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n° 14734Fiche technique7600 caractères7600
Temps de lecture estimé : 5 mn
31/12/11
Résumé:  Retour de week-end en amoureux en Eurostar...
Critères:  fh couple cadeau train toilettes pénétratio fdanus jouet piquepince tutu -couple -train
Auteur : Pique et pique et colégram      
Retour de Londres

Deux jours à Londres. Visites, promenades et shopping, le classique du week-end en amoureux. Tu es enchantée par ces deux jours, ton visage rayonne. Bien sûr, nos deux nuits d’hôtel ont été remplies de caresses et câlins. J’ai même trouvé que tu devenais de plus en plus coquine et joueuse. Hier, lorsque nous nous sommes séparés une heure pour que tu puisses aller dans ce magasin de fringues que je déteste, j’ai pu faire quelques achats. Nous montons maintenant dans l’Eurostar qui va nous ramener à Paris. En nous installant, je te glisse à l’oreille la nature de mes achats : quelques nouveaux jouets pour servir ton plaisir. Tes yeux commencent à pétiller et tu commences à m’assaillir de questions afin de savoir, ou même voir ces nouveaux amis.


Le train roule depuis quelques minutes. Nous sommes en première classe, face à face, la voiture est quasi-vide. Tes yeux deviennent coquins et je vois le désir sur tes lèvres. Je t’entraîne dans les toilettes, personne ne nous a vus entrer, je tiens dans mon dos un petit sac. Aussitôt la porte verrouillée, tu te jettes sur mes lèvres, passant en même temps tes bras derrière mon dos afin de prendre le sac, mais je ne le lâche pas. Tu ris. Nous nous embrassons goulûment, nous caressant frénétiquement par dessus nos vêtements.


Mes mains sont sur tes fesses, il est temps de sortir le premier jouet qui, je l’avoue, assouvit plutôt l’un de mes fantasmes. Je sais que cela ne sera pas ton préféré, mais tu connais mon amour pour ton petit anus ; je l’aime tant que je voulais lui offrir un bijou. Je te tourne, baisse ton pantalon, ta culotte, mes mains ouvrent le chemin pour que mes lèvres déposent un baiser mouillé et appuyé sur ta petite entrée. Je prépare l’ornement en l’enduisant de salive, et te l’enfonce délicatement jusqu’à la butée où ton orifice se contracte. Ton cul abrite maintenant une belle rose argentée. Tu fais un peu la grimace mais tu sais qu’il est temps de tester le second jouet, dédié exclusivement à ton plaisir.


Ce second jouet va te permettre d’approfondir ton plaisir de la stimulation des seins, toi qui aimes tant que je taquine et mordille tes petites pommes d’amour. Tu es toujours dos à moi, je dégrafe ton soutien-gorge. Tu sens mes mains fraîches empoigner tes seins, et subitement un faible cri de douleur s’échappe de ta bouche lorsque tu ressens un pincement, sur chacun de tes tétons. Tu tournes la tête et me regarde en te mordant la lèvre inférieure de désir. Attends ma belle, attends. Laisse monter ton envie, nous sommes encore loin de Paris !


Mes mains ressortent de dessous ton pull pour aller mettre en place le troisième accessoire de ton plaisir. La nature offre des formes très sympas et ce jouet ressemble à un œuf, en plus petit bien sûr. Retourne-toi mon cœur. Ton sexe est trempé et ta langue, ta salive envahissent ma bouche, mes doigts glissent et déposent l’objet entre tes grandes lèvres. Ma main se retire, ta culotte sagement remise en place et, surprise, tu me regardes avec interrogation lorsque je remonte également ton pantalon.


C’est un peu dépitée que tu rejoins ton fauteuil dans la voiture. Tu me vois alors esquisser un sourire plein de désir et ressens soudainement une vibration entre les cuisses… Tu me regardes fixement, tes pupilles se dilatent. Tu comprends que je veux te voir jouir dans ce train et tu découvres dans ma main gauche une petite télécommande, alors que les vibrations se font plus présentes.


Quelques dizaines de secondes maintenant que tes yeux sont mi-clos, tu sembles perdre tout contrôle, t’abandonner aux sensations qui se diffusent depuis ton sexe, quand tu ressens le début d’une vibration sur le bout de tes seins. Tu aperçois alors un second boîtier dans ma main droite. Je ne vois plus le vert de tes yeux ; il ne reste que deux énormes ronds noirs, ta bouche est entrouverte, tu sembles avoir perdu la parole. Ce n’est pas moi qui te contrôle mais ton plaisir, tu lui es soumise, maintenant.


Tu trouves l’énergie de te pencher vers moi pour me parler. Tu es conquise par ces acquisitions, tu tentes de te rapprocher en avançant tes mains sur mon entrejambe. J’intensifie les sollicitations… On dirait que tu vas me manger. Tu découvres le contact indirect de l’œuf et du petit objet logé dans ton anus, je crois que cela commence à te plaire. Tu me chuchotes :



Difficile, nous sommes quand même dans un train, certes peu rempli, mais nous ne sommes pas seuls, même si personne n’a visiblement perçu ton émoi.


Tu te renverses alors sur ton dossier, encore une fois tu sembles légèrement frustrée mais toujours débordante de désir. Tes jambes sont entrouvertes, tu es au comble de ton plaisir, et je vois apparaître sur ton pantalon de toile, sous le zip, une auréole qui grandit doucement. Tu t’abandonnes, la tâche grandit toujours. Je donnerais tout pour être à ce moment cet œuf ou cette rose de métal inondés de tes jus. Tu rougis, comment vas-tu faire avec ce pantalon souillé ? Tu regardes fixement la bosse que fait mon sexe prêt à éclater. Tu me supplies :



Nous revoilà dans ces deux mètres carrés, je caresse ton entrejambe mouillé, nos langues s’entremêlent, tu es toujours sous l’emprise de ces jouets vibrants lorsque tu t’agenouilles devant mon bassin. Enfin, tu délivres mon sexe tendu de sa cage de tissu devenue douloureuse, tu le caresses, l’embrasses. L’extrémité de ta langue le parcourt avant que ta bouche ne l’engloutisse une première fois. Ta langue se fait large sur mes bourses, puis revient vers le gland, je vis un délice sous tes caresses.


Je veux ta bouche mais cela ne suffit pas, je veux ton sexe. Je veux entrer le plus profond possible en toi. Tu te relèves et ton pantalon peine à descendre, j’y parviens en m’agenouillant, reprends l’œuf que je nettoie délicatement du bout de la langue. Je n’en peux plus, je te retourne et t’incline sur la tablette du lavabo… Ton cul est magnifique ! Je le caresse, le claque. Tes fesses rosissent à vue d’œil. Je te pénètre sans ménagement tout en écartant les deux globes pour admirer la rose argentée qui ferme l’accès à ta grotte secrète et tant désirée.


Tu gémis et amplifies le mouvement, le rythme s’intensifie, je retire tes pinces pour solliciter de mes doigts tes petits tétons. Tu te cambres. Je te demande comment tu souhaites recevoir mon plaisir. Ta réponse est silencieuse et rapide ; tu te retournes, tes genoux déjà à terre devant mon sexe. Il est luisant de ton nectar et tu le branles fermement en suçotant le bout de tes lèvres divines. Je viens, ta bouche s’ouvre et m’enfourne. Je te remplis et ton front se plisse alors que l’amertume de mon sperme se fait sentir, avant de le faire descendre le long de ta gorge. Tu te relèves et poses tes lèvres sur les miennes, ta langue me pénètre. Nos goûts se mélangent, ma bouche est devenue ton sexe et ta langue le mien.


Nous arrivons sur Paris, tu me souris et me dis :