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n° 14742Fiche technique40755 caractères40755
Temps de lecture estimé : 24 mn
05/01/12
Résumé:  Un couple de 60 ans, à la sexualité pépère, découvre que le partage booste leur relation et que madame peut se révéler un super bon coup.
Critères:  fh fhh hagé fagée couple cocus fellation sandwich fsodo init -couple+h -cocucont
Auteur : RobertAnne62  (Histoire vraie, à peine romancée.)      
Il n'est jamais trop tard

Je m’appelle Robert, j’ai soixante-deux ans et je suis marié depuis près de trente-cinq ans. Notre vie sexuelle est des plus basiques, avec quelques variantes de positions et l’utilisation d’un sextoy vibrant. Il faut dire que ma femme n’est excitée que par la sollicitation de son clito et de la pointe des seins. Les préliminaires sont donc la base de notre sexualité et je la conduis à la jouissance par la langue et les doigts. De son côté, elle accepte de me sucer mais je dirai « du bout des lèvres » et surtout il n’est pas question d’éjaculer dans sa gorge. Quant à la sodomie, malgré mes tentatives, je n’ai jamais dépassé le stade du doigt qui s’égare et bien vite remis dans le droit chemin.


Nous sommes bien loin de ce que vous pouvez lire sur ce site, et pourtant nous étions heureux et satisfaits de cet état.


Et puis la retraite est arrivée, modifiant tous les repères que le travail nous avait imposés avec sa routine du câlin rapide de la semaine et du câlin plus détendu le week-end, lorsque les enfants étaient absents. Très vite cette liberté s’est traduite par des séances de plaisir plus fréquentes et plus intenses. Quel plaisir de s’envoyer en l’air à la lumière du jour, fenêtres ouvertes sur le jardin ou dans le salon devant le feu de cheminée ! Même si nos pratiques ne changeaient pas, tout était plus fort et les cris de jouissance d’Anne amplifiaient mes orgasmes.


Tout aurait pu continuer si je n’avais pris l’habitude de consulter des sites érotiques. Petit à petit, j’ai remarqué que je revenais toujours vers ceux qui proposent des histoires, vécues ou inventées, où les maris acceptent que leur femme fasse l’amour avec un autre homme. Pour faciliter la consultation, j’enregistrais les adresses dans les favoris de mon navigateur.


Un jour, alors que je proposais à ma femme de nous filmer pendant nos ébats pour ajouter du piment à notre relation, elle me dit :



J’ai donc continué, sans me cacher, à consulter les sites et à me créer une bibliothèque personnelle d’histoires sélectionnées dans la série candaulisme, maris cocus contents, etc. Bien sûr ma femme regardait, discrètement, cette sélection et un jour, après une partie de jambes en l’air où je l’avais fait jouir plusieurs fois, elle n’a pu se retenir de dire.



Plusieurs jours passent sans que nous revenions sur le sujet et un soir, sans coup férir, elle me dit :



Quelle façon détournée de me faire comprendre qu’elle était d’accord pour tenter l’aventure !



J’ai tout de suite pensé à Georges pour réaliser mon fantasme car il réunit tous les avantages. D’abord c’est un ami de longue date, ensuite il est veuf depuis dix ans et, malgré une réputation de séducteur de ces dames, jamais il ne s’est vanté ou a dévoilé la moindre indiscrétion. D’autre part, je sais qu’il n’est pas indifférent aux charmes de mon épouse car il la complimente souvent sur son élégance, la qualité de son accueil, etc., et plus d’une fois il m’a traité de veinard d’avoir une épouse si belle et agréable. Mais surtout, dans les douches du club de tennis que nous fréquentons, j’ai pu constater qu’il était très bien pourvu par la nature et que son sexe au repos laissait imaginer un bel outil en érection. De plus, un jour que nous parlions de contrôle annuel pour les hommes, il m’avait avoué qu’il se faisait suivre aussi régulièrement pour les MST.


J’ai vu tout de suite que « Georges » était le mot magique qui a fait tomber les dernières barrières de pudeur de ma femme, d’autant que je lui proposais un scénario qui devait lui éviter de se transformer en aguicheuse.



Le jour choisi, notre ami se présente à la maison afin de me donner un coup de main pour un problème de plomberie dans la cuisine. Le ciel est avec nous car il fait si chaud qu’Anne peut, sans provocation, porter un petit short qui lui moule les fesses et la fente, combiné avec un haut qui met en valeur ses seins libres de toute contrainte. Georges, que j’ai mis dans la confidence sans le dire à ma femme, est de son côté en tenue très décontractée, comme il convient à un ami bricoleur.


Comme convenu, prétextant la nécessité d’aller acheter une pièce manquante, je propose qu’ils mangent sans m’attendre car il faut bien une heure pour aller au supermarché du bricolage.


En réalité, je gare la voiture une rue plus loin et reviens me glisser par la fenêtre du salon que j’ai laissée entrouverte, me dissimulant derrière le rideau tiré. Aucun des deux n’imagine que je suis là car je leur ai menti. Pour Georges, je suis chez la voisine avec la ferme intention de profiter de ce moment de liberté. Quant à ma femme, j’ai prétexté qu’elle serait plus à l’aise si je n’étais pas présent, mais que je regarderais plus tard le film enregistré par la caméra que j’avais positionnée et testée avec soin, demandant en échange qu’elle fasse le nécessaire pour attirer son amant dans le champ.


Ils n’ont pas perdu de temps car Georges est déjà en train de déshabiller sa partenaire qui proteste bien mollement par des « non, Georges, il ne faut pas », mais en même temps lui facilite la tâche en levant les bras pour se retrouver la poitrine offerte aux caresses. Je peux voir ses petits tétons afficher l’excitation de leur maîtresse et si j’avais craint un refus d’Anne de franchir l’obstacle au dernier moment, ce n’est plus d’actualité.


Mais son partenaire ne s’attarde pas, voulant certainement pousser son avantage et profiter de sa faiblesse pour faire glisser lentement le short qui est si moulant que ma femme doit l’aider. Il ne reste plus que le minislip déjà humide qui enfin laisse apparaître le pubis et la fente de la belle. Lui, à genoux, se penche en avant pour embrasser l’objet de son futur plaisir, mais déjà il se relève, soulève ma femme et la fait s’asseoir sur la table pour la coucher les jambes pendantes, qu’elle écarte largement, dans un geste d’offrande à son amant. Avant que celui-ci ne me cache ce paysage par sa nuque, j’ai le temps de remarquer que ma tendre épouse a pratiquement fait disparaître la toison brune qui protégeait, jusqu’à ce jour, son intimité. Combien de fois n’ai-je pas demandé qu’elle taille ou rase ou épile cet endroit pour me l’offrir plus facilement, ainsi qu’on peut le voir partout ?


Pendant ce temps, je vois Georges qui s’active – ou plus exactement, je devine car je ne vois que sa nuque – dans l’entrejambe de mon épouse qui, manifestement, apprécie ce traitement. J’imagine la langue qui écarte les petites lèvres pour se glisser à l’intérieur où je suis sûr qu’une certaine humidité est déjà présente. Oh, là, il s’occupe de son clitoris car elle gémit de plaisir et l’encourage de la voix pour qu’il continue. Voilà, déjà un premier orgasme qui la fait frissonner. Il a suffi de quelques coups de langue pour qu’elle jouisse, j’en serais presque jaloux.


Mais son amant n’arrête pas ses caresses. Il place ses mains sous les fesses de sa maîtresse pour soulever son bassin et atteindre plus facilement le sillon du cul qu’il doit humidifier et titiller de la langue. Anne ne semble pas réceptive car elle ne dit plus rien, aussi il revient vers la grotte qu’il pénètre avec deux ou trois doigts, les faisant avancer et reculer tout en tournant le poignet. Son autre main n’est pas inactive car l’index et le majeur trouvent l’un et l’autre le passage du cul. Alors les gémissements reprennent et, à ma grande surprise, elle atteint un nouvel orgasme après moins d’une minute de ce traitement.


George attend un instant qu’elle reprenne son souffle et demande :



Et il l’aide à se lever de la table.


Ma femme lui enlève son maillot, faisant apparaître son torse velu, s’agenouille pour faire descendre le short suivi du slip et se retrouve face à un sexe déjà en érection et d’une taille impressionnante. À cet instant je me demande si je n’ai pas fait une erreur en choisissant notre ami, car il est vraiment plus long et gros que le mien. Georges a bien sûr noté la surprise de ma femme et pour la rassurer, dit :



Même s’il n’a pas élevé la voix, Anne comprend qu’elle doit accéder à cette demande. Aussi, saisissant d’une main la verge raide qui pointe vers le nombril, elle la guide vers ses lèvres pour sucer le gland comme elle le fait avec moi. Mais cela ne suffit pas à son amant qui pousse doucement son sexe plus en avant, tout en bloquant la tête de ma femme entre ses mains. Le gland, puis une bonne longueur de la hampe glissent dans la bouche de la suceuse malgré elle, en forçant le passage des lèvres qui ont bien du mal à l’accepter. Elle proteste en essayant de parler mais je ne peux m’empêcher de penser à l’adage qui dit de ne pas parler la bouche pleine. Enfin le pieu qui a pris possession de sa bouche ressort doucement, lui laissant juste le temps de reprendre sa respiration, avant de repartir de l’avant pour aller, cette fois, tout au fond de sa gorge, déclenchant un réflexe de reflux. Cette fois elle a absorbé les trois quarts de la queue et je fantasme de voir bientôt mon sexe englouti jusqu’aux couilles dans la gorge de ma chérie. Georges continue pendant une dizaine de fois le viol consenti de la bouche de sa baiseuse, puis progressivement il retire ses mains pour la laisser libre de ses mouvements.


Je m’attends à ce qu’elle proteste ou reprenne sa succion classique du gland mais après un regard de défi vers le mâle qui la domine, elle engloutit lentement au plus profond de sa gorge ce pieu si impressionnant. Je peux voir ses lèvres qui semblent ramper et onduler le long de la tige, gagnant millimètre après millimètre, jusqu’à venir buter sur le pubis et les couilles. Incroyable, ma tendre épouse se révèle capable d’un exploit que peu de professionnelles de la fellation peuvent atteindre. Quand je pense qu’elle arrive à lui faire une gorge profonde avec un sexe de cette taille et que moi, je suis toujours resté à la porte. Vraiment j’ai les boules.


Mais je ne suis pas le seul à être surpris. Celui qui est aux premières loges, Georges, apprécie et complimente.



Anne ne répond pas, j’imagine qu’elle se sent mal à l’aise devant ces remarques. Mais il ne lui laisse pas le temps de réfléchir.



Elle se lève et il la fait se placer face à la table, les jambes largement écartées, penchée en avant, offerte à la queue qu’elle a si bien préparée, luisante de salive, prête à la saillie. Ce pieu, aussi gros et dur qu’un manche de pioche se présente sans surprise à l’entrée de sa grotte qui l’accueille totalement, sans retenue, et pourtant je sais combien elle est étroite. J’imagine que le sexe qui la pénètre doit être très à l’étroit étant donné sa taille mais, pour un homme, plus c’est étroit, meilleur c’est. Georges, bien sûr, ne peut qu’apprécier.



Et il commence à la baiser avec force, profondeur et amplitude. Son chibre va, vient, avance, recule, pénètre, écarte, prend possession de ce que ma femme a de plus secret, de plus intime, qui ne connaissait jusqu’à ce jour que ma verge douce, aimante et toujours à l’écoute de ce plaisir que je n’ai jamais réussi à apporter par ce chemin. Mais malgré toute cette vigueur, et à mon grand soulagement, elle ne réagit pas comme il l’espérait. La jouissance ne vient pas, malgré toute l’application qu’il apporte à la travailler. Quelques minutes plus tard, il comprend que ce n’est pas de cette façon qu’il va amener sa partenaire au plaisir et Georges, en ami et amant, décide de changer de tactique.


Tout en continuant de besogner sa partenaire, il se penche pour attraper son short et sortir d’une poche un tube de crème qu’il répand généreusement sur sa queue et la fente de ma femme qui ne remarque rien jusqu’a ce qu’il présente son gland « à la porte de derrière », et pousse pour prendre possession du lieu. Alors elle réagit en essayant de se dérober et dans un cri, dit :



Mais Georges ne l’écoute pas et, tout en bloquant sa partenaire, il tente de forcer le passage du sphincter. Je suis sûr qu’il pense que ma femme simule, comme elle aurait fait pour le passage de sa gorge, et que tout cela fait partie du jeu de séduction ou du dernier rempart de la femme adultère. Mais comme, malgré ses efforts, il n’arrive pas à entrer, il retrouve le chemin du con pour la besogner à nouveau et plaquer ses deux mains sur la poitrine de mon épouse qui oscille alors au rythme de la pénétration. Les tétons sont si sensibles aux caresses que les gémissements succèdent au refus.


Profitant de cette diversion, sans prévenir, en catimini, d’un coup de reins, il arrive à faire entrer son gland dans le conduit convoité. Mon épouse pousse alors un cri de surprise et de douleur qui aurait fait reculer tout amant inexpérimenté, mais Georges, dans sa logique de femme simulatrice, ne se laisse pas démonter et profite de son avantage pour s’enfoncer jusqu’à la garde.



Mais, bien sûr il n’en fait rien et au contraire, il s’allonge sur elle pour l’immobiliser et ne former plus qu’un seul corps. Seules ses mains continuent leurs caresses, l’une faisant rouler entre ses doigts la pointe d’un sein alors que l’autre se glisse pour trouver le chemin du clitoris.


Petit à petit les protestations de l’enculée faiblissent pour laisser la place à de petits gémissements. Georges continue ses agaceries sans déplacer son pieu qui doit, dans un premier temps, faire oublier sa présence tant la dilatation du sphincter et du conduit anal est grande. J’aurais voulu pouvoir me déplacer pour constater de mes yeux comment ce petit trou pouvait s’ouvrir au point qu’un manche de pioche y trouve son chemin. Mais prudence, mon arrivée perturberait trop les amants et je dois rester tapi derrière ce rideau si je veux pouvoir assister à mon cocufiage par des acteurs libres de toute contrainte.


Maintenant je vois Georges se redresser lentement et, tout en continuant ses caresses, faire glisser son bâton hors du cul de ma tendre, sans pour autant faire sortir le gland et garder ainsi le sphincter en bonne dilatation. Le moment suivant il pousse pour retrouver le chemin du tunnel ce qui ne provoque déjà plus les cris de douleur mais des :



Mais il est déjà à fond et il lui dit :



Il place ses mains bien en appui sur les hanches de sa partenaire et commence un lent mouvement de va-et-vient en conservant toujours le gland dans l’anus. On peut voir sa queue, luisante de crème, coulisser sans effort et sans provoquer de remarques de ma femme qui semble se détendre puisqu’elle se redresse de la table pour s’appuyer sur ses avant-bras, laissant sa poitrine, encore bien ferme malgré son âge, se balancer librement au rythme de la possession. Alors que son amant continue avec régularité ce doux mouvement de pénétration, petit à petit, mon épouse semble de plus en plus à l’aise et commence manifestement à apprécier la situation.


Cela se remarque par de petits mouvements du bassin pour changer l’angle de pénétration et augmenter encore la sensation de se sentir pleine, remplie, envahie par cette queue si longue et pourtant si raide qui glisse dans ce chemin encore vierge jusqu’à ce jour, car elle en a toujours refusé l’accès à son mari. Elle paraît concentrée, les yeux fermés, à l’écoute de cette mélodie qu’elle ne connaît pas mais qui ressemble bien à du plaisir.


Oui, cela monte et maintenant, non seulement elle ondule, mais aussi elle vient au-devant du mandrin pour essayer de l’introduire encore plus loin. Ses lèvres laissent passer des gémissements comme une plainte rythmée sur la saillie. « Oui… Oui… Oui… », dit-elle à chaque fois que le gland repart en avant et que les couilles de Georges viennent frapper ses fesses, car le rythme change, les mouvements sont plus amples et plus violents. Maintenant Georges la bourre avec force, sortant totalement sa verge du cul avant de la réintroduire comme si le passage était grand ouvert. Oh ! que je voudrais pouvoir regarder ce cul qui a toujours été fermé pour moi et qui maintenant doit être ouvert, dilaté, obscène, comme une bouche prête à accueillir le dard de son amant. La violence est si grande que ma femme doit s’accrocher à la table et je pense dans un coin de ma tête : heureusement que c’est du massif. Le couple est déchaîné. Lequel va venir le premier ? Anne rugit alors.



Elle a crié si fort que les voisins ont dû l’entendre. Elle est secouée de spasmes qui la font frissonner et la seconde suivante, elle s’effondre anéantie, sur la table. Tous deux restent un long moment soudés l’un à l’autre par un membre qui réapparaît au jour comme neuf, encore vif et raide, prêt à l’emploi. Georges n’a pas encore joui. Ma femme se redresse de la table en disant :



Georges, surpris par cette remarque, demande alors :



Elle remarque alors que sa queue est toujours raide.



Elle se tourne pour offrir son vagin à son amant, mais lui veut autre chose. Il la fait déplacer, s’agenouiller face à lui et lui présente sa queue à sucer. Cette fois, il n’est pas nécessaire de la guider, pour qu’elle engloutisse ce beau mandrin qui lui a donné tant de plaisir. Manifestement il n’y a pas d’âge pour apprendre les choses de l’amour et Anne en est un vibrant exemple, tellement elle met d’ardeur et de bonne volonté pour sucer son amant. Elle alterne les gorges profondes avec les jeux de langue sur le gland et le méat, léchant la tige sur toute sa longueur, jusqu’à gober les belles couilles où l’on peut imaginer que depuis de très longues minutes la production de sperme atteint des sommets. La voyant si rapidement experte dans ces petits jeux, je me dis que, dans cette maison, je ne suis pas le seul à consulter les sites X et que ma douce et prude épouse a dû, elle aussi, le faire même si elle ne veut pas le reconnaître.


À ce petit jeu, Georges, montre une évidente montée du plaisir qui se traduit par des tressautements du sexe, annonciateurs de l’éjaculation. Anne sent bien sûr que le sperme est en chemin comme un torrent prêt à jaillir, aussi elle fait mine de vouloir sortir la queue de sa bouche aussitôt bloquée par les deux mains de l’amant qui ne l’entend pas de cette manière.


Oh, il faut dire qu’elle devait se douter de ce qui l’attendait et qu’elle n’a pas opposé une grande résistance. Aussi c’est dans sa bouche que la liqueur s’est répandue, en abondance si je juge le nombre de fois où je l’ai vue déglutir pour avaler. En bonne suceuse, elle n’a laissé sortir le sexe que mou et propre de toute crème ou sperme. Je pense qu’il faudra que je demande à mon ami la marque de la crème qu’il utilise, car manifestement elle se suce avec plaisir.


Voilà, je suis cocu, en long, en large et en travers, mais cette petite séance m’ouvre des chemins que ma femme me refusait jusque-là.


Les deux amants reprennent leur souffle et rapidement se rendent compte que l’heure a tourné et que le mari pourrait revenir. En un instant ils se rhabillent et se dirigent vers la cuisine pour m’attendre. Je vais sortir alors discrètement, comme je vois Anne revenir, s’emparer de la caméra, procéder à un réglage et la remettre en place. Je ne comprends pas pourquoi elle a fait cela, mais je verrai tout à l’heure.


Quelques minutes plus tard, je fais mon entrée où je suis accueilli comme si rien ne s’était passé. Après le repas, le bricolage expédié, je raccompagne Georges qui, fidèle à sa réputation, refuse de me donner des détails en disant :



Je n’ai pas plus de succès auprès de ma femme. J’ai l’impression de la déranger par mes questions et la seule réponse que j’obtiens sur mon questionnement.



Reconnaissez que c’est frustrant. Je le sais, car j’ai vu que ma femme s’est envoyée en l’air avec une intensité et surtout des pratiques totalement taboues dans notre couple, et je ne peux rien dire sous peine d’apparaître comme un menteur. Pourtant j’aurais aimé qu’elle me raconte, avec ses propres mots, tout ce qui s’est passé, depuis ses doutes du début jusqu’à sa fellation avalée en passant par son cul ramoné avec le plaisir décuplé de cette sodomie.


Mais non, alors je m’empare de la caméra et, oh stupeur, le disque est vierge, comme si rien n’avait été enregistré. Je ne peux qu’exprimer ma déception et je comprends maintenant pourquoi ma femme l’a manipulée pour effacer toute trace de cette séance.



Et s’approchant de moi, plus charmeuse et me prenant dans ses bras :



Et elle m’embrasse. Je ne peux pas m’empêcher de penser que, une heure plus tôt, cette langue qui s’enroule à la mienne léchait le sexe de Georges et se délectait de son sperme. Je pense que son approche était un appel au sexe mais non, elle me laisse en plan, prétextant du ménage.


Pendant une semaine j’ai vécu un calvaire. Nous avons retrouvé notre routine et aucune fantaisie supplémentaire alors qu’à chaque instant, je revis le spectacle de ma femme suçant et se faisant sodomiser par un autre. Je ne peux pas lui dire que je sais tout car ce serait reconnaître que je lui ai menti et dans notre couple la confiance est établie comme gravée dans le marbre.


Heureusement, j’ai l’idée de porter le caméscope dans une boutique de dépannage informatique et, en quelques manipulations, ils ont retrouvé le film qui avait été effacé, démontrant si nécessaire que rien n’est vraiment perdu sur un disque dur. Je vous passe le sourire de l’homme qui, vérifiant que tout avait été récupéré, a visionné quelques secondes de la séance. À cet instant, j’ai apprécié de vivre dans l’anonymat d’une grande métropole et d’avoir choisi une boutique dans une autre ville.


De retour à la maison, j’ai immédiatement appelé mon épouse pour l’informer de la bonne nouvelle, mais au moment de mettre le film en marche sur la télé, elle s’est mise à sangloter et en m’arrachant la télécommande des mains, a dit :



Pendant la demi-heure suivante, j’ai revu sur grand écran ce que j’avais regardé caché derrière mon rideau. Anne par contre a été littéralement subjuguée par ce que le film montre de ses ébats, de ses cris de plaisir et de ce qu’elle pense être sa débauche. Je vois bien que, de temps en temps, elle me jette un regard pour essayer de deviner ma réaction. Elle qui se sentait déjà coupable doit être maintenant anéantie par cette femme à l’écran qui est si loin de la personne effacée et prude qu’elle est dans la vie.


Pour la rassurer, je la presse tendrement contre moi, lui montrant ainsi que tout va bien et que je ne réagis pas négativement à ce spectacle.


Enfin, les amants se rhabillent et le film s’arrête. Son visage se tourne vers moi dans l’attente de ma réaction. Je décide de la déculpabiliser en utilisant un langage un peu cru, en tout cas bien éloigné de nos habitudes, pour montrer que ce moment est une vraie rupture.



Je pose ces questions pour qu’elle puisse parler de ses émotions et de son plaisir aussi simplement que d’un événement normal et naturel. Elle hésite pourtant.



Ma femme comprend immédiatement et, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, nous sommes nus et mon sexe bien raide déjà englouti dans la gorge de ma nouvelle maîtresse. La dernière fois où il a été dans cette situation date d’avant mon mariage, avec une amie à la Fac, alors vous pensez !


Oh, Georges, merci pour tout. Elle me fait le grand jeu, suçant, aspirant, léchant, les mains caressant mes hanches et mes fesses et ce regard coquin qu’elle lève vers moi quand je bute au fond et que ses lèvres enserrent la base de ma hampe. Que c’est beau, que c’est bon de se faire pomper avec une telle volupté, car il n’y a pas de doute, ma femme le fait avec plaisir, pas seulement pour satisfaire, vite fait, bien fait, une envie de mâle.


À ce rythme – je n’ai pas la résistance de Georges – je sens que je vais partir et, la seconde suivante, je balance ma première giclée, suivie d’une seconde et d’une troisième que sa bouche recueille précieusement, toujours – et je crois que c’est le plus torride – avec ce regard qui ne quitte pas le mien. Voilà, je suis sec, mes couilles et ses adjoints, plus tout jeunes, ont fait le maximum. Alors ma femme fait une chose que je n’aurais jamais pu imaginer avec elle et que l’on voit seulement dans des vidéos très X. Faisant sortir ma queue encore vigoureuse de sa bouche, elle me montre tout le foutre qu’elle a conservé, le poussant de la langue, avant de l’avaler doucement en plusieurs gorgées.


Un instant, je pense que je suis allé trop loin dans mes fantasmes et que j’ai fait naître une nouvelle épouse si salope que notre couple ne pourra pas résister. Mais la seconde d’après c’est oublié, lorsqu’elle vient se blottir dans mes bras et me demander, d’une voix douce, « si je suis heureux » et ajouter :



Et elle me tend ses lèvres où j’aperçois, à la commissure, une humidité qui provient certainement de mon sperme. Comment refuser un baiser à la femme qui vient de vous sucer et de boire votre liqueur, sous le prétexte que vous ne raffolez pas de cette boisson, d’autant que vous percevez une sorte de défi dans cette invite ?


Pour un baiser, cela a été une vraie bataille de langues avec un partage des saveurs. Plus exactement, elle m’a fait goûter à ma propre semence que j’ai trouvée assez fade d’ailleurs. Je me suis fait la réflexion que, peut-être, il était possible d’influencer la texture et le goût en jouant sur l’alimentation. Merci Internet.


Mais je ne veux pas m’arrêter là, aussi je m’allonge sur le canapé entraînant mon épouse dans un 69 qui me permet de l’amener rapidement à la jouissance uniquement par les caresses de ma langue sur son clito et de mes doigts maltraitant les pointes de ses seins. Sa mouille coule en abondance et je la mêle à ma salive pour l’étaler tout le long de son sillon lui faisant deviner la suite de notre petite récréation. Pendant ce temps mon sexe, qui retrouve toute sa vigueur, est lui aussi lubrifié par ma douce. Je n’ai même pas besoin de parler, qu’Anne se relève pour se placer, comme dans le film, en appui sur la table, prête pour la sodomie.


Comment un si petit trou a-t-il pu laisser le passage au mandrin de Georges, alors que mon index semble déjà étouffer sous la pression de l’anneau ? Je le fais glisser et tourner pour apprivoiser le gardien du temple qui accepte que mon majeur se joigne à la fête et, petit à petit, l’anneau s’assouplit, restant légèrement entrouvert lorsque je me retire pour amener mon gland à la fameuse porte de derrière. Je pousse, mais il résiste et je commence à regretter la crème miracle, lorsque ma femme écarte ses fesses avec ses mains et me dit :



Un tel encouragement me fait forcer le passage, d’un coup de reins, pour me retrouver plaqué contre son dos, le sexe au fond de son cul. Bien sûr, comme on dit, elle l’a senti passer, mais pas un cri de douleur ne sort de ses lèvres. C’est vrai qu’à côté de Georges, c’est du petit calibre.


Alors je commence à la baiser, mon sexe coulissant facilement dans son cul comme si un liquide le lubrifiait. Je rentre et je sors si facilement qu’un instant je pense me tromper, mais non, je suis bien dans son anus dont le cerbère se la joue plus en souplesse. Le conduit est étroit et je sens la peau de mon prépuce dégager mon gland à l’introduction alors qu’il le recouvre à la sortie. Il ne faudrait pas longtemps de ce traitement pour que je jouisse et heureusement que je suis moins sensible après avoir déjà éjaculé une première fois car je peux durer, encore et encore, pour limer ma belle.


Ma belle enculée, que je ne reconnais plus tant elle semble hystérique et comme possédée, ne cesse de tortiller du cul tout en venant au-devant de mon sexe et, comme manifestement elle me trouve trop doux dans ma possession, elle crie littéralement :



Et comme je lui obéis accélérant la cadence et la bourrant si fort qu’elle est projetée en avant :



Et je poursuis mon travail avec rage.



Bien sûr que je ne vais pas m’arrêter avant de l’entendre hurler sa jouissance – heureusement les fenêtres sont fermées – et cracher mon sperme dans son cul.


Il nous faut un long moment pour reprendre notre souffle. Puis nous nous séparons, non sans échanger un doux baiser, peut-être un peu honteux de nous être laissé aller à cette brutalité.


Puis nous avons repris notre quotidien, enfin je veux dire la vie de tous les jours agrémentée par des ébats torrides où nous nous livrons corps et âme à notre nouvelle sexualité.

Souvent nous parlons de l’aventure de Georges et je ne peux qu’exprimer le regret de ne pas avoir assisté, voire participé à leurs ébats.


C’est Anne qui a téléphoné à notre ami pour l’inviter à dîner. Je me souviendrai toujours de la tête qu’il a faite lorsque ma femme est arrivée pour servir l’apéritif, vêtue d’une robe en lin dont la transparence attire le regard vers les aréoles de ses seins et le petit triangle qui ne fait que mouler sa chatte.


C’est avec plaisir qu’il a accepté de se joindre à nous pour jouer une partie à trois.


Cette soirée a été extraordinaire. Nous avons joué du corps de notre maîtresse jusqu’à l’épuisement. Avec l’accord de Georges tout a été filmé, quelquefois en très gros plans. C’est ainsi, que j’ai pu voir le cul de ma femme rester largement ouvert après le retrait de la queue, que j’ai vu le sperme de son amant aux commissures de ses lèvres et que je l’ai embrassée sauvagement pendant qu’il la bourrait par le cul. Mais le summum, c’est lorsque nous l’avons baisée l’un par la bouche, l’autre par le cul et que ses cris de jouissance s’étouffaient sous les jets de notre sperme.


Voilà notre histoire. Je ne peux que conseiller aux couples, jeunes et moins jeunes, dont la sexualité s’endort, d’essayer comme nous, surtout si ce n’est pas facile pour vous d’aborder le sujet.


Madame, Monsieur, il ne manque pas de sites, histoires ou vidéos, où vous allez trouver votre fantasme réalisé. En « oubliant » d’éteindre l’écran pour laisser votre conjoint « tomber » dessus, que risquez-vous ? Une dispute, des remarques désobligeantes, et alors ! Mais peut-être que cela peut vous ouvrir des horizons nouveaux…