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Temps de lecture estimé : 10 mn
12/12/11
Résumé:  Comment Chloé franchit une porte vers le plaisir dans un club libertin.
Critères:  fh ff couple couplus boitenuit danser voir exhib intermast fellation -entrecoup -boitenuit
Auteur : Presse25

Série : Le Lady's

Chapitre 01 / 02
Le Lady's, phase 1

Nous étions déjà allés quelques fois au Lady’s depuis un an avec à chaque fois une progression dans notre libération sexuelle. La première fois avec des amis pour danser, ensuite entre nous pour un peu plus d’avancées puis pour y faire l’amour dans une cabine à l’abri des regards. Quelle serait notre prochaine sortie ? Nous avions mis une semaine plus tôt les enfants en colonie et nous avions décidé avant de les récupérer de faire un petit tour au Lady’s sachant que nous connaissions maintenant les lieux et les habitudes de la clientèle. Le plus intéressant dans ce club libertin, mais nous n’en avions pas fait d’autres, c’est de ne pas être gêné par les autres clients. Chacun vit sa vie et sa sexualité. Nous arrivons donc à 23 h avec la ferme intention de commencer par la danse. La musique est en général bonne et nous complétons sur la piste de danse la masse des fêtards. Chloé est vêtue de sa petite robe courte achetée dans un salon de l’érotisme qui lui va si bien. Décolletée, elle tire malgré tout toujours dessus toutes les cinq minutes pensant que ses cuisses sont trop grosses et que cela fait vulgaire de les montrer. Elle se trompe fortement. Avec une jupe ou robe courte, elle est bandante à un point qu’elle n’imagine pas, mais allez donc faire changer une femme d’idée. C’est comme vouloir arrêter un TGV avec un cochon d’Inde.


Aujourd’hui j’ai réussi à la convaincre de ne pas mettre de soutien-gorge. Ses seins sont tellement plus jolis au naturel juste sous le tissu. Pas très gros, mais se tenant très bien pour ses 43 ans. Si je devais ne changer qu’une chose de son physique, ce sont ses fesses, trop plates à mon avis. Mais là, en dehors de la chirurgie esthétique et encore, pas grand-chose à faire. Il y a les femmes cambrées et celles qui ne le sont pas. Ma femme fait partie de la deuxième catégorie. Les hanches généreuses ont toujours été un attrait pour une femme. Certains hommes aiment bien les femmes androgynes, moi non. Une femme, elle doit avoir des formes, pas une boule non plus, mais la féminité ce sont les voluptés des courbes, pas les traits droits d’un crayon. Si les années ont fait prendre un peu de poids à mon épouse et à moi aussi, les kilos pour elle sont venus changer ce qu’elle avait de plus fin, l’esprit. Non, je blague. Allez, c’était histoire de pouvoir au moins lui envoyer une petite pique à elle que j’aime tant.


Nous sommes donc sur la piste depuis plus d’une heure. Nous avons déjà fait une pause boisson au bar puis un petit tour pour savoir comment la soirée de passait. Quelques couples étaient partis s’isoler pour des calins appuyés. Sur la piste, il y avait les danseurs et les « chauffeurs ». Des trios ou des quatuors qui échangeaient caresses, baisers et excitations tactiles. Avec mon épouse, nous échangeons nos baisers langoureux, quelques caresses sur nos corps histoire de réchauffer « notre » atmosphère. Certains sont déjà un peu plus chauds. Un homme baraqué qui avait fait tomber la chemise avait aussi ouvert sa braguette et sorti un petit oiseau. Sa femme ou plus certainement la maitresse s’occupait de faire grandir l’oiseau sous le regard amusé de l’épouse. Là, ils en étaient à une phase bien en aval de nos relations avec mon épouse. Suite à une danse qui ne nous intéressait pas, je propose à Chloé d’aller faire un tour pour nous changer les idées. Nous récupérons un verre chacun au bar et nous dirigeons vers la partie douches/jacuzzi du club. Je récupère deux serviettes et propose à ma dulcinée de nous enfermer dans une salle. Contrairement à la fois précédente, celle-ci a une fenêtre à barreaux qui permet aux promeneurs de voir ce qui se passe dans cette salle un peu sombre. Elle est composée d’un divan en L avec une zone plate au-dessus. La pièce doit faire six mètres carrés au maxi. Chloé est un peu réticente de savoir qu’elle va être vue par des éventuels couples qui passeraient par là.


Mes baisers et mes caresses finissent par convaincre mon épouse de nous enfermer ici. Il fait sombre et personne n’est dans les parages. Je garde ma femme debout pour l’instant et je caresse son corps et l’embrasse langoureusement dans le cou. Une main fait descendre une bretelle de sa robe pour découvrir un sein. Je lape celui-ci et l’aspire comme si je voulais en faire ressortir le lait qui naguère avait jailli abondamment de son corps. Mon autre main caresse ses fesses, son dos et en remontant jusqu’à son épaule fait tomber la deuxième bretelle. Sa superbe poitrine se dresse désormais fièrement dans la pénombre et décuple mon désir et le sien. Elle commence à défaire chaque bouton de ma chemise pour mieux la retirer. Pendant ce temps, je continue à descendre sa robe en l’enroulant petit à petit. Comme elle est extensible, elle n’a aucun mal à franchir le cap des hanches et torse nu, je descends le long de son corps en couvrant de baisers chaque centimètre carré que ma bouche croise.


Elle n’a sur elle désormais plus qu’un string aussi petit que sa pilosité et ses escarpins. Elle jette un coup d’œil dehors, toujours personne. J’ai à peine le temps de faire glisser sa robe pour la plier correctement qu’elle me redresse pour s’attaquer à mon jean en considérant ma ceinture comme une ennemie. Contrairement à ma femme, je quitte mes chaussures et cela facilite le fait de faire tomber mon jean. Il y a un peu de bruit de conversations dans le couloir à côté ce qui fait attirer ma femme dans le fond de la pièce pour être moins visible. Elle est montée sur la plateforme et je la rejoins pour la couvrir de mon corps, de baisers et de caresses. Ma main s’est invitée dans le string qui est aussi mouillé que le reste de son intimité. Pas de doute, la soirée ne sera pas la plus froide de l’année. Je me décale pour mieux pouvoir caresser son sexe et ses seins. Pendant que je retire les quelques grammes de tissu qui lui restent, ma bouche vient se lover contre sa vulve afin de mieux partager son plaisir. Durant cinq minutes, je lèche, j’aspire, je suce, je caresse chaque centimètre de ses grandes et petites lèvres, sans oublier le clitoris objet de nombreuses attentions. Ma femme est une clitoridienne. Elle prend toujours un plaisir immense à se caresser ou que je lui caresse cette partie du corps. Toutefois, cela doit se faire comme toute femme vous le dira après un travail de préparation pour adoucir la proie. Ce travail que nous ne négligeons que trop souvent en voulant trop vite arriver à la phase principale. Nous avons beau le savoir nous les hommes, nous sommes ainsi faits.


Deux doigts entrés dans le vagin pour faire bouger le bassin, deux lèvres posées sur le sexe pour les contractions, une main sur un sein et le ventre pour finir le travail et en dix minutes, ma femme part dans son premier orgasme. C’est toujours un plaisir immense que de la voir jouir, la voir se contracter sous mes caresses, se défendre en essayant de s’enfuir quand la caresse est trop importante et difficile à supporter tellement la jouissance est grande. Ces moments-là sont ceux que je préfère. En sentant en général mon sexe durcir encore plus, elle sait que j’aime ce passage que j’aimerais ne jamais voir finir. Puis je décide de ne plus appuyer, de retirer doucement mes doigts de son sexe tout gluant et d’enlever mes lèvres pour aller les poser sur les siennes. Elle n’aime pas, mais je fais exprès de lui faire connaître l’odeur de son sexe. Je descends alors de la plateforme le sexe droit comme un I. Elle me demande où je vais. Je lui réponds que j’attends désormais la fellation qu’elle aime tant me prodiguer mais que je souhaite être debout pour cela. Et que la plateforme ne le permet pas. Elle me rejoint alors nue, va jeter un petit coup d’œil par la fenêtre pour vérifier si personne ne nous regarde. Rassurée, elle ondule de sa croupe en se rapprochant de moi. Elle n’a pas eu grand chemin à faire. Je me suis positionné pour être au plus près de la fenêtre car j’ai ma petite idée.


À genoux devant moi, elle commence à embrasser mon sexe, le caresser avec les doigts, soupeser mes testicules et essaye de gober tout mon prépuce. Elle ne va en général jamais beaucoup plus loin ayant peur de s’étouffer ou de se faire vomir. J’accompagne sa pipe avec des petits mouvements lents du bassin. Elle s’applique à bien travailler pour ne pas faire retomber mon érection. Mais celle-ci ne risque pas de diminuer. En effet un couple est arrivé et s’est arrêté devant le spectacle. Chloé occupée à sa tâche ne les a pas vus arriver. Durant deux minutes ils regardent ma femme prodiguer sa fellation et c’est une surprise pour elle de sentir une main se poser sur son épaule pour la caresser. C’est celle du mari. Chloé s’interrompt dans son action, jette un regard sur l’individu qu’elle ne voit que peu d’ailleurs et repousse le bras de sa main. Elle cherche à se dégager un peu plus sur la gauche, mais comme je ne bouge pas, elle n’a fait que quelques centimètres de déplacement. Pendant qu’elle reprend son travail, j’applique mes mains sur sa tête pour l’aider. En passant, je souris au couple qui change de position, c’est maintenant la femme qui est la plus proche de nous. Elle avance délicatement son bras jusqu’à ce que celui-ci vienne toucher ma main gauche. Puis celle-ci vient caresser les cheveux de Chloé sans que celle-ci fasse encore la différence entre ma main et la seconde. Je retire ma main gauche ce qui donne encore quelques secondes avant que ma femme se rende compte que cette main est beaucoup plus douce que la mienne et aussi plus onguleuse. Elle commence à tourner la tête, mais je remets ma main pour lui faire continuer ma fellation. La main est désormais le long de son bras et remonte avec les ongles du coude à l’épaule. Cela provoque des frissons chez Chloé qui dans un dernier élan essaye malgré tout de l’écarter. Mais la main s’éloigne dans le dos de mon épouse qui ne peut plus l’atteindre. Elle décide de laisser faire finalement cette main qui est loin d’être désagréable au toucher.


La zone sur laquelle notre voyeuse peut intervenir n’est pas énorme. Du milieu du dos à l’épaule droite. J’essaye discrètement de me décaler doucement sur la gauche pour aider aux caresses. Sans s’en rendre compte, j’arrive à faire pivoter Chloé d’une dizaine de centimètres vers la porte. Je peux même prendre l’excuse de monter sur une petite marche afin de permettre à mon épouse de mieux pratiquer la fellation sans avoir à trop se baisser. Nous sommes désormais à seulement une vingtaine de centimètres de la porte. Je crois que Chloé a lu dans mon petit jeu, mais elle laisse faire. Elle ne trouve finalement pas cela désagréable au contraire. La main a maintenant accès au cou de Chloé et descend sur sa poitrine. Elle vient doucement faire le tour du sein droit avec la peau, puis avec les ongles. Je regarde la scène et vois les tétons de ma femme se durcir instantanément. Deux doigts viennent malaxer maintenant le téton et jouer avec. Je sens que mon épouse est en train de retrouver le chemin du plaisir. C’est elle d’ailleurs qui une minute plus tard décide de changer de position. Elle se redresse, se met dos à la porte et m’attire en face d’elle. « Laisse-moi te faire jouir dans ma main », me dit-elle.


La femme plus petite que la mienne est maintenant parfaitement placée pour caresser mon épouse du cou jusqu’aux hanches. Elle reprend d’ailleurs celles-ci avec les deux mains, au plus grand plaisir de mon épouse dont le regard s’illumine. Elle avait rêvé plusieurs fois de faire l’amour avec une femme, me disant que cela était très agréable (dans les rêves en tout cas). Là, elle constatait que le simple fait de se faire caresser le corps avec la douceur d’une femme était fort plaisant. Au bout de cinq minutes, le mari qui (je le sus plus tard) caressait lui aussi sa femme pendant ce temps là, revint vers la fenêtre. Alors que Chloé s’évertuait avec une certaine qualité à me faire jouir avec ses deux mains, que les mains de la femme parcouraient le ventre et les seins de mon épouse, deux mains vinrent masser les épaules de mon épouse. Mais désormais, cela ne la gênait pas et avoir quatre mains sur son corps qui la massaient était jouissif. Tantôt en fermant les yeux, tantôt en me regardant droit dans les miens, ma femme s’efforçait de me faire jouir avant de jouir elle, une deuxième fois. Mais la main droite de notre partenaire féminine descendit plus bas pour introduire un doigt dans la fente de mon épouse. Celle-ci sursauta, non pas de surprise, mais parce que cela lui déclencha un spasme violent de plaisir. Elle avait l’impression de se transformer en fontaine. Jamais elle n’avait ressenti un tel accès soudain de plaisir qui habituellement montait petit à petit jusqu’à devenir insoutenable. Là, tout son corps avait été traversé comme électrocuté par le doigt expert de notre masseuse.


Les quelques aller-retour du majeur entre les lèvres de ma femme firent leur effet. La deuxième main qui avait basculé sur le dos de ma femme put accéder aux fesses qui se décollèrent de la paroi de la porte. Le plaisir montait très vite chez ma femme. Je le sentais au fait qu’elle avait de plus en plus de mal à me masturber sans s’arrêter. Toutes les cinq à dix secondes, elle s’interrompait, fermait les yeux, se contractait sous les caresses. Quand elle se trouva en même temps avec une main sur le clitoris, une main sur la raie des fesses et une main forte qui lui caressait un sein alors que la deuxième pinçait le deuxième téton, elle partit dans son deuxième coït de la soirée. Elle serra tellement fort mon sexe que je jouis mais qu’aucune goutte de sperme ne sortit. Sa main était venue rejoindre celle de la femme sur son clitoris pour arrêter le mouvement afin de profiter le plus longtemps possible de la situation de 7e ciel dans laquelle elle venait de rentrer. Elle prit conscience à ce moment qu’elle comprimait mon sexe et relâcha son emprise. Un long jet blanc remonta jusqu’à ses seins, le deuxième toucha le nombril et un troisième plus petit vint se perdre sur sa main. Chloé n’avait encore jamais connu un tel coït et je dois dire que moi non plus. Cette situation particulière nous avait fortement excité tous les deux. Sans que nous nous en rendions compte, nos deux visiteurs étaient déjà repartis vers d’autres cieux. Après une douche nous décidâmes de repartir danser un peu pour nous changer les idées et récupérer de cette expérience nouvelle.