n° 14707 | Fiche technique | 17518 caractères | 17518Temps de lecture estimé : 11 mn | 16/12/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Histoire mi réelle, mi fiction... Je présente ma chérie à un amant directif qui l'initie, en ma présence, à de nouveaux plaisirs. | ||||
Critères: fhh hplusag cérébral voir noculotte ffontaine fellation pénétratio fsodo glaçon bougie init -initfh -couple+h -cocucont | ||||
Auteur : Nyssia63 Envoi mini-message |
Élise est ma compagne depuis quelques années. Son passé a fait naître en elle une forte méfiance, voire une rancœur envers les hommes. Si ce sentiment a tendance à s’estomper au fil des années, elle reste toute de même très rebelle ; ce qui se traduit dans le domaine sexuel (en apparence du moins, mais on y reviendra), par une attitude plutôt active et dominatrice.
Dès le début de notre relation, elle m’avait fait part de son désir « d’essayer » avec une femme. Qu’à cela ne tienne ! Aussitôt dit, aussitôt fait (ou presque)… Elle a connu plusieurs relations bisexuelles qui se sont plus ou moins bien déroulées, sans pour autant lui apporter le plaisir qu’elle aurait espéré. Voyant cette semi-déception, soucieux de prévenir la routine dans le couple ou de découvrir de nouveaux plaisirs, je lui proposai d’avoir « recours » à un autre homme. Aussi, presque naturellement, nous en sommes venus au trio.
Là aussi, les succès ont été en demi-teinte : les gentlemen qui savent créer une ambiance érotique, qui savent draguer, séduire, pour enfin parvenir à « assurer » au niveau sexuel sont bien rares… Quoiqu’il en soit, les relations avec un homme seul restent tout de même bien moins compliquées qu’avec les femmes et les couples. Donc, malgré une sélection très stricte, nous parvenons à faire des soirées trio assez agréables.
Nous avons connu Marc sur un site de rencontres. Il s’est présenté comme un homme non pas dominateur (ce qui aurait été rédhibitoire), mais plutôt dirigiste, c’est à dire qui souhaite prendre les devants, proposer les choses (à la limite d’imposer) sans attendre que ce soit Élise qui fasse les premiers pas. Enfin ! La plupart des hommes (et des femmes) rencontrés jusque là se montraient tellement en retrait, passifs, peu sûrs d’eux, que c’en devenait désespérant !
J’avais tchatché avec Marc afin de définir ensemble les orientations à donner à notre relation. Il habite dans un village pas très loin de chez nous et il souhaitait que je lui amène Élise vêtue, sous son manteau, de ses bas seulement. Lorsque nous sommes arrivés un soir devant sa porte, c’est Élise qui a dû sonner. Son manteau était largement ouvert, ce qui laissait apparaître ses jambes gainées de noir et, au sommet, ce délicieux petit triangle pointé vers le bas et fendu sur sa partie haute d’une fine ligne noire verticale brillante et lisse, appelée « ticket de métro ». Ses petits seins restaient cachés sous le manteau.
Marc ouvrit la porte et avant de souhaiter la bienvenue, la toisa longuement de haut en bas. Élise, malgré son apparente décontraction habituelle, était gênée : se retrouver presque nue devant un inconnu était pour elle une première. Je lui avais demandé deux choses : qu’elle laisse son manteau ouvert jusqu’à ce que Marc décide de lui retirer et lorsqu’elle serait assise à l’intérieur, de ne jamais croiser ni serrer les cuisses de façon à ce que son minou reste constamment visible, sinon accessible.
Marc la fit entrer, je suivis. Il écarta son manteau afin de voir les seins, la prit par la taille et lui donna un tendre baiser. Élise était-elle rassurée ? Déjà excitée ?
Il lui retira son manteau et la fit se retourner. Il caressa ses fesses rebondies puis la plaqua contre lui, les mains sur les seins et l’embrassa longuement et tendrement dans le cou en la mordillant. Élise fermait les yeux, baissait la tête, se laissait faire.
Notre hôte nous fit asseoir. Sur la table, les verres, les toasts et le champagne étaient déjà préparés. La lumière tamisée, une musique douce, un bâton d’encens se consumait en diffusant dans la pièce une odeur très agréable.
Nous avons bu quelques verres en discutant un peu de chacun de nous afin de faire connaissance. Élise était assise près de lui, ses fesses nues sur le canapé et je remarquai qu’elle respectait parfaitement la consigne : ses cuisses ne se touchaient pas. Marc l’avait noté aussi car il jetait parfois de brefs regards dans cette direction.
Que pensait-il à ce moment ?
« Dans un instant, ce trésor que l’on devine, là, collé sur le tissu de mon canapé, va être à moi. Puisque son homme me l’offre, je vais posséder cette fille devant lui. Je vais l’ouvrir, la pénétrer, lui montrer qu’il existe des plaisirs différents de ceux que lui procure son homme au fond du lit conjugal. Le temps d’une soirée, elle sera à moi, qu’à moi ; elle sera ma reine ou mon objet… ou les deux à la fois… »
Marc la fit lever, la prit dans ses bras et l’assit sur la lourde table en bois sur laquelle il déroula une couverture moelleuse. Élise s’y coucha sur le dos et son trouble lui fit oublier la consigne : ses jambes étaient serrées mais Marc y remédia en les ouvrant largement de sorte que les pieds d’Élise dépassaient de chacun des bords de la table.
Pendant ce temps, les deux hommes continuaient à boire un verre et, tout en discutant, caressaient et embrassaient par intermittence ce joli corps ainsi offert.
Au bout d’un moment, ayant sans doute jugé que sa reine-objet était suffisamment détendue, Marc lui plaça un gros coussin sous les fesses afin de bien lui remonter le bassin. Ainsi soulevée, il lui était impossible de laisser ses jambes tendues. Elle était obligée de les replier en posant les pieds de chaque côté du coussin. Marc prit un bol de glaçons et le délicieux supplice d’Élise commença : il lui caressa lentement la vulve avec l’objet glacé. Elle n’avait jusque-là manifesté aucune émotion mais maintenant, la sensation était trop forte : elle ne put s’empêcher de pousser de petits cris.
Je lui tenais fermement les genoux repliés sur sa poitrine afin qu’elle ne put ni se dérober au glaçon en bougeant le bassin, ni nous cacher aucun détail de son supplice : Marc n’épargnait évidemment pas le clitoris et nous voyions l’eau fondue couler sur les lèvres encore fermées, remplir au-dessous le petit trou rose (lui aussi bien fermé !) puis, après avoir mouillé toute la raie des fesses, s’épandre sur le coussin.
Au moyen d’un nouveau glaçon, Marc lui ouvrit les lèvres et caressa l’intérieur de la vulve sans pour autant enfoncer le glaçon dans le vagin, ce qui pourrait causer une brûlure.
Élise se tortillait et poussait de petits cris. Je l’embrassai tendrement.
Lorsque son minou fut bien refroidi, Marc y posa sa langue chaude. Le contraste procure un effet saisissant : Élise criait maintenant, mais bien de plaisir !
Marc m’avait prévenu : il excelle dans les léchouilles. Ce que je constatais le confirmait bien !
De mon côté, je lui avais indiqué au préalable la façon dont elle aimait être doigtée : le massage de la paroi interne supérieure, dès l’entrée du vagin, lui procure une excitation infaillible… Le point G existe bien, j’en témoigne !
Elle devenait folle de désir. Je me reculai un instant, le temps de prendre quelques photos de cette scène sublime…
Pendant que ma chérie reprenait un peu ses esprits, Marc se déshabilla et vint présenter son sexe tout tendu à la bouche de sa reine. Elle l’avala d’un seul trait, tout en fixant son amant dans les yeux. Je me dépêchai de prendre en photo cette première fellation.
Habituellement, ce moment est celui que je choisis pour prendre ma chérie : voir ainsi deux sexes en elle simultanément est d’une grande excitation. Mais aujourd’hui, Marc m’avait demandé une faveur : avoir la primeur des pénétrations. Bref : il voulait être le premier en haut ou en bas, comme s’il déflorait sa reine. Je lui laissai bien évidemment ce privilège…
D’autre part, j’avais remarqué lors de nos expériences précédentes qu’Élise semblait prendre plus de plaisir à être pénétrée par un nouvel amant que par moi. L’effet de l’interdit, de la nouveauté sans doute… je ne veux pas la priver d’un tel plaisir.
Marc se retira de sa bouche et vint se placer en bout de table, au-dessus de sa tête qu’il tira dans le vide. Élise lui lécha les testicules, parfaitement lisses et tenta (mais en vain vu sa petite bouche), de les gober.
Il revint ensuite se placer à l’autre bout de la table, me demanda de tenir les jambes de ma chérie relevées et il la pénétra délicatement. Il prit ses jambes, les passa sur ses épaules et se coucha sur elle pour l’embrasser tendrement tandis que son sexe, maintenant complètement enfoncé, malaxait sans relâche le petit ventre de la reine de la soirée.
Mais la soirée ne devait pas s’achever encore : il fallait se maîtriser ! Marc se retira, je posai mon appareil photo et nous profitâmes tous les trois de cette pause pour nous asseoir et boire un verre. Marc attira Élise vers lui, elle s’assit de dos sur ses genoux et les yeux mi-clos, renversa sa tête sur lui, comme épuisée par cette première mi-temps… Cette position tendait ses seins encore pointus de l’excitation, et son amant les caressa doucement pendant qu’il l’embrassait encore.
Sans doute déjà reposée (ou encore avide ? ou grisée ?), au bout d’un moment et après quelques verres de champagne, je vis à ma grande surprise qu’Élise prenait dans sa main la verge ramollie qui se trouvait sous ses cuisses et la caressait délicatement.
De sa propre initiative… La coquine… elle ne m’avait pas habitué à cela !
Marc lui chuchota juste un petit mot à l’oreille que je ne perçus pas et je vis Élise se lever, venir s’agenouiller entre les jambes de Marc et sucer son sexe qui durcit dans sa bouche.
Une autre petite discussion à l’oreille et Élise vint se placer debout, face à la table, puis coucha son buste sur la couverture de la table et ouvrit largement ses jambes.
Restés sur le canapé, nous la regardâmes, sans bouger, un long moment. Marc lui avait-il expliqué à l’oreille ce qui l’attendait ? Ou bien lui avait-il laissé imaginer les meilleures ou les pires choses ? Je ne le sais pas.
Il alla chercher dans la pièce voisine un briquet, une bougie… Il la pénétra de son sexe puis, tout en restant en elle, alluma la bougie et fit lentement couler la cire chaude sur ses fesses, dans le creux de ses reins… Aux premières gouttes versées avec suffisamment de hauteur, Élise grimaça. Mais le flux de la cire devenant plus intense et avec moins de hauteur, la chaleur augmenta. Élise poussa de petits gémissements, s’agita, tortilla son bassin pour le plus grand plaisir de son amant toujours profondément enfoncé en elle…
La douleur de ma chérie se transforma en excitation : elle ne remua plus son bassin pour échapper aux gouttes chaudes, mais pour mieux sentir le sexe qui la besognait.
Parfois, ses yeux effarés croisaient mon regard… je lui souris d’un air approbateur…
« Éclate-toi, ma chérie, sans retenue. Profite au maximum de ce plaisir que je te permets de prendre avec d’autres hommes, explorons ensemble tous ces nouveaux horizons pour autant qu’ils nous apportent satisfaction à tous les deux… »
Élise est une vraie femme-fontaine. Excepté lorsque nous sommes tous les deux, elle ne peut pas se lâcher jusqu’à l’orgasme de peur de surprendre négativement ses partenaires. Elle se retient donc, mais ça ne l’empêche pas de prendre beaucoup de plaisir. Un jour peut-être, lorsqu’elle sera entièrement en confiance avec un partenaire avisé, elle jouira sans retenue.
Après avoir éteint la bougie, Marc se retira dans la pièce à côté
Je profitai de ce moment pour retirer de ses reins toute la cire refroidie et la câliner, un peu pour lui montrer que j’étais près d’elle, que je partageais son plaisir.
Marc revint un moment plus tard, rafraîchi et avec un tube de gel à la main.
Lorsque nous avions tchatché, il m’avait demandé quels étaient les tabous d’Élise. La sodomie est le principal. Son blocage est à deux niveaux : physique d’une part car son petit trou n’apprécie pas la largeur de mon sexe. Ce premier blocage pourrait toutefois se résoudre avec un partenaire dont la taille est plus adaptée… D’autre part, blocage d’origine psychologique : la peur de ne pas être parfaitement propre. Là aussi, des solutions peuvent être trouvées assez facilement.
Pour ces deux raisons, j’avais indiqué à Marc que « pour le moment », cette pratique restait taboue.
Les conditions de réalisation de cette soirée étaient jusque-là idéales : on sentait Élise complètement détendue, abandonnée même… Marc estima donc qu’il pouvait relever le défi de ce dernier interdit.
Élise, toujours à demi-couchée sur la table, ne devinait probablement pas les intentions de son amant. Elle réalisa rapidement lorsque qu’un doigt froid et mouillé commença à caresser sa grotte secrète. Sa réaction ne se fut pas attendre :
Et elle se redressa vigoureusement.
Il lui glissa encore quelques mots à l’oreille et Élise, bien que toujours debout et raidie, sembla se détendre à nouveau en posant ses lèvres sur celles de Marc, puis sa tête sur son épaule. Ils restèrent ainsi un long moment, collés l’un à l’autre, face à face, enlacés tendrement.
Marc me demanda alors si je pouvais les laisser un moment. Ils s’assirent sur le canapé, je quittais la pièce. Cette pause dura longtemps, peut-être quinze minutes, peut-être trente, je ne sais pas. Ces minutes m’ont paru très longues. Dans la pièce à côté, j’entendais des murmures sans arriver à comprendre le sens de la discussion.
Marc m’appela.
Quand j’entrai dans la pièce, quelle ne fut pas ma stupéfaction : Élise était couchée sur le canapé, en chien de fusil, le visage enfoui dans les coussins, les fesses du côté extérieur, une main de Marc posée dessus. En regardant de plus près, je m’aperçus que seuls trois doigts de sa main étaient visibles. À l’évidence, les deux autres étaient à l’intérieur des reins de ma chérie.
Il avait donc réussi à la convaincre ! Quel artiste !
Je caressai les cheveux d’Élise. Et nous restâmes longtemps comme ça, dans le silence, les yeux fermés.
Marc sentant vraisemblablement le relâchement total d’Élise, il retira sa main, la mit à quatre pattes sur le canapé avec de gros coussins sous son ventre afin qu’elle soit bien installée, puis présenta son sexe à l’entrée de la grotte. Élise savait maintenant ce qui l’attendait. Le moment de vérité… allait-elle protester ? Allait-elle ruer comme un cheval nerveux ? Elle me regarda fixement dans les yeux, d’un regard mi-effaré, mi-interrogateur. Attendait-elle mon autorisation de laisser tomber son ultime barrière ? Attendait-elle un réconfort dans mon regard ?
Je lui souris, lui appliquai une bise sur le front. Elle baissa la tête, résolue.
Marc lui tenant une main comme pour la réconforter aussi, il me demanda de lui maintenir les fesses ouvertes. Très lentement, sans forcer, sans précipiter, il s’enfonça dans ses reins.
Élise râla longuement et lorsqu’il fut entièrement en elle, il ne bougea plus pendant plusieurs minutes. Je lâchai ses fesses et lui donnai ma main qu’elle serra très fort. Peu à peu, je la sentis se relâcher. Marc le sentit aussi.
Toujours aussi lentement, il commença à aller et venir en apportant une grande attention aux réactions d’Élise afin de ne pas la blesser.
Elle recommença à râler, de plus en plus fort au fur et à mesure que son amant accélérait le rythme.
Elle se redressait sur ses bras, en regardant le plafond, les yeux révulsés, la bouche ouverte. Puis, alternativement, replongeait son visage dans les coussins. Elle ne se dérobait plus à l’assaut de l’amant, mais au contraire semblait le provoquer.
Je n’avais jamais vu Élise dans un tel état de transe !
Puis, assez rapidement, un long cri d’extase. Je regardai le jet de liquide s’épandre sur le canapé. Elle avait joui !
Presqu’au même moment, Marc fit de même puis retomba sur le dos de sa reine, épuisé.
Après avoir pris une douche ensemble, les deux amants m’ont rejoint dans le salon pour finir la soirée en discutant de cette aventure, devant un verre.