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n° 14717Fiche technique9203 caractères9203
Temps de lecture estimé : 6 mn
20/12/11
Résumé:  Malgré mes 22 ans, je tremble à d'idée de me retrouver nu face à la doctoresse de la visite annuelle. Elle va me détendre...
Critères:  fh fplusag médical confession -h+medical
Auteur : Fantasmarthur  (Jeune trentenaire, un peu rêveur)      Envoi mini-message
La visite médicale du personnel

J’ai les mains moites.

Dans la grande salle, assis à une grande table en bois, l’atmosphère est studieuse. Je suis en train de relire le cours que je dois donner cet après-midi.

Trois fois déjà que je relis le même passage sans vraiment le lire. J’ai déjà la tête dans la pièce d’à côté.


La pièce d’à côté. C’est là que se déroule la visite médicale annuelle pour le personnel de l’université. Un à un, l’infirmière nous appelle pour nous y rendre.

Du haut de mes 22 ans, je connais la musique, ce n’est pas la première fois que je m’y rends et pourtant… Je ne parviens pas à me défaire de ce sentiment d’angoisse mêlé d’excitation. Vais-je parvenir à me maîtriser, vais-je parvenir à dominer mon érection quand, de sa main experte, la doctoresse va sortir mon pénis pour sa courte inspection ? C’est l’angoisse.



L’infirmière, comme l’an dernier, n’est pas des plus sympathiques. La cinquantaine, l’embonpoint serré dans la tenue blanche de rigueur, les cheveux grisonnants, elle a le regard sévère derrière une paire de lunettes dorées



Ça y est… Ça commence. Un à un je retire mes vêtements. Les mains tremblent légèrement avec toujours ce sentiment de gêne mêlé d’excitation. Je plie consciencieusement mon jean et ma chemise sur la banquette de l’étroite cabine en bois avant de m’asseoir et d’attendre.


Toc ! Toc ! Deux coups secs à la porte. L’infirmière est de retour.



Ouf, l’étape test d’urine va me permettre de refroidir mes ardeurs et de ruiner un début d’érection.



Étapes habituelles. Il s’agit de prendre mesure des quelques centimètres et kilos gagnés depuis la dernière visite.



Les tests habituels, histoire de constater que je ne vois pas bien, et c’est normal, sans mes lunettes.

Pieds nus au milieu de la pièce, j’attends que madame l’infirmière termine son rapport, ce qu’elle fait le plus professionnellement du monde sans un regard sur mon caleçon noir où de toute façon… c’est le calme plat.



Ça y est ! Retour des papillons dans le ventre. L’idée même de me retrouver en slip devant madame Quinet m’électrise.

Je l’ai rencontrée lors de la première visite l’an dernier. Elle n’est pas spécialement jolie mais il faut lui reconnaître beaucoup de classe.

Âgée d’une quarantaine d’année, elle entretient sa silhouette. Taille fine, poitrine généreuse mise en valeur par des tenues et bijoux choisis avec goût, elle a surtout cet air à la fois doux et autoritaire qui m’intrigue et m’impressionne.



J’ouvre la porte arrière de la cabine. Elle m’attend dans le couloir. Sourire aux lèvres, ses yeux bleus plongés dans les miens… Et la question rituelle :



C’est tout ce qui sort. Pour le reste mon cerveau est tout entier mobilisé à cacher mon trouble. Et en particulier à éviter une érection qui point à l’horizon dans un slip qui ne masquera pas la situation bien longtemps.


On entre dans son cabinet. Elle s’assied, je reste debout, droit devant elle, presque nu. Inspection des oreilles, de la gorge, prise de tension, vérification de la colonne vertébrale. Ses mains me frôlent, me touchent me palpent et je n’ose pas regarder la bosse qui grandit lentement dans mon caleçon.



Ouf, voilà qui va permettre de cacher mon état.



Et voilà le moment crucial. Je suis là, sûr le dos, elle assise à côté de moi. Le coude à hauteur de mon sexe et elle continue de promener son stéthoscope sur mon corps.



Elle fronce les sourcils. Son regard s’attarde sur mon visage puis sur le reste de mon corps. Impossible de savoir si elle a remarqué ou non que mon pénis est de plus en plus à l’étroit. Mais le pire arrive…


Posant son stéthoscope sur la table, elle saisit l’élastique de mon caleçon et le descend jusqu’à libérer mon pénis qui n’en demandait pas tant.

Je regarde du coin de l’œil l’ampleur des dégâts. Heureusement je ne bande pas complètement mais mon excitation est quand même bien perceptible.


Impossible qu’elle n’ait rien remarqué. Pourtant, elle poursuit son examen comme si de rien n’était. Elle décalotte mon gland, passe sa main sous mes testicules puis remonte tant bien que mal mon caleçon qui peine à couvrir mon membre désormais dressé.



Je suis rouge pivoine. Elle a donc tout compris. Heureusement, elle a la gentillesse de se contenter de commenter mes performances cardiaques et pas le reste. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.



Là, je n’en reviens pas. Je ne pense même plus à mon pénis au garde-à-vous, et je mets le temps à répondre :



Ce n’est pas possible, elle a décidé de me faire mourir…



Sans vraiment comprendre, me voilà donc à nouveau couché sur la table d’examen. Madame Quinet avance son tabouret à roulette, se remet à côté de moi et entreprend cette fois de m’enlever mon slip complètement.


Mon souffle tremble. Elle me regarde de son air doux un peu amusé. Puis, elle prend mon sexe dans sa main et entame de lents mouvements de bas en haut.



Je n’arrive même pas à articuler une réponse. La doctoresse est bel et bien en train de me masturber. C’est très professionnel mais elle me branle, pas d’autre mot !


Ses doigts manucurés entourent ma hampe et elle accentue particulièrement ses pressions sur mon gland. Ses va-et-vient s’accélèrent… Je ne vais pas tenir longtemps. S’en apercevant, elle ralentit un peu puis sort de sa poche son stéthoscope.



Et voilà donc sa main gauche qui se balade sur mon torse avec le stéthoscope alors que sa main droite joue avec mon sexe.


Elle accélère le mouvement, elle serre sa main de plus en plus et titille mon gland de son pouce. Je n’en peux plus. Son regard plonge dans le mien au moment où j’explose au creux de sa paume.



Je ne peux retenir mes gémissements. Elle me regarde avec le sourire. Ses yeux vont de mon sexe à mon visage.


Puis elle se lève. Elle attrape son rouleau de Sopalin, s’essuie les mains et remet en place mon slip sur un pénis qui laisse encore couler une larme de désir.


Et en retournant vers son bureau elle me dit :