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Temps de lecture estimé : 11 mn
15/12/11
Résumé:  Deuxième jour de plage, où je retrouve mes voisines coquines de la veille, pour un après-midi encore plus torride. Mes espoirs ne sont pas déçus.
Critères:  fh hépilé fépilée vacances plage voir exhib nudisme noculotte massage fellation confession -plage
Auteur : Lastone            Envoi mini-message

Série : Silas

Chapitre 02 / 06
Silas, Saison 1 Episode 2

Résumé du premier épisode : Je viens d’arriver chez mon frère pour me ressourcer en bord de mer. Lors de mon premier jour sur la plage quasi déserte, j’ai rencontré Christel et Julie. Après un petit jeu de séduction à distance, Christel et moi nous sommes respectivement livrés à une séance de masturbation en plein air, avant de décider de nous revoir le lendemain.





Silas, Saison 1 Épisode 2



Je ne pensais pas pouvoir dormir aussi bien dans une période présumée douloureuse de ma vie. Au matin du deuxième jour, je me réveille lentement en milieu de matinée, plutôt détendu. Enfin presque détendu, car une partie de mon corps me prouve l’inverse. J’adore ces matins de réveil en douceur, ponctués d’une énorme érection, c’est une sensation agréable. Je ne sais pas si j’ai rêvé ou simplement repensé à mon après-midi d’hier, mais je suis dans un état d’excitation terrible, mon sexe est tellement dur que j’ai la sensation que je pourrais casser des briques avec. Machinalement, ma main glisse sous le drap, effleure mon gland et presse fortement mon sexe tendu, qui sous l’impulsion se gonfle encore plus. Je fais glisser ma main légèrement tout le long, en marquant des pauses pour titiller mon gland, puis je redescends jusqu’à caresser mes couilles lisses. Tout en faisant ça, je ne pense qu’à la veille et à l’après-midi qui m’attend, enfin je l’espère.


Je me résous à ne pas me faire jouir en solitaire une fois de plus, même si la tentation est grande. Je me lève, au garde-à-vous, il faut que j’arrive à me changer les idées, un petit déjeuner copieux avec le journal fera l’affaire.


Le temps m’a paru bien long mais, tant bien que mal ça y est, nous sommes à une heure décente pour aller à la plage. J’ai une boule au ventre en marchant sur le chemin, car je sais que la journée d’hier fut exceptionnelle, et je n’ai aucune garantie de revivre de grands moments ni tout simplement de revoir Christel et Julie. Qu’importe, au pire je passerai la journée à bouquiner sur la plage, il y a pire. Une fois arrivé, je décide de ne pas me laisser envahir par la déception. Les emplacements d’hier sont vides, suis-je en avance ou serais-je seul pour la journée ? Comme hier, je m’installe et je renouvelle l’expérience de laisser mon maillot au fond de mon sac. Illico, je pars me baigner, vu mon état un peu d’eau fraîche ne me fera pas de mal. Je guette du coin de l’œil les éventuels mouvements sur le sable, mis à part l’arrivée du couple déjà présent hier, rien à signaler pour combler ma déception. Je regagne ma serviette, oubliant presque déjà que je ne porte pas de maillot. Je me sèche et je remarque que le couple s’est installé plus près de mon emplacement aujourd’hui, seulement à une trentaine de mètres, ce qui me confirme qu’ils nous ont vus et bien vus hier, dans notre séance de badigeonnage de crème solaire. D’ailleurs, une fois assis, je m’empresse de me tartiner de crème, sans nostalgie aucune.


Absorbé par mes pensées, je n’entends pas les bruits de pas derrière moi. Seul un « bonjour, Silas » prononcé de façon simultanée me fait tourner la tête et m’arrache un immense sourire tout ce qu’il y a de plus sincère. Je dois contenir l’émotion qui vient battre mes tempes et garder une contenance. Surtout que je ne sais rien des intentions ni des vies de mes interlocutrices. Elles s’installent juste à côté de moi, étendent leurs grandes serviettes et se mettent en maillot. Enfin non, car j’ai la joie de découvrir que Christel a opté à son tour pour le nu intégral, me dévoilant son superbe corps. Julie a, elle, troqué son bas de maillot pour un string, ce n’est pas un maillot de bain, mais ça fera l’affaire, me dira-t-elle plus tard. Je suis un peu gêné, je ne peux me résoudre à les observer sans retenue. Malgré la gêne que je souhaite partagée, la discussion s’enchaîne de façon très naturelle, j’apprends qu’elles ont vingt-six ans toutes les deux, et qu’elles terminent leurs vacances avant de reprendre la fac. J’offre les premières cigarettes de l’après-midi, tandis que nos regards – qui en disent long – se croisent régulièrement.


Je ne veux pas rester dans cet état de non-dit, et surtout je ne veux pas que nos gênes puissent gâcher une belle journée. Je leur fait remarquer que le couple présent hier s’est rapproché de nous, à une distance correcte, mais plus près qu’hier. Je leur avoue ma certitude d’avoir été « espionnés » hier, et que ce qu’ils ont vu les a amenés à aller passer du bon temps dans les dunes. Nous rigolons à l’évocation de cette possibilité. Il s’en suit tout un rituel de jeux de séduction propres à la plage, des regards, de gentilles bousculades, on s’envoie de l’eau, du sable, on se chamaille, enfin tout ce qui permet de créer une complicité et des contacts parfois rapprochés.


C’est essoufflés et pleins de sable que Christel et moi allons nous rincer dans les vagues, tout en se cherchant mutuellement. L’eau est beaucoup plus fraîche qu’hier, ou peut-être est-ce moi qui suis beaucoup plus bouillant, je sais que je ne vais pas rester trop longtemps dans l’eau, parce que je suis un peu frileux et que je ne voudrais pas ressortir en ayant le sexe de la taille de celui d’un gamin de dix ans ! Je plonge dans l’eau, me frotte de la tête aux pieds. J’ai encore du sable plein le dos, Christel aussi, j’entreprends alors de la débarrasser de ce qui la gêne. D’abord à portée de main, puis le mouvement des vagues nous fait plus ou moins perdre l’équilibre, ce qui nous rapproche considérablement, jusqu’à ce que nos corps se frôlent.


Nos mains abandonnent peu à peu nos dos respectifs pour commencer à se promener sur le corps de l’autre. Ces caresses, malgré un peu de sable, sont tendres et douces, les hanches, le haut des fesses, le ventre… Ma main remonte de son nombril jusque sous ses seins, que je commence à effleurer. Sa main gauche se promène de mon ventre jusqu’à mon pubis et sa main droite est plaquée sur mon torse. Je n’en peux plus, je l’agrippe par la hanche et la plaque contre moi, notre désir naissant ou les vagues, peu importe, nous collent encore plus et nous amènent à nous rouler une pelle mémorable. J’adore cette sensation de la sentir contre moi, ses seins qui pointent (le froid ?) contre ma poitrine. Là c’est sûr, pas de doute possible, je ne ressemble pas à un gamin de dix ans. Je retrouve mes sensations du réveil. Pourtant l’eau est froide, ses lèvres en sont violettes.



Je me suis mis debout pour illustrer mon propos, mon sexe grossi affleurant à la surface de l’eau entre deux vagues. Elle éclate de rire.



Inutile de dire que je ne suis pas très à l’aise à l’idée de marcher nu, la bite regardant vers le ciel en mouvement saccadé. Mais l’idée m’excite, surtout accompagné de Christel, et la plage nous appartient… presque. Car forcement, en regagnant nos affaires, il a fallu que nous rencontrions le couple, parti à son tour se rafraîchir.



Entre deux éclats de rire, sans hésiter Christel prend dans sa main l’objet de ma honte passagère, encore très gros. Comme si elle me donnait la main, sauf que là, j’ai les deux mains libres. Au passage, cette situation nous vaut deux grands sourires, sûrement complices, de la part du couple. Je n’en suis plus à une excentricité près.


Comment débander après ça ? Je n’en sais rien, ma serviette m’enveloppe pour me permettre de souffler un peu. Même si le sang repart de mon sexe, pour à nouveau irriguer mon cerveau, je reste terriblement excité. Une cigarette nous calmera certainement.


Julie somnole et ne semble pas nous prêter attention. Le soleil chauffe juste ce qu’il faut. Je propose à Christel de lui passer de la crème solaire, non sans lui faire un clin d’œil. Je m’assieds derrière elle, mes jambes entourant les siennes, légèrement écartées. Son dos est vite couvert de crème, mes mains sont déjà passées de l’autre côté et étalent la crème sur son cou et le haut de ses seins. Je descends doucement, j’étale calmement, j’entoure ses seins par de petits mouvements jusqu’à ses tétons, que je sens durcir légèrement. Et je recommence deux ou trois fois, et je masse en y mettant de plus en plus de pression. Je la sens frémir contre moi.


Ma main droite descend le long de son ventre et ma main gauche ne desserre pas son emprise. Je passe délicatement sur son pubis et dévie pour aller caresser le haut de sa cuisse. Je fais des allers-retours, du bout des doigts. Et je m’attarde sur l’endroit le plus doux, entre sa cuisse et son petit minou. Elle apprécie, sa respiration a changé. Je passe mes doigts tout autour de son sexe, je frôle d’un doigt ses grandes lèvres, ce qui lui déclenche un soupir profond. J’accentue ce mouvement en pressant un peu plus. Elle écarte les jambes pour m’inviter à plus. Invitation que je ne refuse pas. Mon majeur fait un va-et-vient sur son clitoris, puis descend en écartant les lèvres. Elle est très excitée, elle mouille terriblement, j’adore ça. Je le suis aussi, excité, je bande comme un fou et depuis un moment déjà. Mon doigt la pénètre de quelques centimètres sans aucun problème et remonte tout humide sur son clitoris. Je répète le mouvement quelques fois, sans trop enfoncer mon doigt pour le moment. Je dépose de sa mouille sur son clitoris pour le lubrifier et jouer avec. Elle semble adorer, les jambes écartées, offertes à mes doigts, au soleil et au vent.


Moi de mon côté, je suis tendu. J’ai la queue dure, dressée, collée contre le bas de son dos. Je sais qu’elle apprécie de me sentir si excité, elle se recule par moment pour exercer une pression supplémentaire. J’en étais à me demander si j’allais oser la pénétrer avec deux doigts là, maintenant, sur la plage, quand j’ai aperçu le couple venir dans notre direction pour rejoindre leurs serviettes. Ils remontent de la mer, pile en face de nous, certainement pour mater un peu, vu notre spectacle de tout à l’heure. Et si je ne m’arrête pas et que je n’en avertis pas Christel, qui a les yeux fermés, ils auront un nouveau spectacle. Je m’arrête doucement, pose ma main sur sa cuisse. Je lui murmure dans l’oreille qu’il y aura du passage dans peu de temps et que si elle veut, elle peut refermer ses cuisses. Les yeux ouverts, elle reconnaît le couple et décide que cela n’a pas d’importance, tant mieux pour eux. Elle agrippe ma main et la replace fermement sur sa chatte et écarte encore plus les jambes.



Je ne me fais pas prier, ce côté exhibitionniste me ravit. Ma queue me fait presque mal tellement je bande.


Lorsque le couple arrive à notre hauteur, évidement ils ralentissent le pas. Ils n’ont d’yeux que pour l’entrejambe de Christel, totalement ouverte, son joli minou trempé bien branlé par ma main. Nous échangeons un sourire complice lorsqu’ils sont à mon niveau, le spectacle leur plaît.



Christel ne me répond pas, sa respiration s’accélère, elle bouge de plus en plus son bassin. Mes doigts font des merveilles. Elle ne tarde pas à jouir en étouffant quelques petits cris.


Julie ouvre un œil à ce moment-là, même si je la soupçonne de nous épier depuis quelques minutes. Lascive, elle nous regarde, comprenant ce qui vient de se passer, ou peut-être ce qu’elle vient de rater. Christel a l’air réjoui, et moi je suis encore une fois la bite à l’air et en l’air, détail que je ne prends même plus la peine de cacher. Elle se redresse, s’étire, gonflant sa poitrine, jette un coup d’œil aux alentours et s’écrie :



Nos regards se portent vers le couple derrière nous. Je savais qu’ils ne pouvaient rester insensibles à notre spectacle. En effet, ils s’envoient en l’air, lui allongé en cuillère derrière elle. Il lui lève la jambe bien haut et effectue de puissants va-et-vient. Ils sont tournés vers nous, comme pour nous dire que c’est à leur tour de nous offrir un spectacle. Nous sommes un peu loin pour profiter de tous les détails, mais le spectacle vaut le coup.



Dans un mouvement d’humeur, elle décide d’aller se baigner seule. Christel me fait comprendre que ça ne devrait pas durer longtemps, sa mauvaise humeur.


Qu’elle aille se calmer, ou se tripoter dans l’eau, comme elle veut, si ça peut la soulager et la détendre ! Pour ma part, je matte le couple s’ébattre. Christel est contre moi et en fait autant. Je n’avais jamais vu jusqu’à aujourd’hui un couple faire l’amour, à part dans les pornos. Eh bien, c’est encore plus excitant. Heureusement Christel, sans détacher son regard du couple, décide de commencer à me branler, lentement. Sa main se balade sur ma queue. Elle enfouit mon gland dans la paume de sa main, puis ouvre sa main, descend jusqu’à mes couilles, puis remonte. Je commence à perdre tout sens de la réalité, pourtant je suis presque sûr que le couple nous regarde et nous sourit. Christel se penche alors sur moi pour mettre sa tête à hauteur de ma bite. J’en crevais d’envie. Elle commence par donner des coups de langue sur mon gland, tout en me branlant en douceur. Sa langue s’enroule autour de mon bout tout gonflé, puis elle le serre entre ses lèvres, jusqu’à le faire disparaître dans sa bouche. Commence alors un mouvement divin. Que sa bouche est bonne, chaude et humide, une perfection. Sous le plaisir, mes yeux se ferment d’eux-mêmes.


Christel se redresse, m’embrasse, puis me demande si j’ai des capotes. Pendant un quart de seconde mon cerveau se retourne. Putain des capotes ! Comment je n’ai pas pensé à prendre des capotes à mon frère ! Je suis trop con.



Cette idée la fait sourire.



Et sa tête replonge vers mon sexe. Ses mouvements sont plus rapides, plus efficaces. Elle a clairement décidé de me faire jouir avec sa bouche, ici et maintenant.


J’avais raison, il ne faut pas longtemps avant que j’explose. Je suis tellement excité que je tremble de partout au moment où j’éjacule. Je sens le sperme tout chaud sortir de sa bouche et couler lentement le long de ma bite jusqu’à mes couilles. Christel lève la tête, toute souriante, un peu de sperme au coin des lèvres. Je prends sa tête entre mes mains et l’attire vers moi pour l’embrasser goulûment. Ma langue passe sur ses lèvres pour récolter le peu de ma semence encore présent, avant de lui rouler une énorme pelle. Nos langues s’unissent, avec le goût si particulier du sperme. Ça ne me dérange pas le moins du monde, au contraire, même. Et il n’y a pas de raison qu’elle soit la seule à y goûter.


J’ai vu au moment de l’embrasser de l’étonnement dans ses yeux, et un sourire juste après.


Nous fumons une clope l’un contre l’autre, en regardant le couple passé en missionnaire. L’ardeur qu’ils mettent à se donner du plaisir devant nous me ferait presque repartir pour un tour. Mais je n’ai pas le temps de laisser apparaître une érection, Julie revient vers nous, calmée semble-t-il, mais pas bavarde. Elle s’affaire, range ce qui traîne dans son sac et se change. Christel me dit qu’elles vont y aller, elle a besoin de parler avec Julie qui ne va pas fort. Elle a raison, et puis moi les râleuses permanentes ça me saoule. De toute façon, je me mets en route aussi, j’ai promis à mon frère un bon repas préparé par mes soins ce soir. Je les regarde partir en faisant un signe de la main. Nous n’avons rien dit de plus.

Je ne sais pas si elles reviendront demain…