n° 14714 | Fiche technique | 31755 caractères | 31755Temps de lecture estimé : 19 mn | 19/12/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Maryse obtient une promotion qui lui permet de faire des déplacements sur Paris. Elle va y découvrir de nouvelles perversions avec l'aide de M. Francis. | ||||
Critères: fh extracon parking hotel toilettes fsoumise hdomine exhib photofilm lingerie fellation fsodo -initiatiq -lieuxpubl -internet | ||||
Auteur : Lecteur Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Maryse, naissance de la perversion Chapitre 07 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents : Maryse était une mère de famille sans histoire. Toute sa vie a basculé le jour où elle a rencontré M. Francis qui lui a ouvert les portes de la perversion.
Maryse est de plus en plus frustrée. Son mari accaparé par son travail n’a que très peu de temps à lui consacrer. Les quelques rares fois où il a trouvé la force de lui faire l’amour ont été très décevantes pour elle. La découverte de nouveaux plaisirs moins conventionnels a décuplé l’appétit sexuel de Maryse. Elle voit régulièrement M. Francis dont la perversion comble ses envies. Tous les mercredis, Maryse retourne voir M. Francis. Elle passe une bonne partie de l’après-midi en sa compagnie. Elle ne peut rien lui refuser. Dès qu’il la prend en photo, elle perd tout contrôle. Il apprécie les nouvelles tenues de Maryse et régulièrement lui impose un effeuillage devant son appareil.
Aujourd’hui, le tailleur strict de Maryse l’excite encore plus que d’habitude. Elle voit une lueur dans les yeux de M. Francis qui lui fait un peu peur, même si son corps réagit tout autrement. Elle sent ses tétons pointer à travers le tissu de son soutien-gorge et de son chemisier. Son entrejambe s’humidifie. Elle sait ce qu’elle doit faire quand elle le voit prendre son appareil photo. Elle commence langoureusement à retirer sa veste, tournant sur elle-même, gonflant sa poitrine. Elle ouvre doucement son chemisier sous les flashes impatients de l’appareil de M. Francis. Elle est dans un état second, peu à peu elle laisse sa vraie nature l’envahir. Elle retire son chemisier, laissant apparaître la dentelle noire et bleue nuit de son soutien-gorge. Elle se cambre pour offrir à son photographe des poses plus excitantes les unes que les autres. Elle descend la fermeture de sa jupe en regardant l’objectif.
Elle ne peut s’empêcher de penser un instant à son mari. Elle est prise de remords mais l’excitation est trop forte. M. Francis réussit à prendre ces instants de doutes qui rendent la situation encore plus forte. La jupe glisse le long des jambes gainées de soie de Maryse. Le porte-jarretelles tire sur le haut des bas de soie fumée. Elle défait son soutien-gorge en tentant de cacher sa poitrine dénudée grâce à ses bras. Les poses sont très érotiques. D’un regard de M. Francis, elle sait qu’il faut qu’elle montre ses seins généreux. Elle retire doucement ses bras. Ses mains glissent le long de son corps et tirent sur le string qui peine à cacher son intimité. Elle le descend en tournant le dos à l’appareil et en gardant les jambes bien droites. Elle perçoit un grognement, témoignage de l’excitation de M. Francis. Elle en tire une étrange satisfaction. Elle se retourne et ne manque pas de remarquer la bosse qui déforme son pantalon. Il lui intime l’ordre de se caresser, ce qu’elle fait avec empressement.
Elle était déjà trempée à l’idée de le retrouver, son striptease n’a fait que l’exciter davantage. Elle se place dans le canapé, les jambes largement ouvertes. Elle montre toute son intimité baveuse à son voyeur qui n’en perd rien. Son cœur bat à une vitesse incroyable, elle tremble alors qu’elle transpire à cause de la chaleur. Elle frotte son clitoris qui darde fièrement. Elle gémit et grogne, alors qu’une vague de plaisir la submerge. Elle s’arrête soudain, vidée de toute énergie, les doigts trempés. Elle a les yeux fermés mais elle peut entendre que M. Francis continue de la prendre en photo avec avidité pour immortaliser ce moment toujours unique de l’orgasme.
Cette annonce, si simple au premier abord, fait l’effet d’une explosion de peur pour Maryse. Elle se doute déjà de la teneur de son site. Elle ne peut pas le laisser faire. Elle ne peut pas le laisser l’offrir ainsi à tous ces voyeurs. Tous auront accès à ses photos les plus intimes, les plus perverses. Elle ne sait quoi dire, elle est tétanisée. Elle voit M. Francis lui sourire. Il savoure les émotions qu’il entraîne chez Maryse. Elle le sait, il se sert d’elle. Pourtant elle est toujours revenue vers lui, presque malgré elle. Elle trouve le courage de s’exprimer faiblement.
Il rit fortement.
Elle rougit, ne sait plus quoi faire. Il a raison, elle est revenue d’elle-même.
Il la regarde en souriant dédaigneusement. Il savoure sa peur.
Elle l’écoute sans respirer. Elle ne sait pas comment prendre cette nouvelle perversion de sa part. Pourtant, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu’il a raison. Savoir qu’ils seront des milliers à la regarder, à avoir envie d’elle et même à se masturber sur elle, l’excite énormément. Elle savait depuis quelques semaines qu’elle avait des pulsions d’exhibitionnisme mais pas à ce point-là. Cet homme la conduit sur les chemins d’un monde de perversités qu’elle n’aurait jamais pensé exister.
Elle, la mère de famille si rangée, s’est perdue dans ce monde dès qu’elle est entrée la première fois dans cette déchetterie. Il lui montre alors le fruit de son travail. Son ordinateur affiche une première page de mise en garde indiquant que le site est réservé aux plus de dix-huit ans. La seconde page affiche un menu simple avec une première photo du corps d’une femme dévoilant ses jambes mises en valeur par des bas maintenus par un porte-jarretelles. Elle a un choc en se rendant compte que cette femme, c’est elle. On ne voit pas son visage fort heureusement. Il passe dans une galerie affichant les photos prise la semaine passée. Elle est hypnotisée par l’écran. Elle se revoit poser pour lui, le résultat est affiché devant elle, devant des milliers de personnes. Elle respire difficilement, son estomac est noué. Mais, à sa plus grande honte, elle se rend compte qu’elle se caresse machinalement.
Il accède à la partie payante grâce à un code et là, elle est presque choquée par les photos qu’il lui montre. Est-il possible qu’elle ait fait tout cela ? Elle se voit prise en levrette par M. Francis, leurs visages sont floutés mais elle n’a aucun doute. Elle voit des gros plans de son petit trou rempli par le sexe de son amant. Elle voit des gros plans de son petit trou dilaté, ouvert et rougi par une sodomie sauvage. Elle est subjuguée par toutes ces photos, elle ne peut pas cacher son excitation, d’ailleurs M. Francis non plus. Il a sorti son sexe et le masturbe lentement à mesure que les photos défilent. La série se finit par une éjaculation copieuse sur sa poitrine offerte.
Maryse ne réagit pas à ces mots crus. Elle est encore sous le choc de ce qu’elle vient de voir. Elle entend M. Francis prendre de nouvelles photos. Il approche d’elle et lui présente son sexe devant la bouche. La pensée de se refuser lui traverse l’esprit mais elle ouvre la bouche sous la pression de ce sexe. Elle accepte peu à peu toute la longueur. M. Francis fait quelques va-et-vient dans sa bouche avant qu’elle commence à réagir. Sa langue joue autour de la tige. Ses mains remontent le long des jambes de M. Francis. L’une d’elle agrippe les bourses alors que l’autre enserre le pieu à sa base. Il grogne en voyant Maryse devenir vorace sur son sexe. Elle s’active à le sucer telle une affamée. Il réussit à prendre quelques clichés malgré l’excitation. L’un de ses mains empoigne les cheveux pour l’obliger à le prendre plus profondément. Les bruits de succions et les gémissements décuplent leur plaisir.
Tout à coup, M. Francis oblige Maryse à se retirer en lui tirant les cheveux. Elle le regarde alors qu’il pousse un grognement bestial tout en prenant des photos en rafale. Un jet de sperme s’écrase avec lourdeur sur le front et les cheveux de Maryse. Un second la macule du nez jusqu’au menton. Le troisième moins puissant s’étale sur la bouche entrouverte de Maryse qui laisse le liquide visqueux couler le long de son menton et de son cou pour arriver doucement sur son sein droit. Le reste de la semence de M. Francis coule le long de la main de Maryse. Elle libère le sexe, ses yeux sont embués par l’excitation. Il lui demande de lécher le sperme sur ses mains ; il prend des photos alors qu’elle lèche devant l’objectif le fruit de sa jouissance.
Elle reprend ses affaires et se rhabille sans rien dire. Il a toujours une façon dédaigneuse et humiliante de la congédier. Pourtant, elle revient chaque mercredi.
À son travail, Maryse affiche une nouvelle assurance. Son chef, M. Ribière, ne la voit plus du tout de la même manière. Il lui a confié quelques dossiers importants qui l’ont fait remarquée par sa direction alors que son chef semble très perturbé. M. Ribière est obnubilé par Maryse, il ne pense plus qu’à elle. Cela se ressent dans son travail qui devient négligé. Dès qu’il le peut, il se retrouve dans le bureau de Maryse pour apercevoir son décolleté, admirer ses jambes… Maryse n’est pas dupe, mais elle en rajoute en accentuant ses poses ou en écartant légèrement ses jambes pour faire remonter un peu sa jupe. Elle adore le rendre fou, mais elle reste toujours distante. Elle joue avec cet homme qui, il n’y a pas si longtemps, avait une attitude odieuse avec elle.
Un jour, le directeur convoque Maryse dans son bureau. Elle se demande ce qui se passe. Elle craint d’être allée trop loin, quel scandale ce serait si elle était renvoyée à cause de son attitude. Que dirait-elle à son mari ? Elle entre dans le bureau du directeur. Son cœur bat la chamade. M. Ribière est là debout à la regarder s’introduire dans le bureau. Elle voit dans son regard l’envie et la frustration. Quand elle croise le regard de son directeur, elle est rassurée. Il lui sourit et lui demande de s’asseoir. Elle s’installe en croisant les jambes. M. Ribière a du mal à en détacher son regard. M. Turvan, son directeur, la félicite pour son travail :
Elle jette un œil sur M. Ribière qui rougit un peu. Elle se dit qu’il a peut-être fait ça pour qu’elle lui soit redevable. Malheureusement pour lui, elle ne lui accordera rien, mis à part un sourire et un petit signe de remerciement de la tête. Elle sourit à M. Turvan qui continue :
Maryse est surprise. Elle s’attendait à un scandale et la voilà propulsée responsable. Elle regarde M. Ribière qui la dévore des yeux en affichant un sourire vorace.
M. Turvan répond sans hésitation :
Cela fait comme un choc à M. Ribière qui ne s’attendait pas à ça. Il a failli protester mais s’est ravisé. Il pensait que Maryse lui serait redevable. Il aurait pu ainsi utiliser de sa position hiérarchique pour profiter de ses charmes. Tout son plan tombe à l’eau en quelques secondes. Il a permis à Maryse de grimper les échelons tout en mettant sa position en danger et tout ça, pour quelques éventuelles faveurs sexuelles. Il s’en veut mais n’y peut plus rien. Il perd un peu de son assurance alors que Maryse remercie chaleureusement M. Turvan.
Maryse est extrêmement fière et heureuse. Elle a réussi à avoir une promotion intéressante. Il va falloir qu’elle s’organise pour les enfants avec son mari, mais cela ne devrait pas poser de problème. Quand elle revient dans son bureau, elle commence à préparer un plan pour fêter ça dignement avec son mari. Elle commande un dîner chez le traiteur pour le soir même. La surprise sera totale. Une petite voix se fait peu à peu entendre alors que la journée passe. Ces déplacements vont lui donner de nouvelles excuses pour satisfaire ses nouvelles pulsions sexuelles. Paris devrait lui offrir de nombreuses opportunités. Elle envoie un SMS à M. Francis pour lui annoncer la nouvelle. Il répond sans tarder en lui demandant quand est prévu le prochain déplacement. Elle lui renvoie la date non sans une pointe d’excitation en espérant secrètement tout en le redoutant qu’il l’accompagne. Le SMS suivant est très direct et lui intime l’ordre de passer le chercher à la date convenue.
Le soir, la surprise est totale pour le mari de Maryse. Il est très heureux pour sa femme et la félicite. Ses enfants sont très fiers de leur mère. Le repas est apprécié de tout le monde et se termine assez tard. Son mari se fait même câlin et lui fait l’amour tendrement. Maryse, même si elle apprécie ce moment, n’est pas tout à fait présente. Une partie d’elle pense au dernier SMS de M. Francis et à ce qu’il lui réserve pour ce premier déplacement en fin de semaine. Elle trouve difficilement le sommeil tant elle pense aux moments intenses qu’elle a vécus dernièrement et à ceux qu’elle va vivre bientôt.
La veille de son déplacement à Paris, elle prépare sa valise. Elle doit rester deux jours sur place, elle doit dormir à l’hôtel. Il lui faut donc prévoir un change pour le travail et, non sans excitation, elle prévoit quelques tenues pour le soir, toutes plus osées les unes que les autres. Le lendemain, après que ses enfants ont quitté la maison, elle sélectionne une lingerie sexy sous un tailleur serré. Elle a l’allure parfaite de la femme active. Des talons aiguilles complètent sa tenue déjà très sexy tout en étant très classe. Elle charge sa valise dans le coffre et comme convenu fait un détour jusqu’à la déchetterie pour prendre M. Francis. Elle se gare devant son logement et vient frapper à la porte. Il lui dit d’entrer. Il l’attend dans son canapé usé. Son matériel est prêt. Il ne se sépare plus de son ordinateur et de son appareil photo. Il a aussi un sac bien rempli sur la table basse. Il la détaille d’un regard appréciateur. Il parait satisfait de sa tenue. Il se lève et prend ses affaires sans rien lui dire.
Son attitude ne surprend plus Maryse qui se plie totalement à la volonté de cet homme. Sur la route, elle raconte à M. Francis comment s’est déroulée l’entrevue avec son directeur et le désappointement de M. Ribière. Il sourit et ajoute quelques commentaires salaces illustrant ce que M. Ribière avait certainement l’intention de lui faire subir. Bien malgré elle, Maryse est excitée par ces propos. À la vue d’un panneau annonçant une aire d’autoroute, M. Francis lui dit de s’arrêter pour qu’il aille se soulager. Maryse gare la voiture non loin des toilettes. Elle descend, heureuse de ce petit arrêt. M. Francis lui demande alors de le suivre. Elle rougit, comprenant qu’il veut qu’elle aille dans les toilettes des hommes avec lui. Elle regarde autour d’elle. Il y a quelques véhicules, mais personne ne semble se diriger vers les toilettes. Elle sent une décharge d’adrénaline la traverser alors qu’elle se décide à lui obéir. Il entre dans une cabine malodorante, un peu étroite, elle le suit en se collant à lui pour qu’il ferme la porte. Elle est toute tremblante. Pourtant elle devrait être habituée à ses demandes perverses mais c’est chaque fois plus fort qu’elle. La décharge d’émotions contradictoires l’empêche de garder le contrôle. Elle a peur d’être surprise par un inconnu et pourtant la situation l’excite énormément.
Cette demande si humiliante provoque chez Maryse une excitation intense. Elle se penche en tremblant pour ouvrir son pantalon. Elle en extirpe le sexe encore mou de M. Francis et le tient alors qu’il se libère. Elle est surprise par la pression de l’urine, le jet éclabousse d’abord le bord de la cuvette avant qu’elle vise correctement le fond. Elle est troublée par le bruit important provoqué par le jet finissant sa course dans le fond de la cuvette. Elle est comme hypnotisée par cette vision. Elle secoue le sexe mou de M. Francis pour libérer les dernières gouttes. Ce faisant, elle le sent grossir rapidement dans sa main. Il lui demande alors de s’asseoir sur la cuvette, ce qu’elle fait avec empressement tant elle est excitée. Sans ménagement, il lui enfonce son sexe dur dans la bouche. Elle n’a pas le temps de se révolter contre le goût de ce sexe. Elle est trop excitée par la situation pour cela. Elle enserre le sexe chaud avec ses lèvres et joue avec sa langue autour du sexe. Elle gémit de bonheur. Il commence alors des va-et-vient puissants dans sa bouche, allant au plus profond qu’il peut. Elle salive énormément autour de son sexe. Il lui prend la tête avec les deux mains et s’enfonce puissamment dans sa bouche et il jouit en grognant dans sa gorge alors qu’elle écarquille les yeux sous la puissance des jets de sperme qui l’envahissent. Elle ne peut faire autrement que d’avaler le liquide gluant et chaud.
Il se retire enfin sans qu’elle arrête de serrer son sexe avec ses lèvres. Il sort alors son appareil photo pour immortaliser l’instant. Elle se laisse faire encore sous le coup de l’intensité de la situation. Il ouvre ensuite la porte et elle sort de la cabine après lui. Elle croise le regard lubrique d’un homme dont le sourire en coin montre qu’il a deviné ce qui s’est passé dans cette cabine. Comme si cela n’était pas suffisant elle l’entend murmurer un « salooope » appréciatif qui lui provoque une nouvelle sensation d’humiliation mêlée de plaisir. Elle n’ose pas pousser le vice à le regarder en face et préfère suivre M. Francis sans délai.
Ils arrivent enfin dans Paris et après avoir laissé la voiture dans le parking de l’hôtel, ils se rendent à l’accueil. Une femme d’une trentaine d’année leur souhaite la bienvenue et demande le nom de la réservation. Maryse reçoit ses clés et M. Francis l’accompagne jusqu’à sa chambre au second étage. Elle pose ses affaires, prend un bonbon à la menthe pour tenter de camoufler le goût très prononcé de la semence de son amant. Elle remet un peu d’ordre dans sa tenue, en vérifiant que rien ne trahit ce qui s’est passé quelques heures plus tôt. Ils conviennent de se retrouver dans la chambre après sa réunion.
Elle est très bien accueillie dans la filiale. Elle sait que son charme et sa nouvelle assurance y sont pour beaucoup, mais elle trouve cela très prometteur. Les réunions s’enchaînent avec les différents services et la fin de journée arrive enfin. Elle se voit proposer de passer la soirée avec une partie de l’équipe mais refuse gentiment en leur disant qu’ils ne sont vraiment pas obligés de sacrifier leur soirée pour elle. Elle remarque que certains hommes de l’équipe sont déçus par ce refus mais elle ne peut se permettre d’accepter alors que M. Francis l’attend. Elle se demande ce qu’il lui réserve pour cette première soirée parisienne. Elle sait qu’il lui demandera encore de franchir les limites de la bienséance. Elle sourit à cette idée car elle n’est plus certaine de savoir où se trouvent ces limites.
Maryse rentre dans la chambre. M. Francis l’attend assis sur un fauteuil, appareil photo en main. Il lui dit de se changer avec les affaires qui se trouvent sur le lit. Quand elle regarde les affaires, elle est intriguée de ne voir qu’une paire de bottes à talons aiguilles, un corset noir et un manteau. Elle l’interroge du regard, mais visiblement il n’y a rien à dire de plus. Elle sait qu’il va lui faire vivre une séance d’exhibitionnisme. Elle sent son sexe s’humidifier à cette idée alors qu’elle se rend compte qu’elle n’a plus aucun remords de se dévoiler, au contraire. Elle commence à se dévêtir langoureusement. Ses hanches bougent au rythme d’une musique lancinante qu’elle imagine. Elle se tourne pour qu’il puisse admirer ses fesses rondes et pulpeuses. Elle enlève son chemisier en cambrant sa poitrine. Elle sent son sexe s’humidifier de plus en plus alors qu’elle s’effeuille devant ce pervers qui prend photo sur photo. Elle fait glisser sa jupe le long de ses jambes. Elle se retrouve en lingerie et talons hauts. Elle prend quelques poses suggestives avant de libérer sa poitrine opulente. Ses tétons sont dressés par l’excitation. Elle se mord la lèvre inférieure, ce qui lui donne, elle le sait, un air très salope. Elle aime se sentir ainsi offerte à l’appareil photo. Elle n’a plus de complexes devant l’objectif. Elle sait qu’elle est excitante et que les internautes se masturberont devant ses photos. Certains d’entre eux renverront même des photos de ses clichés couverts de leur sperme. La première fois, elle a été étonnée mais flattée par cette vision. Ensuite à chaque fois, cela l’a excitée.
Elle réagit au moindre stimulus sexuel depuis qu’elle a rencontré M. Francis et plus c’est pervers, plus elle réagit. Parfois elle en a honte mais elle ne peut rien contre l’envie de recommencer. Elle commence par mettre les bottes à talons aiguilles. Ils sont vertigineux. Sa silhouette est magnifiée par ces talons. Ses jambes semblent interminables et son dos est bien cambré, poussant sa poitrine en avant et ses fesses en arrière. M. Francis prend plusieurs nouveaux clichés puis il se lève pour l’aider à enfiler son corset. Elle le met en place, les bonnets ne servent qu’à soutenir sa poitrine qui reste nue. Il serre le lacet, lui coupant le souffle. Quand elle se voit dans le miroir de la chambre, elle ne peut qu’apprécier la taille de guêpe que cela lui donne. Elle ressemble à l’une de ces pin-up des années 50.
Bien que le corset soit assez inconfortable, elle se trouve très désirable. Le corset ne cache rien de son intimité ni de ses seins, au contraire il les met en valeur. M. Francis lui tend le manteau. Elle sait qu’elle va devoir sortir dans cette tenue. Elle est fébrile, mais très excitée à l’idée des sensations qu’elle va ressentir. Elle passe le manteau qui ne cache que le haut de ses cuisses. Elle serre la ceinture autour de sa taille amincie par le corset. Elle se sent terriblement sexy.
M. Francis la guide hors de la chambre après avoir pris les clés de la voiture. Ils traversent le hall d’accueil sous le regard amusé de l’hôtesse. Il lui dit que ce soir, il aimerait la conduire dans un endroit particulier dont il a entendu parler. C’est lui qui conduit. Ils traversent Paris et arrive dans le 16ème dans une petite allée. Il s’arrête et allume le plafonnier. Il lui demande de retirer son manteau. Elle le fait non sans une pointe de peur et d’excitation. Pendant quelques minutes, il ne se passe rien et puis tout à coup, elle voit des ombres s’approcher de la voiture. Elle a très peur, mais elle ne bouge pas. C’est une chose de se montrer devant une caméra, mais c’est totalement différent devant un vrai public de pervers. Elle sent son ventre se nouer et pourtant elle sent sa poitrine se gonfler et ses tétons se dresser. Son sexe s’humidifie alors qu’elle voit un premier homme sortir un sexe de taille moyenne. Il se masturbe en la regardant. Un deuxième homme s’approche plus près, lui aussi sort son sexe plus petit. Ils se masturbent en la regardant. M. Francis ouvre légèrement les fenêtres pour qu’elle puisse les entendre.
La fraîcheur de la nuit ne fait rien pour la calmer. Elle regarde ces sexes tendus avec envie. Elle ne se reconnaît plus. Elle est terriblement excitée, ses doigts parcourent son corps, s’attardant sur ses seins et son sexe trempé. Elle les entend lui dire qu’elle est magnifique, que c’est une salope. Ils ne tarissent pas de qualificatifs sur son corps. Ils veulent la toucher. Plusieurs hommes se sont joints aux deux premiers. Elle ne voit que des sexes de toutes tailles se dresser devant elle. M. Francis abaisse le dossier du siège de Maryse au maximum. Elle se retrouve presque allongée, elle offre une meilleure vue sur son corps en chaleur. Elle se caresse vigoureusement le clitoris alors que les autres astiquent leur sexe. M. Francis abaisse encore un peu plus les vitres, permettant aux autres de passer un bras. Ils ne se gênent pas pour caresser le corps de Maryse. L’un d’eux lui empoigne un sein, la faisant gémir un peu plus. Un autre lui caresse les cuisses en remontant vers son sexe humide. Elle sent des doigts investir sa grotte. Elle se laisse faire, elle s’abandonne complètement au plaisir. Elle entend un bruit humide quand il actionne ses doigts dans son vagin. Elle gémit de plus en plus les yeux fixés sur les verges.
Tout à coup, elle entend un homme grogner, il éjacule copieusement sur la vitre à demi ouverte. Plusieurs jets viennent s’écraser sur la vitre avec un bruit mat. Elle jouit aussi à ce moment-là en serrant les doigts qui l’explorent. D’autres mains viennent profiter de son corps. L’un des hommes tente de se faire caresser par Maryse qui est dans un état second mais il éjacule sans qu’elle le touche à l’intérieur de la voiture. Maryse en reçoit sur les seins. Elle étale la semence encore chaude sur sa poitrine généreuse. Elle voit un homme se faire masturber par un autre qui éjacule sur la voiture et dans la main de son masseur. Après quelque temps, les vitres sont maculées de sperme. M. Francis, qui a fait de nombreuses photos, ferme les vitres et redémarre la voiture, signalant ainsi que le show est terminé. Il conduit jusqu’au parking de l’hôtel où il se gare dans un coin sombre.
En descendant de la voiture, elle entend M. Francis descendre la fermeture éclair de son pantalon, elle se réjouit à l’idée de le faire jouir dans ce parking glauque. Elle fait le tour de la voiture et s’accroupit devant lui pour lui sucer son sexe tendu au maximum par l’excitation. Elle le suce bruyamment comme il aime. Elle se dit qu’elle a l’air d’une prostituée, cette idée l’excite un peu plus. Elle prend toute la longueur de son sexe en bouche, manquant parfois de s’étrangler.
Il la relève avant de jouir trop rapidement et la retourne contre le capot. Les jambes tendues et écartées, elle lui présente ses fesses rondes. Elle est ouverte par l’excitation. Il s’approche et présente son sexe dur sur son anus. Elle aime tellement qu’il la prenne comme une chienne par cette entrée. Elle lui dit de lui défoncer le cul car elle est très excitée. Elle s’entend dire ses paroles comme si elle était une spectatrice de la scène. Elle a perdu toute retenue, mais elle n’a pas le temps de penser plus. Le sexe, d’une poussée, se retrouve au plus profond de son ventre. Elle crie quand elle sent les bourses velues de M. Francis s’écraser contre son sexe. Il la prend par les cheveux et commence à la chevaucher presque brutalement pour son plus grand plaisir. Elle est utilisée comme un objet sexuel, cela lui plait même si une part d’elle aurait été révoltée il n’y a pas si longtemps. Elle sent son pénis la remplir et la quitter par à-coups. Elle gémit sous la force des pénétrations. Son petit trou doit être distendu. Ses seins sont écrasés sur la carrosserie, ses tétons frottent contre le métal. Puis elle le sent se tendre encore plus. Il jouit avec force en elle. Maryse sent les jets de sperme éclabousser ses intestins. Elle jouit brutalement avant de s’affaler sur le capot. Il se retire dans un bruit humide et moite. Elle se redresse toute tremblante de l’intensité de la situation. Elle sent le sperme s’écouler de son petit trou, alors que M. Francis la guide jusqu’au hall d’accueil. Ils passent devant l’hôtesse qui les observe incrédule. Elle a certainement remarqué le filet de sperme sur les cuisses de Maryse ainsi que sa coiffure défaite. Maryse n’ose pas la regarder, la honte l’envahit en-même temps qu’un délicieux sentiment de satisfaction.
Maryse prend une douche réparatrice qui lui donne le temps de se remémorer tout ce qui vient de se passer. Elle n’en revient pas. Elle s’est une fois de plus laissée aller à ses penchants les plus pervers révélés par M. Francis. Quand elle sort de la douche, c’est pour le retrouver devant son ordinateur. Il a posté de nouvelles images sur son site et il lui dit qu’il commence déjà à avoir des retours positifs. Elle ne peut s’empêcher de venir voir les commentaires des internautes. Elle se penche sur l’ordinateur, habillée d’une simple serviette. En effet, les commentaires vont bon train. Certains restent courtois mais ceux qui l’excitent sont les commentaires les plus vulgaires, les plus directs, la traitant de tous les noms. Elle aime ça, bien qu’elle en ait honte.
Ils passent la nuit pour la première fois ensemble. Elle s’attendait à trouver cela bizarre, mais elle aime se retrouver aux côtés de cet homme qui a su lui révéler sa perversion. Elle sait que beaucoup ne peuvent pas comprendre les sentiments qu’elle éprouve, mais elle n’en a que faire. Elle est assoiffée de nouvelles sensations.