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n° 14708Fiche technique7540 caractères7540
Temps de lecture estimé : 6 mn
17/12/11
Résumé:  Fidèle, elle me trompe...
Critères:  fh extracon cocus boitenuit noculotte intermast -regrets
Auteur : Fripon2
Accro à son amant d'un soir

Souvent, en faisant l’amour à ma femme, je fantasmais à haute voix, sur le fait qu’elle ait un amant endurant et bien doté par la nature. Cela l’exciterait beaucoup pour autant que je la regarde pendant qu’elle se ferait baiser. Elle disait qu’elle se comporterait comme la reine des garces. Mais il s’agissait uniquement de paroles ou de récits racontés durant nos jeux sexuels. Par contre, je remarquais que chaque fois que je la caressais en lui racontant mes fantasmes, elle jouissait bien plus que d’habitude.


Un soir pourtant, elle me confia qu’elle serait peut-être prête à essayer, afin de pimenter notre vie sexuelle, mais qu’il fallait impérativement que je la regarde. C’était le deal. Comme elle était ouverte à la discussion, j’en profitai, tout en la caressant, pour lui demander le genre d’homme avec qui elle aimerait essayer et comment elle aimerait que ça se déroule.


Elle m’expliqua qu’elle désirait qu’on se rende en discothèque et qu’elle se laisserait draguer devant moi et qu’en fonction de l’évolution de la soirée et de son envie, elle ramènerait son amant avec nous pour qu’il lui fasse l’amour. Elle précisa que je devais impérativement rester passif et seulement la regarder.


Ma femme a 40 ans, un corps magnifique avec des petits seins bien arrogants, et des jambes parfaites qu’elle adore mettre en évidence avec des bas et surtout des hauts talons.


Un soir, nous décidons de nous rendre en boîte de nuit.


Quelques heures avant, elle passe un grand moment à se préparer et s’habiller. Alors que je traîne devant la télé, j’entends la porte de notre chambre à coucher s’ouvrir et le bruit caractéristique des talons sur le carrelage. Je me retourne et la dévisage de bas en haut avec admiration et envie. Elle est habillée d’une jupe en cuir noir, un chemisier noir, des bas couleur chair avec couture, de talons vertigineux que je découvre pour la première fois et de son manteau trois-quarts. Je sens les effluves de son parfum si envoûtant. Elle est maquillée de manière soutenue et me regarde avec un grand sourire.


Elle a vraiment sorti le grand jeu et cela me fait beaucoup d’effet. Je me lève pour la caresser mais elle ne se laisse pas faire. Elle me permet juste de l’embrasser du bout des lèvres. Sans me laisser reprendre mes esprits, elle se dirige vers la porte en me disant : « On y va ». Je prends ma veste tout en la regardant. Elle marche devant moi jusqu’à notre parking et dandine bien son petit cul. Durant le trajet, j’essaye de lui caresser les jambes mais en vain. Elle ne veut pas que je la touche. Elle me dit qu’elle est toute excitée et qu’elle se sent coquine.


Entre le parking et l’entrée de la discothèque, j’en profite pour la prendre par la taille et lui peloter les fesses par-dessus sa jupe en cuir. J’en étais certain, elle a mis un porte-jarretelles.


Dans la discothèque, il n’y a pas trop de monde. Nous trouvons une table un peu à l’écart des autres. Nous passons commande et ma femme se rend sur la piste. En équilibre sur ses talons vertigineux, elle se trémousse au rythme de la musique et m’adresse parfois un petit sourire ou clin d’œil. Il y a bien quelques gars qui s’approchent d’elle mais sans plus. De retour à table, elle m’explique qu’ils l’ont invitée à boire un verre mais qu’elle n’en avait pas envie.


Finalement, je suis un peu rassuré et je l’embrasse tout en la pelotant et lui propose de rentrer car elle me fait bander comme un dingue. Alors qu’elle se rend aux toilettes, je la regarde déambuler et elle ne passe pas inaperçue. Ensuite, je regarde les filles qui dansent et s’amusent. Au bout de cinq minutes, je cherche mon épouse du regard car je suis pressé de lui faire l’amour.


Finalement, je la vois au bar en pleine discussion avec un Black d’une cinquantaine d’années environ. Elle revient vers moi avec un grand sourire aux lèvres. Elle me dit qu’il l’a complimentée sur sa tenue et qu’il lui a proposé de boire un verre. Là-dessus, elle m’embrasse et retourne vers son soupirant, sans me laisser le moindre choix.


Elle se retrouve debout, en équilibre sur ses talons, à côté de cet inconnu. Elle se fait payer un ou deux verres et rigole bien. Par moment, elle me jette un regard aguicheur. Son cavalier se lève, la prend par la main et ils se rendent sur la piste. Quand arrive la série de slow, elle se retrouve dans ses bras et visiblement elle se colle bien à lui tout en me regardant. Son cavalier lui parle à l’oreille et elle rigole tout en jetant sa tête en arrière. Il en profite pour l’embrasser dans le cou et ses mains se posent sur ses fesses. Elle ne réagit pas et se laisse faire. Les slows étant finis, ils se dirigent à nouveau vers le bar. Cette fois, elle est tenue par la taille.


Ensuite, elle se rend aux toilettes puis revient après un moment vers moi. Elle m’explique qu’elle est sous le charme de Jean. Elle me dit qu’elle lui a fait beaucoup d’effets et surtout qu’il a l’air d’avoir un sexe énorme. Elle s’est laissé embrasser et peloter sur la piste de danse et il a été en admiration sur le fait qu’elle porte des bas retenus par un porte-jarretelles. Juste avant de le rejoindre et de m’embrasser, elle me dit de regarder sous le coussin qui est à mes côtés puis elle se dirige vers le bar tout en se retournant vers moi. Je lève le coussin et découvre son string mouillé. Elle me regarde avec un large sourire.


Jean lui laisse son tabouret et il se tient debout devant elle, entre ses jambes. En raison du monde présent, je ne vois pas tout, mais il caresse les jambes de ma femme. Visiblement, elle prend du plaisir et se laisse embrasser pendant de longs moments puis elle me cherche quand même du regard, fière de son petit manège. Après un bon moment de ce traitement, elle me rejoint et me demande de rentrer à la maison.


À peine dans la voiture, je la prends dans mes bras et la caresse partout. Elle écarte ses magnifiques jambes gainées de bas et se laisse faire. Elle est excitée et mouillée comme jamais. Tout en conduisant, je continue à la caresser pendant qu’elle me raconte ce que Jean lui a fait. J’apprends ainsi qu’il l’a fait jouir à de nombreuses reprises uniquement en la doigtant et en s’occupant de son clitoris. Il lui avait dit plein d’obscénités à l’oreille. Elle me dit qu’elle a été attirée par la douceur de sa peau, par la manière dont il l’embrassait mais surtout par la taille de son sexe qu’elle a caressé par-dessus les habits. De retour à la maison, je lui ai fait l’amour comme un fou et elle a crié son plaisir plus fort que d’habitude.


Par la suite, j’ai appris que Jean, durant la fameuse soirée, lui avait donné son numéro de téléphone car il voulait la revoir. Elle l’a finalement appelé et depuis elle est devenue sa maîtresse, sa salope. Elle est totalement accro à lui. Elle s’habille de plus en plus comme une pute quand elle va le rejoindre. Elle ignore que je suis au courant. Un après-midi, elle a été accueillie chez Jean, lequel se trouvait avec un ami. Elle s’est vite retrouvée au lit avec eux et a beaucoup joui. Elle a été filmée et photographiée dans toutes les positions possibles.