Nue, sous une fine nuisette transparente, grimpée sur l’échelle, en train de décoller l’ancien papier-peint du mur, j’y mettrai tant de bonne volonté et de joyeux entrain, de détermination, que mes petites fesses toutes dodues se dandineront, sous ton nez, à chaque effort.

Je sais très bien que ça risquera de te perturber, toi qui peux avoir le sang chaud, voire bouillant, mais c’est de ta faute, tu n’avais pas à tomber follement amoureux de moi, et à faire ensuite des pieds et des mains pour que je partage ta vie. Tu m’as voulue ? Tu m’as eue ! Tu prends tes responsabilités !

Quand, armé de ton mètre-ruban, tu auras pris soigneusement toutes les mesures qu’il faut, murs, fenêtres, portes et autres découpes amusantes, quand tu auras bien prévu toutes ces choses agaçantes, quand tu auras précautionneusement découpé toutes les bandes de papier aux bonnes dimensions, alors, nuisette ôtée, j’enduirai mes blancs seins de colle, et sur les bandes prévues pour le premier mur, je les étalerais doucement, délicatement, les barbouillant au mieux de mes exquises chairs poisseuses, dessinant ainsi sur le papier enduit de colle mille arabesques du bout de mes tétons dressées…

Et défense absolue de toucher ! Il faut être sérieux de temps à autre, nous avons une pièce à retapisser et ce n’est pas en faisant des galipettes qu’on avancera ! N’est-ce pas ? Je t’aide, c’est déjà bien beau, il ne faut pas abuser de ma bonne volonté !

Après l’encollage fait par mes bons seins – euh – bons soins, ce sera à toi de poser les bandes de papier sur les murs. Moi, vois-tu, je suis si malhabile de mes petites dix-doigts si frêles, je ne suis pas du tout bricoleuse. Je ne sais même pas planter un simple clou. Par contre, je suis très bonne pour les idées de déco, d’aménagement, mais c’est à toi, l’homme, mon homme à moi, de concrétiser toutes les belles et grandes idées qui me viennent à l’esprit. À chacun sa partie.

Pendant que, perché sur l’escabeau, tu colleras avec application et maîtrise les bandes sur le mur, espiègle, je me placerai derrière toi, et zoup, je baisserai prestement ton pantalon ! Ma langue taquine s’introduira entre tes mignonnes petites fesses musclées, et je titillerai amoureusement et humidement ton petit trou tout rond, juste avec la pointe !

Bien sûr, tu resteras perché sur ton escabeau, laissant ton beau petit cul à la caresse insidieuse de ma langue coquine. Même si tu as fini de tout poser, tu attendras bien patiemment que j’en finisse avec ta rosette. On ne fait pas les choses à moitié, on s’applique jusqu’au bout, n’est-ce pas ?

Maintenant que j’en aurai fini avec toi, tu pourras descendre afin de préparer d’autres bandes, tandis que je me reposerai de mon gros effort. Je suis de constitution fragile et émotive, tu sais. Ah oui, j’allai oublier : tu resteras le popotin à l’air, c’est bien plus mimi ainsi. Et puis, réflexion faite, tu enlèveras ton pantalon et ton boxer, ce sera mieux ainsi ! Voila, voila, puis tu regrimperas poser d’autres bandes, il faut bien que cette pièce soit tapissée.

Quant à moi, j’irai sans doute me réoccuper de tes belles fesses fermes que tu agiteras si impudiquement sous mon nez. Sans parler de ce qui pendouille, là, tes bouboules bien rondouillettes, bien gonflées, bien juteuses en dedans ! Tu sais pourtant qu’il ne faut pas me provoquer, et là, franchement, tu abuses !

Quand tu auras fini de poser tes bandes et que tu auras bu un bon coca bien frais, histoire de te refroidir et de te rafraîchir, je m’allongerai sur le grand canapé, celui qui est face à la table à tapisser, et pendant que tu joueras avec la brosse pleine de colle sur le papier, je me caresserai voluptueusement la chatounette, mes doigts déjà bien trempés par ma propre mouille…

Tu resteras de ton côté, et moi du mien. Quand tu auras fini ton encollage, tu reculeras jusqu’au mur, car je me méfie des satyres dans ton genre ! J’irai alors m’allonger sur le ventre, mes petites fesses bien à l’air, sur la table à tapisser. Elle résistera bien, non ? Je suis si légère, une plume ! Toi, mains derrière le dos, tu regarderas tout en te reposant un peu. Après moult agaceries avec la brosse et mes doigts, une fois enduite ci et là de cette colle qui ressemble étrangement à du sperme, je m’introduirai bien profondément le manche dans mon cucul, puis je me mettrai à nouveau debout, une main massant un sein, l’autre nichée entre mes jambes, pour continuer ensuite à mettre la colle sur une bande de papier tout en remuant lascivement du popotin et joindre ainsi l’utile à l’agréable…

Je ne sais pas combien de temps il me faudra pour encoller cette première bande mais j’ai tout mon temps, et toi aussi, en tant que simple spectateur passif. Et puis, c’est si bon de se sentir remplie à cet endroit obscur, tandis qu’on se caresse lascivement, qu’on se masturbe éhontément ! Oui, oui, ouiii !

Après, tu regrimperas sur l’échelle, avec les nouvelles bandes encollées, et cette fois-ci, je prendrai amoureusement ton sexe tout dur dans ma bouche pour le sucer suavement puis, pour ne pas faire de jalouses, je laperai tes mignonnes couilles bien gonflées !

Tu imagines, ta queue bien raide dans ma bouche toute chaude et humide, ce manche tout dur enfoncé bien profond dans mon petit trou du cul ? Uhmmm !

Toi, là-haut, tu continueras à poser la tapisserie ; moi, plus bas, je m’occuperai en bonne RH du bien-être de mon petit personnel. Mais pas question d’éjaculer dans ma bouche si chaude et accueillante, tu as d’abord un travail à finir. Tu resteras bien raide comme il faut, comme le manche de la brosse ! Franchement, que veux-tu que je fasse d’un machin tout mou ?

Quand tu seras redescendu, la queue bien astiquée, j’irai m’encastrer dans l’ouverture de la porte, mes seins bien séparés par le bâti, une de mes jambes plaquée contre le mur et je me frotterai la chatte dessus avec un déhanchement d’enfer, remuant au maximum mon popotin afin de bien ressentir le manche de la brosse à colle toujours rivé dans mon petit trou !

Mes doigts agaceront mes tétons, serrant bien fortement leurs pointes érigées, les pinceront cruellement, ma jambe se frottera sans pudeur sur le mur, le bâti de la porte entrera sans réserve entre les lèvres détrempées de ma chatounette en folie ! Lascivement plaquée ainsi, férocement prise par derrière, je soupirerai, je gémirai, je jouirai !

N’étant plus du tout maintenant en état de travailler et de poser ce qui reste de rouleaux découpés, tu voudras absolument m’attraper pour me baiser sauvagement ! Les hommes n’ont décidément aucun self-control ! Mais voilà, étant totalement barbouillée de colle de la tête aux pieds, devant, derrière, je te glisserai entre les mains, j’irai prendre une bonne douche chaude avec plein de mousse onctueuse et je te laisserai sur ta faim ! Na !

J’espère que tu penseras à ce petit message quand tu tapisseras ce matin…

Bisous partout mon encu – oh pardon ! – mon encolleur préféré !