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n° 14720Fiche technique14175 caractères14175
Temps de lecture estimé : 9 mn
23/12/11
Résumé:  Rencontre entre un kiné et la dernière patiente de la journée.
Critères:  fh médical noculotte massage pénétratio fsodo confession -occasion -f+medical
Auteur : Couple?      Envoi mini-message
Dernière séance

Il est 19 h et ma journée est presque terminée. Plus qu’une personne et je pourrai enfin rentrer chez moi. Je suis masseur-kinésithérapeute, j’ai la petite trentaine et je travaille seul dans mon cabinet.


J’attends une patiente qui vient pour la première fois. La sonnette retentit, la porte s’ouvre et entre une jeune femme dont l’âge doit se situer aux alentours des 25-30 ans. Elle est élancée, brune aux cheveux courts et pleine de charme. Elle porte un simple débardeur à fines bretelles sans soutien-gorge, ainsi qu’une salopette.


Sans attendre, car pressé de retrouver mes pénates, je l’invite à entrer dans la pièce où je travaille. Elle s’installe sur la chaise en face de mon bureau alors que je me munis d’un papier et d’un stylo. J’entame alors les questions d’usage :



Je poursuis mon interrogatoire puis conclus :



Alors que je me lève, elle m’interrompt :



Je sors donc de la pièce et me lave les mains. Moi qui suis d’habitude si asexué dans mon travail, j’en viens à espérer qu’elle accepte ma proposition, afin que je puisse la voir sous toutes ses formes, voire plus. Si elle joue le jeu, je le jouerai au maximum…


Je rentre dans la pièce, elle n’a pas bougé d’un centimètre, je me rassois en face d’elle :



Je me plonge dans des dossiers l’air de rien, alors qu’elle se lève pour se dénuder, et dès qu’elle dégrafe la première bretelle de sa salopette, je me pose en arrière dans mon siège pour l’admirer. Elle me tourne le dos, dégrafe sa salopette, la fait glisser au sol et se baisse en fléchissant les genoux pour la ramasser : je ne vois que ses fesses bien musclées qui effectivement ne portent aucune marque. Toujours de dos et elle ôte son T-shirt.


Elle ne me facilite pas la tâche, car elle reste très pudique. Je vais devoir jouer serré. Je me lève.



Elle se tourne et je découvre une très belle paire de seins bronzés. Elle a conservé ses mains sur son sexe et garde les pieds serrés. J’en profite pour la réprimander un peu.



Elle relâche ses bras et regarde le sol.



J’en profite pour la détailler. Je tire un miroir sur roulette et le place devant elle.



Elle lève les yeux et se détaille elle-même. Elle prend une grande inspiration, relève la tête et écarte un peu les pieds.



Elle se met donc en position, jambes écartées, ce qui a pour effet de mettre encore plus son sexe en valeur. Je tente de réfréner mon érection.


Je l’observe donc et relève les points à noter pour le traitement, ainsi que les détails extra-professionnels de son anatomie. Elle a des petits seins fermes très arrogants, son pubis est bien taillé avec un petit triangle de poils coupés ras qui pointe vers son clitoris. Ses petites lèvres sont apparentes et on devine presque son clitoris. Je fais le tour pour contempler ses fesses. Elles sont fermes et rebondies. L’ensemble de son corps est bronzé de manière homogène, couleur de miel.




Je l’invite à s’allonger sur le dos sur la table de massage. Elle s’exécute, les bras le long du corps et les pieds serrés. Je lui écarte légèrement la jambe gauche et palpe les adducteurs, elle se laisse faire sans réagir.



Je verse un peu d’huile dans mes mains et commence à masser. Je place mes mains à l’intérieur de sa cuisse puis pétris doucement le muscle. Elle a les yeux fermés, sa respiration est calme.


Je remonte le long des muscles jusqu’en haut de la cuisse ; j’écarte encore un peu pour avoir toute la masse musculaire en main, et un peu plus que nécessaire. Je découvre enfin son sexe et prends le temps de le détailler tout en massant. Le bronzage y est identique au reste de son corps, ses lèvres sont parfaitement épilées, mais je ne vois pas encore son petit trou. Je remonte mes mains au plus près de son sexe tout en massant. Je fais de grands mouvements amples qui descendent loin en arrière à l’entrée de sa vulve, et qui remontent haut près de son clitoris, sans jamais franchir la barrière qui ferait de mon geste un geste non professionnel.


Plus le temps passe, plus elle respire profondément, comme si elle dormait. Sa cuisse se relâche d’elle-même, tellement que j’aperçois enfin sa fleur de rose. Son sexe s’écarte délicatement, il est légèrement humide. Lorsque je relève les yeux, elle me regarde, le visage rouge, le regard brillant. Soit elle me viole soit je risque de me prendre un procès.


Je dois tenter quelque chose.


Sans perdre le contact, je verse à nouveau de l’huile au creux de ma main et la pose sur le mont de Vénus, son clitoris dans ma paume. Je me mets à masser son sexe avec cette huile toute chaude. C’était quitte ou double… Elle bascule la tête en arrière et remonte ses deux jambes pour me faciliter encore l’accès. Elle s’exhibe clairement à moi, son anus est tout rose et tout lisse. Elle me sourit, glisse ses mains vers son ventre, les descend encore, écarte ses lèvres et libère son clitoris. Je le frotte, le caresse, je glisse mon pouce en elle. Après quelques minutes de ce traitement, elle se tourne sur le côté et s’attaque à ma braguette. Elle ouvre mon pantalon et voit jaillir mon sexe durci sans rempart de tissu…



Elle place mon gland contre ses lèvres et avale lentement mon sexe jusqu’à la hampe. Je la sens jouer avec sa langue. Tout aussi doucement, elle me gobe les bourses puis revient à nouveau avaler ma tige. Après quelque temps de ce traitement, je règle la hauteur de la table et la place en levrette : nous sommes ainsi parfaitement installés. Je place mon sexe à l’entrée de son vagin et joue un peu pendant qu’elle se touche.



Et j’enfonce mon pouce dans son cul déjà dilaté. Elle pousse un gémissement de contentement et commence à onduler. Je pénètre alors brusquement en elle. Elle crie son plaisir. Je ressors et entre à nouveau. Je prends mon rythme et mes couilles claquent sur son sexe.


Elle bouge bien au bout de ma bite. Sa chatte est chaude et humide.



Je vais et viens aussi avec mon pouce dans son anus.



J’attrape ses cheveux et la tire encore plus contre moi. Elle s’enfonce plus fort, plus sec, elle feule, sert fort son périnée, signes de sa jouissance, et s’écroule en quelques instants.


Je retire mon sexe, qui n’a jamais été aussi dur, et mon pouce. Comme elle ne bouge pas et reste allongée les cuisses écartées, je suppose qu’elle assume son acte.


J’en veux encore. Quitte à être allé aussi loin, autant en profiter. Je prends l’initiative. Je place un coussin sous son ventre, ce qui la cambre et fait remonter ses fesses.


Je me mets de nouveau de l’huile sur les mains et entreprends un massage des lombaires et des fesses.



Je masse ses fesses et glisse dans la raie, puis descends le long des cuisses. Plus je masse, plus j’écarte les deux globes. Elle accompagne mes mouvements avec des soupirs.


Je place mes doigts de chaque côté de son anus et masse. Elle se cambre encore un peu plus. Je darde ma langue que je glisse dans son petit trou pour le titiller. Plus le temps passe, plus il se dilate. Elle pose une main entre ses cuisses et recommence à se masturber. Je la laisse monter à sa vitesse. Une fois son cul bien dilaté, j’enfonce à nouveau mon doigt pour le préparer encore, et lui lèche la chatte. J’attends patiemment qu’elle me le demande, puis après un moment, elle dit dans un souffle :



Je place mon sexe dur contre son anus et m’enfonce délicatement dans son rectum. Plus je m’enfonce plus elle gémit. Douleur, plaisir ? J’ai du mal à savoir.



Je ne me fais pas prier, j’écarte ses fesses à fond et entre en elle. J’entame des allers-retours saccadés. Nos mains se rejoignent sur sa chatte que nous branlons et pénétrons de nos doigts alternativement. Je sens la tension monter en moi, mais je voudrais qu’elle jouisse encore.


Je ralentis pour revenir au calme, j’en profite pour lui masser le dos, ce qui a pour effet de la faire onduler sous mes mains et autour de mon sexe. C’est bon et sensuel. Au lieu de me calmer, la tension monte à nouveau. Elle a dû sentir que j’allais venir. Elle accélère le rythme, m’attrape les testicules qu’elle frotte sur son sexe. Je ne tiens plus, je jouis au fond d’elle, ce qui a pour effet d’entraîner sa propre jouissance.


Finalement, je me retire, elle se retourne et me sourit. Elle s’allonge sur le dos et ferme les yeux. Je pose une couverture sur son corps, elle semble sereine. Je me dirige vers la salle de bain, dans la partie privée du cabinet.


Une fois ma douche prise, je lui sors une serviette et retourne dans la salle pour lui proposer de se doucher. Quand je pousse la porte, je trouve sur la table un billet de 50 euros et un petit mot :



Merci pour vos bons soins, vous avez mon numéro si vous voulez faire un tour à la plage.