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Temps de lecture estimé : 6 mn
03/01/12
Résumé:  Marie succombe au désir au féminin.
Critères:  ff fbi lingerie cunnilingu anulingus fdanus init québec -initff -fhomo
Auteur : Princesse83
Marie ou la première fois

Pour moi, rien ne vaut une belle grosse queue qui remue au creux de mes reins. Je ne résiste pas à la sensation d’un solide mouvement de va-et-vient dans ma chatte ou mon anus, mais parfois, lorsque le célibat frappe un peu trop longtemps, il me prend l’envie terrible de lécher une petite chatte humide.


La dernière femme conquise fut une expérience inoubliable. Règle générale, je prends mes « victimes » sur Internet. Je leur donne rendez-vous chez moi, un grand appartement situé juste en face de l’Université de Montréal.


Il y avait plus de trois ans que j’étais sans copain officiel, et les rares baises masculines que je m’étais offertes avaient été minables. À l’aube d’une nouvelle année, je décidai que je voulais un amoureux. Après avoir créé un profil sur un site de rencontres reconnu, je me déclarai hétérosexuelle. Quelle surprise agréable ce fut quand je reçus un message d’une certaine Marie. Elle était en couple avec un mec, mais était tentée par une aventure au féminin. Elle était très claire dans ses intentions et cela me plut. Nous nous masturbâmes en ligne, via nos webcam et après, je n’eus qu’une envie, celle de la lécher et de la sucer pendant des heures. L’échange de vidéos pornos trouvées sur le net, de scénarios délurés, tout cela m’émoustillait quotidiennement. Je me masturbais toutes les nuits en pensant aux mille et une cochonneries que je lui ferais subir et qu’elle goûterait avec délice.


N’y tenant plus, je lui fixai un rendez-vous qu’elle accepta, sans doute avec un peu d’anxiété. Mais je sentais également que Marie était ravie que sa première fois soit avec une fille d’expérience.


Le fameux soir, je couvris ma poitrine généreuse d’un délicat soutien-gorge blanc en dentelle fine et un string de la même couleur, orné d’une grosse boucle. Je symbolisais ainsi la virginité de ma Marie. Vers 20 h, elle sonna chez moi et lorsque je lui ouvris la porte, elle resta sans voix. Je lus dans ses yeux une seconde d’hésitation, mêlée à une excitante admiration. Je lui souris, elle fit de même. Je tendis la main pour la faire entrer.



Elle détacha la ceinture de son trench, je le lui fis glisser des épaules. Dessous, elle était vêtue d’une simple robe noire. Nous nous dirigeâmes vers la cuisine, où je lui servis un verre. Je pris le temps de bien me pencher, découvrant mon incroyable derrière à ses yeux gourmands. Je sus, à ce moment, à quel point nous aurions du plaisir ce soir-là.



Elle me regarda par-dessus son verre. Elle avait un regard incroyable. Je n’y tins plus et lui pris délicatement la coupe des mains, la déposai sur le comptoir et entraînai Marie vers la chambre. Elle voulut s’asseoir, je la retins.



Je la tournai, dos face à moi, et baissai sa fermeture éclair. Une peau bronzée, un corps mince et de magnifiques fesses, douces et lisses, se dessinèrent sous mes yeux. Oh God ! Elle allait me faire jouir avant que j’aie commencé quoi que ce soit, pensai-je !



Elle rigola.



Je la retournai et la remerciai de son compliment par un premier baiser. Elle ne se rebella pas. Elle était presque nue contre moi, sa lingerie en satin se frotta contre mes seins et ma chatte, qui s’humidifiait à une vitesse folle. Sa langue chercha la mienne, la massa avec une assurance peu commune. Mes mains, descendirent à ses seins, qu’elle avait pleins elle aussi. Les siennes n’étaient pas moins entreprenantes et s’acharnèrent à dégrafer ma prison de dentelle. En quelques secondes, mes seins furent exposés. Sa bouche se décolla de la mienne pour atterrir sur mon mamelon gauche, dressé.



Nous grimpâmes sur le lit et je me couchai sur le dos. Je la laissai s’escrimer sur mes seins, avant de la laisser revenir à ma bouche. Ses mains glissèrent alors vers ma chatte, sous ma petite culotte. Elle me jeta un coup d’œil, sourire aux lèvres ; mon sexe entièrement inondé était le témoin de mon désir. Je me relevai sur les coudes, la regardai enlever ma culotte.



Elle fronça les sourcils. Je lui souris et lui fis un signe encourageant, en lui ouvrant mes jambes. Ma chatte, ainsi exposée, la terrifia. Elle ne savait pas quoi faire. Bien, alors, ce serait mon tour. Je lui pris les mains, suçai les doigts qui s’étaient fourrés au creux de mon intimité, mes yeux verts plantés dans les siens. Marie était fascinée. Je tendis les mains, lui ôtai son soutien-gorge, mordis et léchai ses mamelons fièrement au garde-à-vous. J’invitai ensuite ma partenaire à se coucher sur le ventre.



Je commençai donc par les épaules, lentement, et repoussai ses cheveux foncés sur le côté. Je plaquai de petits baisers sur ses omoplates. Elle frissonna de plaisir. Mes doigts trouvèrent la courbe de sa poitrine généreuse et s’attardèrent un moment. Puis je descendis vers ses adorables fesses, toujours couvertes par le string. Je mouillai mes lèvres, sortis la langue et embrassai ces douces collines. Mes index entortillèrent l’élastique du sous-vêtement et forcèrent ainsi Marie à soulever son bassin pour faire glisser la pièce de tissu. Nous étions à présent à armes égales, nues.


Elle voulut se retourner, je l’en empêchai.



Elle me regarda pendant un moment, puis se mit sur les genoux. Parfait, songeai-je. Je lui écartai un peu les jambes, dévoilant un sexe aussi mouillé que le mien. J’administrai à nouveau de sensuels baisers sur ses fesses, puis, sans crier gare, lui enfonçai un doigt dans la chatte. Elle gémit de surprise. Je massai un moment et approchai ma bouche contre ses lèvres dégoulinantes. Je remontai la langue tout près de son anus, puis recommençai, modulant la dureté de ma langue, alternant avec un habile massage digital. Marie se tortilla légèrement.



C’était presque un cri. Avec un sourire victorieux qu’elle ne vit jamais, je retournai à ma besogne. Mon doigt était maintenant sur son clitoris. Je léchais, tournais et jouais du doigt. J’enfonçai la langue dans son trou, fis tourner à gauche puis à droite, et la sortis. Un deuxième doigt vint rejoindre son clitoris. Ma salive se mélangeait à sa mouille, qui avait un goût légèrement sucré. Sa chatte était mienne. Un troisième doigt s’y introduisit et Marie lâcha un petit cri. De l’autre main, j’agrippai sa fesse droite, que je massai avant de me diriger vers son anus.


Elle ne dit rien lorsque je caressai du bout du doigt l’entrée que je croyais interdite.



Je ne me fis pas prier. Je dirigeai ma bouche vers ses fesses et sortis ma langue. Je me mis à lécher avidement, le visage enfoui dans son cul. Sous mon emprise, Marie se tordit davantage. Ses mains froissaient la couverture, son visage était caché par les oreillers. Elle souffrait de plaisir.



Je retirai ma bouche de son anus, mais gardai mes doigts solidement arrimés à son clitoris pendant encore quelques minutes, ses gémissements se répercutant dans la chambre. Je fus certaine d’avoir atteint mon but lorsqu’elle me lança un coup d’œil, épuisée, mais ravie. J’approchai mon visage du sien et lui tendis mes doigts, qu’elle lécha un par un.



Je répondis à son invitation. Elle me prit par les épaules, me souffla qu’elle voulait me rendre son plaisir, me coucha sur le dos et descendit directement à ma chatte. J’écartai les jambes, soulevai un peu le bassin. Elle écarta les lèvres, se pencha et aspira mon clitoris, tout en introduisant deux doigts dans mon sexe. Je sentais son autre main courir le long de mon ventre, effleurer mes seins. Elle joua avec ma petite bille pendant quelques minutes avant de remonter vers ma bouche.


Sexe contre sexe, nous nous frottâmes l’une contre l’autre, mes mains caressant ses fesses et son dos, les siennes malaxant ma poitrine. J’étais incroyablement excitée. Son odeur, son clitoris, son délicieux anus, ses seins, sa langue et ses doigts… Et il ne m’en fallut pas plus pour que je jouisse sous elle. Nous restâmes ainsi, soudées l’une à l’autre, à nous embrasser pour clore cette divine baise.