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Temps de lecture estimé : 14 mn
13/12/11
Résumé:  Mon banquier est troublé par ma femme.
Critères:  fhh cocus amour voir photofilm fellation cunnilingu pénétratio confession -couplea3
Auteur : Calin 13
Mon banquier

La vie d’infirmière à domicile est très spéciale.

Votre clientèle est un reflet de la population d’une ville. Des jeunes et des vieux, des riches et des pauvres, des sympas et des ronchons. Mary, ma femme, a commencé il y a quelques années et sa réputation est bonne, aussi soigne-t-elle des familles entières.


Mais là, les rapports peuvent changer. Lorsque vous venez régulièrement chez les gens, presque tous les jours des liens peuvent naître à votre insu même.

Dans une famille d’agriculteurs, Mary a soigné la mère, la tante, l’oncle. Tout le monde vivait dans deux maisons très proches. La seule personne jeune de la famille était un neveu. Le hasard voulait qu’il travaille dans une banque, celle-là même où nous avons nos comptes.


Ces deux éléments firent qu’ils se rencontraient presque chaque jour.

Mary est sage, honnête, bien faite et très professionnelle.

Elle a mis longtemps à réaliser que le neveu lui prêtait une attention inhabituelle.

Un jour de l’an, alors qu’elle garait sa voiture, il vint à sa rencontre pour lui souhaiter la bonne année et lui faire la bise, ce qui n’était pas dans ses habitudes. Son étreinte fut plus marquée que la logique ne le voulait.


Pendant quelques mois s’établit une relation troublante pour ma jeune femme. L’homme était prévenant, poli, serviable, que ce soit à la banque ou chez sa tante qu’il venait souvent voir, surtout aux heures de visites de Mary.

Ma femme me fit part de cette situation, de l’émotion qu’elle ressentait. Elle me demanda conseil sur la conduite à adopter, que faire ? Elle ne voulait pas l’encourager, mais ne voulait pas non plus être impolie avec lui car il n’avait jamais eu un geste déplacé envers elle.


Cette situation me troublait aussi, il me faut bien l’avouer. Je sais Mary fidèle, mais le fait qu’elle trouble quelqu’un ne me déplaisait pas. J’imaginais son émotion et fréquemment je l’interrogeais pour connaître l’évolution des choses. Cela pimentait nos relations et nos nuits amoureuses.


Puis la dernière tante finit par mourir, le neveu changea d’agence et Mary le perdit de vue.


Quelques mois plus tard, un samedi matin, je rencontre Armand, le neveu, au marché. On se connaît de la banque. Bien sûr, le neveu ignore que je suis au courant de ses inclinations pour ma femme. Dans une inspiration soudaine, je l’aborde pour lui dire bonjour. Nous échangeons quelques banalités, parlons travail, loisirs, projets. Mary vient dans la conversation comme par hasard.



L’invitation est directe et ne laisse pas de place à un refus, aussi rendez-vous est pris pour le soir suivant.


Ce soir-là, Mary et moi lisons tranquillement dans le salon. Dans la cheminée, le feu crépite dans le silence. Derrière la maison, le portail fait entendre un bruit de fermeture. Je lève les yeux, Mary dresse la tête ;



Mary se lève, le temps d’arriver à la porte, elle reconnaît Armand dans la peine ombre extérieure. Surprise, elle ouvre la porte et laisse entrer le neveu qui est venu avec un bouquet de fleurs. Elle ne sait que dire et balbutie un « bonjour Monsieur » qui sonne faux. Comme elle tend la main pour saluer l’arrivant, j’interviens amusé.



Armand sourit devant l’air gêné de ma femme. Il lui tend les fleurs et profitant qu’elle a les mains occupées, la saisit aux épaules et l’embrasse sur les joues.

Mary, rose de confusion, part vers la cuisine pour trouver un vase. Je fais asseoir l’invité avec un grand sourire et vais rejoindre ma femme. Elle me regarde en fronçant les yeux et dit à voix basse.



Mary ne sait pas quoi dire.



Comme elle ne répond pas, je lui souffle à l’oreille :



Pendant que Mary va chercher une bouteille et des coupes, je pose les trois questions-alibis au spécialiste de la banque.


Mary revient bientôt avec la bouteille et trois flûtes. Le champagne a la vertu bien connue de détendre les ambiances les plus crispées. Petit à petit, l’atmosphère se libère et s’anime. On parle famille, vacances, loisirs. L’invité est un grand amateur de course camarguaise, aussi lorsqu’on le branche sur le sujet, il devient intarissable.


Je surveille les réactions et les regards de Mary et d’Armand. Les sourires, les yeux qui pétillent.

Aussi je propose à Armand de rester à manger.

Mary me regarde, surprise de ma proposition. Mais que dire ? elle ne peut pas refuser surtout qu’elle se sent bien en fin de compte entre ces deux hommes qui ne regardent qu’elle.


Le repas, bien qu’improvisé, est une réussite, la conversation animée, on dirait de vieux copains très complices. Le vin, après le champagne, finit de libérer les langues et les timidités.


Après le dessert, alors que l’on parle voyages et vacances, je montre à Armand ma dernière acquisition : une caméra numérique semi-professionnelle.

Après quelques explications techniques, Armand me dit :



Le regard de Mary est incrédule, à quoi je veux jouer ? Quelle attitude doit-elle prendre ? Enfin si c’est un jeu, pourquoi ne pas jouer.

L’idée fait aussi son chemin dans la tête d’Armand. Faire du charme à Mary n’est pas pour lui déplaire, tant pis si le mari est présent.



Pendant que ma femme s’active à la recherche de la musique souhaitée, je prépare ma caméra. Très « pro », j’indique les règles à suivre :



Les deux comédiens improvisés m’écoutent tout en cherchant comment aborder la scène.

Armand décide de faire comme dans un bal, il s’approche de Mary et lui tendant la main lui propose de venir danser avec lui.

Mary pose sa main dans la main tendue, se lève et le suit.

Armand lui tend les bras et l’enlace. Ils commencent à bouger au rythme lent de la musique.

Ils se regardent, amusés, une petite lueur dans les yeux.



Ma femme s’amuse en faisant la part du jeu et de la vérité dans ce que lui dit son cavalier. Elle sourit, mais ne peut s’empêcher de ressentir une émotion qui lui serre la poitrine.

Le couple tourne lentement, aussi profitant que Mary me tourne le dos, je fais signe au danseur de se rapprocher un peu plus de sa cavalière. Dans le viseur de la caméra, je ne perds rien des regards que s’échange le couple, des sourires, des mains posées sur l’autre, de leurs corps qui maintenant se frôlent. Ils sont bientôt joue contre joue.



Mary ne veut pas répondre, mais elle appuie un peu plus sa joue contre son partenaire pour lui faire comprendre que c’est vrai. C’est facile, sous prétexte de jeux, de dire des choses à double sens. L’équivoque de la situation fait que chacun peut croire ce qu’il veut.


Je me fais si discret que Mary m’a oublié quelques instants, toute à son dialogue avec son cavalier. Ma gorge est soudain serrée, je sens le trouble de mon épouse, je sais que ce n’est pas que du jeu. Jusqu’où va-t-elle aller ? Je devine les hésitations dans sa tête. Discrètement je fais signe à son cavalier de poser un baiser sur le front de Mary. Juste pour voir sa réaction.


Un petit mouvement de la tête et les lèvres se posent sur la tempe de ma femme.

Elle fronce les sourcils, mais fait comme si de rien n’était. Les bras d’Armand l’enlacent plus étroitement, elle sent le corps plus contre elle. Bientôt elle devine son trouble contre sa cuisse, si proche qu’ils sont maintenant. Les yeux fermés, elle se laisse aller au lent mouvement de la danse, suivant la douce pression des mains dans son dos et sur sa hanche.


Je suis surpris de sa participation à ce jeu, pas de réticence, pas de réaction de méfiance. Elle si prude, si timide, elle se laisse aller, les yeux fermés.


Sur une nouvelle indication, Armand dépose de petits baisers, qui descendent progressivement de la tempe vers la joue, puis lentement vers le coin de la bouche de Mary. Dans un sursaut, elle ouvre les yeux, et me lance un regard suppliant. Elle semble me demander d’arrêter le jeu, qu’elle n’est pas sûre de tenir son rôle en bonne épouse, qu’elle ne répond de rien s’il continue.


Enfin, elle me montre son trouble, c’est beau, mais j’ai envie d’en voir plus, de pousser le jeu plus loin. Ce n’est pas de mon côté que viendra le salut. Au contraire, je la regarde avec tendresse, lui sourit, et d’un petit mouvement de tête lui indique de poursuivre la scène, qu’elle est très belle et que je l’aime.

Une sombre colère intérieure secoue Mary, très vite maîtrisée. Pourquoi résister puisque tout le monde est d’accord, nous verrons bien jusqu’où je veux qu’elle aille.


Les baisers de son cavalier n’ont pas cessé de glisser vers sa bouche. Contact avec le coin des lèvres. Pas de réaction de Mary. Elle garde les yeux fermés.

Au deuxième contact, ma femme tourne légèrement la tête pour mieux sentir les lèvres.

Au troisième contact, elle ouvre les paupières et regarde son cavalier droit dans les yeux, pose ses lèvres contre sa bouche, écarte légèrement les lèvres. Armand, plonge son regard dans celui de Mary, sort un petit bout de langue et le pose contre sa bouche.


Le zoom montre en gros plan cet instant de formidable émotion. Celui où tout peut basculer, où tout va basculer, où tout bascule.

En gros plan dans le viseur, je vois les lèvres des deux bouches s’écarter, augmenter leur pression, s’écraser l’une contre l’autre, on devine les langues qui se cherchent, se trouvent, se goûtent, plongent dans l’autre comme pour le violer.


Mon cœur bat à tout rompre, mon sexe gonfle à vue d’œil et me fait mal.

Armand écrase maintenant sa cavalière contre lui. Elle, se pend à son cou. Elle ne veut pas le lâcher, submergée par un désir trop longtemps retenu.

Le couple reste ainsi un long moment comme collé, seules leurs bouches sont actives. Puis les mains de l’homme commencent à glisser dans le dos de Mary, montant jusqu’à la nuque, puis redescendant jusqu’à ses fesses. Les doigts prennent sans ménagement, possession de ce corps qui enfin s’offre à lui. Ses mains courent partout dans son dos, sur ses hanches, descendant vers ses jambes, remontant vers ses fesses.


Il devine, plutôt qu’il ne voit vraiment, mon geste dans la direction du canapé.

Alors il soulève ma femme, toujours accrochée à son cou, et la porte comme une jeune mariée pour franchir la porte nuptiale, l’emmène et s’assoit sur le large canapé qui trône au milieu du salon, et la dépose sur ses genoux.


Les bouches sont toujours scellées l’une contre l’autre. Les mains d’Armand caressent le front de Mary, glissent sur son visage et ses joues, descendent le long du cou. Sa main est chaude, le contact apaisant et tranquille. Les doigts glissent dans l’échancrure du chemisier, écartent doucement le tissu, détachent un puis deux boutons qui empêchent la main de glisser plus loin. Il cherche à tâtons comme un aveugle, ses doigts entrent, rencontrent le tissu de dentelle qui abrite la poitrine ronde de ma femme. Sa main glisse sous le tissu du corsage et suivant la courbe du sein, il fait courir le bout de ses doigts sur sa peau de satin. Il sent la respiration saccadée qui soulève la poitrine. Le trouble et l’émotion ne sont pas simulés. Ses doigts glissent entre la peau et le tissu, sentent le téton dressé par l’excitation, le font jaillir de son nid.


Mary ne me voit plus, ne pense plus à la caméra. Son plaisir est évident, elle guette les caresses d’Armand, les attend, les souhaite.

Quittant un instant la bouche de Mary, Armand se recule pour mieux voir ce sein blanc et son bout rose. Prestement, il dégrafe les boutons qui retiennent encore les pans du chemisier et les écarte.


Ma jeune femme se sent offerte au regard de son compagnon, impudique. Il se penche alors sur elle et attrape entre ses lèvres le petit bout rose qui semble le réclamer. Il l’embrasse, le suce, le titille avec la langue jusqu’à percevoir un léger gémissement à ses oreilles. Glissant une main derrière le dos de Mary, d’un geste habile il défait l’attache du soutien-gorge et libère définitivement les deux seins roses. Mary le presse contre son mamelon pour prolonger la caresse. Ses joues sont écarlates de plaisir. Entrebâillant ses paupières, elle me regarde, radieuse et reconnaissante, semblant me dire : c’est ce que tu voulais, ça te plaît de me voir me donner à un autre devant toi, sans toi je n’aurais jamais osé, mais que c’est bon de se lâcher.


Maintenant, les mains de l’homme glissent sous sa jupe, remontent le long des jambes, franchissent la limite des bas, entrent en contact avec la peau douce et tendre des cuisses.

Il se glisse à ses pieds, les mains toujours très hautes sous la jupe. Sa tête plonge vers le bas de son ventre et embrasse la peau douce offerte à sa vue, humant l’odeur du sexe de ma femme qui est si près. Il saisit le fin tissu du slip et commence à tirer vers lui. Mary lui facilite la tâche en se tortillant. Le fin linge glisse lentement le long de ses cuisses, apparaît sous la jupe, franchit les genoux et enfin se retrouve sur le sol.


Armand retrousse la jupe, découvrant la peau claire du ventre de Mary. Il force la jeune femme à écarter les jambes pour se rapprocher d’elle, plonge la tête vers son ventre, pose ses lèvres, juste au-dessus du triangle de soie blonde. Le baiser est brûlant, avide et gourmand. Il court le ventre tendu, monte et descend, l’attrapant sous les genoux, il tire vers lui, lui faisant perdre l’équilibre. Elle se retrouve à moitié allongée, les cuisses écartées. Il plonge la bouche vers le sexe qu’il sait trouver là, juste sous la fine toison. Il y pose un baiser de braise, plantant sa langue dans ce nid dégoulinant et chaud, fouille entre les lèvres gonflées d’où un fort parfum de plaisir féminin se dégage et se délecte du liquide qu’il lape à grands coups de langue.


Sous l’assaut, Mary se cambre, projetant en avant son bassin, comme pour mieux sentir la langue qui la fouille. Elle empaume ses seins, les presse l’un contre l’autre les doigts crispés dessus. Elle se déchaîne, libérée de tabous qui la paralysaient avant ce soir.


Attrapant son cavalier par la chemise, elle lui fait comprendre qu’elle veut qu’il remonte près d’elle, recherche sa bouche pour regoûter sa salive au goût de son plaisir intime. Elle aventure une main vers le pantalon. Elle ne prend pas le soin de défaire la fermeture et glisse fébrilement ses doigts entre la chemise et le tissu. Ils entrent vite en contact avec le membre congestionné. Elle le saisit, le jauge, tire dessus avec violence, les mâchoires serrées, le branle lentement pour mieux le sentir vibrer sous ses doigts. C’est Armand qui parvient à défaire le vêtement et à faire glisser son slip. Il se redresse et approche son sexe près du visage ma femme. Elle le tient toujours, aussi naturellement, elle le guide vers sa bouche, le regarde avec envie, ferme les yeux et le pose sur ses lèvres. Sa bouche s’entrouvre, sa langue sort et vient goûter le gland un long moment. Enfin, lui faisant franchir la barrière de ses lèvres, semble vouloir l’avaler et le mener au plus profond de sa gorge.


On dirait qu’elle étanche une soif terrible, elle suce avec vigueur et délectation. Les yeux toujours fermés, entre douceur et frénésie, elle tète. Une main le long de la hampe faisant de lents va-et-vient l’autre malaxant les testicules (en ce moment, elle dirait plutôt les couilles).

Elle manque presque de respiration sous l’émotion et l’effort. La main d’Armand appuie sur sa tête pour pénétrer encore plus profond. On devine aux mouvements de la peau des joues, le sexe gonflé, glissant sur la langue, au chaud dans cette bouche accueillante.

Je suis au comble de l’excitation. Mon sexe me fait mal, la gorge est sèche, mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine, l’œil rivé au viseur, je regarde ce sexe étranger dans la bouche de ma femme. Une légère bave s’échappe au coin de ses lèvres.


Le couple commence à perler de sueur.



Elle s’allonge complètement sur le canapé et écarte les cuisses pour l’accueillir.

Il vient sur elle, gardant appui sur ses bras et dirige son membre vers le sexe féminin.

Mais, attrapant le sexe d’Armand, Mary le retient, arrête le mouvement, puis se tourne vers moi, l’œil toujours rivé à la caméra, elle me tend la main et me dit, me suppliant presque :



J’attrape sa main et la serrant de toutes mes forces, je lui fais signe que oui.


Mary plonge alors son regard dans les yeux d’Armand et de son autre main, guide le sexe vers le sien.



L’homme s’applique, son gland se pose contre les lèvres gonflées, lentement il pousse, le faisant pénétrer et disparaître, augmentant progressivement la pression. Le sexe glisse graduellement, il semble ne vouloir jamais s’arrêter, aller toujours plus profond dans le ventre chaud.

Mary passe sa main libre autour de la taille de son compagnon pour qu’il vienne encore plus loin, plus près, elle avance son bassin d’un coup sec, reprend son élan et recommence. Elle veut le sentir buter au fond d’elle. Il l’a compris et à son tour la pistonne, d’abord en de lents mouvements et de plus en plus rapides, de plus en plus profonds, de plus en plus forts, presque violents.


Mary se mord les lèvres, les narines tour à tour pincées et dilatées, elle manque d’air. Elle ondule de tout son corps pour amplifier le plaisir. Elle tient toujours ma main. Elle me regarde reconnaissante, elle est bouleversante de plaisir et de désir. Elle murmure que c’est bon, qu’elle jouit, qu’elle aime être offerte ainsi, que c’est bon d’être prise, sans pudeur.


Avec la caméra, j’essaie de saisir tous ces moments forts, du regard éperdu de Mary au sexe d’Armand qui la possède totalement, des soupirs de ma femme aux mains sur ses seins fragiles.

Armand, que cette situation irréaliste surpasse, se concentre sur son sexe, pour faire durer ce ballet le plus longtemps possible. Il voit l’orgasme de la jeune femme monter progressivement, il sent ses muscles se tendre, son corps s’arquer, les veines de son cou se gonfler, son souffle manquer, ses yeux se révulser comme si elle allait s’évanouir.


Il ralentit le rythme pour faire redescendre la tension, qu’elle reprenne son souffle. De nouveau, il plonge plus loin, plus profond, au fond du sexe, du plaisir. Les seins délicats de Mary dansent sous lui, il en attrape un, l’empaume, le pince, le malaxe, lui fait mal.


Mary ne sait plus depuis longtemps où elle est. Son excitation la submerge, ses muscles lui font mal, ses sens ne répondent plus à son cerveau, elle n’analyse plus rien, à la fois offerte et active, possédée et possédante, cherchant à monter toujours plus fort dans le plaisir.


Enfin, n’y tenant plus, elle pousse un cri déchirant lorsqu’Armand explose dans son ventre. Il continue à la pistonner, encore et encore, pour lui donner jusqu’à la dernière goutte de son sperme brûlant, pour se vider complètement dans son ventre délicat.

Enfin, à bout de souffle, il relâche son étreinte.


Épuisée, Mary s’écroule, son amant est toujours en elle. Elle tient toujours ma main. Elle me tire vers elle et m’embrasse avec fougue pour me montrer combien elle m’aime.



À ce moment, Armand sait que Mary ne sera jamais pour lui, mais il ne lui en veut pas car il vient de vivre une expérience unique et inoubliable.