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24/12/11
Résumé:  L'initiation à la soumission d'une jeune femme novice.
Critères:  fh hotel fsoumise hdomine noculotte massage fellation fgode pénétratio champagne attache init -initfh -fsoumisah
Auteur : Partner13004  (Initiation d'une soumise novice)            Envoi mini-message
Comme une évidence

Nous avons ressenti un même désir de nous rencontrer. Une envie commune, qui s’est construite tout naturellement à travers nos recherches respectives, tout autant qu’au travers d’une complicité forgée de respect et teintée d’une attirance mutuelle (perçue derrière le clavier, la cam ou le téléphone). Nous avons organisé cette rencontre, non sans mal, en fonction des disponibilités de lieux, en cette période estivale.


Honfleur fait rêver les plus grands peintres, émerveille les yeux des touristes, et pourtant ce n’est pas au bord du bassin que nous allons vivre nos premiers instants. Je t’ai donné rendez-vous en ce lundi 20 Août au motel Monet, sur les hauteurs de la ville. Mes instructions, autres que vestimentaires, sont simples et précises. Tu dois arriver à 15 heures, tout en m’ayant appelé au moment de prendre la route, afin que je te guide, et te donne le numéro de la chambre.


Sur place avant toi, je fais le tour du propriétaire, pour m’imprégner des lieux et repérer l’endroit. Je dispose une à une les bougies, prépare la bouteille de champagne, les coupes et quelques jouets intimes. Il manque le lit à baldaquin, les vieilles pierres, mais notre hâte n’a eu cure de devoir attendre plus. Tu as imaginé cette rencontre depuis quelques temps, tu l’as rêvée, fantasmée et vécue dans ta tête.


Puis le jour « J », ou plutôt le jour « L » comme Lyne, arrive ! À l’heure convenue (il faut dire que tu es partie en avance, pour être sûre de ne pas être en retard), tu te gares sur le parking. Tu ajustes une dernière fois ta robe, tes cheveux, ton maquillage et sors de voiture. Tu n’oublies pas dans le coffre un sac, avec entre autres deux ou trois tenues. Il me plaira d’y choisir plus tard celle que tu devras porter pour sortir.


Comme mes toutes premières consignes te le préconisaient, tu es habillée avec des escarpins, une mini-jupe noire portefeuille, une veste de même couleur ouverte sur un soutien-gorge pigeonnant assorti au string, un porte-jarretelles et des bas noirs… Tu es à la fois très belle, très féminine, très sexy et hyper désirable.


C’est animée par un sulfureux sentiment fait d’excitation et de fébrilité que tu approches de la porte. Dans ton esprit la tension monte, dans un mélange d’envie, d’incertitude et d’impatience. De loin, tu aperçois un bandeau sur la poignée, tu te dis un sourire aux lèvres : Tiens, il n’a pas oublié. Ton cœur bat un peu plus vite, un peu plus fort, et tes doigts saisissent ce parement noir avec lequel tu recouvres tes yeux. Une dernière respiration et une grande bouffée d’oxygène plus tard, tu frappes les trois coups, qui vont être le passage du fantasme à la réalité… Un cap, vers ces moments tant attendus. Quelque peu joueur !


Je te laisse deviner mes pas derrière la porte, je prends mon temps… Les secondes qui s’égrènent te paraissent interminables. Devant le côté incongru de la situation, ton visage esquisse un sourire… La poignée tourne…



Ma main prend la tienne, et mon autre main se saisit du sac. D’une voix à la fois douce, calme, tendre et sensuelle (que tu as par avance pu apprécier au téléphone), je te rassure, te complimente sur ta beauté, te félicite pour ta ponctualité et le respect des consignes. Les volets sont fermés, les bougies brillent, la lumière tamisée donne à la pièce une atmosphère douce et détendue. Cependant, tu ne vois rien, et te laisses timidement guider. Te rappelant de ne pas retirer ton bandeau, je t’aide à t’asseoir au bord du lit, tout en t’intimant l’ordre de ne pas croiser les jambes et de garder les bras le long du corps.


En me choisissant comme complice, guide, dominateur et Maître, tu as choisi de devenir Ma seule et unique soumise, pour partager nos « jeux », en respectant les règles que je voudrai t’apprendre. Ton imaginaire s’emballe, et je lis sur ton visage un rictus, un sourire, un mixte de crispation et de détente. Un bruit sourd éveille tes oreilles et tes papilles, serait-ce un bouchon de bouteille de champagne ?



J’approche le délicieux nectar de tes lèvres, pour te faire boire une première fois, avant de t’aider à saisir la coupe pour trinquer ensemble. Je me lève et tourne lentement autour de toi dans la pièce. Tu sens ma présence et te plais à imaginer mon regard inquisiteur. Mes paroles apaisantes te permettent à la fois de te tranquilliser, te rassurer et te mettre à l’aise.


Je t’offre une deuxième coupe, avant que mes mains ne commencent à te caresser les chevilles, les mollets et les jambes, remontant le long de tes hanches, autour de ta taille, à la découverte de ton corps qui sera mien… Une gorgée plus tard, je t’aide à te lever, et te dirige debout face à moi, au milieu de la chambre… Doucement, je place tes mains dans ton dos, ajuste le bandeau sur tes yeux, dans un premier contact rapproché qui nous permet de nous enivrer de nos parfums respectifs.


Face à moi, toujours habillée, les yeux bandés, tu rentres crescendo dans la peau de « soumise Lyne ». Je commence à parcourir ton corps de haut en bas, puis de bas en haut. J’alterne, en frôlant ta poitrine, pour redescendre lentement écarter tes jambes, remonter ta jupe et effleurer ton intimité, sans m’y attarder encore… D’un geste délicat, tout en t’embrassant, j’ouvre largement ta veste pour découvrir un superbe soutien-gorge, sous lequel je devine une très belle poitrine. Ta jupe commence ensuite à te faire défaut, au moment où elle glisse à tes pieds, offrant à ma vue un string, sous lequel j’effleure ton sexe, pour y sentir une humidité traduisant une excitation palpable.


C’est dans une infinie douceur que les caresses se mêlent régulièrement à la continuité de cette méticuleuse séance de déshabillage, jusqu’au moment où tu n’auras plus comme seuls effets que le bandeau qui te couvre les yeux, les bas et le porte-jarretelles. Mes mains parcourent insatiablement ton corps, passant de tes seins offerts à ton sexe déjà mouillé. Mes tendres baisers sur ta peau douce accentuent ce sentiment de vulnérabilité, tout en apaisant tes craintes. Je me colle encore plus à toi, te frôle, te caresse avant de t’amener à prendre différentes positions. Docilement, tu suis mes demandes, mes ordres… Non sans une forme de fierté, de me voir aimer ton corps et la douceur de ta peau.


Sous ma conduite, tu te retrouves à genoux et devines mon sexe s’approcher de ta bouche. D’une langue agile aidée de tes lèvres charnelles, tu t’emploies dans une envie mutuelle à la découverte de cet objet de plaisir, avant qu’une coupe de champagne bien méritée te soit offerte. Assise sur le lit jambes écartées, c’est à mon tour de goûter au parfum enivrant de ton sexe pendant que tu te désaltères (alors que je t’ai autorisée momentanément à ne plus garder les mains dans le dos).


Après cet échange de bons procédés, je t’allonge sur le lit. Je positionne à tes poignets et chevilles des bracelets en cuir, veillant cependant à ne pas serrer et laissant assez de lâche pour te permettre de te soustraire, respectant ainsi ton angoisse légitime liée à une première rencontre. Attachée en croix à chaque montant du lit, tu es offerte, vulnérable, immobilisée, face à un homme qui te désire.


Une odeur te monte aux narines, c’est de l’huile de monoï que j’étale dans un très sensuel massage sur ton corps. Subtilement, j’effleure tes zones érogènes que j’aspire à découvrir. Mes caresses t’enivrent de plus en plus. Mes mains parcourent successivement ton buste, ton ventre, ta taille, tes hanches, tes cuisses, tes mollets, jusqu’à revenir proches de ton sexe que je prends un malin plaisir à contourner. Je me délecte de voir ton excitation grandir, de voir tes jambes frémir, en jouant de ma langue qui commence à te lécher le sexe et remonte s’attarder sur ton clitoris. En même temps une première main vient titiller la pointe de tes seins dressée.


Ainsi ouverte, tu subis agréablement, assouvissant un désir commun et pour notre plus grand bonheur. Alternativement, je te caresse les seins, les cuisses et joue de ma langue. Mes doigts commencent à se faire plus insistants, ton vagin de plus en plus humide s’ouvre naturellement. Tu es désormais sous le joug de ma bouche qui aspire ton clitoris, de mes deux doigts en ton intimité à la recherche du point G, et de pincements de mon autre main sur tes pointes de seins. Un bruit inconnu te fait frémir encore plus… Quel est cet instrument dont tu entends les vibrations ? C’est un gode vaginal qui vient jouer en toi, ses tremblements augmentent progressivement ton plaisir. Sans oublier ma bouche qui aspire de plus en plus ton clitoris gonflé…


Dans une volonté de ne pas te faire jouir trop vite, j’alterne à lever la tête, retirer mes mains, mes doigts. L’odeur de l’huile sur ton corps recouvert avec régularité ne fait qu’amplifier la jouissance qui monte en toi. Je m’applique à prolonger ton plaisir jusqu’à son paroxysme. Un plaisir que je retarde, en offrant mon sexe à ta bouche et ta langue, permettant à ton clitoris de se détendre.


Lorsque je me recule, tu avances la tête, sors la langue à la recherche de ce membre endurci que tu aimes à sucer, d’autant plus que j’y fais couler quelques gouttes de champagne. Je réajuste le bandeau qui commence à glisser, tant tes mouvements deviennent de plus en plus précis. Je saisis un mini fouet (très soft) qui te caresse le vagin au rythme des va-et-vient de ta bouche. Toute nouvelle aspiration provoque un geste plus appuyé, qui a le don de t’exciter ostensiblement. Je redescends m’attarder sur tes seins, mordillant légèrement leur pointe, en reprenant mes caresses vaginales.


Tes chevilles libérées, je replie tes jambes sur elles-même, écartant de mes mains tes genoux, laissant de la sorte le libre accès de ton clitoris à ma langue experte. Tout ton corps vacille, frétille, tu as envie de me sentir en toi, que je te pénètre, et c’est sans aucun mal que mon pénis découvre ton vagin complètement humide et prend possession de toi.


Tu aurais voulu me supplier de te prendre, tu l’as pensé si fort que je l’ai entendu. J’entre en toi avec douceur ou de plus en plus de vigueur et de force. Tu émets un son, et commences à haleter. Tu me sens en toi à mon bon vouloir. Tu aimes cette sensation. Mon rythme change, plus lentement, puis de nouveau très rapidement. Tu jouis une première fois sans retenue en criant très fort… C’est bon !


Mon sexe remue avec une fréquence de va-et-vient irrégulière, comme cherchant le point G que mes doigts avaient trouvé précédemment. Tu t’ouvres de plus en plus, me laissant aller et venir, bougeant ton bassin à mon rythme, dans la même mesure, le même tempo, pour mieux m’accompagner dans cette partition en duo. Les secousses nous font vibrer dans une jouissance intense. Ce sont des gémissements conjoints qui parcourent le silence de cette superbe chambre, jusqu’à l’extase finale et commune, ponctuée par un langoureux et divin baiser…


Te voilà épuisée, mais heureuse d’avoir découvert cette sensation jusqu’alors inconnue de soumission. Une gorgée de champagne sera la bienvenue… Je te détache les mains, retire le bandeau pour un premier échange complice de regards. Nos yeux se croisent, empreints d’une satisfaction que nos sourires ne savent dissimuler. Tu découvres réellement pour la première fois mon visage, en même temps qu’un lieu enchanteur, romantique, reflétant la personnalité de ton Maître : raffiné, envoûtant, tendre, serein et mystérieux.


Tu sais que ton guide souhaite te faire connaître encore de multiples plaisirs. Tu aimes et apprécies cette sensation qu’un homme dispose de ton corps, de ton intimité, de tes seins, de ta bouche et de ton sexe. Tu aimes te sentir offerte, vulnérable en te laissant aller, te laissant guider, avec le plaisir de t’abandonner à des mains, une bouche, une langue et un sexe experts.


Une autre coupe de champagne ? Allongés et repus l’un à côté de l’autre, ta crispation du début laisse place au contentement du moment vécu et présent. La confiance que tu m’as accordée n’a pas été trahie, et tu en es heureuse. Ton envie de découvrir est grandissante, tout comme ton désir d’appartenir et ta soif d’obéir à un dominateur et Maître qui te respecte… « Soumise Lyne » redevient un moment « Caroline » pour exprimer ses premiers ressentis et partager une coupe complice.


Honfleur, le bassin, le port, la mer nous attendent maintenant. Un break est le bienvenu, que l’on ponctuera par un repas au restaurant… Tu as mis beaucoup d’attention à te refaire une beauté. Pour sortir, je te désire sexy sans extravagance. Pour cela, tu présentes à mon choix quelques affaires de ton sac. Je tiens à maintenir un côté cérébral en t’imposant de ne pas porter de sous-vêtements. J’arrête mon choix sur une robe bien plus courte que tu n’aurais osé porter d’habitude, mais qui épouse à merveille ton corps. Tu prends plaisir à sentir la doublure soyeuse frotter contre tes fesses nues. Ton décolleté met ta poitrine en valeur, les talons de six centimètres auxquels tu n’es pas habituée t’obligent à marcher le buste en avant. Tes hanches se balancent agréablement, te rendant plus attrayante encore. Ne pas avoir de dessous provoque en toi un trouble que tu crois percevoir dans les yeux d’inconnu(e)s croisé(e)s, et pourtant, nous ne sommes que tous les deux dans la confidence.


En cette fin d’après-midi, je te fais découvrir les petites ruelles de Honfleur, le bassin et le bord de mer. La brise légère qui s’engouffre sous ta robe te procure une agréable douceur intime. Régulièrement et très discrètement, ma main caresse tes fesses dont le déhanchement me ravit. Ce ressourcement au grand air et cette promenade cimentent encore plus notre relation naissante.


Une fois au restaurant, je te donne un gage qu’il te faudra exécuter à mon signal. Le moment venu, tu te penches pour ramasser ta serviette à terre, le serveur pouvant ainsi se délecter d’une superbe vue plongeante, tout autant que les yeux curieux de tables voisines. Tout aussi joueuse, tu attises de manière très coquine mon attention, tu me fixes tout en suçant suggestivement et langoureusement les pattes de crabe. Ton œil pétille, tes fossettes se creusent dans un sourire révélateur. Pour un peu, tu me rejouerais la scène culte de Meg Ryan dans « Quand Harry rencontre Sally ». Nous adorons cette dualité évidente qui s’installe entre nous. De plus en plus en symbiose et en harmonie, on ne retrouve pas dans cette phase extérieure le couple d’amants (soumise et Maître), mais deux êtres complices.


Après un délicieux repas et une pause salvatrice, nous remontons vers le motel. Ma main prend tendrement la tienne. Confiante, tu me suis en sachant et partageant mon désir de t’entraîner vers de nouveaux vertiges. Arrivés à la chambre et avant d’entrer, je sors de ma poche le bandeau…


Alors que tu es face au lit, je relève ta robe par derrière et me plaque à toi fermement, en empoignant ta poitrine à pleines mains. La surprise te fait échapper un souffle discret…



Tu réponds timidement « oui », sachant qu’à ce moment « Caroline » redevient « Lyne ».



Une main appuie fermement contre tes reins pour te cambrer un maximum. Docilement, tu t’exécutes, laissant mes mains caresser tes fesses avec une alternance de claques légères qui stimule ton attention et te tient en haleine. Je te redresse ensuite, retirant ta robe que je remplace par une autre en résille du plus bel effet. Mon appareil photo est là pour immortaliser les différentes positions imposées. La lumière tamisée et l’esthétisme n’ont d’égal que ta beauté, « Lyne ». Tout au long de la soirée, l’œil de l’objectif pourra te surprendre. Ton âme se met à frémir de délices et d’émerveillement.



Accroupie, tu te redresses sur tes genoux, les yeux bandés, tu cherches mon pénis. Tu mets doucement une main autour et y descends lentement ta bouche… Tu en lèches le bout, puis du haut en bas de la colonne, le tenant encerclé d’un doigt et du pouce, pour le garder au bon angle, mouillant tes lèvres que tu passes délicatement autour de ma queue, laissant parcourir ta langue sur et juste en dessous du gland… Alors que ta bouche remonte vers le haut, tu continues à caresser de ta main la partie basse de mon sexe, enlevant parfois ta bouche pour le lécher sur sa longueur.


J’écarte un peu plus les jambes pendant que tu me masses doucement les couilles de l’autre main. Tu commences à bouger la tête, d’avant en arrière dans un rythme régulier, en mettant en œuvre toute ta concentration et toute ton expertise pour t’ingénier à me rendre agréablement le plaisir reçu. Je glousse, ma respiration devient haletante, tu es aussi intensément excitée, trempée, et pousses de petits gémissements. Tu aimes prendre soin d’un homme, tu le fais avec une finesse que j’apprécie. Je me retire en te maintenant la tête, tu sais que comme promis je ne jouirai jamais dans ta bouche. Ayant rendu mon sexe très dur, tu aurais très envie que je te prenne tout de suite et… comprends que ce n’est pas encore mon intention.


Je te redresse debout face à moi… Tu es sublimement sexy dans cette robe moulante en résille. Ma langue se joint à la tienne dans une ardeur qui te comble de bonheur. Tu aimes la douceur de mes lèvres sur les tiennes, ma hardiesse dans ce baiser qui scelle une relation faite de don, de partage et d’osmose. Tu aimes ce que tu as vécu jusqu’alors, m’appartenir, que je puisse avoir tout pouvoir sur ton corps. Tu espères continuer à me rendre et partager ce plaisir au centuple, me satisfaire pleinement. Nous voulons visiblement tous les deux profiter au maximum du temps présent, où la soumise et le Maître ne font qu’un… Mes doigts frôlent la pointe de tes seins au travers de la résille, ton visage s’enfonce dans ton cou…


Dirigée vers le lit, tu dois te positionner à quatre pattes, rester bien cambrée, en m’offrant tes fesses et me laissant admirer les courbes de ton corps. Je relève le parement de résille pour jouer avec tes grandes lèvres que j’écarte de mes doigts, tout en titillant ton vagin tout humidifié d’une excitation que tu ne peux cacher. Mes doigts t’explorent, te visitent, s’introduisent en toi pour laisser le passage à un gode. Le gland du gode appuie sur ta vulve, y glisse, et ton sexe s’ouvre comme une fleur. Tu t’empales, je te travaille la chatte, pendant que tu ne peux retenir des cris de plaisir. Tu jouis, tu mouilles, tu exultes ! Mes mains sont partout sur toi. Je mets dans ta bouche mes doigts que tu mords ostensiblement.


Ton cerveau s’éclipse, un doux frémissement parcourt ton corps lorsque je t’ordonne de te coucher au milieu du lit sur le dos, bras derrière la tête. Dans un plaisir évident, je te mets les bracelets de cuir aux poignets, en vérifiant au passage que tu es confortable dedans, puis… Sur un côté du lit, je ramasse le bout d’une grosse corde… Lorsque j’y attache le premier bracelet, tu remarques que ce n’est ni tendu ni serré. La confiance grandissante, tu aimerais un lien plus étroit, car tu n’as jamais été véritablement attachée. Je m’affaire sur l’autre bracelet et tire la corde du côté opposé du lit. C’est la même passée sous le montant, ainsi, alors je tire sur un bout, cela étend tes bras en deux directions différentes. Ça… c’est une surprise totale ! Tu imagines la minutie de la préparation avant ton arrivée dans la chambre du motel, et te demandes comment je m’y suis pris… Après tout, te dis-tu, il est marin et les cordes, nœuds et contrepoids ne doivent avoir aucun secret pour lui.


Ainsi attachée avec beaucoup de souplesse, je passe mes mains sur ton corps, l’effleurant du mien. Je presse brièvement chaque sein et te caresse l’intérieur des cuisses alors que tu redresses ton bassin vers moi en ouvrant les jambes. Je place à l’entrée de ton vagin un gode qui est maintenu à l’aide d’une petite ficelle autour de ta taille. Tu te demandes si je vais t’attacher les chevilles aussi… Au lieu de cela, j’enlève le bandeau qui te masque les yeux, puis m’éloigne… Tu me dévisages… stupéfaite… lorsque je te dis aller fumer une cigarette sur la terrasse devant la chambre. « Le bougre ! » penses-tu intérieurement… Mais tu ne dis rien, ne peux pas parler. Tu prends même un certain plaisir à ce jeu en réalisant que soumise tu dois être l’objet de mes petites surprises et être obéissante. Tu me regardes sortir avec mon sourire satisfait au coin des lèvres… content de moi.


En mon absence, tu joues avec tes jambes, les remuant pour essayer d’accentuer l’effet du gode et lui trouver une bonne position. Tu me devines installé tranquillement derrière la porte, en terrasse, et pestes malgré tout de n’avoir droit, toi aussi, à une cigarette… Tu avais entraperçu mon côté joueur, mais ne pensais pas que je serais capable de te faire un tel coup.


Lorsque je suis de retour, ton visage expressif et tes yeux trahissent ton manque de nicotine… Je m’approche de toi, te taquine, te rappelant que ton statut de soumise ne te permet pas de fumer si je ne t’y autorise pas… Tu es toujours allongée sur le dos, je prépare la suite des réjouissances. Passant à côté de ton sac, j’en sors une cigarette que j’allume et te fais fumer (tes mains menottées). Comme pour me faire pardonner, je dépose entre chaque bouffée, sur tes douces lèvres, un tendre baiser parfumé du champagne dont j’ai enduit les miennes.


La soirée et la nuit seront une succession de situations où le jeu, entrecoupé de pauses, alterne avec le sexe, l’amour et l’esthétisme des positions ou tenues. Tantôt recouverte de chantilly ou entourée de cordes dans un bondage soft… Nos corps se rejoignent finalement dans une fusion charnelle jusqu’à tomber dans les bras l’un de l’autre, épuisés, comblés et heureux…


Le lendemain, après un agréable réveil, nous partageons le romantisme de cette station Normande, sachant l’un et l’autre que la suite de cette première rencontre pourrait s’appeler…


… Comme une évidence !