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n° 14738Fiche technique31843 caractères31843
Temps de lecture estimé : 18 mn
02/01/12
Résumé:  Une jeune femme gironde et sexy, abandonnée sur le bord d'une route par son fiancé, sera prise en stop par un homme qui arrivera à la séduire.
Critères:  fhh extracon inconnu grossexe grosseins hotel autostop voir exhib photofilm entreseins fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo confession -occasion -fhh
Auteur : Mess            Envoi mini-message
L'auto-stoppeuse

J’ai décroché un emploi : représentant pharmaceutique en Languedoc-Roussillon. Le lundi matin, je quitte la banlieue parisienne par le train, pour ne revenir que le vendredi soir. La semaine, je parcours des kilomètres en voiture pour visiter les médecins en faisant semblant de m’extasier devant de nouvelles molécules. Le salaire est plutôt intéressant alors je ne me plains pas.


Ma véritable passion, c’est la photographie. J’ai bien essayé d’en vivre, mais j’ai vite déchanté. Je continue à pratiquer, en amateur. Sur la route, à l’affût d’un cliché, j’ai toujours mon appareil photo avec moi.


Ce soir-là, le dernier rendez-vous de la journée vite expédié, je regagne mon véhicule, desserre ma cravate, ôte ma veste et démarre pour rejoindre une route de campagne sinueuse menant au petit hôtel que j’ai choisi sur internet. Il fait encore une chaleur à crever.


Je roule doucement, depuis vingt minutes environ, profitant de la climatisation, d’un CD de jazz et des dernières lueurs du soleil qui sublime le paysage vallonné avant de céder place à la nuit.


Soudain, noyée dans l’ombre, je distingue une auto-stoppeuse. Drôle d’endroit pour lever le pouce, on est à 10 km de la ville la plus proche. Je passe à sa hauteur et m’arrête sur le bas-côté. Elle approche en courant.


Alléchante vision : c’est une jeune femme, gironde, portant une robe d’été noire, moulante, et très courte. Des seins épanouis rebondissent sous le tissu.



Penchée à la vitre, côté passager, elle me jauge rapidement, mon âge, le costard, ça doit la rassurer. Je remarque de suite, après son décolleté affriolant, ses yeux mouillés de larmes.



Quand elle se glisse sur le siège, je ne peux m’empêcher de loucher sur ses cuisses potelées.



Brune, la peau mate, de grands yeux bleus, une bouche pleine dessinée de rouge. Ses longs cheveux noirs sont ramenés en queue de cheval. Voilà le visage de cette naufragée de la route.



Elle est sur les nerfs. Sa voix tremble tout autant que ses mains. Sa robe est tellement courte que je devine l’arrondi généreux d’une fesse.



Je lui tends mon téléphone, qu’elle me rend après deux tentatives.



Elle se met à pleurer. Nonchalamment, je pose ma main sur sa cuisse, en essayant de la rassurer.



Sa peau est chaude, douce. Je sais, c’est dégueulasse de profiter de la situation, mais je n’arrive pas à me raisonner. Je dois aussi vous dire, qu’avec mes horaires de dingue, je n’ai pas touché une femme depuis deux mois. Et cette fille dégage un érotisme animal. Elle est tellement déboussolée qu’elle n’arrive pas à dérouler le fil de la ceinture de sécurité, je suis obligé de l’aider et en profite pour effleurer sa poitrine du plat de la main.


En route pour le petit restaurant de poisson que j’ai repéré dans la matinée.



Des questions sur son âge : 23 ans, son métier : coiffeuse, et la raison de sa présence dans la région : elle passait un week-end prolongé avec son mec dans un relais château. Et nous voilà arrivés.


D’une démarche féline, elle se dirige vers la petite table de deux couverts désignée par le serveur qui, soit dit en passant, a bien reluqué son décolleté et son cul rebondi.


Encore abattue en entrant, elle se détend après deux coupes de champagne.



Elle vide sa coupe, que je remplis aussitôt.



Ça doit être ce mot, « caresser », j’ai des picotements dans le bas-ventre.



Nouvelle gorgée.



Pas de solidarité masculine ce soir…


Le serveur vient de déposer les plats sur la table et scrute de nouveau le décolleté de Déborah, dont le haut de la robe a légèrement glissé, ça met en valeur le sillon qui sépare ses seins épanouis, et laisse apparaître la dentelle noire de son soutien-gorge. Elle touche à peine à son assiette et continue au champagne.



Et si elle doit mettre sa menace à exécution, je compte bien m’inscrire sur la liste des prétendants.


Le temps s’écoule. La conversation dévie sur l’histoire de nos courtes vies. J’ai discrètement rapproché ma chaise de la table, mon genou touche le sien. Elle dit que c’est dommage d’avoir arrêté la photo, que c’est bien de vivre de sa passion. Je lui propose de l’héberger dans ma chambre d’hôtel cette nuit, pour l’aider… Demain, elle y verra plus clair, je pourrais la déposer quelque part. La mettre dans un train.




ooo000ooo




On quitte le restaurant. Elle ricane, trouve que je ressemble à son ex, titube légèrement. Je passe le bras autour de sa taille fine, qui soutient des hanches dessinées et des fesses cambrées. Je sens sa poitrine écrasée sur mon torse, ça me fait bander.


Le hall du motel, éclairé comme un soir de spectacle, est complètement désert, si ce n’est le réceptionniste derrière son comptoir. Un jeune type, très grand, avec une allure de rugbyman. Il sort de sa torpeur en remarquant Déborah dans sa petite robe d’été, et devient très avenant, en un large sourire, il annonce, pendant que je remplis la fiche de renseignement, que nous bénéficierons de la meilleure chambre de l’établissement : la 114, au rez-de-chaussée.



Je jette ma valise sur un des lits, retire mes chaussures et déboutonne ma chemise.



L’unique et large fenêtre de la chambre donne sur un petit parc, illuminé par la pleine lune, où sont dressées quelques tables de camping au milieu des arbres.


J’allume la télé, choisis une chaîne musicale. Dans le frigo de poche, rempli de mignonnettes, je trouve deux petites bouteilles de champagne pour mon hôte, un whisky pour moi. À travers la cloison, on discerne le bourdonnement humide de la douche, elle est nue, à quelques mètres de moi. Je roule un joint.


La fumée s’envole par la fenêtre ouverte quand elle sort de la salle de bains.



Elle s’avance, vêtue d’un peignoir blanc, les cheveux mouillés.



Elle se verse un verre, avachie dans le fauteuil Club en cuir marron qui s’accorde bien avec la peinture crème des murs. Je lui tends le pétard et à mon tour gagne la salle d’eau.


Son soutien-gorge sèche, pendu prés du lavabo. 95F indique l’étiquette, je pensais que la plus grande taille de bonnet ne dépassait pas le E. L’eau, presque brûlante, me fait frissonner. Je rejoins la chambre torse nu, j’ai enfilé un caleçon et porte une serviette autour de la taille.



Le pétard entre les doigts, assise en tailleur sur son lit. Largement entrebâillé, son peignoir révèle la marque blanche laissée par un haut de maillot de bain. Elle feuillette le magazine télé offert par l’hôtel. La lampe près du lit l’éclaire de côté et la met en valeur. Je sors mon reflex de la valise.



Immédiatement elle se lève et, debout sur le lit, réajuste ses cheveux. Je n’ai pas besoin de la guider.


De face, de dos, sur le côté, elle enchaîne les poses langoureuses de pin-up des années 50. Clic, clic, clic. Elle se cambre, fait ressortir ses fesses, ses seins. Ça commence à s’agiter dans mon caleçon.


La séance dure, je remplis plusieurs cartes mémoires.



Je dis ça avec un air détaché, comme si c’était tout à fait naturel.



Je n’insiste pas et continue à mitrailler en tournant autour d’elle. Mon exaltation décuple. Je m’approche. Prends l’excuse de corriger sa position pour toucher son épaule, palper son bras, effleurer son sein comme par mégarde.


Peu à peu, je la sens plus à l’aise, elle baisse la garde. La sortie de bain s’entrouvre d’avantage. Presque collé à elle, je sens l’odeur du savon sur sa peau. Mes lèvres se tendent vers les siennes. J’envahis sa bouche et elle se laisse faire. Il ne s’agit pas d’un long baisé romantique, ce n’est pas ce dont j’ai envie.


Sans pudeur, je libère et reluque son opulente poitrine, objet de mon fantasme depuis des heures. Elle tombe légèrement sur le côté, emportée par les lois de la gravité. La peau, tendue à l’extrême par le poids, est coloriée de petites veines bleues qui courent en tous sens et rejoignent les aréoles larges et sombres. Ses tétons sont dressés.


J’ai à peine le temps de me flatter l’œil que déjà elle remonte le peignoir, descend du lit, s’adosse sur la porte vitrée du placard de l’entrée et bombe le torse, reprenant la pose et amplifiant encore la grosseur de sa poitrine.



J’ai du mal à la cerner, elle m’aguiche pour ensuite me repousser.


La séance photo redémarre. Son regard change, elle fixe l’objectif différemment. Les poses sont plus suggestives. Elle en montre de plus en plus. La pression monte.


Nouvelle tentative. Sur mes conseils, elle vient s’asseoir sur le petit canapé, près de la fenêtre, là où la lumière est meilleure. Je la fait pivoter légèrement en posant ma main sur son flanc, assez haut pour sentir la naissance d’un sein. Mes doigts s’attardent, notre baiser reprend là où on l’avait laissé.


Je soupèse ses seins, sa langue tourne plus vite, ses tétons pointent, je les pince à travers le tissu. Cette petite cérémonie dure un moment. J’ai le cerveau et le bas-ventre en ébullition. Ce n’est presque plus du plaisir, ça me fait mal.


Cédant à mon instinct, je ne me contrôle plus. Je sors ma queue et lui impose de me sucer en la tenant par les épaules. Déborah refuse, tourne la tête.



À peine a-t-elle dit ça, et au moment où je me fais une raison, prêt à remonter mon caleçon et, tant pis, à laisser tomber, elle s’empare de ma queue et l’introduit entre ses lèvres. Délicieuse sensation, s’aidant de la main elle la fait coulisser profondément. Son désir augmente, je le sens à la façon dont elle accélère le mouvement.


C’est de son corps dont j’ai désormais envie. Je la lève, me place derrière elle, et fais glisser le peignoir au sol. Elle essaye, sans conviction, de la retenir. Ses hanches marquées et ses fesses rebondies, on dirait un Man-Ray. J’agrippe ses gros seins, ils sont lourds, chauds, j’en jauge la consistance un peu molle, puis les relâche doucement. L’ambiance est devenue électrique dans la chambre. Finies les photos, mon appareil gît sur la moquette.


Tout à coup, je perçois une ombre mouvante dans le jardin, une ombre que je reconnais rapidement, c’est le réceptionniste, le grand rugbyman. Dans sa main, une petite lampe torche ne tarde pas à s’éteindre. Il donne l’impression d’être occupé à ranger des parasols, mais à travers la fenêtre aux rideaux restés ouverts, il est pile dans l’axe pour se rincer l’œil. D’autant qu’à ce moment précis, sans que je la guide, Déborah décide de passer à la vitesse supérieure.


Le choc ! Elle se rassoit face à mon objectif et écarte exagérément les cuisses, dévoilant son sexe intégralement épilé. Dehors l’ombre, immobile, ne cherche plus à faire semblant.


D’une main elle se caresse la poitrine, l’autre descend vers son bas-ventre. Devant moi et, sans le savoir, sous l’œil concupiscent du voyeur, elle se masturbe. Les battements de mon cœur accélèrent et résonnent dans mes tempes. Désormais débarrassée de toute retenue, elle s’offre toute entière.



Image indécente.



Cette réplique crue contraste avec le ton timide de sa voix. J’obéis.


Deux doigts enserrent son clitoris, elle tire dessus, puis écarte sa vulve gonflée, brillante de cyprine, pour mieux m’exciter.


Ses mamelles énormes qui s’étalent sur son buste. Je veux les baiser directement, sans préliminaire, sans douceur.


Debout entre ses jambes, j’attrape les deux globes, et les défonce en les serrant sur ma queue qui disparaît totalement sous leur volume. Déborah gémit, m’encourage à continuer. Je déloge mon sexe, colle mon gland près de sa bouche, et m’y engouffre quand elle écarte à nouveau les lèvres. Pendant qu’elle me pompe, je malaxe cette poitrine qui me rend fou. Puis reviens frotter ma bite à tour de rôle sur chaque téton. Elle continue de se masturber en gémissant. J’entends le clapotis provoqué par ses doigts pénétrant le vagin trempé.


Dehors, l’ombre s’est rapprochée. À aucun moment Déborah ne cherchera à tirer les rideaux. Peut-être cherche-t-elle à s’exhiber. Ou sûrement n’a-t-elle pas remarqué la présence extérieure.


J’attrape ses cuisses, les ouvre largement, et la fais basculer sur le canapé afin de la pénétrer en missionnaire.



Elle dit ça d’un air déçu, mais d’une voix toujours pleine de désirs.


Déjà au bord de l’explosion, je la soulève et la place sur le bord du canapé, là où la lumière est la plus vive, face à la fenêtre. Je veux la dévoiler, l’offrir au voyeur.


Le buste droit porté vers l’avant, elle pétrit ses nichons, continue à se branler. J’envoie tout mon foutre, visant les mamelons. Finissant de jouir, avec mon gland j’étale le sperme sur sa peau.



La porte claque.


En attendant qu’elle revienne, je glisse sous les draps, attrape la télécommande du poste TV, pour choisir une chaîne d’informations. Il est 23 h 30.



ooo000ooo




02 h 47, affiche le réveil de la chambre, quand je me réveille en sursaut. J’ai dormi presque trois heures. J’en arrive à me demander, l’esprit encore affaibli, si cette fille au corps de déesse ne sort pas de mon imagination. Le désordre dans la chambre et les bouteilles vides prouvent le contraire. Cependant, je suis seul. Déborah n’est pas revenue.


Rhabillé, je gagne le hall de l’hôtel. Personne à l’accueil. Je me dirige vers le bar : fermé.


Un rayon de lumière filtre au bas d’une porte marquée « entrée interdite ». J’approche, tourne la poignée, et entrouvre avec appréhension.


C’est une pièce de repos pour le personnel, au milieu d’un capharnaüm de cartons et de prospectus, une ampoule au plafond projette une lumière crue sur un lit de camp.


Sous cette lumière : Déborah, à genoux, nue, sa robe d’été, qu’elle a décidément du mal à garder, jetée au sol. Le réceptionniste debout devant elle, pantalon aux chevilles, en train de se faire sucer, il enfourne à peine le quart de son impressionnante queue dans la bouche de la belle. La pièce est emplie de bruits de succion et de murmures.


C’est elle, la première, qui me remarque.


Elle sursaute légèrement et lâche l’engin d’un seul coup. Comme un voleur à l’étalage abandonnant son larcin. Elle se relève.


David m’aperçoit à son tour et offre un sourire embarrassé.



Je dis ça d’un air détaché qui rassure David.


Il a tout de même remonté son pantalon. J’imagine qu’elle a eu le temps de lui dire que nous n’étions pas en couple, simplement des amis.


Déborah, toujours nue, s’approche de moi, m’enlace et m’embrasse fougueusement.



Elle continue sur le ton de l’humour.


Sa langue tourbillonne autour de la mienne, serrée encore plus contre moi, son bas-ventre ondule, sa respiration s’accélère. Le géant est à côté de nous, un peu gauche, il regarde sans savoir comment réagir. Partir, participer, il semble hésiter, ou alors il attend le feu vert.


Déborah déboutonne ma braguette, fait jaillir mon sexe, qu’elle prend dans sa main et continue avec moi ce qu’elle avait commencé avec lui.


Celui-ci vient lui passer la main dans les cheveux, pour quémander un peu de plaisir. Elle semble l’ignorer un instant, puis finit par lui caresser l’entrejambe à travers le pantalon.



David décide de prendre un peu l’air et se débarrasse de son jean.


Déborah attrape l’énorme engin de sa main libre pour nous branler simultanément pendant quelques minutes, le regard fixé sur nos parties génitales, avec, je dois l’admettre, une fascination plus marquée pour celles de mon acolyte.


Quelques préliminaires plus tard, nous rejoignons l’effrontée dans son entière nudité. Plusieurs fois, je la vois hésiter à aller plus loin, chercher à mettre un terme à ce trio. La peur ou la morale la font raisonner. Voulant se limiter à la fellation, elle repousse plusieurs fois nos assauts. Puis, graduellement, elle laisse nos mains explorer son corps, et abandonnant toute résistance, accepte de se rendre à l’ennemi.



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Mon excitation grimpe pour atteindre des sommets quand je la soulève et l’allonge sur le lit. À califourchon sur son buste, j’entame une branlette espagnole. David vient placer son visage entre les cuisses de la coquine, qui les écarte et les relève en se tenant sous les genoux, afin de s’offrir entièrement.


Elle commente à voix haute ce que le géant lui fait subir, et le dirige d’un ton autoritaire.


Quand je me retourne pour voir se qui se passe dans mon dos, David lui aspire littéralement la vulve, il lui a aussi glissé trois doigts dans l’anus. Elle semble apprécier car elle gémit de plus en plus fort.


Le géant me fait signe de la retourner pour l’installer à quatre pattes sur le lit.


Dans cette position, ses lourdes mamelles pendent à la verticale, et je ne peux m’empêcher de les claquer doucement, pour les voir balancer, pendant que je lui roule une pelle. Elle a les bras tendus, le dos bien cambré, son cul généreux pointe vers le ciel en une position affriolante pour qui se place derrière elle.


Comme David par exemple, qui lui a renfilé ses doigts dans le petit trou. Il lui redresse la tête en empoignant sa longue chevelure. Il sort de ses fesses, admire l’anus dilaté et crache à l’intérieur. Loin d’être choquée, Déborah le somme de continuer à lui fouiller le cul. Rajoutant un quatrième doigt, il répond aux ordres. Quant à moi, je prolonge le baiser, nos langues tournent en une farandole chaotique et humide.


Le géant s’est écarté, il sort une capote de son emballage, l’enfile sur son engin dressé à la verticale. Doucement, il commence à envahir le vagin offert.


Déborah ponctue sa jouissance de tirades obscènes encourageant David à l’introduire plus profond. Les trente centimètres de chair ne tardent pas à disparaître dans ses entrailles. Elle hurle. Le réceptionniste, un peu inquiet de ce tintamarre pendant son service, lui plaque la main sur la bouche.



Ça n’a pas beaucoup d’effet, Déborah est complètement déchaînée. Afin d’aider ce salarié à conserver son emploi, je viens embrasser la tigresse à pleine bouche, ça étouffe les cris.


Comme s’il s’agissait d’une chorégraphie érotique définie à l’avance, nous changeons de position. Mon sexe prend place dans le trou béant, et lui vient se faire sucer. Ou plutôt lui baiser la bouche, à force de va-et-vient, il essaye de faire rentrer sa queue au maximum, elle salive, ça dégouline de son menton sur le lit, elle en est presque étouffée mais semble apprécier, car quand il se retire, elle ouvre de nouveau les lèvres, prête à recevoir l’engin.


Je continue à investir sa chatte tout en fessant sa croupe potelée, qui vire au rouge, et en glissant mon pouce dans son anus. Sous les coups de boutoir ses nichons volent dans tous les sens.


Le miroir au mur reflète la vision, obscène mais tellement excitante, de nos ébats. Je manque défaillir.



Ça vient du hall, sûrement un client mécontent de ne trouver personne. David sursaute, et abandonnant la belle se rhabille maladroitement, le plus vite possible.



Il disparaît, les cheveux ébouriffés, en refermant soigneusement la porte derrière lui.



Elle se place debout face au miroir, prend appui sur la table et me présente ses fesses. Placé derrière, je l’embrasse dans le cou. Je soulève un sein et le présente à sa bouche, elle mordille le téton. Puis ma langue suit le sillon de son dos pour atterrir sur ses fesses que je lèche sans retenue.


Un peu plus courbée, elle écarte ses deux globes et m’offre son intimité. Ma langue fait la navette entre son clitoris, son vagin, et son anus au fond duquel elle termine sa course. Mon visage est couvert de mouille et je n’ai plus qu’une obsession : la sodomiser.



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Voilà le tableau offert au retour de David.


Déborah à quatre pattes sur le sol. Moi derrière elle, les genoux pliés, presque debout, ma queue sort de son anus pour y replonger. Entre ses dents elle mord ma chemise pour étouffer ses cris. Je tire sur sa longue crinière brune et vois dans le miroir les énormes nichons ballotter au gré de la pénétration. J’en bloque un, et le secoue en tirant sur le téton dressé.



Deux secondes plus tard, déjà en érection, il se colle au buste de Déborah, sur le côté, et réussit en glissant sa queue sous elle à se branler avec ses seins, pendant que je continue à la sodomiser.



Je m’efface, laissant un anus ouvert, dans lequel David vient introduire son glaive, délicatement. La cochonne cambre encore plus son cul, frotte sa chatte d’une main, me branle de l’autre, maintenant que je suis accroupi près d’elle. Le visage appuyé sur le lino gris de la pièce, les cheveux collés par la sueur, on dirait une naufragée échouée sur une plage de galets.


Elle veut qu’il aille plus fort, plus loin, plus vite. Le piston de chair coulisse dans son derrière, disparaît complètement pour réapparaître et replonger encore et encore… La cadence augmente en même temps que les gémissements.


Le sexe démesuré alterne entre les deux trous, pénètre aussi facilement l’un que l’autre.


J’entends David grogner, dire qu’elle est sacrément bonne, et lui demander d’écarter son cul au moment où il vire sa capote et déverse un torrent de sperme en visant l’anus élargi à l’extrême.


Déborah n’a pas eu son compte, elle m’ordonne de lui baiser la chatte. Je m’allonge sur le dos, elle est déjà empalée sur moi, penchée sur mon torse. Son vagin est trempé, large, j’ajoute deux doigts en plus de ma queue. À sa demande je la pilonne de toutes mes forces. Ses gros seins rebondissent sous mes yeux émettant un son caractéristique chaque fois qu’ils viennent s’entrechoquer.


Quand je lui signale que je ne vais pas tarder à jouir, elle me supplie d’attendre encore, réclame la queue de David qui reprend très rapidement de la vigueur quand il vient la glisser dans sa main.


Déborah rebondit sur mon phallus de plus en plus fort.


Jusqu’à ce que ses jambes se mettent à trembler, et qu’un orgasme envahisse son bas-ventre. Elle crie sa jouissance tout en branlant la bite du géant à toute vitesse. Il n’en faut pas plus pour que j’inonde la capote, le visage enfoui entre sa poitrine, là où c’est confiné et brillant de sueur. Elle s’écroule sur le côté, lessivée, haletante.


Pourtant David n’en a pas fini avec elle, il la soulève comme une plume et l’assoit sans ménagement sur la table.



Il est vrai que jusqu’à maintenant il en a peu profité. Son énorme queue, proportionnée aux poumons de la coquine, se dresse à leur hauteur. Il envahit la chair et grogne en la possédant. Jusqu’au moment où un geyser de foutre jaillit et arrose tout autour de lui. Le cou, le visage, les seins et le ventre de la libertine sont touchés. Épuisée, elle trouve tout de même la force de lécher les dernières traces de sperme sur le gland écarlate du géant.



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Le lendemain, j’abandonne Déborah devant la gare de Montpellier, avec un billet de train pour Lyon. Son compagnon, qu’elle a contacté dans la matinée, viendra l’attendre. Elle a convenu de lui raconter qu’un couple de personne âgées l’a prise en stop sur le bord de la route, puis entendant ses malheurs, lui a offert de l’héberger et aussi de quoi rentrer chez elle.


Je sais que c’est stupide, mais j’ai un petit pincement au cœur quand je la vois s’éloigner sur le quai.


Pour toujours.