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n° 14749Fiche technique24812 caractères24812
Temps de lecture estimé : 15 mn
08/01/12
Résumé:  J'étais à cent lieux de m'imaginer le pouvoir d'une Jaguar sur ma contrôleuse de gestion...
Critères:  fh collègues forêt voiture fmast intermast fist pénétratio portrait -occasion -voiture
Auteur : Starpom      Envoi mini-message
Jaguar, un art de vivre...

Depuis huit ans, je suis attiré par elle…


Nos relations sont très professionnelles et très courtoises, nous nous vouvoyons lorsque nous nous rencontrons deux à trois fois par mois pour faire le point sur le fonctionnement de ma société.

Elle, c’est Corinne, ma contrôleuse de gestion sous traitée ; plus exactement, elle met en forme les tableaux, contrôle la cohérence des prix de vente, de la marge, elle vérifie si je fais tout bien comme il faut. Après, c’est Estelle, sa patronne, qui valide et décide si il faut corriger de ci de là ou non, les points d’amélioration, etc.


Lorsque j’ai fais sa connaissance, Corinne devait avoir… 27/28 ans. Elle en a donc 35/36 maintenant. 1, 60 m, toute mince, brune aux yeux marrons, une petite poitrine que je devine ferme et agressive, et des hanches très fines qui mettent en valeur ses fesses que je trouve magnifique, souvent moulées dans un pantalon serré, ou mises en valeur par une robe très cintrée.

Elle est très discrète et très rigoureuse. Je ne connais absolument rien de sa vie privée, tout au plus un jour, en faisant exceptionnellement des courses au supermarché du coin, je l’ai croisée avec son caddie. Je n’ai pas eu l’impression qu’elle faisait des courses pour plusieurs…


Mardi dernier, je suis allé, comme presque toutes les semaines, lui apporter les documents nécessaires à son travail.



C’est la première fois que je voyais Corinne perdre sa réserve professionnelle et manifester une émotion ! Et si j’ai bien entendu, elle a failli dire « exciter » pour la voiture ! Son visage, déjà adorable, s’est animé, on aurait dit une petite fille à Noël… Malgré moi, je sentais mon sexe durcir dans mon pantalon. Quel idiot ! En huit ans, jamais le moindre soupçon d’allusion envers moi, et me voici comme un collégien boutonneux à qui une fillette a donné un caramel…


Bah, normal la réaction, en huit ans, j’ai dû me masturber au moins deux cents fois en fantasmant sur elle… mais cela ne restait que du domaine du rêve.



Coup de pot, la voiture sortait du lustrage, on aurait dit qu’elle sortait de chez le concessionnaire et qu’elle était neuve ! Même les pneus avaient été lavés avec un produit spécial, ils étaient noir brillant, comme neufs. Du reste, ils étaient neufs… C’est vrai qu’elle en jetait ! Pour passer discrètement, c’était raté !



Tout en disant ça, Corinne passait sa main sur le capot tout lisse.



J’ouvris la porte-conducteur. Corinne se pencha en avant, à moitié dans la voiture. Cette position fit encore plus durcir mon sexe… Aie, pourvu qu’elle ne le voie pas…



Elle s’assit à la place du chauffeur, et mit les mains sur le volant tout en cuir Connolly beige. Elle caressait le volant de sa main gauche, puis, de sa main droite, le siège passager, en cuir lui aussi, bien sûr.



Aussitôt dit, aussitôt fait, je lui ouvris la portière passager, elle s’installa et elle recommença à caresser le cuir de panneaux de porte, de la boîte à gant, et le pommeau bois du levier de vitesse. À un moment, j’ai eu l’impression, en faisant le tour de la voiture, à travers le pare-brise, qu’elle caressait le levier de vitesse comme on caresse le sexe d’un homme…


Contact, démarrage, le 6 cylindres en ligne de 250 CV reprit vie sans un bruit. En prenant le levier de vitesse pour l’amener sur D, involontairement je posais ma main sur celle de Corinne. Aussitôt, je l’enlevai.



Je devais être tout rouge. Courageusement, je mis ma main sur celle de Corinne, et tirai le levier de P, R, N et enfin D. Elle avait la main douce et chaude. Elle souriait en regardant devant elle. On sentait qu’elle vibrait avec la voiture qui, elle, ne vibrait pas.


Un petit coup de volant, et nous voilà sur la nationale, direction Cannes. Je me dirigeai ensuite vers le parc de la Valmasque, où il y a de longs trajets entre les arbres, et quelques restaurants sympa aussi. Soyons optimiste !


Corinne continuait à caresser le levier de vitesse, c’était d’un érotisme troublant… Je décidai de me jeter à l’eau.



Ceci dit, elle continuait à caresser le levier de vitesse, du moins le pommeau en bois.



Houlà, c’est le moment peut être de prendre des risques, avec tact…



Heu, j’avoue que pour une simple balade en voiture, je trouvai sa réponse un peu forte.



En disant cela, Corinne déboutonna le bouton de son jean moulant, dégrafa sa ceinture, et fit descendre la fermeture éclair jusqu’en bas. Elle écarta ensuite le pantalon, et j’aperçus sa culotte noire.

Ensuite, elle glissa sa main droite dans sa culotte et entreprit de se masturber, manifestement. Elle avait les yeux fermés, la tête appuyée sur l’appui-tête, très légèrement tournée vers moi.

Elle continuait à masturber le pommeau, et je dois dire qu’elle se caressait langoureusement sous sa culotte. Elle était belle comme un cœur.


Difficile de conduire dans ces conditions-là. J’avisai un petit chemin de terre, sur la droite. Clignotant, hop à droite. Je roulai sur environ deux cents mètres, et découvris un emplacement sous les arbres suffisamment grand pour garer la Jag sans gêner le passage que je devinai minime, vu l’état du chemin. L’ombre des arbres était la bienvenue, le soleil cognait fort dehors, et le comportement de Corinne me faisait chauffer dedans aussi.

Corinne ouvrit les yeux.



Tout en parlant, elle avait enlevé ses chaussures, son jean et ses chaussettes. Elle était juste vêtue d’un T-shirt noir et, peut-être, d’un soutien-gorge. Oui, d’un soutien-gorge, je devinai la forme sous son T-shirt moulant.



Corinne s’était retournée et mise à genoux sur le siège avant. Elle avait lâché le levier de vitesse. Elle approcha sa bouche de ma joue et me fit un petit baiser sur la joue.



Elle me fit taire en me faisant un autre petit baiser, sur la bouche ce coup-ci. Ensuite, elle passa sa jambe droite par dessus la console centrale, contre ma jambe. Je compris où elle voulait en venir ; aussi, je me poussai le plus possible sur la gauche, contre la portière. Mon sexe me faisait mal tellement il était dur et comprimé dans le pantalon.


Une fois à califourchon sur la console, Corinne descendit lentement les fesses vers le levier. Pour l’aider et l’aligner, je le mis en position N, c’est-à-dire incliné vers Corinne et non vers le tableau de bord.

J’avais bien compris, Corinne voulait que le levier la pénètre… Elle appuya doucement son sexe sur le pommeau, qui tout doucement, rentra en elle. Elle avait à nouveau les yeux fermés, la tête en arrière. Elle était au ras du toit de la voiture.


Je dégrafai mon pantalon et sortis mon sexe, et j’entrepris de me masturber. Le spectacle était très intense, je sentais que j’allais jouir vite.

Manifestement, le pommeau était bien rentré dans Corinne. Pourtant, elle était mince, et lui, plutôt de grand diamètre, plus qu’un sexe masculin en tout cas. Du moins, plus que le mien…



Corinne montait et descendait ses fesses lentement, comme pour profiter pleinement du levier.

Doucement, elle mit sa main droite sur mon torse, puis la fit descendre lentement vers mon entrejambe. Je lâchai mon sexe, qui pointait vers le haut. Elle le prit doucement en main, et commença à me masturber. C’était très bon…


Corinne avait les yeux plissé tellement elle les fermait fort, et ses mouvement devenaient plus heurtés, plus brusques. Je pensais qu’elle allait jouir… De temps en temps, elle me serrait fort le sexe, ça devait coïncider avec des ondes de plaisir qu’elle prenait.


Avec ma main droite, je caressai sa cuisse, puis ses fesses douces. Je remontai ensuite le T-shirt le plus haut possible, pour dégager l’agrafe de son soutien-gorge.

En tâtonnant un peu, je lui dégrafai le soutif, et j’en profitai pour aller lui prendre le sein droit à pleine main. Il était ferme, et je sentais le bout du sein bien dur dans ma paume. Je serrai un peu, et Corinne eut un soupir, de plaisir je pense.


Elle continuait à me masturber et à se faire pénétrer par le levier.


Je laissai son sein, et descendis ma main en lui caressant le ventre. Je sentais ses abdos qui vibraient et se durcissaient en rythme avec la pénétration du levier.

Arrivé à son sexe, qui était très fourni, j’envoyai un doigt en éclaireur. Je trouvai de suite son clitoris, que j’entrepris de caresser.

Corinne se raidit encore plus, et se cambra. Sa tête était maintenant appuyée sur le ciel de toit.

Corinne était trempée, et ses mouvement de plus en plus rapides.

Tout à coup, elle jouit brutalement, en poussant un râle libératoire. Le levier était presque entièrement en elle, et elle me serait le sexe très fort.



Elle lâcha mon sexe, puis elle retira son T-shirt et son soutien-gorge et les mit par terre. Elle était nue dans ma Jaguar, avec le levier de vitesse fiché dans son sexe.

Elle se contorsionna un peu pour approcher sa bouche de mon sexe, qu’elle engloutit d’un coup.

Sa fellation était divine, mais elle était complètement pliée, j’avais mal au dos pour elle.



Doucement, Corinne se désenficha du levier de vitesse, m’embrassa brièvement sur la bouche et, d’un tour de rein, se remit sur son fauteuil.



Elle sortit de la voiture, et rentra par la porte arrière.

Je me déshabillai rapidement puis, comme elle, tout nu, je rentrai à l’arrière de la voiture.

Corinne était allongée sur la banquette, les jambes relevées. Je voyais son sexe trempé qui semblait m’appeler.


Aussitôt, je la pris dans mes bras, et mon sexe se ficha en elle. Il rentra très facilement, Corinne était littéralement mouillée. Je commençais mes va-et-vient immédiatement, c’était divin.


Corinne me regardait en souriant, elle avait un visage d’ange… J’allai de plus en plus vite, et finis par jouir. Par précaution, je sortis de son sexe et lui aspergeai le ventre avec mon sperme.

Elle serra ses jambes pour m’attirer plus fort contre elle.



Tout en disant cela, Corinne, toujours allongée sur la banquette avec les jambes repliées sur son ventre, recommençait à se caresser. Ses fesses étant écartées, je voyais son petit trou bien net…



Je me dis que mon poing bien serré n’était guère plus gros que le pommeau du levier de vitesse, et qu’avec un peu de chance… Corinne allait être fistée… mais bon, étape par étape. D’autant que son anus m’attirait aussi, mais appréciait-elle d’être enculée ? Allons-y doucement…


Je commençai à doigter Corinne, et elle semblait apprécier le traitement. Je la pénétrai avec mon majeur, et son vagin était encore trempé, il entrait tout seul. J’ajoutai mon index, puis l’annulaire. Corinne haletait doucement et se caressait les seins. Elle se pinçait les bouts, les tortillait ; manifestement, elle recommençait à prendre son pied.


La chaleur dans la voiture montait, nous étions en sueur. Corinne sentait bon. Je serrai ma main, et commençai à lui rentrer dans le sexe.



Doucement, ma main était entrée en elle… c’était un spectacle du plus haut érotisme, et mon sexe reprenait de la vigueur. La toison de Corinne était tout humide et emmêlée… Elle écarta les jambes, pour que je puisse aller plus loin. J’y allais tout doucement, j’avais peur de lui faire mal.



C’est vrai qu’elle était belle, nue, un ventre bien plat, des petits seins bien fermes, une chatte bien fournie, de longues jambes douces et sans défaut, et son sourire… Elle fait partie des femmes qui prennent du plaisir en faisant l’amour, et cela se voyait.

Je sortis ma main doucement ; elle était bien humide. J’aventurai mon majeur sur son anus, et commençai à appuyer pour le faire rentrer.



Aussitôt dit, aussitôt fait, Corinne se mit à genoux, les jambes serrées, les bras repliés et en appui sur la banquette, la tête contre le cuir, tournée vers les fauteuils avant. Elle me présentait ses fesses.

Je glissai mon sexe entre ses deux fesses magnifiques, et commençai à me caresser en me frottant contre elle. J’en profitais pour lui caresser le dos.

Quelques mouvements suffirent pour que je jouisse, mon sperme giclant sur son dos.



Nous avons éclaté de rire au même moment.


Franchement, je n’imaginais pas que Corinne était comme ça ! Vraiment, un très bon après-midi !

Restait plus qu’à relaver les sièges et surtout, le pommeau du levier de vitesse…