il bien pu passer ? Il fait le tour de la scène, actuellement inoccupée, et finalement, il le trouve dans le Jacuzzi. Tristan entre dans l’eau jusqu’aux cuisses et se montre recto verso, allant même jusqu’à écarter ses fesses en se penchant pour bien montrer à quel point il est dorénavant tout lisse.



Il ne faut pas le dire deux fois à Tristan qui s’approche immédiatement de son ami. Arnaud commence alors à le caresser de partout, ses mains s’aventurent jusqu’entre ses fesses. Les deux garçons se retrouvent rapidement en érection et commencent à se masturber dans l’eau tout en s’embrassant. Tristan reprend la conversation malgré tout et raconte ce qui vient de se passer avec l’esthéticienne.



Tristan réfléchit brièvement tout en masturbant son ami.



Les deux garçons se rendent donc au centre de l’agora. Il n’y a encore personne sur les gradins. Ils commencent tout doucement en se caressant mutuellement, puis Tristan prend en main la bite de son copain, celle-ci se redresse rapidement. Il se penche alors, la laisse pénétrer dans sa bouche et se met à la sucer goulûment. Quelques spectateurs commencent déjà à venir peupler les gradins. Arnaud, qui apprécie follement cette fellation, prend la tête de son ami entre ses mains et accompagne ses mouvements pour l’inciter à l’avaler aussi profond que possible. Le plaisir monte vite pour lui et il sent qu’il ne va pas tarder à jouir à ce rythme. Il repousse alors délicatement son ami pour pouvoir le pomper à son tour, déployant d’infinis efforts pour le sucer le plus tendrement possible. Alternant des avalages profonds avec de longues léchouilles sur la verge et les bourses. Tristan sent que la jouissance est proche et il se sépare à son tour de son ami pour changer de position.


Profitant de cet intermède pour scruter avec curiosité les gradins qui se sont bien remplis, les deux garçons reconnaissent dans le public leurs précédents partenaires. Le couple du sauna, dont le mari a étalé leur sperme sur sa femme, les regarde tout en se masturbant. Il y a aussi le groupe de jeunes, qu’Arnaud a rencontrés dans le hammam, et qui se caressent en couple, les deux hommes à la carrure de rugbymen sont maintenant bien épilés. Leurs grosses bites bien raides sont magnifiquement mises en valeur maintenant qu’elles ne sont plus cachées par une touffe de poils hirsutes.


Tandis qu’ils se replacent en position de 69, ils remarquent même que l’esthéticienne s’est aussi installée parmi le public, elle a conservé sa blouse ouverte et est, elle aussi, en train de se masturber tout en contemplant leur performance. Cette sensation d’être le centre d’intérêt décuple encore leur excitation, ils s’avalent et se sucent avec délectation, leur excitation monte très vite tant ils ressentent du plaisir à partager l’étreinte homosexuelle qu’ils pratiquent sans gêne devant leurs spectateurs. Tristan est le premier à sentir la jouissance arriver, il s’écarte et se met debout pour qu’Arnaud puisse continuer à le sucer. Il éjacule soudain, projetant avec force de longs jets de sperme tout au fond de la gorge de son ami, mais aussi sur son visage, ses cheveux, son cou et même son torse.


C’est maintenant Arnaud, le visage couvert de sperme, qui se met debout et c’est son ami qui se charge de le faire jouir à son tour, le suçant sur toute la longueur de sa verge, lui léchant les bourses, puis avalant à fond sa bite. Il ne faut que quelques dizaines de secondes de ce traitement intensif pour qu’Arnaud jouisse à son tour. Lui aussi n’hésite pas à bien remplir de sperme la bouche de son copain, et il en profite aussi pour gicler allègrement dans ses cheveux, sur ses joues et son cou.


Les deux garçons, copieusement recouverts de sperme, se rapprochent alors, ils commencent par se lécher tendrement le visage, recueillant dans leur bouche, le sperme qu’ils ont fait gicler sur leur partenaire. Puis ils s’embrassent goulûment tout en se caressant mutuellement le corps. Leurs fluides se mélangent et leur remplissent la bouche, de longs filets de sperme s’écoulent au bord de leurs lèvres. Ils ne parviennent pas à tout avaler, il y en a trop.


Profondément satisfaits de leur prestation en public, ils se tournent avec curiosité vers les gradins silencieux. Les spectateurs ébahis demeurent pétrifiés, stupéfaits, époustouflés.


Ce n’est qu’au bout de plusieurs secondes que l’esthéticienne commence à applaudir, suivie par le couple du sauna, puis c’est toute l’assemblée qui se met à saluer la performance dont ils viennent d’être les spectateurs en applaudissant à leur tour. Tristan et Arnaud sourient. Ils sont heureux d’être parvenus à conquérir leur public malgré leur prestation homosexuelle, ce qui n’était pas évident. Ils ont réussi à repousser les limites de l’acceptable en surprenant nombre d’hommes présents sans pour autant les choquer.


Heureux de leur jouissance publique, ils vont s’asseoir au bar pour récupérer. Le patron, outre les entrées gratuites, leur offre un cocktail pour les féliciter de leur incroyable prestation et aussi pour faire passer le goût du sperme.


Quelle incroyable journée ! Tristan est rayonnant de bonheur. Ces cinq années de disette sexuelle lui paraissent bien loin maintenant, tant il rattrape son retard à grands pas.




6. Trios



Le réveil est un peu difficile dimanche matin pour Tristan et Arnaud. Leurs verges sont encore toutes endolories, tant elles ont servi la veille. Il faudrait peut-être qu’ils se calment un peu, mais Tristan ne peut s’empêcher de surcompenser ses cinq années de carence sexuelle et son ami ne fait rien pour l’en dissuader, bien au contraire. D’ailleurs, la veille au soir, ils n’ont pu résister à leurs pulsions à nouveau. Repensant à ce qu’ils avaient fait tout au long de la journée, ils se sont sucés mutuellement en cours de soirée, puis ils se sont enculés avant de s’endormir.


Pendant qu’Arnaud se douche, Tristan se rase le visage. Ayant terminé, il se caresse la verge, elle est dorénavant toute lisse. Il se félicite encore d’avoir osé l’épilation définitive. Il ne lui sera plus jamais nécessaire de se raser le sexe tous les matins pour conserver une peau douce.


La journée s’annonce superbe, grand soleil et température élevée. Ils ne tardent pas à quitter l’appartement pour se rendre, comme prévu, sur l’île d’Oléron. Plus précisément sur la plage des Saumonards, où ils pourront bronzer nus, mais aussi laisser libre cours à leurs pulsions.


Une semaine déjà ! Ou une semaine seulement ? C’est ce que se dit Tristan lorsque, arrivé sur le parking, il voit à nouveau le panneau indiquant la proximité de la plage naturiste. Que de choses ont changé dans sa vie en si peu de temps ! Cette séparation était réellement nécessaire, cela ne pouvait pas durer plus longtemps ainsi.


Après avoir parcouru quelques centaines de mètres, ils finissent par s’installer dans un creux de la dune. L’endroit semble surtout fréquenté par les hommes, d’ailleurs un autre couple est déjà installé non loin d’eux. Intégralement épilés et bronzés, ils sont en train de nonchalamment se caresser mutuellement tout en regardant Arnaud et Tristan se déshabiller. Conscients de cela, les deux garçons n’hésitent pas à retirer langoureusement leurs vêtements. Ne portant pas de sous-vêtements, ils dévoilent avec lenteur leurs corps intégralement épilés tout en se caressant.


Une fois installés, ils sortent immédiatement le flacon d’écran solaire, ce qui est évidemment l’occasion pour eux de s’enduire mutuellement de crème. Leurs sexes se redressent rapidement sous l’effet de leurs caresses, celles-ci se transformant alors en masturbations réciproques.


Les homosexuels d’à côté viennent d’entamer un 69. Très excités, Arnaud et Tristan décident de faire de même sans plus attendre et commencent donc à se sucer mutuellement. Un voyeur passe par là, mais cela ne les dérange pas, bien au contraire, d’autant plus qu’il est en train de se masturber tout en les regardant. Hésitant, il ne sait guère quel groupe regarder, les deux étant aussi excitants l’un que l’autre.


C’est alors qu’Arnaud, qui est intrigué par ce spectateur, réalise qu’il l’a déjà vu auparavant. Ce gars a été invité par son ex, quelques mois auparavant. Ils s’étaient sucés et avalés mutuellement, et plus tard dans la soirée il avait aussi gracieusement enculé Arnaud. Tristan interroge alors son ami, qui vient de cesser de le sucer.



Arnaud explique alors à son camarade le fin mot de l’affaire. Ce dernier se rappelle d’une conversion qu’ils ont eue il y a quelques jours.



L’homme, visiblement très intéressé, accepte immédiatement. Ils commencent d’abord par sucer à tour de rôle leur invité en signe de bienvenue. Celui-ci, même s’il a conservé des poils sur le torse et le ventre, a néanmoins la verge et les testicules soigneusement rasés. Dès que sa bite est bien raide, Arnaud se place à quatre pattes, prêt à se faire prendre par lui. L’homme enfile alors un préservatif et commence à le pénétrer avec douceur tandis que de l’autre côté, Tristan se fait sucer au rythme des mouvements prodigués par leur camarade de jeu.


Arnaud semble réellement apprécier la double pénétration dont il est l’objet. Il laisse échapper des gémissements de plaisir malgré la bite qu’il a dans la bouche. Tristan, qui est idéalement placé pour profiter du spectacle, ne tarde pas à sentir le plaisir monter en lui. Il jouit soudain, déversant allègrement son sperme dans la bouche de son ami ainsi que sur son visage. Satisfait, il s’agenouille alors face à lui et l’embrasse tendrement, heureux de goûter à son propre sperme. Leur invité, qui ne tarde pas à être sur le point de jouir à son tour, se retire du cul d’Arnaud et ôte son préservatif. Arnaud se retourne alors et s’allonge sur le dos. Le visage encore couvert de sperme, il sourit, manifestant ainsi sa reconnaissance envers celui qui vient de l’enculer. C’est à ce moment que leur partenaire fortuit éjacule à ton tour. Ses puissants jets de sperme viennent s’étaler sur le ventre et le torse d’Arnaud, qui les étale à la façon d’un complément de crème solaire. Satisfait, il congratule Arnaud, qui le remercie en retour, puis il les quitte.


Tristan contemple son amant avec tendresse. Celui-ci est maintenant couvert de sperme de la tête à la taille, mais il n’a pas encore joui. Il prend donc en main la bite de son copain et commence à le masturber délicatement. Celui-ci ne tardant pas à être en érection, il le prend alors en bouche et se met à se sucer affectueusement. Arnaud, qui ressent énormément de plaisir à se faire sucer ainsi, prend en main la tête de son copain et l’accompagne dans ses allers-retours pour lui enfoncer sa bite au plus profond de sa bouche. Déjà très excité, il ne tarde pas à éjaculer abondamment jusqu’au fond de la gorge de son amant. Tristan se relève, le sperme qui coule le long de ses lèvres retombe sur le corps d’Arnaud tandis qu’il se rapproche de son visage. Les deux garçons s’embrassent alors, se partageant leur sperme tout en se continuant de se caresser tendrement.


Le visage et le corps couverts de sperme, leurs verges encore légèrement redressées, ils se lèvent et traversent sans hésiter la plage pour aller se baigner. Cette eau tiède et bienfaisante leur permet de se nettoyer rapidement du sperme qui les recouvre. Heureux, ils restent longtemps dans l’eau, jouant, se caressant et allant même jusqu’à s’embrasser dans les remous incessants de l’océan.


Le temps passe vite. Lorsqu’ils sortent de l’eau, il est déjà l’heure de manger. Après s’être séchés, ils se déplacent à l’ombre pour prendre tranquillement leur repas tout en observant avec curiosité et intérêt les hommes et les femmes présents sur la plage. Une fois leur pique-nique terminé, ils s’allongent et s’assoupissent rapidement. Une bonne sieste, qui leur fait le plus grand bien.


Lorsqu’ils se réveillent, une bonne heure s’est écoulée. De nouvelles personnes sont venues s’installer sur le sable. Ils reprennent alors leurs serviettes et retournent se placer plus près de l’eau, en plein soleil. Autour d’eux, pas de familles, juste un groupe de trois copines, deux hommes seuls, et aussi deux couples. Ils remarquent immédiatement les deux couples : les hommes, comme les femmes, sont intégralement épilés. Plus qu’une mode, plus qu’un signe de libertinage, l’épilation intégrale ou quasi intégrale semble devenir la norme sur les plages naturistes.


Les trois copines ont toutes opté pour une coupe ticket de métro. Elles viennent de sortir la crème solaire et n’hésitent pas à s’entraider pour se l’étaler, y compris sur leurs seins menus aux tétons érigés. Tristan et Arnaud s’observent, et d’un regard entendu, ils sortent la crème solaire et n’hésitent pas, eux non plus, à s’en étaler mutuellement devant tout le monde. Malgré tout, ils évitent de trop se caresser la bite, sentant bien que dans une situation aussi perverse, ils risquent l’érection spontanée à tout moment.


Après une petite heure de bronzette, ils vont à nouveau se baigner. L’après-midi est déjà bien avancé lorsque Arnaud sort les raquettes pour jouer sur la plage. Ils courent et sautent pour rattraper la balle de justesse. Leurs verges bougent allègrement au rythme de leurs mouvements et prennent un peu de volume, car cela aurait tendance à les exciter, d’autant plus qu’ils se sentent observés par les autres naturistes.


Ils sont en pleine partie lorsqu’une voix bien connue les interpelle. Cathy est là, sur la plage, un vélo à la main. Elle les observe tout en s’approchant d’eux. Son regard, c’est une évidence, se porte à tour de rôle sur leurs corps nus et parfaitement épilés. Une sensation de gêne et d’inquiétude les parcourt tandis qu’ils sont eux aussi en train de la dévisager. Il faut reconnaître qu’elle n’est pas du tout habillée comme d’habitude. Elle porte juste une robe blanche, légèrement transparente, on devine un short moulant dessous. Ils peuvent enfin voir ses jambes, qui sont très jolies et légèrement bronzées. Il est facile de deviner, à travers le tissu léger de sa robe, que conformément à ses habitudes, elle ne porte pas de soutien-gorge. Et même s’ils ne peuvent voir ses seins, puisqu’elle n’en a pas, ses aréoles sont, quant à elles, bien apparentes. Pas très grandes, elles sont suffisamment foncées pour être nettement visibles par transparence.


Oubliant rapidement leur nudité, les deux garçons lui font la bise comme si de rien n’était, puis elle leur explique la raison de sa présence ici.



Et en effet, le trajet pour rejoindre son mobile-home est plutôt simple, même en voiture, puisqu’il suffit de prendre toujours à droite pour rejoindre Sauzelle, puis la route de la Gautrelle encore à droite, et enfin la bonne allée sur la gauche, en n’oubliant pas le numéro du terrain.


Médusés, ils la regardent s’éloigner à vélo dans le sable humide. Quelle coïncidence ! La deuxième incroyable coïncidence à une semaine d’intervalle, cela commence à faire beaucoup.


Vers dix-huit heures, ils quittent la plage et suivent en voiture l’itinéraire qui leur a été indiqué par Cathy. Ils finissent par arriver devant une petite parcelle entourée de haies et close par une barrière assez haute pour ne pas parvenir à en voir l’intérieur. Il est tout au plus possible de deviner le toit d’un mobile-home. Ils actionnent alors le bouton du carillon tout en espérant ne pas s’être trompés de numéro.


Ils sont rassurés lorsque quelques instants plus tard, Cathy leur ouvre la porte. Leur regard est alors immédiatement captivé par sa tenue. Même si elle porte toujours la même robe transparente, ils ne voient plus le short qu’elle portait en dessous. L’aurait-elle retiré ? Apparemment, il semblerait qu’elle soit intégralement nue sous sa robe. Elle remarque immédiatement leurs airs abrutis, mais elle se doutait probablement qu’elle produirait un tel effet.



Arnaud ne peut s’empêcher de répondre.



Tristan complétant ce que vient de dire son ami.



Tandis qu’elle se penche pour remplir leurs verres, ils peuvent à nouveau admirer, en matant par l’encolure de sa robe, sa poitrine toute plate. Elle s’assied ensuite en prenant soin de croiser ses jambes et entame et tout naturellement la conversation.



Arnaud, qui a plus d’expérience du sujet, prend l’initiative de lui répondre.



Tristan est sur le point de lui répondre, mais elle ne lui en laisse pas le temps.



Cathy lui sourit alors.



Tristan se sent gêné.



Tant de naïveté ne manque pas de faire sourire Arnaud à son tour.



Ce que confirme Cathy.



Arnaud s’immisce alors dans la conversation.



Cathy semble soudain embarrassée. Elle cherche comment formuler sa phrase avec tact.



Arnaud lui répond du tac ou tac.



Deux incroyables coïncidences en moins d’une semaine, c’était une de trop. Mais cela ne perturbe nullement Arnaud



Tristan reprend alors la conversation.



Une tension sexuelle est en train de s’installer. Tristan lui répond tout en la dévisageant crûment.



Cathy, qui comprend immédiatement le sous-entendu, leur montre les hautes haies qui cernent la parcelle.



Sans plus attendre, les deux garçons ôtent leurs shorts et leurs t-shirts tout en observant Cathy, qui fait de même de son côté. Ayant retiré sa robe et ne portant rien dessous, elle dévoile enfin son corps nu à ses amis. La jeune femme aux cheveux blonds coupés au carré est aussi plate qu’un garçon mais avec des tétons qui pointent effrontément. Sa vulve, intégralement rasée, offre une vue parfaite sur sa fente. Ce spectacle alléchant provoque immédiatement une hausse de la libido de Tristan et Arnaud. Leurs sexes grossissent significativement, Cathy s’en rend immédiatement compte et cela lui cause une immense joie.



Plutôt que de répondre, ils lui sourient et s’approchent d’elle, un de chaque côté. Sans un mot, ils commencent par l’embrasser à tour de rôle, puis rapidement, ils se mettent à lui caresser la poitrine, jouant fébrilement avec ses tétons, les faisant rouler entre leurs doigts. Leurs sexes se redressent encore plus lorsqu’elle les prend en main pour les masturber simultanément. Au bout de quelques minutes, elle les invite à entrer dans le mobile-home, la couchette est déjà prête et des préservatifs sont disponibles sur une tablette à côté. Sans dire un mot, Cathy s’accroupit face à eux et se met à les sucer à tour de rôle. Elle les aspire goulûment, bien à fond, comme si elle n’avait pas pris en bouche un homme depuis des années, tout en se masturbant avec sa main libre.


Tristan est le premier à enfiler une capote. Il invite Cathy à s’allonger, vient se placer sur elle et présente sa verge face à ses lèvres intimes déjà luisantes de cyprine. La jeune femme est tellement mouillée que son amant n’a aucune difficulté à s’introduire en elle tandis qu’elle laisse s’échapper un petit cri de satisfaction tout en lui souriant. Ils commencent par s’embrasser langoureusement alors que Tristan commence ses allers-retours. Progressivement, Cathy se met à gémir de plus en plus fort tandis que son partenaire accélère le rythme, la jeune femme semble visiblement apprécier au plus haut point le traitement prodigué par son amant. Après quelques minutes, Tristan cède sa place à son ami, qui continue à pénétrer Cathy avec vigueur. Ses cris se font encore plus intenses. Heureusement que les vitres et la porte sont fermées. Nouveau changement, et Tristan recommence à la pilonner jusqu’à ce qu’il sente la jouissance arriver. Il le lui indique dans le creux de l’oreille, en retour elle lui confie son souhait. Il se retire alors, ôte sa capote et éjacule avec vigueur sur le corps de la jeune femme. Les giclées de sperme vont de son nombril à sa poitrine, et même jusqu’à son cou. Elle invite alors Arnaud à venir se finir à son tour. Se replaçant sur elle, son corps vient au contact de celui de Cathy, couvert du sperme de Tristan, qui s’étale progressivement entre eux. Il ressent ce contact, à la fois glissant et collant, ceci l’excite un peu plus et il ne lui faut pas longtemps pour arriver à son tour à la jouissance. Il a juste le temps de retirer sa capote, qu’il se met à gicler à son tour sur sa collègue de travail. À nouveau, plusieurs traînées de sperme viennent maculer le corps gluant de la jeune femme. Les deux garçons, soudain mus par leurs instincts habituels, se mettent à étaler avec frénésie leur sperme sur le corps de la jeune femme, caressant sa poitrine toute plate et jouant avec ses tétons érigés. Cela plait fortement à Cathy, qui jouit à nouveau sous l’effet de ces caresses appuyées.


L’oncle de Cathy a eu la bonne idée d’installer une douche d’été dans le jardin, bien plus pratique que l’exiguë cabine intérieure. C’est l’occasion pour eux de se nettoyer du sperme qui les recouvre tout en continuant à se caresser sensuellement.


Maintenant quelque peu apaisés, ils retournent s’asseoir pour discuter. Arnaud reprenant la conversation tandis que Cathy leur sert à boire.



Tristan s’insinue alors.



Cathy sent venir une légère tension.



Tristan lui répond sans attendre.



Arnaud reprend alors la parole.



Tristan acquiesce.



Il s’adresse ensuite à Cathy.



Cathy observe son verre vide avant de s’adresser aux deux garçons.



Arnaud répond tout en tâtant son sexe.



Propos immédiatement confirmé par Tristan.



Elle se lève alors et retourne dans le mobile-home, suivie de près par les deux garçons.


À peine sont-ils entrés qu’ils se rapprochent d’elle, déjà impatients de recommencer. Tristan se place face à elle et commence à l’embrasser alors qu’Arnaud, placé derrière elle, lui bécôte le cou et lui caresse la poitrine. Tristan descend ensuite et lui suce les tétons tout en les faisant tourner entre ses doigts. Il descend encore et se met à lui lécher le pubis tandis qu’Arnaud recommence à jouer avec ses tétons. Cathy met alors un pied sur la couchette pour écarter les cuisses. Tristan s’engouffre immédiatement dans son entrejambe et se met à lui lécher la fente et le clitoris.


Le désir monte encore d’un cran. Cathy s’allonge et, tandis que Tristan continue de lui lécher la chatte, Arnaud se place à côté d’elle pour qu’elle le suce. Au bout de quelques minutes, les garçons, de plus en plus excités, échangent leurs places. Quand Arnaud finit par cesser de la lécher, c’est pour lui demander de se placer à quatre pattes. Il la prend alors en levrette tandis que Tristan, placé de l’autre côté, continue à se faire sucer. Quelque temps après, ils changent à nouveau de position. Tristan se place sous Cathy, pour qu’elle vienne s’empaler sur sa bite. Arnaud, avec l’accord de la jeune femme, s’introduit alors par-derrière en elle. Comblée par les deux trous, elle se met à gémir et crier de plus en plus fort. Cette fois-ci, même fenêtres fermées, les voisins risquent fort d’entendre ses cris de plaisir, mais tant pis, sa jouissance est trop forte. Elle pousse encore plusieurs cris avant de s’effondrer sur Tristan. Visiblement comblée.


Les deux garçons n’ont pourtant pas encore joui. Cathy, ne tarde pas à le réaliser.



Bien que surpris d’une telle suggestion, Arnaud et Tristan ne se font pas prier longtemps. Ils retirent leurs capotes et se placent en position de 69 pour s’offrir une fellation mutuelle. Très excités, ils ne tardent pas à jouir presque simultanément, chacun aspergeant copieusement la bouche et le visage de l’autre. Encore assez excitée, Cathy les regarde faire tout en se caressant. Ils terminent en s’embrassant mutuellement pour partager leur sperme sous le regard envieux de la jeune femme.


Alors qu’elle est encore en train de se remettre de ses émotions, elle reprend la parole tandis que les garçons achèvent de s’essuyer le visage.



Arnaud lui répond.



Tristan sourit.



Arnaud se tourne vers son ami.



Cathy s’efforce alors de conclure la conversation.



Ils lui répondent en cœur et sans hésitation.



Tristan ajoutant en complément,



Arnaud acquiesce.



Sur ces mots, ils se servent un dernier apéritif sur la terrasse tout en profitant nus, du soleil et de la chaleur ambiante.




7. Confidences



Le lundi matin, même si Cathy porte une chemise de bûcheron dont elle a défait trois boutons, ce qui permet de plonger dans son décolleté quand elle se penche, elle semble malgré tout un peu gênée lorsqu’elle vient dire bonjour aux deux garçons. Ceux-ci s’en rendent immédiatement compte et Arnaud se charge de détendre l’atmosphère sans plus attendre.



Tristan acquiesce.



Ceci semble la rassurer.



Cathy sourit alors, visiblement soulagée.



L’heure du repas a sonné. Arnaud, qui connaît tous les restaurants de la ville, en a volontairement choisi un où ils pourront discuter en toute tranquillité. C’est ainsi qu’en l’espace d’une heure, chacun en sait un peu plus sur les autres. Arnaud raconte à nouveau l’escalade d’expériences sexuelles ahurissantes qu’il expérimenta avec son ex-femme jusqu’au clash final. Cathy est sidérée, elle peine à croire les propos de son ami, mais quand elle les remet en parallèle avec son comportement de ces derniers mois, son caractère changeant, l’impression de surmenage qu’il dégageait, elle ne peut qu’admettre ses dires.


Lorsque Tristan raconte à son tour son passé, tout semble plus sain. Trop sain même, puisque c’est pour cela qu’il a préféré tout plaquer. Malgré tout, cela rassure un peu plus Cathy.



Elle s’adresse alors directement à Arnaud avant de narrer son histoire.



Les deux garçons sont ahuris d’entendre ceci.



Cathy semble avoir terminé, mais Arnaud se rappelle de leur conversation de la veille.



Arnaud acquiesce.



Tristan confirme cette allégation d’un signe de tête tandis que Cathy reprend.



Arnaud reprend brièvement la parole.



Tristan reprend alors la parole. Il ne supporte pas la tristesse de Cathy.



Celui-ci opine tandis que Cathy ressent quelques scrupules.



Les deux garçons lui confirment alors, d’un grand sourire, qu’ils n’attendaient que cela. Elle conclut alors, tout en finissant son dessert.



De retour au travail, l’après-midi s’écoule assez vite et lorsque les deux garçons quittent leur bureau, ils constatent que Cathy n’est déjà plus dans le sien. En effet, ne supportant plus d’attendre, elle s’est rendue directement à l’hôpital pour effectuer un test de dépistage. C’est avec satisfaction qu’elle récupère les résultats provisoires une heure plus tard, ils sont bien évidemment négatifs, comme elle s’en doutait.


Satisfaite, elle prend immédiatement la direction de l’appartement des garçons dans le but de leur annoncer sans plus attendre cette bonne nouvelle. Arrivée sur place, elle sonne, puis frappe à la porte, mais personne ne vient lui ouvrir. Quelque peu déçue, elle est sur le point de repartir lorsque la porte de l’appartement d’à côté s’ouvre. C’est la voisine, Sandrine.



Cathy pénètre donc chez Sandrine. Son appartement est sensiblement le même que celui d’Arnaud. Seuls l’ameublement et la décoration diffèrent. Quant à la jeune femme, elle porte un pull ample et une jupe qui descend jusqu’aux genoux.


Après lui avoir proposé de s’asseoir dans le canapé, Sandrine lui propose un rafraîchissement. Les deux femmes se mettent alors à discuter tranquillement. Cathy entamant la conversation.



Cathy sourit tout en rougissant.



Sandrine rougit à son tour. L’émotion monte en elle.



Cathy réalise qu’elle vient de briser les espoirs de la voisine.



Cathy observe alors le corps de Sandrine. Malgré le pull qui l’enveloppe, on devine aisément l’ampleur de sa poitrine imposante.



Les deux filles continuent de discuter tout en sirotant une boisson fraîche. L’ambiance s’est détendue. Cette conversation sur un sujet très intime amène tout naturellement Cathy à tutoyer son hôte.



Sandrine repense alors aux garçons.



Cathy lui explique alors en détail ce qui s’est passé la veille. Les deux jeunes femmes commencent à être de plus en plus intimes et Sandrine se confesse un peu plus.



Sandrine réalise soudain qu’elle a parlé un peu vite.



Cathy ne se fait pas prier, elle défait les quelques boutons qui maintiennent sa chemise fermée, puis elle en écarte les pans pour monter sa poitrine à Sandrine.



Tout en laissant sa chemise déboutonnée, elle reprend la conversation.



Cathy, qui a toujours la poitrine visible, relance Sandrine tout en observant ses gros seins.



Sandrine passe alors les mains sous son pull, dégrafe son sous-vêtement, puis elle se libère des bretelles en passant ses mains dans ses manches, elle n’a plus ensuite qu’à le retirer. Ses gros nichons descendent alors tout en s’agitant, signe de leur liberté retrouvée. Cathy qui n’a rien manqué de la manœuvre est épatée lorsqu’elle constate la taille de l’engin que Sandrine retire de son pull.



Sandrine se lève alors pour aller chercher la bouteille d’eau. Ses seins volumineux bougent à chacun de ses mouvements. Cathy est captivée. Elle ne quitte pas des yeux les deux gros nichons de Sandrine tandis qu’ils ballotent allègrement au rythme de ses pas.



Côte à côte sur le canapé, les deux jeunes femmes se rapprochent. Leurs mains commencent à s’aventurer sur le corps de l’autre. Sandrine caresse la poitrine toute plate de Cathy tandis que celle-ci pelote avec avidité les gros nichons de Sandrine à travers son chandail. Progressivement, leurs caresses deviennent plus lentes. Cathy passe maintenant ses mains sous le pull de sa voisine, tandis qu’elle laisse Sandrine lui retirer sa chemise. Celle-ci écarte alors les cuisses, sa jupe remonte progressivement au rythme de leurs caresses. Elle ne porte, en effet, pas de culotte et est, de surcroît, intégralement épilée. De plus en plus excitée, elle commence à se masturber sous les yeux de Cathy. Cette dernière est alors parcourue par un frisson de désir, elle retire son jean et son slip, elle est maintenant nue à côté de Sandrine, qui est encore habillée. Les deux femmes se rapprochent encore plus près et se mettent à se masturber réciproquement d’une main tout en se caressant les seins de l’autre main.


De plus en plus frénétiques, leurs lèvres se rapprochent progressivement jusqu’à ce qu’elles s’embrassent voluptueusement. Mue par son désir, Sandrine se lève alors pour retirer sa jupe et son pull, dévoilant enfin son corps opulent et généreux, à Cathy. Elles recommencent ensuite à se caresser, puis se mettent à se lécher mutuellement la poitrine, se suçant et se mordillant les tétons avec ardeur. Leur respiration s’accélère au rythme de leurs attouchements, se caressant les seins d’une main, elles s’introduisent mutuellement des doigts dans la chatte de leur autre main.


Leur ardeur monte encore d’un cran quand Cathy s’allonge et que Sandrine vient se placer sur elle en position de 69. Visiblement décidées à partager leurs désirs et leur plaisir, elles commencent par se lécher mutuellement, d’abord le bord de leurs lèvres, puis le clitoris, puis les petites lèvres. Elles recommencent ensuite à s’introduire des doigts. D’abord un, puis deux, trois, et même quatre. Les gros nichons de Sandrine, qui est dessus, ne cessent de balloter au rythme de ses mouvements. Leurs gémissements augmentent proportionnellement au plaisir qu’elles ressentent. Celui-ci devient de plus en plus plus intense. Les deux femmes crient soudain. Elles viennent de jouir. Enfin calmées, elles se rasseyent sur le canapé, en sueur, nues, les jambes écartées, sans aucune pudeur.


Sandrine est la première à reprendre la parole.



Insatiables, les deux jeunes femmes recommencent langoureusement à se caresser mutuellement. Cathy reprend la conversation tandis qu’elle est en train de peloter les gros nichons de Sandrine.



Sandrine se lève alors. Son corps plantureux, tout en rondeurs, n’a pas du tout la finesse de celui de Cathy.



Les deux femmes se rendent nues dans la chambre de Sandrine, qui ouvre les portes de ses placards. Après quelques minutes de recherche et d’hésitations, elles finissent par tomber d’accord sur une robe à carreaux froncée à la taille, ce qui a pour effet d’aider au soutien de ses gros seins. Cathy, très excitée par cette tenue, ne peut s’empêcher de caresser la poitrine de son amie et de passer sa main sous sa robe pour caresser aussi la fente de son sexe. Sandrine, qui sent le désir monter à nouveau en elle, rend immédiatement ses caresses à sa partenaire. Cathy la pousse alors sur le lit, puis elle passe la tête sous sa jupe et se met à lui lécher la vulve avec application. Sandrine, gagnée par le plaisir, écarte les jambes en grand, offrant son sexe ouvert au regard de son amie. Cathy redouble alors d’attentions pour son amante, elle lèche ses lèvres sur toute leur longueur, suce son clitoris turgescent, introduit jusqu’à quatre doigts dans son intimité. Sandrine gémit, crie, hurle son plaisir, jusqu’à sa jouissance, ultime délivrance durant laquelle elle s’agite compulsivement au rythme de ses cris.


Sandrine vient alors s’allonger au côté de son amie reconnaissante.



Elle acquiesce et se lève immédiatement, ôte son vêtement et revient se placer en position de 69, mais Cathy souhaite autre chose.



Sandrine obéit et se replace face à son amie, ses gros seins tombants et ballottants viennent s’aplatir sur la poitrine insignifiante de Cathy. Cette dernière se met alors à les pétrir convulsivement tout en les léchant et les suçant. Quant à Sandrine, elle caresse la poitrine toute plate de son amie, prend en main ses tétons tout durs, les fait tourner entre ses doigts, puis les écrase avec ses pouces, avant de recommencer à nouveau. Cathy semble visiblement apprécier ce traitement, ses gémissements se font de plus en plus importants, jusqu’au moment où elle jouit soudain, sans pénétration, juste par la masturbation de ses tétons.


Satisfaites, les deux femmes se replacent côte à côte et restent allongées pour discuter tranquillement. Cathy revenant à nouveau sur le sujet des sous-vêtements.



Le temps a passé vite. Elles en ont totalement oublié Arnaud et Tristan, qui sont de retour. De toute façon, elles ne peuvent pas les entendre. Insatiables, elles ont déjà recommencé à se lécher mutuellement la fente et le clitoris tout en s’introduisant des doigts. Emportées par le plaisir et le désir, elles gémissent à nouveau, sans retenue, jusqu’à la jouissance. Heureuses, elles continuent en se caressant les seins tout en s’embrassant, puis recommencent à se lécher à nouveau, jouissant encore à plusieurs reprises.




8. Convergences



Le lendemain, Arnaud et Tristan ne sont pas qu’un peu surpris lorsqu’ils voient Cathy entrer dans leur bureau. Positivement surpris même, car aujourd’hui, et pour la première fois, elle est venue travailler en robe. Une jolie robe rouge foncé qui lui descend jusqu’aux genoux, boutonnée sur le devant avec un décolleté en V, cintrée à la taille et avec des manches courtes. Ils en gardent la bouche béante et Cathy remarque immédiatement l’effet qu’elle produit sur eux. Arnaud est le premier qui parvient à prendre la parole.



Elle lui répond en souriant.



Tandis qu’elle se penche vers Tristan, celui-ci peut brièvement observer avec plaisir l’intérieur de son décolleté.



Cathy, provocatrice, s’est approchée de Tristan. Celui-ci, curieux, ne peut résister à la tentation de porter la main sur ses fesses. Il ne sent que le tissu de la robe, pour en être certain, il passe brièvement sa main sous le tissu et caresse les fesses nues de Cathy. C’est avec l’air ébahi qu’il reprend la parole.



Arnaud, qui a bien compris, se lève et s’approche de Cathy pour lui caresser les fesses à son tour.



Les deux garçons, de plus en plus excités, sont sur le point de se placer de chaque côté d’elle pour commencer à la caresser de partout, mais Cathy ne l’entend pas ainsi.



Les deux garçons acquiescent, l’air déconfit. Malgré tout, ils comprennent bien que cela ne serait pas raisonnable.


Cathy revient les voir tout au long de la matinée pour les aguicher. Elle va même s’asseoir sur une chaise face à eux et laisse remonter sa robe pour leur dévoiler subrepticement sa fente toute lisse. Lorsque midi arrive, ils partent ensemble pour manger au restaurant, et là aussi elle va s’exhiber discrètement à plusieurs reprises, augmentant de plus en plus l’excitation des deux garçons. En cours d’après-midi, alors qu’elle est de nouveau dans le bureau des garçons, elle se place au coin d’une table et laisse celui-ci pénétrer sa vulve à travers sa robe, se masturbant discrètement contre le mobilier tout en discutant avec eux. Arnaud la coupe subitement.



Elle prend alors une mine troublante tout en lui répondant.



Le sourire revient alors sur le visage d’Arnaud.



Les garçons rentrent chez eux très excités de cette incroyable journée. Assis devant la télé, attendant impatiemment l’arrivée de Cathy, cette journée les a tellement émoustillés qu’ils ne peuvent s’empêcher de se caresser tout en y repensant. C’est alors que l’on frappe à la porte. Tristan, le sexe redressé sous ses vêtements, se lève et va ouvrir. C’est Sandrine, la voisine.



Arnaud, qui est resté sur le canapé, lui répond sans le lever, ne souhaitant dévoiler l’érection qui déforme son pantalon.



Sandrine semble désespérée, mais Tristan, qui vient de réaliser que ses gros nichons sont en liberté sous sa robe, ne peut se retenir de voler à son secours.



Il la suit alors jusqu’à son appartement, subjugué par la généreuse paire de seins de la jeune femme, qui bouge allègrement au rythme de ses mouvements.


Tandis qu’il est assis devant son ordinateur portable, à essayer de comprendre l’origine du problème, Sandrine reste debout à côté de lui, penchée en avant pour mieux voir l’écran. Il y a d’autres chaises et elle pourrait parfaitement s’asseoir, mais dans cette position Tristan a une vue imprenable sur ses deux gros nénés qui bougent dans son décolleté. Il en a du mal à se concentrer, n’arrive pas à comprendre ce qu’elle dit et ne regarde même pas l’écran. Puis elle vient se placer derrière lui, il ne peut plus voir sa poitrine opulente, mais tout d’un coup il ressent une pression sur son épaule droite. Il tourne la tête pour comprendre et réalise alors qu’elle vient de reposer un de ses seins sur lui. La tête de côté, il a le nez presque entre ses deux nichons. Elle s’avance soudain et Tristan se retrouve carrément le nez dedans. N’y résistant plus, il les prend en main et commence à les palper frénétiquement, Sandrine se laisse faire et lui rend même ses attouchements.


Il augmente alors le périmètre de ses caresses. Les hanches, le dos, les fesses. Bon sang, elle ne porte pas de culotte non plus, se dit-il. Il est en train de malaxer compulsivement sa croupe lorsque leurs lèvres se rapprochent. Ils s’embrassent alors, un long baiser où leurs langues se mêlent fougueusement tandis que leurs caresses s’accélèrent. Tristan a remonté la robe de Sandrine pour palper directement ses fesses. Quant à elle, elle parcourt le torse et le dos du jeune homme, attendant impatiemment qu’il veuille bien défaire sa ceinture. Ayant ressenti que les mains de la jeune femme cherchaient à s’immiscer plus bas, il accède enfin à son désir en ouvrant son pantalon. Leurs caresses peuvent alors reprendre, et maintenant elle peut aussi lui palper les fesses, n’osant pas encore aller plus loin. Tristan remonte la robe de Sandrine, qui en profite pour l’enlever complètement.


La jeune femme est maintenant totalement nue face à lui. Ses cheveux bruns frisés, son corps enrobé mais parfaitement proportionné, ses hanches généreuses, ses gros nichons énormes, sa fente toute lisse, qui lui semble terriblement accueillante, tout lui plaît dans cette fille. Le désir le gagne, il ôte rapidement son t-shirt, laisse tomber son pantalon et fait glisser son boxer. Son sexe en érection se redresse brusquement, déjà prêt à la pénétrer profondément. Découvrant enfin le corps lisse et bronzé de Tristan et sa grosse bite toute raide, Sandrine ne peut se retenir de pousser un cri d’étonnement et d’envie, sa langue parcourt ses lèvres sèches avant qu’elle ne se les mordille, parcourue par un désir violent.


Il revient sur elle et prend en main sa poitrine. Ses gros seins lourds aux larges aréoles l’excitent au plus haut point. Il se met immédiatement à les lécher tout en les pétrissant. Ceci dure plusieurs minutes, il ne se lasse pas de sucer ces deux grosses mamelles aux tétons turgescents. Sandrine se laisse faire de bonne grâce, elle ne cesse de gémir tout en se caressant les hanches, le ventre et le sexe. Ils vont ensuite jusqu’au canapé et Sandrine s’y assied tandis que Tristan se place à genoux face à elle. Elle écarte alors largement ses cuisses généreuses, dévoilant sans pudeur son intimité. Tristan ressent une vague de désir le parcourir. Il s’avance immédiatement et se met à lécher la fente et le clitoris de sa partenaire. Sandrine laisse déjà échapper des soupirs de plaisir. Puis il parcourt l’intérieur de sa vulve avec sa langue, déclenchant des gémissements de plus en plus intenses tandis qu’il lui introduit également plusieurs doigts. Sandrine jouit brutalement, laissant échapper un grand cri rauque et bruyant.


L’intensité de sa jouissance est telle qu’elle en reste inerte pendant plusieurs secondes. Progressivement, un sourire se forme sur son joli visage. Sans dire un mot, elle se lève, entraîne Tristan dans la chambre et l’invite à s’allonger sur le lit. Elle s’avance alors vers lui, s’approche de sa verge, toujours bien raide, et commence à la lécher consciencieusement. Penchée en avant, ses gros seins pendants ballottent allègrement quand elle bouge, ce qui excite encore un peu plus Tristan. Elle prend ensuite la grosse bite de son partenaire dans sa bouche et se met à la sucer avec avidité, l’aspirant goulûment, l’avalant bien à fond. Tristan l’invite alors à se placer sur lui en position de 69 pour qu’il puisse, lui aussi, lui donner du plaisir. Les deux amants commencent alors à se lécher mutuellement, les gémissements de Sandrine sont de plus en plus importants, et Tristan, qui palpe ses nichons tout en lui léchant la moule, sent la jouissance arriver. Il prévient immédiatement sa partenaire, mais celle-ci continue néanmoins à le pomper avec application jusqu’à ce que Tristan lui éjacule dans la bouche. Le sperme se déverse copieusement jusqu’au fond de sa gorge tant la jouissance de Tristan est importante.


Alors qu’elle s’est relevée pour avaler le sperme qu’elle a reçu, Tristan l’invite à s’approcher de lui pour l’embrasser, désirant ainsi qu’elle partage avec lui ce moment de plaisir. Leurs langues se mêlent, le sperme se mélange à leur salive et s’écoule le long de leurs lèvres. Ils accompagnent leur baiser, long et langoureux, de caresses mutuelles. Le temps est suspendu, les secondes paraissent une éternité, ils se sentent bien. Heureux… Heureux de vivre. Heureux de s’être rencontrés. Heureux d’être ensemble.


Encore bouleversés par l’émotion intense qui vient de les traverser, ils se replacent côte à côte sur le lit et reprennent lentement leurs esprits. Sandrine est la première à s’exprimer.



Le sourire qui accompagne cette dernière phrase fait immédiatement réagir Tristan.



Il se relève alors, retourne au salon et commence à renfiler ses vêtements.



Sandrine, qui vient de sortir de la chambre, vient l’embrasser tendrement.



Lorsqu’il revient dans l’appartement d’Arnaud, celui-ci est toujours devant la télé et semble plutôt contrarié. Tristan le remarque immédiatement, car son ami ne tourne même pas la tête alors qu’il a dû l’entendre entrer. Il préfère donc prendre immédiatement la parole pour désamorcer un éventuel conflit.



Arnaud se retourne alors vers son ami.



Arnaud se calme soudain, il réalise qu’il vient d’aborder un sujet sensible.



Arnaud demeure pensif.



Tristan réfléchit. Que faire pour convaincre son ami ? De quoi aurait-il envie ? Il a soudain une idée. Quelque chose que souhaite Arnaud et qu’il lui refuse encore.



Un sourire se forme sur le visage de son ami.



Tristan s’imagine le cul rempli de sperme, ce qui l’enchante peu, mais il n’a guère le choix.



Arnaud pèse le pour et le contre. Tristan l’observe, inquiet. Son ami va-t-il accepter cet arrangement pour le moins original ?



Lorsqu’il est de retour, Arnaud s’est déjà déshabillé et a sorti le tube de lubrifiant, tout un programme. Tandis qu’il se déshabille à son tour, Tristan ressent l’impression d’être la victime d’un sacrifice rituel, mais il l’a bien cherché et il préfère l’assumer. Il se place donc à quatre pattes sur le lit, prêt à se faire empaler par la grosse bite de son camarade.


Mais pour l’instant, le sexe d’Arnaud manque encore de raideur, il se place d’abord face à Tristan pour que ce dernier le suce jusqu’à l’érection. Son partenaire s’exécute, avale bien profondément sa verge et la pompe tandis qu’Arnaud le prend par les cheveux pour lui enfoncer sa queue au plus profond. Ce traitement porte ses fruits et Arnaud se retrouve rapidement en érection. Il fait alors le tour de son ami, enduit son sexe de lubrifiant et s’introduit en lui sans ménagement. Sans plus attendre, il commence ses allers-retours, encore plus frénétiquement que d’habitude. Tristan ressent bien une différence, l’absence de la couche de latex, le contact direct du membre de son copain, les sensations ne sont pas tout à fait les mêmes. Arnaud se déchaîne ainsi pendant plus de cinq minutes, agrippant son ami par les hanches pour le pénétrer aussi loin que possible. Sa jouissance arrive soudain, forte et violente. Il crie son plaisir tout en insultant tendrement son ami.



Tristan ressent alors un flot tiède qui s’immisce jusqu’au fond de ses entrailles. Une sensation inédite pour lui. Cette fois-ci, il se sent réellement possédé au plus profond de lui. Une impression trouble de plaisir malsain le parcourt tandis qu’il sent le sperme s’écouler. Arnaud fait encore quelques allers-retours dans le cul de son copain, sa bite baigne dans son sperme et glisse avec une facilité déconcertante.


Arnaud se retire alors, tandis qu’il exprime sa joie.



Pour toute réponse, Arnaud se met à sucer consciencieusement le sexe de son ami. Sous ses bourses, qu’il est en train de lécher, son anus laisse encore s’écouler un peu de sperme qui s’écoule le long de ses cuisses. La tentation est trop forte, il introduit un doigt dans le cul de son copain tout en le suçant. Tristan semble apprécier, car sa bite finit de se redresser dans la bouche d’Arnaud. Il vient alors se placer derrière son camarade, et après s’être enduit la verge de gel, il se met à le pénétrer sans plus attendre. Arnaud lâche alors un bref cri de plaisir, alors qu’il commence à se faire pilonner avec vigueur. L’étreinte commence et ses gémissements sont rapidement rythmés par ses coups de bite de son ami. Tristan sent le plaisir monter en lui, d’autant plus qu’il se permet déjà d’imaginer toutes les cochonneries qu’ils vont faire tout à l’heure avec Sandrine. Sa jouissance est soudaine, brutale et intense. Les deux garçons crient leur plaisir simultanément tandis que le sperme coule à flot dans le cul d’Arnaud pour son plus grand bonheur. Après quelques ultimes allers-retours, Tristan se retire de son partenaire et s’allonge sur le lit pour récupérer tout en discutant.



Arnaud, qui s’est allongé à côté de lui, est curieux de connaître plus précisément le ressenti de son ami.



Les deux jeunes hommes sortent alors du lit et décident, au vu de l’état déplorable des draps, de les changer sans plus attendre. Ils vont ensuite se laver avant d’aller voir Sandrine. C’est donc la bite bien propre, simplement vêtus d’un t-shirt et d’un short, qu’ils frappent à sa porte un quart d’heure plus tard. Arnaud est déjà en train de stresser. Il a accepté, mais il ne se sent pas à l’aise. Va-t-il être capable de demeurer en érection avec une partenaire qui ne lui plaît pas, c’est la question qu’il ne cesse de se poser.


La porte s’entrouvre légèrement, Sandrine veut d’abord s’assurer qu’il s’agit bien des deux garçons. Elle les fait alors pénétrer, ce qui leur permet de découvrir la tenue affriolante dont elle s’est parée. Sous un déshabillé transparent en dentelle noire, elle ne porte qu’un soutien-gorge à demi-bonnets, qui soutient ses seins opulents sans les cacher, ainsi qu’un porte-jarretelles et des bas de soie assortis qui moulent agréablement ses cuisses potelées. Tous ces artifices mettent divinement en valeur son corps délicieusement enrobé. Tristan sent le désir monter à nouveau en lui, il observe son ami, inquiet de son opinion. Arnaud en reste bouche bée, c’est plutôt bon signe. Il est vrai aussi qu’il n’avait jamais vu sa voisine ainsi.


Ils s’approchent alors d’elle, se placent de chaque côté et commencent à la caresser à travers sa parure de dentelle. Ils ne tardent pas à retirer leurs vêtements, ce qui permet à Sandrine de constater avec plaisir qu’Arnaud est également intégralement épilé. Sans attendre, elle se saisit de leurs verges et se met à les branler. Arnaud se retrouve rapidement en érection, mais Tristan n’a pas encore tout à fait récupéré. Il préfère donc s’asseoir en spectateur et regarder ses amis en action. Offrant ainsi à son ami la primauté de la pénétration de Sandrine. Celle-ci commence d’abord par s’accroupir devant Arnaud pour le sucer tendrement. Elle avale avec gourmandise cette grande bite toute lisse qui lui fait face, elle lèche avec délectation ses bourses épilées, puis recommence à la prendre en bouche avec envie. Quelques minutes de ce traitement suffisent à faire gémir Arnaud. Il apprécie visiblement la compagnie de Sandrine, et cela rassure Tristan. Les deux amants prennent ensuite la direction de la chambre, suivis par Tristan.


Sandrine s’allonge sur le lit, déboutonnant son écrin de dentelle, offerte à son partenaire, les cuisses écartées, prête à se faire pénétrer, impatiente de jouir. Arnaud vient se placer sur elle. Il n’a aucune difficulté à s’introduire en elle, tant elle est mouillée. C’est maintenant elle qui se met à gémir tandis qu’il commence ses aller-retour. Il accélère progressivement, et les gémissements de Sandrine se font plus intenses. Au bout de quelques minutes, Arnaud la pilonne profondément sans retenue et elle crie haut et fort le plaisir intense qui la traverse tandis que ses gros nichons se balancent dans tous les sens. Arnaud sent la jouissance arriver. Il ne peut se résoudre à jouir dans Sandrine avant son ami. Il préfère donc se retirer juste à temps, son éjaculation est copieuse, de nombreux jets de sperme se répandent sur le ventre, les seins, le cou et le visage de Sandrine. Heureux d’avoir pu lui faire plaisir, il s’approche d’elle, lèche le sperme qui a coulé sur son visage et son cou, puis l’embrasse à pleine bouche tout en caressant affectueusement son corps charnu parsemé de sperme.


Tristan vient alors se placer près d’eux et commence à peloter les gros nichons de Sandrine, il se plait à étaler le sperme de son ami qui les recouvre tout en suçant ses tétons. Arnaud se laisse tenter et se met à faire de même. Les deux garçons, placés de chaque côté, se partagent la poitrine de Sandrine, suçant chacun un sein avec avidité tout en le palpant. Pendant ce temps Sandrine les masturbe et Tristan ne tarde pas à se retrouver en érection.


Désireux de pouvoir enfin pénétrer cette jeune femme qui lui plait tant, il s’allonge sur le dos et l’invite à venir se placer sur lui. Tandis qu’Arnaud quitte le lit pour les observer en spectateur, Sandrine, qui a ôté son déshabillé et son soutien-gorge, vient s’empaler sur la grosse bite en érection de Tristan. C’est quand elle se penche vers lui qu’il peut enfin profiter de ses grosses loches qui ne cessent de bouger. Il les prend en main, les palpe, les triture, les caresse, les suce, les lèche, les mordille, et recommence à nouveau tandis qu’ils s’agitent au rythme des mouvements de sa partenaire. Au comble de l’excitation, il ne parvient pas à se retenir bien longtemps et il éjacule copieusement au plus profond de son amante. Celle-ci, également au paroxysme de son plaisir, hurle de bonheur tant sa jouissance est intense. Les giclées de sperme remplissent copieusement son vagin et la rendent euphorique et heureuse. Continuant à chevaucher son partenaire, elle cesse ses mouvements et l’embrasse tendrement. Lorsqu’elle se retire enfin de Tristan, c’est pour aller déguster le mélange de sperme et de mouille qui est étalé sur sa bite encore dressée. Il l’invite immédiatement à se placer en position de 69, lui aussi, voulant goûter à ce nectar, qui s’écoule le long de la vulve de son amante.


Arnaud revient alors se joindre à eux. Ils s’asseyent tous sur le lit pour s’embrasser, tout en se caressant et se masturbant. Quelques derniers attouchements voluptueux avant qu’Arnaud ne leur propose de prendre congé pour les laisser seuls.


La soirée n’est pas encore terminée. Tristan se sent bien avec Sandrine et c’est réciproque. Ils ont encore tant à découvrir ensemble. Tant de temps à rattraper. Le reste de la soirée ne sera qu’une succession d’étreintes toutes plus passionnées les unes que les autres, l’occasion pour eux de se répéter à de nombreuses reprises qu’ils s’aiment. Leur bonheur ne fait que commencer.




9. Progression



Le lendemain matin, Cathy entre timidement dans le bureau des garçons. Habillée d’une robe ample et colorée, sa tenue s’éloigne de plus en plus du style sweat et jean des derniers mois.



Arnaud lui répond le premier.



Tristan répond à son tour.



Tout en disant cela, elle s’approche d’Arnaud et reste debout, à côté de lui. Celui-ci semble boudeur, mais il ne résiste pas longtemps à la tentation de caresser les fesses de Cathy. Elle ne porte toujours pas de culotte. Il fait passer sa main sous sa robe et se permet de lui caresser les fesses, et cette fois-ci, elle se laisse faire. Tandis qu’il passe de l’autre côté pour parcourir sa fente du bout des doigts, elle reprend la parole.



Cette proposition réjouit Tristan.



Elle se sépare d’Arnaud, qui la regarde partir tout en portant ses doigts humides à son nez pour humer l’odeur intime de son amie.


À midi, ils se retrouvent près des halles pour aller déjeuner tous ensemble. Une fois qu’ils sont attablés, Cathy entame la conversation.



Un sourire se forme sur le visage d’Arnaud.



Tristan acquiesce.



Arnaud réagit sur le ton de la plaisanterie.



Cette dernière lui répond, tandis qu’Arnaud, qui a passé une main sous la table, puis sous sa robe, insinue à nouveau ses doigts entre ses lèvres intimes.



Tristan répond.



Arnaud lui répond immédiatement.



Sandrine en est émue.



Cathy prend la parole.



En effet, le soir venu, Cathy commence à emménager chez Sandrine. C’est une énorme valise qu’elle a amenée, et encore ceci ne représente qu’une partie de ses vêtements. Pour fêter cela, Cathy a invité les garçons à venir prendre l’apéro chez elles. Tristan, remarquant immédiatement que ses gros seins ballotent sous sa robe, ne peut se retenir de les peloter amoureusement.



Les deux filles se sont installées sur le canapé, Arnaud et Tristan s’étant placés face à elles. L’ambiance est très animée. Cathy et Sandrine commencent déjà à se caresser mutuellement à travers leurs vêtements. Elles font aller leurs mains sur les cuisses de leur voisine, leurs caresses s’approchant progressivement de leur entrejambe. Les deux garçons, en spectateurs assidus, ne manquent rien du spectacle. Elles écartent maintenant les cuisses, dévoilant sans pudeur leurs vulves épilées. Ne pouvant plus attendre, elles s’introduisent des doigts tout en s’embrassant.


De plus en plus excité, Arnaud se lève et s’approche d’elles, mais Cathy ne l’entend pas ainsi.



Sandrine se réjouit de cette idée.



Tristan et Arnaud n’hésitent pas un instant de plus, ils se déshabillent et, faute d’un second canapé, ils s’installent en position de 69 sur le tapis du salon et se mettent à se sucer mutuellement avec gourmandise tout en observant leurs copines se tripoter à côté d’eux. Mues par leur désir croissant, elles ne tardent pas à se déshabiller à leur tour, puis elles se placent elles aussi en position de 69, Cathy dessous et Sandrine dessus, ses gros seins venant caresser le corps de sa copine tandis qu’elles sont affairées à se lécher mutuellement.


Les filles ne tardent pas à gémir de plus en plus fort et jouissent à plusieurs reprises tandis que les garçons continuent de se pomper avec vigueur. Elles se sont rassisses pour les observer avec intérêt lorsqu’ils jouissent à leur tour, s’éjaculant copieusement dans la bouche, sous le regard admiratif des deux jeunes femmes. Ils se relèvent alors et Tristan va embrasser Sandrine tandis qu’Arnaud embrasse Cathy. Les deux couples se partageant amoureusement le sperme qu’ils ont en bouche.


Satisfaits et temporairement calmés, ils reprennent un second verre d’apéritif pour faire passer le goût du sperme, tout en discutant de tout et de rien. Reposés, prêts à recommencer, les couples se forment spontanément. Le groupe se rend dans la chambre pour faire l’amour côte à côte, Tristan avec Sandrine et Arnaud avec Cathy. Les deux garçons ne tardent pas à jouir à nouveau, chacun éjaculant au plus profond de sa partenaire. Les deux femmes, visiblement satisfaites, se replacent en position de 69 pour se lécher mutuellement leurs chattes pleines de sperme. Quand à Tristan et Arnaud, excités par la situation, ils se placent également en 69 à côté d’elles, chacun se chargeant de nettoyer soigneusement la bite de l’autre.


La soirée se poursuit sur le même rythme, et après le repas, qu’ils prennent nus, ils recommencent leur partie carrée. Celle-ci durera toute toute la soirée, toutes les combinaisons seront essayées, ainsi que de nombreuses positions. C’est à regret que les deux garçons retournent dans leur appartement, car les deux femmes souhaitent rester ensemble pour cette première nuit. Elles s’endorment tendrement enlacées, radieuses et heureuses, tandis que de leur côté, les deux garçons se caressent amoureusement, tout en repensant avec plaisir à la soirée qui vient de s’écouler.


Au fil des jours, les couples se créent naturellement en fonction des affinités. Même s’ils se réunissent pour le souper et qu’ils passent souvent la soirée ensemble. Tristan dort surtout avec Sandrine, et Arnaud passe la nuit avec Cathy. Ils s’aiment intensément, mais cela ne les empêche pas de changer régulièrement de partenaire, en fonction de leurs désirs mutuels, et de faire très souvent des parties à quatre, surtout durant la soirée, n’hésitant pas à immortaliser leurs ébats en photo ou en vidéo pour se les repasser ensuite et commenter leurs performances.


Plusieurs semaines se sont écoulées. Un soir que les deux garçons couchent ensemble et qu’ils viennent de s’éjaculer mutuellement dans la bouche. Tristan profite du moment de quiétude qui suit la jouissance pour discuter un peu de leurs deux copines.



Cette pensée philosophique termine leur conversation. Repus de sexe, le sommeil les gagne rapidement malgré un arrière-goût persistant de sperme au fond de leurs gorges.


Quelques jours plus tard, la soirée du vendredi est l’occasion de fêter l’anniversaire d’Arnaud.


Après un petit repas raffiné, que les femmes se sont fait un plaisir de cuisiner, vient le moment des cadeaux. Les femmes lui ont offert des bandes dessinées et un coffret DVD de série TV, des cadeaux somme toute assez classiques. Par contre, Tristan lui offre un cadeau inattendu : un gode-ceinture. Même si cela peut paraître incongru, ce cadeau fait réellement plaisir à Arnaud, qui regrette souvent de ne pas pouvoir être pris simultanément par-devant et par-derrière, faute de disposer de deux partenaires masculins.


Cathy se fait un plaisir d’enfiler immédiatement l’engin. De couleur chair, il est doté d’un gros pénis en érection côté extérieur et d’un plus petit, côté intérieur, pour le plaisir de la partenaire. Une fois qu’elle l’a installé, Cathy ressemble plus que jamais à un garçon, sa poitrine inexistante, ses cheveux courts, et maintenant ce gros sexe tout raide. Arnaud ne résiste pas à la tentation de venir la sucer par curiosité. Il peut ensuite rendre un avis de spécialiste.



Tristan lui répond.



Cathy se place donc derrière Arnaud, qui s’est mis en place sur le lit, et commence à le sodomiser tandis que Tristan se place devant lui pour se faire sucer. Arnaud, qui apprécie énormément de se faire prendre par tous les trous, ne tarde pas à gémir de plaisir, tandis que ses amis le pénètrent fougueusement et que Sandrine filme la scène tout en se masturbant. Cette situation insolite ne manque pas de faire réagir Cathy.



Sandrine renchérit.



Elle se rapproche de lui et ils s’embrassent tendrement tout en se caressant. Tristan, qui sent la jouissance arriver, se met à peloter les gros nichons de sa copine tandis qu’il décharge copieusement dans la bouche de son ami Arnaud. C’est le moment que choisit Cathy pour presser les couilles du gode-ceinture pour le faire également éjaculer. Arnaud, qui vient de se faire remplir par tous les trous pour son plus grand plaisir, est exténué. Il reste affalé de longues minutes sur le lit, à côté de ses amis, qui eux aussi reprennent des forces avant la suite. C’est maintenant Sandrine qui enfile l’engin, prête à saillir son copain qui attend docilement de se faire pénétrer, à quatre pattes sur le lit. Pris simultanément par-devant et par-derrière pour la première fois, Tristan ressent soudain l’incroyable sensation de se faire posséder par tous les trous à la fois. Lui aussi se met à gémir de plaisir tandis qu’il se fait allégrement défoncer par sa copine. Arnaud ne tarde pas à jouir à son tour, remplissant copieusement la bouche de son copain, tandis que celui-ci se fait simultanément gicler dans le cul. Heureux d’avoir pu enfin découvrir cette nouvelle sensation, il embrasse ses amis, la bouche encore pleine de sperme.


La soirée n’est pas encore terminée. Plus tard, Sandrine, toujours aussi curieuse, demande à goûter à son tour aux bienfaits du gode-ceinture, découvrant avec plaisir les délices de la triple pénétration : Tristan dans sa chatte, Cathy dans son cul et son chéri dans sa bouche. Enfin, pour terminer la soirée, Cathy se livre à la même expérience, impatiente de se faire prendre par tous les trous après que Sandrine eut décrit avec moult détails les sensations incroyables qui l’ont parcourue lors de ce moment intense.


Une nouvelle étape a encore été franchie, mais ce ne sera pas la dernière. Cette expérience de vie à quatre a libéré complètement Sandrine de tous ses complexes comme cela s’est déjà produit pour Tristan. Le plaisir de jouir devient rapidement un besoin quotidien pour elle, comme une drogue. Mais une drogue douce, très douce. L’intuition de Tristan et Arnaud était juste, les deux femmes continuent de rattraper le temps perdu.


C’est donc tout naturellement, alors que l’été est arrivé, que Sandrine accepte d’aller sur la plage naturiste avec ses amis. Tous se disent que cette sortie à la plage sera sûrement l’occasion d’aller encore un peu plus loin.


Pour cette première sortie hors de Rochefort, Sandrine n’a pas mis de soutien-gorge, bien décidée à rendre la liberté à ses seins aussi souvent que possible. Ses gros nichons bougent donc allègrement sous sa robe et cela excite énormément les garçons qui, quant à eux, n’ont, bien évidemment, pas mis de caleçon sous leur short.


Les deux femmes, qui se sont installées à l’arrière de la voiture, profitent déjà du trajet pour se masturber mutuellement sous les regards agacés des deux garçons, car ils ne peuvent pas participer. Du coup, une fois arrivés à destination, à peine sortis de voiture, Tristan, déjà fortement excité, ne résiste pas à l’envie de remonter la jupe de Sandrine pour lui caresser les fesses et le sexe. Arnaud voyant cela, fait de même avec Cathy, qui se laisse faire de bonne grâce. Ils ne peuvent malheureusement pas prolonger bien longtemps leurs attouchements, des passants s’approchent. Ils prennent donc le chemin en direction de la plage. Arnaud, qui connaît bien l’endroit, continue par le petit sentier qui longe la forêt, pour atteindre directement l’endroit où les couples libertins sont les plus nombreux.


À peine les serviettes étendues dans un creux de la dune, Sandrine, visiblement décidée à se mettre au naturisme, retire immédiatement sa robe, dévoilant sans gêne son corps aux rondeurs généreuses et sa poitrine volumineuse. Déterminée à ne faire preuve d’aucune pudibonderie, elle s’allonge immédiatement sur le dos, les cuisses légèrement écartées. Elle peut alors rapidement constater, avec plaisir, que tous les voyeurs qui passent ralentissent ostensiblement tandis qu’ils observent avec délectation son corps offert à leurs regards vicieux. Ceci l’ayant mise en confiance, elle se sent rassurée quant à l’attrait de son physique et se sent déjà prête à aller plus loin.


Tristan propose alors à Sandrine de l’enduire de crème solaire, Arnaud faisant de même avec Cathy. Les deux jeunes hommes en profitent pour leur caresser les seins et le sexe, et leur introduire des doigts dans la fente. Lorsqu’elles se sont bien fait tripoter, les deux femmes leur rendent la pareille et en profitent pour les masturber jusqu’à ce qu’ils soient en érection. La journée commence bien.


Après une petite heure de bronzette, ils décident d’aller se baigner. Sandrine doit alors traverser la plage complètement nue pour la première fois. Ses gros seins opulents bougent allègrement de droite à gauche au rythme de ses pas. Tout en marchant, elle observe discrètement avec curiosité les autres naturistes, qu’ils soient allongés ou en train de se baigner. De nombreux regards, masculins et aussi féminins, se portent sur elle, et cela l’emplit de fierté et de bonheur. Heureuse de l’avoir osé, elle continue de se diriger vers l’eau tout en profitant des sensations agréables que lui procurent la nudité. Elle ressent avec plaisir la caresse sensuelle du vent tiède sur son corps, puis découvre une incroyable sensation d’enveloppement lorsqu’elle pénètre dans l’eau. Tristan et Arnaud viennent régulièrement la caresser, Cathy vient partager quelques attouchements, tandis que les garçons n’hésitent pas à se masturber mutuellement tout en les regardant, malgré la proximité d’autres baigneurs. C’est lorsqu’ils veulent ressortir de l’eau, qu’ils réalisent qu’ils sont encore en érection tant ils sont excités. Ils doivent donc encore attendre plusieurs minutes avant de pouvoir enfin rejoindre leurs copines.


De retour sur leurs serviettes, ils se font immédiatement vanner par les deux filles, très amusées par cette érection inévitable. Les deux garçons décident alors, d’un commun accord, de les ignorer, et donc de se comporter comme si elles étaient absentes. Ils se placent donc en position de 69 et commencent à se sucer mutuellement sous leurs yeux. Quant à elles, elles ne se démontent pas. Elles se placent également en 69 et se mettent à se lécher mutuellement la chatte. Un voyeur ne tarde pas à s’arrêter pour profiter de la scène, puis un second, puis un troisième. Ces trois pervers se masturbent allègrement tout en les regardant faire. C’est lorsque Sandrine lève la tête qu’elle réalise soudain qu’ils sont entourés de spectateurs, plutôt que de lui déplaire, cela aurait plutôt tendance à l’exciter encore un peu plus. La jeune femme, longtemps complexée par son physique enrobé, continue de se libérer sexuellement.


S’exhiber nue en public était déjà très agréable, mais se faire pénétrer devant des voyeurs qui s’astiquent la queue tout en la matant lui semble encore meilleur. Elle propose donc à ses amis de reformer les couples. Tristan se place derrière elle et la pénètre en levrette tandis qu’Arnaud fait de même avec Cathy. De la façon qu’elle s’est placée, Sandrine peut profiter du spectacle des trois mecs qui les observent. Quand ils sentent qu’ils vont bientôt jouir, les deux garçons leur demandent de se retourner, juste à temps pour gicler abondamment sur leur ventre, leurs seins et leur visage. Ils s’approchent alors pour les embrasser tout en léchant le sperme qu’elles ont sur le visage et en les caressant pour étaler celui qu’elles ont sur le corps.


Satisfaite, Sandrine se tourne alors face aux voyeurs, accroupie, les cuisses largement écartées, son amant, placé derrière elle, continue de la caresser tandis qu’elle s’introduit des doigts dans la chatte tout en dévisageant effrontément les trois spectateurs qui ne cessent de mater sa vulve totalement lisse et ses gros nichons que Tristan palpe fébrilement. C’est alors qu’ils éjaculent à leur tour, les giclées de sperme fusent en direction de la brunette rondelette et se perdant dans le sable à quelques pas d’elle. Lorsqu’elle voit ces trois inconnus gicler de plaisir tout en la regardant, Sandrine s’introduit quatre doigts dans la chatte, déclenchant un orgasme brutal et violent, un de plus. Elle se saisit alors de la bite encore bien raide de son copain et la prend en bouche pour lécher le sperme qui reste dessus. Cathy ne résistant pas à l’envie de faire de même avec Arnaud.


Les quatre amants se sont allongés pour récupérer. Les trois voyeurs, visiblement satisfaits, se sont éclipsés. Sandrine, qui est en train de reprendre ses esprits, le corps couvert de sperme, fait part de son état d’esprit à sa copine.



Arnaud, qui n’a rien manqué de la conversation, se permet d’intervenir.



Sandrine reprend la parole.



Ce que confirme Cathy.



Arnaud reprend alors la parole.



La journée se termine comme elle a commencé. Les quatre amis s’exhibent sans retenue devant les voyeurs qui passent et repassent, y compris des couples, variant avec plaisir les positions et les combinaisons au gré de leur imagination.


Qu’elle soit juste en train de s’exhiber les cuisses écartées, ou qu’elle se caresse langoureusement tout en se masturbant, ou qu’elle soit carrément en train de se faire pénétrer, Sandrine ne se lasse pas de voir des hommes jouir tout en la regardant. Cette journée lui aura permis de définitivement assumer son physique généreux. Chaque regard sur son corps potelé lui provoque désormais une voluptueuse sensation de plaisir.


Le soir venu, satisfaits de leur journée, ils se rendent jusqu’au mobile-home de Cathy où ils espèrent bien terminer la soirée en beauté.


Cathy s’est installée à quatre pattes sur la banquette pour que Tristan la pénètre en levrette tandis qu’Arnaud est en train de se faire sucer par elle, lorsqu’une idée lui vient soudain à l’esprit.



Tristan est interloqué.



Arnaud se retire immédiatement de la bouche de sa partenaire.



Cathy, qui observait la scène depuis l’autre banquette tout en prenant des photos, est admirative.



Tristan s’allonge sur la banquette pour que Sandrine puisse venir s’empaler sur lui. Quand ils sont bien en position, elle se penche en avant, offrant ses gros seins aux caresses de son amoureux. Arnaud se place alors derrière elle et fait entrer à son tour son sexe en érection dans la chatte accueillante de sa partenaire. C’est ensuite elle qui se charge de faire les mouvements, les garçons se contentant de rester bien en place, bite contre bite. Sandrine semble beaucoup apprécier de se faire dilater la moule, elle ne cesse de gémir de plus en plus fort. Ses cris inquiètent ses partenaires, mais elles les rassure immédiatement, il n’y a que du plaisir dans ses hurlements. Elle jouit à plusieurs reprises, suivie de près par les deux garçons qui déversent brutalement d’importants jets de sperme au plus profond de sa vulve.


Lorsqu’elle se rassied, le sperme s’écoule copieusement hors de sa fente. Heureusement qu’ils ont mis une serviette sur la banquette. Sandrine est épuisée et heureuse.



Cathy vient alors se placer sur elle tout en lui répondant.



Les deux femmes entament alors un 69 haletant. Cathy, lèche le sperme qui s’écoule de la chatte de son amie. Quand à Sandrine, outre lécher la fente et le clito de sa copine, elle se charge aussi de nettoyer les bites couvertes de sperme des deux garçons.


Pas encore épuisés et toujours aussi avides de sexe, ils recommencent encore deux fois après le repas.


La première fois est l’occasion pour Cathy d’essayer à son tour la double pénétration vaginale, curieuse de découvrir l’effet que cela peut procurer. Malheureusement pour elle, n’ayant pas le physique opulent de son amie, elle n’a pas la vulve aussi accueillante et c’est avec regret qu’elle doit y renoncer après quelques allers-retours. Finalement, Tristan, qui était placé derrière elle, change de trou, et c’est quand même par une double pénétration qu’elle jouit à plusieurs reprises jusqu’à temps de se faire remplir de sperme jusqu’au fond de ses entrailles.


Après une douche bien méritée, ils terminent leur soirée plus sagement. Lorsque les deux femmes veulent recommencer, les deux garçons, qui n’ont pas réussi à terminer une seule fellation de toute la journée, insistent pour auprès de leurs compagnes pour pouvoir enfin se faire un bon petit 69 bien tranquille, entre mecs, comme quand ils vivaient à deux. Leur ton implorant les convainquent, leurs chéries ne peuvent raisonnablement pas leur refuser une telle faveur, elles acceptent de bon cœur. Arnaud et Tristan se placent donc l’un sur l’autre sur une des banquettes en commencent à se sucer avec délectation, partageant leur plaisir avec volupté. Sur l’autre banquette, Cathy s’est allongée, prête à accueillir Sandrine et ses gros nichons. Les femmes se lèchent mutuellement tout en se caressant avec sensualité, observant avec plaisir leurs hommes qui se sucent avec gourmandise. L’instant ultime arrive soudain. Les deux hommes, habitués à cet exercice, jouissent presque simultanément, déchargeant avec générosité leur sperme jusqu’au fond de la gorge de leur partenaire. Les deux amants, dorénavant satisfaits, terminent en s’embrassant mutuellement, se partageant amoureusement le sperme qu’ils ont dans la bouche.


Leurs compagnes les rejoignent alors. Cathy ne résiste pas à l’envie de dire à Arnaud à quel point elle l’aime, et Sandrine fait de même avec Tristan. Les deux hommes aussi leur confient qu’ils les aiment aussi énormément. En fait, cet amour n’est pas exclusif, tous s’aiment. Tristan aime toujours Arnaud comme au premier jour et réciproquement, Cathy et Sandrine s’aiment aussi depuis qu’elles se sont rencontrées et qu’elles ont découvert leur attirance mutuelle. Tristan et Cathy s’aiment également, tandis qu’Arnaud a fini par apprécier pleinement toutes les qualités de Sandrine au point de l’aimer aussi, amour qu’elle lui rend également.


Heureux, ils restent de longues minutes enlacés, repensant à cette formidable journée et à leur amour mutuel. Profitant aussi longtemps que possible du moment de pur bonheur qu’ils sont en train de ressentir ensemble.




10. Projet



Durant tout l’été, ils se sont rendus régulièrement à la plage pour satisfaire leur libido. Ils sont même allés au club libertin. Cathy et Sandrine en ont profité pour se faire épiler définitivement tandis que Tristan s’est débarrassé des poils qui lui restaient encore sur les bras et les jambes, ce qu’Arnaud avait déjà fait auparavant. Ils sont dorénavant tous pareils : intégralement lisses et bronzés, satisfaits de leur sexualité débridée et heureux de la passion mutuelle qui les lie. Leur relation amoureuse et sexuelle s’apparente à la devise des mousquetaires : un pour tous et tous pour un.


À la rentrée, Un poste se libère dans l’agence comme l’espérait Cathy. C’est un emploi de rédacteur, et Sandrine pourrait parfaitement convenir. Une très bonne nouvelle pour celle-ci puisqu’elle n’aura pas à aller chercher du travail ailleurs.


L’automne vient d’arriver lorsqu’un dimanche soir, Cathy, qui revient d’un repas de famille, fait part d’une incroyable nouvelle à ses amis.



Arnaud n’en croit pas ses oreilles.



Tristan prend la parole, plus calme.



Arnaud demeure quand même enthousiaste.



Sans plus attendre, ils prennent leur voiture et se rendent dans l’arrière-pays, un peu plus de quinze kilomètres à l’est de Rochefort. Lorsqu’ils arrivent sur place, ils découvrent une ferme charentaise typique, perdue au beau milieu des champs.


Un impressionnant portail en bois barre l’accès à la bâtisse. En chêne massif, probablement âgé d’au moins un siècle, il occulte totalement l’intérieur de la bâtisse. Cathy sort alors de sa poche un trousseau composé de grosses clés à moitié rouillées, la plus grande de celles-ci permet de déverrouiller l’huis qui se met à grincer sinistrement lorsque Cathy, aidée de ses amis, le manœuvre pour l’ouvrir.


À l’intérieur, la vaste cour carrée envahie par les herbes sauvages est encadrée par les différents bâtiments composant la ferme. Le logis leur fait face, c’est une imposante construction, de cinq fenêtres de large, dotée d’un étage et surmontée d’un grenier à grain. De chaque côté de celui-ci, et faisant le tour de la cour, des étables, des hangars et des granges. L’ensemble est réellement vaste et dégage un charme désuet, l’impression trouble d’une prospérité passée. Le petit groupe s’engage silencieusement dans la cour tout en observant avec respect les bâtiments imposants qui les entourent.


Cathy ne reprend la parole que lorsqu’elle atteint le seuil du logis.



Arnaud lui répond tout en observant avec attention l’état des bâtiments.



Arnaud observe les murs d’enceinte qui encadrent la cour centrale.



Tristan abonde en ce sens tout en observant la grande cour intérieure de la ferme.



Cathy s’insurge.



Arnaud lui répond sans hésiter.



Cathy s’adresse alors à Sandrine.



Continuant leur visite, ils pénètrent alors dans le bâtiment principal. Les pièces sont vides. Une puissante odeur de moisi pénètre avec force dans leurs narines. D’imposantes toiles d’araignées ornent le plafond et les planchers vermoulus craquent à chacun de leurs pas, laissant s’échapper d’épaisses gerbes de poussière. Tout ceci masquerait presque la majesté de l’imposante cheminée de pierre qui trône dans la cuisine.


Tandis qu’ils continuent de visiter le corps de ferme, les écuries et les granges, Tristan se met déjà à imaginer les aménagements possibles.



Arnaud répond alors, sur le ton de la plaisanterie.



Néanmoins, cela inspire fortement Sandrine.



Tristan réagit immédiatement.



Arnaud regrette néanmoins quelque peu cette idée.



Tristan partageant également l’opinion de son ami.



Cathy s’interroge.



Tristan ne peut s’empêcher de lancer une boutade.



Tous rient de cette remarque incongrue, puis Arnaud explique son idée avec moult détails.



Sandrine, dont c’est précisément le travail, complète cette énumération trop brève.



Tristan s’interroge.



Arnaud, très enthousiaste, a réponse à tout.



Sandrine, tire parti de son expérience pour lui répondre.



Arnaud s’y voit déjà, ses gestes décrivent les lieux environnants comme si tout était déjà transformé.



Arnaud reprend sa description, toujours porté par l’idée qu’il se fait du lieu.



Ce qui étonne un peu Cathy.



Sandrine aborde alors un sujet épineux.



Tristan se charge alors de lui répondre.



Tristan réalise que tout ceci n’est pas très simple, ni très sain. Il s’efforce alors d’expliquer son sentiment du mieux qu’il le peut.



Cathy se projette à son tour dans le futur.



Arnaud la ramène alors à la dure réalité.



Tristan demeure néanmoins plus optimiste que son ami.



Tristan s’adresse alors à son amie Sandrine.



Cathy reprend alors la parole.



Arnaud s’efforce de rester raisonnable malgré tout.



Quant à Tristan, il demeure pensif.

« Ah, si j’avais su que j’allais en arriver là il y a quelques mois, j’avais tant à rattraper. Je ne m’imaginais pas en arriver là. »


Cette impression, ses amis la ressentent aussi. Le désir d’en profiter monte en eux. Il y a encore beaucoup de travail, mais en attendant ce moment tant espéré, ils commencent déjà à se caresser mutuellement. Mus par un désir commun, dû à tout ce qu’ils viennent d’imaginer, ils se déshabillent au beau milieu de la cour de ferme et s’allongent sur leurs vêtements, au bord de leur future piscine. Placés côte à côte, ils se sucent et se lèchent mutuellement, changeant régulièrement de partenaire pour décupler leur plaisir.


Le soleil disparaît derrière les murs tandis que d’intenses cris de jouissance partagée retentissent dans la cour. Ce n’est qu’un début.




— FIN —