n° 14754 | Fiche technique | 15509 caractères | 15509Temps de lecture estimé : 10 mn | 13/01/12 |
Résumé: Rencontre surprise avec un jeune gay, au lendemain du réveillon. | ||||
Critères: hh inconnu grossexe sexshop hsoumis exhib fellation confession -gay -lieusexe | ||||
Auteur : Rapiere (adore les récits gay et lesbien voyeurisme et triolisme) |
En ce début d’année 2012, je devais retrouver mon copain Kamel pour aller dans un sauna toulousain où nous avons nos habitudes. Il est plus jeune que moi, bien bâti et doté d’un sexe long, large, lourd comme seul en possèdent les maghrébins et les noirs. De plus, sa bite a une douceur et un goût délicieux. Elles ont, suivant les différents hommes, une odeur différente, et le sperme a un goût variable. J’étais très excité à l’idée de lui souhaiter une bonne année.
Quelques baisers, des caresses, voire plus, hum ! J’adore. Il faut dire que je suis plutôt passif, et mon ami adore se faire sucer et jouir dans ma bouche. Je sais que je ne risque rien avec lui. De plus, rien ne m’excite plus que de le sentir derrière moi et qu’il me prenne par les hanches et qu’il me déchire le petit trou avec sa belle bite. J’en pleure de souffrance, mais surtout de jouissance profonde. Rien qu’à le sentir coulisser en moi, je jouis et même sans me toucher, il m’arrive d’éjaculer !
Il ne rechigne pas non plus parfois à devenir dominé et à me sucer la bite, il le fait avec délicatesse. Il prend mon sexe comme un petit sucre à côté de son énorme mandrin. Il ne fait jamais de réflexion là-dessus, et il lui arrive même de vouloir que je le pénètre, et il y prend du plaisir, surtout quand je le branle en même temps. C’est un ami merveilleux que je connais depuis plus d’un an. Il faudra un jour que je vous raconte notre rencontre, car avant de me connaître, il ne se savait pas homo. Moi, je pense qu’en chaque être (homme ou femme) il y a une attirance pour le même sexe, mais ce sont les circonstances, les rencontres qui sont des révélateurs.
J’étais presque arrivé devant le sauna quand je reçus un SMS :
Désolé ne peut pas venir F
F ça veut dire femme, car il a un gros défaut, il vit avec une femme, et bien sûr ne lui a pas avoué qu’il a un amant, donc il faut qu’il triche et invente des mensonges pour me rencontrer, et je lui fournis parfois de bonnes raisons. J’étais terriblement déçu. Toute la période des fêtes m’avait paru terne sans lui, et j’aurais préféré passer la nuit du réveillon à faire l’amour avec lui plutôt que de me retrouver en famille pour sauver la face, car ma famille n’est au courant de rien. On avait juste pu, à un moment dans la nuit, s’appeler pour se souhaiter la bonne année.
J’ai ouvert ma braguette et j’ai senti à son souffle un peu rauque qu’il en faisait de même. J’ai joui trop vite !
Kamel raccrocha en me laissant dans mes pensées érotiques. Si quelqu’un était rentré à ce moment dans la cuisine, il aurait eu une drôle de vision !
Mais voilà, je restais là au bord du trottoir, terriblement seul, rempli des pensées, de mes envies de jouissance. Que faire ? Je ne pouvais pas rentrer dans le sauna. J’aurais pu bien sûr faire des rencontres, je connaissais des hommes qui auraient bien voulu passer un moment avec moi, et même certains avec qui j’avais eu des aventures avant de connaître Kamel. Mais je ne voulais pas qu’il l’apprenne, j’avais trop peur qu’il ne le prenne mal et me quitte. Je ne me sentais pas capable de rester fidèle malgré mon amour et je ne voulais surtout pas le perdre. J’ai une théorie sur la fidélité qui n’empêche pas les entorses pour le plaisir que cela donne. Je sais bien que tout le monde n’est pas d’accord avec moi !
Du coup, je ne pouvais pas non plus me rendre dans un bar où l’on allait ensemble ; je ne voulais pas être tenté et le regretter ensuite.
Que restait-il ? Rentrer seul à la maison et regarder un porno sur Internet, ou me connecter à un site de rencontre pour un dial chaud ?
Même pas envie d’aller boire un coup seul, je ne voulais pas être seul, et il faisait même trop froid en ce début d’année pour aller dans un endroit de rencontre un peu glauque que j’avais fréquenté autrefois.
Je me rappelai auparavant, quand j’étais plus jeune, avant le sida, avant Internet et même le minitel, les cinémas pornos qui fleurissaient partout, où l’on pouvait voir des films à peine érotiques, sans scènes gay ou tellement rarement que le bouche à oreille faisait que l’on se précipitait. Je me souviens d’avoir vu pour la première fois, alors que j’étais encore puceau et que je n’avais pas d’orientation sexuelle bien affirmée, un homme en sucer un autre, puis se faire enculer. Cela m’avait fait bander et je m’étais fait plaisir, comme l’avait fait mon voisin. Je m’étais aperçu que cela m’excitait plus que de voir un couple hétéro. Même si le mec était beau, on voyait tellement rarement les bites, et il n’y avait rien pour procurer du plaisir. Heureusement il restait quand même les jeux lesbiens que j’ai toujours adorés, comme d’autres homos d’ailleurs. Au moins, dans ces lieux, même si on se parlait rarement, on était plusieurs à partager le même plaisir, on se sentait moins seul.
Soudain, une idée, tant pis s’il n’y a plus de porno à Toulouse, il reste encore des sex-shops, et en particulier un où l’on peut faire des rencontres, car il y a une salle de projection collective. Ce n’était pas loin d’où j’étais, et à cette heure, malgré que l’on soit en début de semaine, on pouvait tenter le coup. Il y a toujours un jeune militaire, étudiant ou père de famille qui est en attente d’un train et qui se balade près de la gare Matabiau. Au moins, je ne serai pas seul et Kamel n’en saura jamais rien.
Je rentrai dans le magasin et saluai l’employé.
Je payai ma place et entrai. La salle se compose de deux demi-salles assez petites, dans l’une sont projetées des scènes d’amour hétérosexuelles, et dans l’autre des relations entre minets gays. Dans le fond, une cloison ouverte à hauteur de bite pour se sucer sans se connaître. J’avoue, pour l’avoir pratiqué, que je n’aime pas ce genre de relation. Dès que j’entrai, une des deux personnes quitta la salle, comme si elle avait peur qu’on la découvre en ce lieu.
L’autre, visionnant les scènes de couples hétéros, me parut de dos assez forte et plutôt âgée. Enfin, pourquoi ne pas tenter ma chance ! Je m’assis à une place à côté de l’homme. Il me dévisagea, puis continua de regarder l’écran. Le film était nul, juste fait pour exciter des puceaux en chaleur. J’eus envie de faire comme si c’était le cas pour moi et je glissai ma fermeture éclair, puis entrouvris mon slip pour laisser sortir ma bite. Elle était encore un peu molle, mais sous l’effet de mes doigts et de la pensée que je pouvais être vu par mon voisin, elle commença à prendre de l’ampleur. Je commençai à me branler en soupirant un peu pour attirer son regard. Quel qu’il soit, j’avais soudain le désir que cet homme touchât au moins ma queue. Il faisait plus que soupçonner mon activité, à mon avis, et s’il ne changeait pas de place ou n’avait aucun geste de rejet ou d’agressivité envers moi, c’est que cela pouvait lui plaire. En tout cas, ce petit jeu m’excitait de plus en plus !
Le plus discrètement possible, tout en continuant ma caresse, je jetai un coup d’œil vers lui. Il venait de se lever. Allait-il partir ou me tabasser en me traitant de pédé, ou alors simplement s’asseoir à côté de moi ? Mon cœur n’eut pas le temps de battre la chamade que la dernière possibilité se réalisa, il était maintenant à mes côtés. Collé à moi, il me regardait et me dit doucement à l’oreille :
Il m’humiliait et j’aimais ça.
Je n’avais pas osé espérer aussi bon scénario.
Il écarta les jambes, il me paraissait moins vieux et moins gros qu’au premier abord. Je descendis la fermeture éclair et je pressentis que l’engin que je frôlai au travers du tissu de son slip était un engin de belle taille. J’étais pressé de le découvrir. L’homme, lui, semblait se désintéresser et continuait de regarder l’écran où un noir enculait profondément une grosse blonde. Je ne pouvais pas sortir son engin, cela coinçait, il était trop gros. Il fallait qu’il m’aide. Le comprenant, il se souleva et je pus faire descendre son slip, découvrant un sexe très long, et déjà très dur. Quel bel engin !
Il parlait maintenant avec de la distinction, et je sentais dans sa voix comme de l’émotion. J’avais rarement eu l’occasion de connaître de près de tels engins chez un blanc, et pourtant qui sait combien j’avais eu l’occasion d’en voir, d’en caresser, de me faire sodomiser par des bites. Mais des aussi grosses dans le cul, ça, jamais, je ne sais si le bonheur l’aurait emporté sur la souffrance.
En faire tout le plaisir que je souhaite, on ne pouvait dire mieux ! Je me mis à la caresser, elle se tendit de plus en plus et devint de plus en plus lourde sous mes doigts. Il maugréait doucement, semblant y trouver beaucoup de plaisir. Cela me satisfaisait. D’une main je caressais sa colonne et de l’autre ses deux couilles. Il n’était pas poilu et ça, j’ai toujours adoré !
Je sentis une présence dans notre dos, cela ne semblait pas gêner mon amant de rencontre. Rajouter du voyeurisme à notre exhibition, voilà qui redoublait mon bonheur. J’étais content, j’étais un sale petit pédé et j’aurais voulu que tous les mâles le sachent ! J’étais un sale petit pédé qui aimait branler, sucer et se faire mettre. Sucer : de sa bite à ma bouche, je me penchai vers lui, il me laissa faire et j’embrassai du bout des lèvres l’engin. C’était une bite soignée, qui sentait bon, l’absence de poils aurait dû me le signaler. Elle avait un goût agréable, moins musqué que celle de Kader, mais comme un fruit vert.
J’accentuai mes caresses en la léchant d’abord, puis en la suçant carrément. C’était délicieux, je ne pouvais pas la faire pénétrer en entier mais tout ce que je pouvais avaler me procurait le plus grand bien. Je sentis même que ma queue, que j’avais abandonnée, se redressait à son tour et était caressée par une autre main. Ce ne pouvait pas être l’homme que je suçais, mais certainement celui qui était rentré après, ou alors encore un autre ? J’accentuai ma caresse, sentant se tendre de plus en plus l’énorme engin.
Je ne répondis rien, je n’attendais que ça, pensant au flot agréable de sa jouissance en moi, mais il se leva presque violemment, manquant me renverser.
Il partit presque en courant, en remettant son pantalon en place, pendant que mon branleur prenait la fuite lui aussi, profitant de l’occasion. J’entendis la porte de sortie claquer deux fois. Je me retrouvais seul, comme un con, avec un goût amer dans la bouche. Voilà ce qui me restait de l’avoir sucé. J’étais déstabilisé, seul, et pour tout dire en colère !
Il fallait que je quitte ce lieu qui maintenant représentait pour moi trop de saletés. Je sortis, prêt à tabasser le premier qui me regarderait de travers, presque fou de rage.
Je restai interloqué. Enfin décidé, je voulais comprendre pourquoi, et puis un jeune, hum ! C’est toujours bon, il y a peut être tout à lui apprendre. Cabine trois, je rentrai sans frapper, la porte n’était pas fermée au verrou. Dans la pénombre, il était assis, un film gay avec deux beaux jeunes hommes s’embrassant défilait sur l’écran.
J’approchai une chaise de la sienne et je glissai ma main sous son pull tout en l’enserrant. Je cherchai ses lèvres, il me les offrit. Je lui enlevai son pull, il se laissa faire et je défis un à un les boutons de sa chemise. Il paraissait un peu tétanisé.
Il était maintenant torse nu, et tout en l’entourant d’un bras, je me mis à caresser son torse. Il était blanc, un peu maigre, avec les attaches très fines et un peu de duvet. J’embrassai ses tétons et les titillai de la pointe de la langue. Il se renversa en arrière. Alors je continuai mes baisers, lui caressant le ventre des deux mains et descendant de plus en plus bas.
J’ouvris alors sa braguette et fis descendre son pantalon le long de ses jambes. Elles étaient longues, un peu maigres et presque imberbes. Je devinai sous son slip moulant la forme de son sexe fin et encore peu développé. J’écartai l’élastique pour en voir les formes. La bite sauta droite.
Il ne répondit rien, et me laissa faire quand je baissai complètement sa culotte.
Voilà, il était maintenant nu devant moi, beau jeune homme imberbe et puceau, du moins pour les hommes, j’en étais certain. Quel beau cadeau de jour de l’an !