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Temps de lecture estimé : 19 mn
14/12/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Paul, Marie et Pierrette font une randonnée naturiste et découvrent un petit coin de paradis.
Critères:  fh fplusag frousses vacances bain pénétratio fdanus humour québec -camping
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : Camping

Chapitre 10 / 11
Troublante révélation

Résumé : Alors qu’ils sont occupés à baiser en pleine nature, Paul et Suzanne, deux campeurs, sont surpris par une jolie cycliste rousse apparemment décomplexée au point d’apprécier au passage le spectacle du couple en action.


Le lendemain matin, alors que Suzanne dort encore, Paul retrouve la belle rousse, une dame très sympathique et avenante, même à 67 ans. Ils sympathisent au point que Pierrette lui taille une petite pipe. L’exercice s’achève sous les yeux de Marie, la nièce de Pierrette venue en vacances en sa compagnie, et qui est d’ordinaire une animatrice de télévision sur laquelle Paul a déjà fantasmé.

Paul les aide à installer leur roulotte, puis se trouve soudain surpris par Suzanne, qui lui avoue avoir filmé la fellation matinale. Tabarnouche ! Heureusement que Suzanne n’est pas jalouse !


Paul apprend que sa copine doit le laisser seul pour quelques jours. Il se trouve aussitôt une excuse pour retourner voir ses jolies voisines de camping et a droit à un strip-tease involontaire de la part de la belle Marie Lemieux, lectrice de nouvelles à la télé. Et cela a été possible grâce à la complicité de sa tante Pierrette. Voilà une journée qui a bien commencé pour Paul !


Paul, nu et armé de sa minicaméra, décide de retourner au campement des deux rousses pour les filmer en douce. Mais l’aventure s’avère plus périlleuse que prévu, voire douloureuse. Toutefois, cela en valait la peine, car il les surprend à parler de lui et de sexe en prenant un bon café, bien installées toutes les deux au soleil et légèrement vêtues. Cela l’excite évidemment au plus haut point. Caché dans les buissons, il ne manque rien de leur conversation tout en filmant.


La chance lui sourit quand elles se dévêtent complètement, mais c’est à ce moment qu’un ours décide de s’inviter à la fête. Panique totale et tous trois filent (complètement nus) se réfugier dans la roulotte de Paul. Pierrette en profite et lui saute aussitôt dessus, bientôt imitée par sa nièce, mais leurs petits jeux se terminent plutôt rapidement et Paul, épuisé et endolori, s’endort. À son réveil elles ont disparu, mais il trouve une note sur sa table de cuisine. La nièce, la belle grande vedette de la télé, l’invite à souper en tête-à-tête.


Pendant que Paul se fait beau, un garde-chasse débarque et lui apprend que l’ours qui rôdait dans les parages a été capturé. Soulagé, mais le corps meurtri et avec un tour de reins, il se rend, pénitent, à son rendez-vous, s’attendant à passer un bon moment avec une baise facile. Hélas ! les catastrophes se succèdent et un ouragan leur tombe dessus. Mais une fois réfugiés tous deux dans la roulotte de Marie… la belle se dénude et lui saute dessus.

Ils baisent pendant que la nature se déchaîne pour finir par s’endormir épuisés.


Le lendemain c’est la dévastation, mais une équipe de tronçonneurs est déjà au travail pour dégager la route et leur terrain en reluquant la belle grande rousse en costume de bain. Puis Paul, Marie et Pierrette partent à l’aventure pour une randonnée naturiste et découvrent un petit coin de paradis. Une belle cascade, un grand lagon et un vieux chalet.








Pierrette, assise sur la vieille table de camping, écarta largement les cuisses et m’attira vers elle pour ensuite ramener ses longs cheveux roux encore humides dans son dos. Cela fit remuer ses seins magnifiques en forme de poire aux pointes tendues et recouvertes de grosse chair de poule que j’agrippai tout doucement pour les soulever et les presser en bandant dur.


Elle leva le menton croisant ses mains frêles sur ma nuque, les yeux mi-clos en me disant :



Au moment où mes lèvres touchaient les siennes, une envolée d’oies sauvages passa bruyamment juste au-dessus de nous pour suivre la rivière et disparaître vers le sud. L’automne approchait à grands pas. On se frencha longuement tandis que ma bite pulsait entre nous contre son ventre puis je lui dis à l’oreille, toujours en caressant sa poitrine tombante :



J’en frémis en sentant mon scrotum se contracter sous ses doigts frêles.



Petit sourire malicieux.



Petits yeux rieurs rivés aux miens. Les yeux d’une femme mûre qui avait dû voir et connaître tant de choses.

Puis elle regarda Marie qui semblait dormir étendue sur le sable tout en bas au bord du bassin et me regarda à nouveau.



Elle rit encore, si belle avec sa peau blanche presque translucide au soleil surtout aux seins. J’entrevoyais un joli réseau de veines bleues courant sous la peau se dirigeant vers ses mamelons roses et gonflés que j’agaçais tendrement avec mes pouces.



Gros sourire.

Sa main délicate de vieille dame recommença à me masturber avec une lenteur infinie. Elle serrait à peine comme si elle avait peur de casser ma bite et remontait sa main jusque par-dessus mon gland déjà trop sensible. Chaque petite bosse de ses doigts faisait se contracter mon anus.

Ouf !



Là, elle me fixa avec un étrange sourire avant de me dire tout bas sur un ton de confidence :



Elle rit.



Je clignai des yeux trois fois en fixant les siens. Mon disque dur fonctionnait au ralenti depuis hier.



Je clignai des yeux deux fois, imaginant Marie à 15 ou 16 ans sortant avec une fille. Wow !



Ma caverne à mouches s’ouvrit et se referma… « OK ! » me dis-je.



Gros soupir de ma part. Mon petit cerveau travaillait vraiment trop lentement aujourd’hui. Ma commotion sans doute. Encore.



Pierrette s’amusait à me faire languir, le visage fendu d’un large sourire moqueur. Je n’arrivais toujours pas à croire qu’elle était lesbienne.



Mes poumons se vidèrent d’exaspération.



Aucune réponse, mais elle retenait un fou rire.

Elle me masturbait toujours, mais distraitement et cela provoquait en moi un étrange mélange de plaisir et de déception. C’était comme se faire torturer à grands coups de plume.



Gros soupir de Pierrette toujours rêveuse qui ne m’écoutait pas du tout.



Petit rire coquin en me pressant le scrotum et jouant avec comme si c’était un sac de billes.



Gros rire.



Des corbeaux se font entendre au loin, puis un écureuil se plaint, comme si on lui marchait sur la queue.



Encore ce maudit écureuil-là qui chialait.



« Wow ! Je l’imaginais déjà. »



Du liquide séminal sortait déjà de ma petite fente qu’elle recueillit avec son pouce. Encore des grimaces.



« J’adore les petites langues pointues », me dis-je de plus en plus excité, sentant ses mains me presser les fesses à présent.


Pendant ce temps, ma petite cervelle de gars enregistrait, classait et digérait toutes ces nouvelles informations, mais si lentement ; Marie bi, sortant avec une fille, une autre vedette, mais mystérieuse celle-là, Pierrette lesbienne, pas croyable ! Possibilité de baise à trois. Ouf…

Et la petite langue quitte ma bouche.


Encore les corbeaux.


Je ravalai ma salive en fixant ses yeux verts si pétillants sentant mon gland contre son nombril et là on entendit Marie crier :



On tourna tous les deux la tête d’un même mouvement vers le bassin.

C’était Marie qui essayait de se débarrasser d’un écureuil en lui lançant du sable. C’était lui qui se plaignait comme ça. Bizarre.



Petit rire.



Elle planta ses ongles dedans avant de me les lâcher. Outch !

Puis elle amena ma main droite sur son sexe poussant mon majeur dans sa fente qui dégouttait. J’y enfonçai mon doigt bien au chaud jusqu’à la jointure en repliant les autres et l’agitai doucement en effleurant ma bite. À son tour de grimacer.



Je repliai mon doigt vers le haut à la recherche du mystérieux point G. Une quête que j’avais entreprise 30 ans plutôt. Pierrette soupira très fort et plissa les yeux. « J’ai dû le trouver. Hi ! Hi ! »



Le murmure de la cascade me sembla tout à coup plus fort tout comme l’odeur insistante des sapins.



Paf !


Une gifle cuisante sur ma joue droite qui me dévissa quasiment la tête. Outch !



Je plaçai un deuxième doigt en elle, encore sonné, en touchant avec la langue ma joue douloureuse. Elle courba les reins et gémit en mouillant plus. Elle me laissa faire quelques minutes en déglutissant fréquemment les yeux mi-clos.


Pendant ce temps, mon petit cerveau cherchait toujours le nom de la vedette mariée, avec des enfants, mais rien à faire. De plus, intello comme je suis, je ne lis jamais de magazines sur les stars comme Le Mercredi.


Mon pouce agace son clitoris. Elle en frémit, se tortille comme si elle avait une grosse envie de pisser et agrippe ma main soudainement très fort pour que je stoppe en laissant ses poumons se vider.

Son front heurte le mien en plein sur mes égratignures. Ça me brûle !



Elle se coucha sur le dos et remonta ses talons sur la table en soulevant ses seins pour amener ses mamelons à sa bouche. Je sortis mes doigts de son sexe pour empoigner ma bite en fixant son vagin aux grandes lèvres déjà gonflées et ouvertes. Je me crachai dans la main pour me frotter le gland pour bien le lubrifier et la pénétrer en douceur jusqu’à ce que mes couilles touchent la table. Je me penchai et commençai à sucer et mordiller ses mamelons avec elle, ou lui suçai la langue et la frenchai en sentant le soleil me chauffer les fesses et les couilles. Savoir que Marie en bas n’avait qu’à ouvrir les yeux pour nous voir redoublait mon excitation. Je baisais une lesbienne, ça me tournait dans la tête, qui n’en rêve pas ? J’allais me réveiller à un moment donné, c’était sûr.


Je me rappelais hier quand je les espionnais et que Pierrette appliquait de la crème solaire sur le dos et les fesses de Marie. C’est vrai qu’elle avait l’air d’aimer ça. Hi ! Hi !


N’en pouvant plus, je me redressai en m’agrippant à ses hanches et commençai à la fourrer doucement en la regardant amener sa main droite à son pubis pour se masturber l’autre toujours sur ses seins et se suçant toujours les mamelons, l’un après l’autre, qui avaient redoublé de volume. Le dos de ses mains était comme sa gorge, recouvert de magnifiques taches de rousseur. Pourquoi Marie n’en avait pas, pourquoi elle n’était pas rousse comme tout le monde dans sa famille comme elle l’avait mentionné ?


Ça me travaillait toujours tandis que nos pubis se tamponnaient durement… Et si…

Je stoppai, laissant mes mains caresser ses cuisses musclées.



Elle lâcha ses seins en expirant, ceux-ci roulèrent sur son torse en s’aplatissant jusque sur ses côtes.



Elle me fixait en souriant.

Elle était si belle avec sa peau de lait et luisante de sueur au soleil, ses seins pendants aux pointes dressées, ses taches de rousseur, sa toison rousse et ses cheveux mouillés.



Je lui contai ma petite histoire rapidement toujours bien bandé en elle lui donnant des petits coups de temps en temps tout en caressant son corps si doux et son visage se décomposa. Ensuite je lui expliquai pourquoi je pensais à cela depuis hier.



Un long silence, un long soupir et elle me prit les mains.



C’était Marie et son écureuil.



Gros soupir de ma part. Non, je n’étais pas sûr, pas sûr du tout.



Gros soupir et mon disque dur venait de figer.



Je me remis à la besogne en lui empoignant les seins, mais l’esprit ailleurs, et elle me gifla encore et pas à peu près. Ma mâchoire se décrocha quasiment.



Et elle rit en recommençant à se masturber et moi à me concentrer.



Elle haletait doucement, tournant la tête parfois et déglutissant. Ses orteils se repliaient ou se retroussaient chaque fois qu’elle accentuait ses pressions au sommet de son sexe. Je laissais mes mains courir sur son ventre, ses hanches, ses cuisses et finis par la prendre par les chevilles et lui tenir les jambes en l’air bien écartées pour la mettre avec plus de force et beaucoup plus de plaisir et ça devait s’entendre d’en bas.


Toute la chair tendre de son corps en sursautait. Quand je tiens une femme comme ça, je ressens toujours un étrange sentiment de puissance ! Submergé par le plaisir que je ressentais, je n’entendis pas Marie arriver, superbe avec ses cheveux mouillés et son long corps dégoulinant d’eau.

Ma sœur !



Elle me jeta un petit regard timide, sourire aux lèvres, en repoussant de longues mèches de cheveux humides derrière ses oreilles. Sœur ou pas, c’était bandant de baiser Pierrette sous ses yeux, surtout dans cette position.



Surpris je tournai la tête et le vis sur une souche qui nous fixait.

Eh bien !


Marie trouva la lotion en souriant, rouge jusqu’aux épaules et repartit sans dire un mot, tête droite, marchant fièrement suivie par son admirateur à longue queue poilue.



Je retournai la tête et…

Paf !

Une autre gifle et sur l’autre joue. Ma vue se brouilla.



Je reposai ses jambes sur la table et m’accrochai à ses seins pour la besogner comme un fou.

Pierrette jouit à ce moment-là. Ses genoux se plièrent et se refermèrent contre mes hanches et elle arqua le dos en gémissant tout bas… Elle rougit jusqu’aux seins en ayant l’air de souffrir terriblement et Marie cria.


Je tournai la tête à temps pour voir qu’elle avait glissé dans les escaliers et déboulait les marches sur les fesses avant de tomber à l’eau. Elle en ressortit très dignement en sacrant tout en se frottant le cul tout rouge.


Je retournai la tête en la reculant pour éviter une gifle. Mais pas cette fois.

J’attendis que Pierrette reprenne son souffle un moment avant de me retirer d’elle et de la faire se relever pour la descendre de la table et l’obliger à se retourner et se pencher dessus tandis que, d’un pied, je lui écartais les cuisses. Je la repris avec force me tenant à ses hanches en faisant sursauter ses fesses molles. Y manquait que la pleine lune.


Elle gémissait joue contre la table, bouche entrouverte, si belle, rudement secouée encore une fois avec ses seins écrasés sous elle et qui débordaient de son torse. Comme dans mon rêve je crachai sur l’anus plissé et y enfonçai mon pouce prudemment. Elle giflait trop bien, la dame.



Petite déception.



Je souris heureux en sortant mon pouce du petit trou pour lui pogner le derrière avec force, décidé à finir ma petite affaire.


Le soleil commençait à taper dur et moi à fatiguer.

Dix minutes plus tard, j’allais jouir quand Marie réapparut.



J’eus droit à une autre jolie grimace. J’étais amoureux de ma sœur, ça me frappa de plein fouet à ce moment-là et ça me rendit malheureux tout en me faisant conclure.


Je sortis rapidement ma bite du vagin et déchargeai en l’appuyant sur la craque de fesses de Pierrette. Mon sperme jaillit jusque sur ses cheveux en s’étalant sur son dos sous les yeux de Marie qui regarda malgré elle ma bite pisser du sperme sur sa tante. Puis elle fila sourire aux lèvres retrouver son écureuil sans doute.

Je couvris les reins et les fesses de Pierrette de foutre liquide et me reculai en me la pressant, en sueur et soulagé.



Son corps de mannequin dans la cinquantaine m’obsédait toujours autant.



Elle frissonna malgré la chaleur.



Après la baignade on se fit bronzer sur le sable tous les trois. La tête me tournait à force de me demander si je devais tout avouer à Marie au risque de ne plus pouvoir la baiser. Un dilemme égoïste. Pierrette me fit un clin d’œil en crémant le dos, les fesses et les belles cuisses de Marie couchée sur le ventre les yeux clos. Elle en profitait tandis que je la regardais faire en bâillant. Une vision céleste.



Elles rirent.



Elles rirent encore tandis que je me retournai obéissant et fermai les yeux en bâillant à nouveau.



J’entendis vaguement des rires sur un fond de cascade…


… Et Popa fit dodo.








Un peu de vocabulaire…



Abitibi : région de l’ouest du Québec

Asteure : maintenant

Agace : femme provocante

Un bec : un baiser

Barré : verrouillé, fermé à clef

Babouches : sandales de plage

Baveux : arrogant, moqueur

Brasser : secouer

Bouette : boue

Ma blonde : ma copine, même si elle est brune, ou rousse, ou chauve…

Ça regarde bien : ça s’annonce bien

Cégep : le collège

Chambranler : vaciller, tituber

(La) craque de fesses, la craque de plote : la raie du cul, la fente du sexe

Creux : profond, lointain

Câlis, crisse, ciboire, christi : jurons

C’est cute : c’est chouette, c’est mignon, sympathique

Chut : je suis

Crampé : plié de rire (ou pris d’une crampe)

(Tout) croche : tout de travers

Décrisse ! : fous le camp !

Enfarger : trébucher

Encan : vente aux enchères

Frencher : embrasser avec la langue

(Le) fun : l’amusement, le plaisir

Fret : froid

(une) Gagne : une bande

Garnotte : gravier

Gazou : mirliton

Gratteux : billet de loterie

(avoir le) Goût : (avoir l’) envie

Liqueur : soda, boisson gazeuse

Moumoune : délicat(e)

Maudit : juron

(Avoir de la) misère : (avoir des) difficultés

(des) Ménés : des vairons, du fretin

(Sa) noune : son sexe (femme)

Nono, nonote : niais(e), imbécile

(Un) pouce : un auto-stop

Par exemple : par contre

Pogné : ému, embarrassé, intimidé, réservé

Pogner : prendre, attraper

Pis : puis

(Sa) plote : son sexe (femme)

Pantoute : du tout

Pareil : quand même

(C’est) plate : c’est fâcheux, c’est ennuyeux

Sacrement, shit : jurons

Tabarnak : gros juron

Tabarnouche, tabarouette : jurons plus légers qu’on prononce pour éviter « tabarnak »

Triper, flipper : fantasmer