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n° 14697Fiche technique8032 caractères8032
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/12/11
Résumé:  Mon homme me délaisse, on fait une soirée filles. Ça ne finit pas du tout comme je l'aurais imaginé...
Critères:  ff extracon copains grosseins fépilée boitenuit danser intermast cunnilingu attache init confession -initff -occasion -fhomo
Auteur : Mel      Envoi mini-message
Ma première expérience saphique

Ma première expérience saphique « aboutie » était avec une amie, au cours d’une soirée filles.


Pour nous mettre un petit peu dans le contexte, je me présente brièvement.


Je m’appelle Mélanie, j’ai vingt-huit ans et suis en couple depuis un peu plus de trois ans avec mon homme. Je suis plutôt petite, de corpulence moyenne, avec une poitrine généreuse mais quelque peu pendante depuis mes deux grossesses… Ça et la prise de poids, principalement dans mon fessier, entraînent qu’aujourd’hui, et depuis quelques semaines déjà, mon copain ne me désire plus, ne me touche plus, avec pour seuls commentaires des qualificatifs allant de la grand-mère à la vache…


Bref, c’est pas la forme à la maison en ce moment !


J’en ai parlé plusieurs fois avec deux amies proches, et elles ne supportaient pas de me voir sombrer dans cette passade désastreuse de ma vie de couple… D’autant plus qu’elles savaient que j’étais en manque de douceur, certes, mais aussi de sexe ! Après les avoir tannées si longtemps sur les dimensions de l’engin de mon homme et les prouesses qu’il faisait avec, il n’était pas difficile de comprendre que niveau besoin sexuel, j’étais à mon paroxysme !


Elles m’ont donc organisé une soirée entre nénettes, à cinq, avec apéro chez une copine et sortie en boîte ensuite. J’ai bu un peu plus que de raison à l’apéro, ça faisait un moment que je n’étais pas sortie, et puis c’était ma soirée ! Vers minuit, nous nous sommes préparées pour nous rendre vers les dancefloors, moi la première ! Déjà, pour que j’aille en boîte faut que j’ai un petit coup dans le nez, car je ne supporte pas cette « musique », alors pour que j’y aille motivée, je ne vous raconte pas ! Mais bref…


Nous avons donc dansé entre filles, bien serrées, histoire qu’un mec vienne pas s’incruster entre nous ! Et, les verres et la chaleur ambiante aidant, je me suis retrouvée à danser très, très serrée avec une amie. Au bout d’un moment, je me suis rendu compte qu’on se frottait littéralement la poitrine l’une contre l’autre, et que ça commençait à se voir malgré mon soutif !


Mais ça ne m’a pas arrêtée, je me sentais bien… Bref, quand on est parties, car on commençait à être bien pétées, on a fait un bout de route toutes ensemble (à pied bien sûr !), et au moment de se séparer, je suis partie avec cette amie car je ne voulais pas faire la route seule et que je suis un peu isolée des autres.


Donc on arrive chez elle, pompettes mais en forme, elle me propose de reboire un coup, elle met de la musique et on se remet à danser, mais plus calme cette fois-ci. « Trop » calme. Ça devient très vite de petits câlins « innocents »… À un moment, elle va aux WC (ben oui, petite vessie…) alors que j’en avais envie aussi, donc je la presse de derrière la porte pour qu’elle se dépêche de sortir ! Je sens qu’elle veut me taquiner car j’ai bien entendu qu’elle avait fini mais elle n’ouvre pas et me demande d’attendre, qu’elle n’a pas fini ! Elle sort une minute après, l’air innocent, moi tellement pressée que je vais faire mon affaire en courant presque !


Quand je ressors, elle est dans le salon à danser toute seule avec son verre à la main, les yeux fermés. Je la rejoins, lui pique son verre, le repose, et on reprend notre petite danse tranquille, rapidement collées l’une à l’autre encore, mais je sens une différence… Et malgré mon état d’ébriété un peu avancé, je me rends vite compte que ce sont ses tétons durcis que je sens contre moi ! Je ne dis trop rien, car ça m’excite un peu, mais je trouve ça bizarre, car elle avait un soutien-gorge avant, j’avais bien senti dans son dos ! Et quand, au fur et à mesure, nos mains se baladent de plus en plus jusqu’à atteindre nos fesses, je ne sens rien non plus sous ses leggings ! Là, je n’ai pas pu m’empêcher de lui demander :



Elle me regarde avec des yeux de chatte… Mais un regard… Et elle me lance :



Dans ma grande naïveté, je ne cherche pas plus loin qu’une probable envie de confort et continue notre danse lascive, tandis qu’elle ne m’a pas lâchée du regard.

Et au bout de trente secondes à peine, elle me prend le visage à pleines mains et la bouche à pleines lèvres pour le baiser le plus tendre que j’avais eu depuis longtemps…


De là, je me suis sentie chavirer, j’ai tout laissé aller, et les câlins sont devenus de vraies caresses sur, puis sous nos vêtements, qui ne sont pas restés longtemps en place ! Elle m’a d’abord enlevé mon débardeur, puis rapidement dégrafé mon soutif pour mieux apprécier la lourdeur de ma poitrine et la « durceur » de mes tétons. Je me suis empressée de faire de même avec son haut, pour enfin voir ce qui me titillait depuis quelques temps… Et on s’est retrouvées toutes les deux seins nus, elle en jupe-leggings et moi en jean, se frottant les tétons l’une contre l’autre et s’embrassant sans fin, les mains sur les fesses, les cuisses, le dos, la nuque…


Je me suis reculée un peu au bout de quelques instants pour mieux l’admirer et, autant je ne suis pas fan de mon 85D tombant, autant sa poitrine était généreuse et bien tenue avec de larges aréoles surmontées de tétons magnifiques, érigés tels des petits glaçons roses. Je n’ai pas eu le temps de reprendre mes esprits qu’elle s’était agenouillée devant moi pour déboutonner mon jean et me le faire glisser jusqu’aux chevilles, approchant son visage de ma culotte trempée, bonne à essorer. Elle m’a aidée à enlever complètement mon pantalon, puis je lui ai rendu la pareille, afin qu’on se retrouve complètement nues au milieu de son salon, reprenant notre danse lascive, plus sensuelle que jamais ! Bouche contre bouche, seins contre seins, ma toison pubienne venant frotter de temps à autre son tout fin ticket de métro…


Je dégoulinais réellement, je commençais à le sentir à l’intérieur de ma cuisse. Alors je l’ai prise par la main et l’ai emmenée jusqu’à son lit, où nous nous sommes étendues et où elle m’a fait découvrir les délices des caresses prodiguées par une femme avec son corps entier ! Elle m’a fait jouir avec ses doigts, ses lèvres, ses seins, son minou, ses pieds… tout en caresse, tout en douceur, et tout simplement exquis… Je me suis appliquée à faire de mon mieux mais j’ai bien senti qu’elle était loin de l’extase dans laquelle je me trouvais, alors j’ai décidé de lui lier les mains et de me concentrer entièrement sur elle pour une deuxième session. Je crois que je n’ai jamais été aussi patiente, autant à l’écoute du corps d’un(e) partenaire que ce jour-là ! Je ne sais pas combien de temps ça a pris, mais je l’ai fait gémir, juste avec ma langue sur son corps entier, puis jouir et crier avec mes doigts et mon corps entier… À ce moment-là, j’ai compris ce que peuvent ressentir les hommes quand ils arrivent à faire réellement jouir une femme, car rien que de la sentir jouir pleinement, de l’entendre, de la voir, j’ai eu un mini orgasme !


Suite à cela, je l’ai détachée, nous nous sommes enlacées, embrassées, puis endormies… Au réveil, la vie a repris le cours normal des choses, comme s’il ne s’était rien passé. Je devais rentrer chez moi, avec ma petite famille… Et si je ne m’étais pas réveillée nue, enlacée à elle, les draps encore trempés de nos ébats nocturnes, j’aurais peut-être même cru à un rêve…