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n° 14689Fiche technique11483 caractères11483
Temps de lecture estimé : 7 mn
12/12/11
Résumé:  Un homme amoureux aime voir sa femme s'offrir à d'autres hommes inconnus.
Critères:  fhhh extraoffre cérébral revede fmast hmast fellation cunnilingu pénétratio partouze -totalsexe -fhhh
Auteur : Histochris            Envoi mini-message
Terrible offrande

Pourquoi ?


Je veux la donner.


Je ne sais pas ce qui se passe. Je ne sais quel vice me pousse, ni quel désir me taraude si cruellement. Qui pourra me dire ?


Pourtant je l’aime.


Je veux l’offrir.


Pourtant je veille sur elle et j’y tiens vraiment.


Je veux qu’elle s’offre.


Il m’arrive même d’être jaloux !


Mais en rêve, elle m’a trompé plus d’une fois et cela me plaît. Cela m’excite, ça me fait bander et même… jouir.


Je lui ai dit et elle a aimé. Ça l’a excitée et même… fait jouir.


Je lui ai raconté dans le détail la vision terrible qui m’assaillait régulièrement.


Nous étions assis face à face au salon et je lui confiais la torture que m’infligeait un esprit fertile. Elle m’écoutait attentivement, surprise de cette confession presque coupable.





Je lui racontais comment nous nous retrouvions, seul couple, dans une soirée qui se déroulait dans une demeure au fond d’un bois. Je lui disais combien les regards des hommes présents n’exprimaient que du désir. Un désir sexuel. Des fauves devant une antilope ! Quant à moi, j’étais comme invisible. J’étais là, mais personne ne me remarquait. Les hommes osaient tous les mots, tous les regards alors que j’étais là.


Je lui dis que cette situation m’irritait. Elle rit à gorge déployée aux propos d’un éphèbe blond dont la chemise blanche ouverte, sous une veste de smoking noire, laissait voir un torse lisse.


Je lui répétai mon irritation. Elle me tourna le dos et une main se posa sur ses reins. J’entendis son rire. Les hommes l’entouraient, me repoussant loin d’elle.


Je voulus l’attraper par l’épaule, mes doigts effleurèrent à peine sa peau. Une main fit glisser la bretelle de sa longue robe de soirée.


Je voulus fondre vers elle, repousser l’intrus, mais j’en fus incapable. Je me sentis flotter. J’avais la fièvre. Une bouche se posa dans son cou. Elle aime ça, je le sais ! Elle laissa sa tête tomber en arrière, offrant sa gorge.


La nuée de mâles me la cachait. J’entendis son rire sonore, et des « oh », des « ah » de contentement. La grappe bougea.


Là, sur le parquet ciré. Sa robe !





Je vis à son regard, que cette image l’avait émue. Elle sourit à l’idée de se retrouver nue au milieu d’un groupe.





Elle était entourée de cette nuée. Entre les dos des costumes sombres, je voyais son corps nu, perché sur des hauts talons. Ses belles fesses ondulaient, une main les flatta.


Je lui dis combien cette vision me faisait bander. Oui, j’étais excité. Paralysé mais bandé !


La musique s’éleva. Une valse ! Le cercle s’écarta et je la vis, collée à un brun ténébreux, se mettre à danser. Le cercle de mâles fermait la piste de danse. L’homme, une main posée au creux de ses reins, l’attirait vers lui, collant ses seins contre son torse nu. À chaque rotation, la main descendait. Sur la fesse. Il lui murmurait des choses, elle riait. Elle s’écarta de lui à la fin de la danse, ses tétons étaient durs, pointés.


Un homme lui tendit une coupe de champagne. Il ne portait plus rien. Elle le remercia d’un regard appuyé et contempla le corps d’athlète. Des pectoraux puissants, un ventre sculpté.


Un pubis lisse. Une queue raide, proportionnée, un gland bien renflé.





Elle aima ma description de l’organe car elle ferma les yeux et me dit de continuer. Elle avait passé une main, sous sa jupe, entre ses cuisses, et de mon fauteuil, je vis qu’elle massait doucement son entrejambe.





L’homme lui prit la coupe vide et la jeta loin. Il l’enlaça et au son d’une nouvelle valse, ils se lancèrent dans une ronde infernale. L’homme plaquait son bas-ventre et cette queue contre elle. Elle le regardait avec envie. Elle ne faisait rien pour échapper aux attouchements de cette virilité tendue. La valse s’acheva et les corps se séparèrent. L’homme bandait encore plus.


Alors qu’un autre cavalier la retournait pour l’enlacer, le danseur nu, se plaqua contre elle, contre son dos. Il embrassa son épaule. Je vis les deux mains venir se poser sur ses seins généreux aux tétons encore saisis de plaisir. Le sexe triomphant se plaqua contre les fesses.


Elle laissa sa tête retomber contre l’épaule de son dernier cavalier. Le nouveau venu observa l’étreinte, avec un sourire de carnassier, une lueur vicieuse dans les yeux.





Sous la jupe, les doigts écartèrent le triangle de dentelle. Stimulé par le récit et par le plaisir qu’elle semblait y prendre, je défis ma braguette et extirpait difficilement ma hampe raidie.





Le danseur regarda les seins que pétrissaient les mains. Il regarda la bouche entrouverte, les yeux brillants. Il s’approcha. Sentant ce contact, elle lança ses mains vers la fermeture du pantalon de smoking et, fiévreusement, la défit. Quand sa main disparut dans le pantalon, je voulus m’élancer. J’étais sans force et ce que je voyais me captivait. Vice et morale se livraient une bataille féroce. Le vice semblait avoir l’avantage car ma queue tendue était sensible au frottement de mon vêtement. Je me sentais excité.


Elle ressortit sa main tenant une nouvelle hampe. Elle l’attira contre son ventre. Les deux hommes se pressaient contre elle. L’homme face à elle se débarrassa de ses derniers vêtements. Le trio, ivre de désir, se déplaça sans se désunir vers le buffet. Ils la couvraient de baisers passionnés, la palpaient, elle se laissait faire, elle aimait ça. Elle me regarda et me sourit pendant que les deux hommes la couchaient sur la nappe blanche. Sa tête pendait dans le vide.





Son autre main passa sous son corsage et je la vis, sous le tissu, se saisir d’un sein. Les yeux toujours clos, elle avait un sourire qui me donnait envie de tout lui révéler. Elle écarta largement les cuisses et me dit de poursuivre.





L’un des danseurs se mit debout en face d’elle. Sans ménagement, il écarta ses cuisses. L’autre, allongé à côté d’elle, le sexe tendu sur son ventre, lui caressait les seins en lui murmurant des mots à l’oreille. Elle ondulait sur la nappe et ne fit rien pour refermer le compas de ses jambes. Les convives, alléchés par le plat, formèrent un nouveau cercle coupé par la table. À sa tête, je vis surgir des pantalons des sexes tendus pour un hommage à son corps. À quelques centimètres de son visage, les hommes distingués exhibaient leurs virilités triomphantes et conquérantes. Elle les regardait. L’homme aspira un téton, elle se cambra. Le second se pencha pour poser sa langue en haut de sa fente dévastée par le désir. Je vis parfaitement combien son corps aimait la situation. Sa source trempait son sexe. Sa main libre appuya sur la tête.





Elle glissa un doigt en elle et se mordit la lèvre. Elle eut un spasme. Elle voyait tout. Elle s’y voyait. Je massais doucement mon sexe dont le gland luisait.





Un gland se posa contre sa joue. Je vis parfaitement son mouvement. Elle tourna la tête, bouche ouverte pour attraper cette queue sans visage. Ce n’était qu’une queue parmi tant d’autres qui se tendait vers elle. Elle l’avala à moitié. À genoux devant son ventre, les mains soudées à ses hanches, l’homme donnait des coups de langue entre ses lèvres détendues, qui avaient renoncé à la fermer. Ses bras se lancèrent dans la grappe de corps et elle se saisit des queues qu’elle trouva.


L’homme couché sur la table lui léchait les seins, aspirait ses tétons. Sa main retenait une cuisse pour l’ouvrir totalement. La bite allait et venait dans sa bouche. Ses deux mains masturbaient deux autres sexes. Je l’entendais gémir, je la voyais offerte, agitée de spasmes de plaisir.


L’homme agenouillé se releva. Il approcha son gland de son sexe. Il le posa entre les lèvres et tout doucement, avança. Je ne sais comment, je vis en gros plan, le fruit rouge ouvrir la chatte trempée et disparaître, se faire happer. La hampe disparut à la suite. Son cri fut étouffé par une nouvelle queue qui prit possession de sa bouche. Elle suçait avec passion. L’homme qui la baisait était planté tout au fond de son ventre. Alors, il commença à aller et venir en elle.

Elle dut sucer avec talent car soudain, je vis un jet de semence atterrir sur ses seins.





À l’évocation de cette éjaculation, elle glissa un deuxième doigt en elle. Elle ouvrit fiévreusement son corsage pour me dévoiler le sein dont elle pinçait le téton. Je lui dis que j’aimais la voir jouir, s’offrir comme une chienne. Elle eut un sursaut. Allait-elle jouir ?


Allais-je jouir aussi ?





La queue jouisseuse fut vite remplacée par une autre. L’homme donnait des coups de reins de plus en plus violents, regardant son sexe perforer le ventre offert. Et soudain, il se cambra toujours planté en elle, j’assistai à son orgasme. Il était en train de se répandre dans le ventre aimé. Il souillait de son plaisir, le corps de ma femme et j’aimais ça. Je voulais voir ! J’en voulais encore ! Encore un, vite ! Mes vœux vicieux furent exaucés car un nouvel amant vint prendre possession de son sexe. L’homme, au départ allongé sur la table, était maintenant à genoux. Aux premières loges, il assistait à l’orgie. Il se caressait. C’était ma place, j’aurais dû être là. Ivre d’un désir sauvage, je franchis le cordon d’invités et me retrouvais à sa place.


En suçant une nouvelle queue, elle plongea son regard dans le mien. Elle me vit caresser mon sexe, trahissant ainsi mon excitation.


Je regardai longuement la bite glisser en elle puis reportai mon attention sur sa langue qui lapait un gland turgescent et coulant.


Un jet de semence jaillit et tapissa ses lèvres. Gardant ses yeux fixés sur moi, elle passa sa langue sur ses lèvres et avala le plaisir d’un inconnu. J’entendis un grognement. L’homme qui la baisait était sorti du ventre et faisait coulisser sa hampe entre les lèvres gluantes. Il jouit abondamment sur son ventre.





Elle commençait à onduler dans le fauteuil. Je savais que l’évocation de ces amants multiples, sans visage la rendait folle de désir. Mes doigts s’étaient enroulés autour de ma queue et la massait sur toute la longueur. J’étais en feu !



Son poignet cassé entre ses cuisses témoignait de la profondeur de sa caresse. L’autre main avait abandonné le sein et le majeur tournait sur le clitoris. Elle allait jouir de mes mots.


Je jouis de son aveu ! Je me répandis en flots abondants de semence qui glissa sur mes doigts crispés sur mon gland.


Elle gémit et resta immobile, pâmée dans un orgasme énorme.