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Temps de lecture estimé : 9 mn
28/12/11
Résumé:  Je rentre après une journée de travail bien remplie. J'étais très loin d'imaginer ce qui m'attendait en rentrant.
Critères:  fh couple fdomine exhib noculotte fmast fgode fsodo jouet jeu attache yeuxbandés tutu -couple -mastf
Auteur : Babetipa
Quelle bonne surprise m'attendait !

J’avais reçu plusieurs SMS de ta part aujourd’hui et tous me faisaient part de ton empressement de terminer cette journée et de nous retrouver le soir. Cela allait de « Vivement ce soir » à « On va passer une bonne soirée » ou encore « Je te réserve une petite surprise ce soir ».


Cela me faisait toujours très plaisir de recevoir ces petits messages d’affection des temps modernes. Quelques petits kilo-octets d’attention qui remplacent les messages téléphoniques ou les lettres parfumées.


Ma journée était dense à souhait comme toujours, très peu de latitude pour divaguer et remarquer le dernier message reçu. Je verrais bien ce soir… En quittant le boulot, je passai par le petit Italien où je pris quelques tranches de jambon de Parme, quelques tomates séchées et un bon morceau de Parmeggiano. Du pain et une bonne bouteille de Bourgogne viendront compléter ma petite surprise à moi. Un petit dîner en tête-à-tête loin de tout ce stress de nos vies professionnelles, certes des plus palpitantes, mais également des plus stressantes.


Je rentrai donc tranquillement, sans faire de bruit. J’entendais le bruit de la douche provenant de la salle de bain. Je savais que tu aimais prendre une bonne douche ou un bon bain en rentrant. Cela te détendait après avoir affronté toute la journée ces clientes exigeantes et égocentriques pour qui tout est permis, y compris les plus perfides remarques. Je préparai tranquillement la table et sortis une bouteille de ce bon vieux Gevrey Chambertin quand tu sortis de la salle de bain avec un peignoir serré autour de la poitrine.


Tu me fis un rapide baiser et commenças à déplacer une chaise et un fauteuil que tu mis face à face. Je ne comprenais pas cette soudaine envie de déménagement ou de réimplantation du mobilier. C’était assez curieux et surréaliste.


Tu me demandas de m’asseoir sur la chaise, ce que je fis sans discuter. Et puis tout alla très vite. Je me retrouvai les yeux bandés par un masque de sommeil distribué par les compagnies aériennes dans des longs courriers. Ensuite tu me pris les mains et me les attachas dans le dos avec des menottes métalliques. Je ne sais pas du tout où tu as pu les trouver mais toujours est-il que j’étais bien attaché, cela ne faisait pas de doute. Puis ce fut au tour des jambes d’être attachées aux pieds de la chaise. J’étais immobile et ne pouvais réellement plus bouger.


Puis je t’entendis t’éloigner et fermer la porte de la salle de bain. J’entendis quelques bruits qui en parvenaient. Cela dura de longues minutes pendant lesquelles j’imaginais aisément l’état d’esprit des otages ou des prisonniers dans la même situation. Incapable de bouger, on se trouve réellement à la merci de n’importe qui de mal intentionné. Ce qui me rassurait, c’est que venant de toi, j’étais en de très bonnes mains. Je me remémorai également ton dernier SMS « Je te réserve une petite surprise ce soir » qui prenait maintenant tout son sens. Je ne savais vraiment pas ce qui m’attendait et j’étais impatient de le découvrir. La porte de la salle de bain s’ouvrit et je t’entendis marcher. J’entendais très distinctement tes pas et je devinais que tu marchais avec des chaussures à talons étant donné le bruit sur le parquet.




Tu te mets derrière moi et tu enlèves d’un coup le masque qui me bouchait complètement la vue. Et là je te vois enfin, et j’avoue que je n’en crois pas mes yeux. Tu es incroyablement sexy et très haut perchée sur tes escarpins les plus vertigineux. Tu portes des bas sombres très fins qui doivent sûrement être attachés à un porte-jarretelles, puisque je devine leurs marques sur le haut de tes cuisses. Il faut dire que la robe que tu as choisie est des plus moulantes et des plus courtes. J’ai l’impression que la matière est une sorte de toile vinyle luisante qui met incroyablement en valeur chaque courbe de ton corps, et Dieu sait s’il y en a ! À te voir, tu ne portes que cette robe, ces bas et ton porte-jarretelles. Pas de soutien-gorge et peut-être pas de string ou de tanga, encore que je n’en sois pas sûr. Tu as coiffé tes cheveux en arrière, ce qui met en valeur les fins traits de ton visage que tu as maquillé plus que de coutume, notamment sur le rouge à lèvres. Je dois presque me pincer tellement je suis surpris de te voir comme cela. J’en suis bouleversé et terriblement excité. Mon corps ne demande qu’à bouger, se mouvoir et venir te rejoindre. Mais je suis bel et bien prisonnier et incapable de faire le moindre mouvement.


Tu le sais et tu en profites. Tu marches autour de moi en exagérant ton déhanchement à chaque pas. Je te vois chalouper, onduler du bassin et te dandiner, ton incroyable postérieur parfaitement moulé dans cette robe à la limite de la décence. Tu t’éloignes de moi pour mettre un peu de musique. Tu as vraiment tout prévu, une musique envoûtante sur laquelle tu commences à onduler juste en face de moi. Tu es à moins d’un mètre de mes yeux et le spectacle que tu me donnes m’excite déjà au plus haut point. Au rythme de la musique, ton bassin dessine des courbes déconcertantes. Tu te rapproches de moi en parcourant ton corps avec les mains. Celles-ci partent de tes cuisses, remontent le long de ton corps et s’arrêtent sur tes seins, les prenant à pleine main. Je vois bien que tu te caresses les tétons au travers de ta robe. Ils sont dressés et forment des pointes parfaitement distinctes. Tu te retournes et continues à te dandiner. Tu te penches en avant et t’appuies sur les accoudoirs du fauteuil, juste devant moi. Cela a pour effet de relever ta robe et je commence à voir la lisière de tes bas. Tu te cambres encore plus en continuant de danser les jambes légèrement écartées. Là, plus de mystère, je vois le haut de tes cuisses presque jusqu’aux grandes lèvres. C’est réellement à la limite. Ta main droite quitte l’accoudoir pour venir caresser l’intérieur de tes cuisses. Ta main remonte et vient s’attarder tout en haut, tu dois être trempée d’excitation et tu dois sûrement te caresser le clitoris tout gonflé de sang. Tu es là juste devant moi en train de commencer à te masturber. C’est tout simplement incroyable cette vision. J’étais à 100 000 lieues d’imaginer ce qu’il y avait derrière ce dernier SMS.


Je n’avais jamais été pris dans un tel piège, une véritable torture. Tu le vois bien et tu t’en amuses. Pour encore plus me taquiner, tu viens t’essuyer les doigts pleins de mouille sur mes lèvres tout en posant un pied sur mon entrejambe puis en appuyant doucement. Je sens la pointe de ton talon me pénétrer les bourses au travers de mon pantalon. Cela est excitant au possible et également douloureux. Mais je ne sais pas ce qui l’emporte, cette légère douleur ou cette petite pointe de perversité dans ton regard qui m’excite terriblement.


Tu dois évidemment sentir cette protubérance entre mes cuisses. Tu dois sentir mon sexe se gonfler et appuyer sur ta chaussure.


Tu reposes le pied et vas t’asseoir sur le fauteuil juste en face de moi. Et là, tu commences à croiser et décroiser les jambes. À chaque fois, j’ai tout le loisir d’apercevoir ton sexe lisse et luisant. Ta robe remonte un peu plus à chaque fois, jusqu’au moment où tu écartes suffisamment les jambes pour poser les jambes sur chaque accoudoir. Tu me fixes du regard et je devine bien ce qui va se passer. Je vois tes mains descendre le long de ton corps et venir se blottir entre tes cuisses. Les doigts de ta main gauche écartent tes grandes lèvres tandis que ta main droite commence à caresser et titiller ton clitoris complètement trempé. Tes doigts vont de ton petit bouton tellement sensible à l’entrée de ton sexe. Vite un, puis deux doigts y pénètrent sans aucune difficulté. Entrent et sortent plusieurs fois et de plus en plus profondément. Te connaissant, tu ne vas pas tarder à trouver cela vraiment insuffisant.


Tu commences d’ailleurs à être dans un état second, tes yeux se ferment et ta tête se penche de plus en plus en arrière. Tes doigts sont toujours en train de labourer ton sexe et ceux de ta main gauche descendent également vers ton autre petit trou qui se voit investir de ton majeur gauche. Ta respiration semble s’accélérer et quelques petits spasmes parcourent ton corps.


Ta main droite quitte soudainement ton sexe pour aller fouiller derrière ton dos ou derrière le coussin du fauteuil. Ta main réapparaît avec ce qui, comme je le pensais, commence à te manquer. Il s’agit de ton vibromasseur. Tu as vraiment pensé à tout, au moindre détail. Tu es tout simplement incroyable.


Sans aucune hésitation, le vibro est présenté à l’entrée de ton sexe et y pénètre avec une facilité déconcertante. Il y est déjà au plus profond. Je vois que tu le tournes afin de le placer sur une des parois internes qui te donnent tant de plaisir puis tu mets en marche le système de vibrations. J’entends le bruit typique de ton vibro et je devine qu’il commence à te procurer un réel plaisir tant ton visage est expressif. Ton autre main tantôt caresse ton clito tantôt vient glisser un ou deux doigts dans ton autre orifice. Les petits gémissements que j’entends trahissent un intense plaisir qui parcourt tout ton corps. Tu ne vas pas tarder à jouir, je te connais trop pour ne pas voir arriver l’orgasme.


C’est là que tu retires brutalement le vibro de ton sexe, te lèves et viens vers moi en faisant glisser ton vibro sur mes lèvres en forçant le passage pour entrouvrir ma bouche. Je reconnais immédiatement l’odeur de ton sexe et son goût. J’entrouvre la bouche pour lécher le liquide visqueux qui recouvre ton ami de latex. Et là, à ma grande surprise, je te vois commencer à faire entrer puis ressortir l’objet de ma bouche. Je ne pense qu’à son goût et au liquide qui t’appartient avant de m’apercevoir que tu es en train de simuler une véritable fellation. Je te vois sourire et je me laisse prendre au jeu. Je lèche, titille, mordille l’objet tout comme toi tu le fais avec mon sexe. C’est la première fois que je ressens cette sensation bizarre d’être en train de sucer un sexe masculin. Et cela te plait apparemment et tu en profites en faisant pénétrer l’objet loin dans ma gorge. Tu le fais entrer puis sortir avec l’expérience d’une grande spécialiste.


Cela ne dure pas trop longtemps et d’un seul coup, tu dégrafes mon pantalon et le baisse quasiment jusqu’aux chevilles ainsi que mon boxer. Je me retrouve dans une situation incroyable. Attaché à une chaise incapable de bouger, le pantalon aux chevilles et le sexe raide et luisant pointé vers le ciel. À cette vue, tu n’hésites pas un instant. Me tournant le dos, tu t’assieds doucement sur moi prenant mon sexe dans ta main droite et le pointant à l’entrée de ton petit trou que tu avais déjà bien détendu avec les doigts. Doucement, mon sexe pénètre ce passage étroit et je commence déjà à sentir tes fesses sur mes cuisses. Tu es quasiment descendue sans la moindre hésitation et sans la moindre difficulté. J’étais bien profond en toi et dans un des endroits les plus convoités. Tu commences à t’appuyer sur moi pour te lever et redescendre. Tu es aidée par ma capacité à donner des coups de reins malgré le fait que je sois complètement attaché. Je te sens prise par de plus en plus de spasmes. Tu t’arrêtes pour introduire dans le sexe le vibro que tu avais gardé en main. Étant en toi, je sens la pénétration de cet objet au travers de la paroi qui sépare les deux orifices.


L’objet est bien placé et tu commences à onduler du bassin en mettant en marche le vibro. Tu es pénétrée des deux côtés et tu gémis de plus en plus. De plus en plus de petits cris et des mots sortent de ta bouche au rythme de mes coups de reins et de tes ondulations. J’entends distinctement des « j’adore », « oh oui », « plus fort »…


Tu as les deux mains entre les cuisses et tel que je te connais, tu dois avoir une main qui s’occupe du vibro et l’autre qui branle le petit clito devenu tellement sensible.


J’imagine aussi ce qui doit te passer par la tête. Cette double pénétration doit évidemment te faire imaginer être prise par deux hommes en même temps. Cette sensation d’avoir plusieurs mains et plusieurs bouches te parcourant le corps et tous ces sexes masculins aller et venir entre ta bouche, ton sexe, ton anus, tes seins, tes mains. Toutes ces possibilités qui alimentent tes fantasmes quand tu es seule dans ton lit et que tu te prêtes à la masturbation juste avant de plonger dans un profond sommeil.


Je suis tellement excité que je ne tarde pas à venir en toi. Encore quelques violents coups de reins et je sens plusieurs montées de sperme qui viennent jaillir de mon sexe et te remplir les entrailles. C’est presque au même moment que je te vois te pencher en avant et te tordre de plaisir. Une onde de jouissance parcourt ton corps et tu es en train de prendre un pied comme il y a longtemps que cela ne t’était arrivé. Tu bouges par soubresauts en haletant.


Après de longues minutes, tu te retires le vibro et te relèves. J’ai le sexe endolori et encore tout gonflé d’excitation. Je crois que je pourrais encore te prendre, quasiment sur-le-champ.


L’air complètement détendu, tu m’embrasses à pleine bouche avant de me libérer de tous mes liens.

Le pantalon aux chevilles et le sexe flasque, je te rejoins dans la salle de bain pour faire un brin de toilette. C’est en me voyant ainsi que nous éclatons tous les deux de rire.


La soirée n’est pas finie, un excellent repas et plein d’autres choses nous attendent.