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n° 14758Fiche technique8633 caractères8633
Temps de lecture estimé : 6 mn
15/01/12
Résumé:  Il était vêtu d'un pantalon en toile blanc assez serré, d'un t-shirt noir moulant et d'un blouson en cuir. Bref, il était magnifique. On a commencé à discuter autour d'un verre.
Critères:  hh extracon fellation anulingus hsodo confession -extraconj -hhomo
Auteur : Mickael  (Il était vêtu d'un pantalon en toile blanc assez serré)      Envoi mini-message
Le vendeur de voiture

Bonjour, je m’appelle Mickaël, j’ai 29 ans et je suis steward. Châtain, les yeux marron, je mesure 1,78 m pour 74 kg, et je suis plutôt musclé. Je suis assez content de mon corps en fait. Je suis marié, et bisexuel, et j’entretiens de temps à autre des relations bi, avec ou sans la complicité de ma femme. Je vais vous raconter comment j’ai vécu ma première soirée avec l’homme le plus fabuleux que j’aie jamais connu.


J’ai rencontré Bertrand lors de l’achat de ma voiture, il travaille comme responsable dans la concession où je suis client. Avec ma femme, nous avions apprécié son sérieux, mais j’avais très vite constaté que cet homme me faisait beaucoup d’effet. Ma femme, hôtesse de l’air, était en déplacement, et je décidai de me rendre en concession pour un prétexte bidon, afin de revoir mon beau vendeur. Car il est beau, c’est un fait. Mesurant 1,75 m, il est « taillé en V », les cheveux bruns et très courts, avec des yeux verts irrésistibles. J’avais très vite remarqué ses muscles sous sa chemise, et cette vision a servi mes premiers fantasmes. J’avais aussi vu son alliance, mais bon, l’homme étant sympathique, visiblement à l’aise avec moi, je me décidai à le connaître davantage.


Me voyant arriver, son visage s’est fendu d’un beau sourire, et il me proposa un café. Discutant de la date de livraison de ma voiture, notre conversation a ensuite dérivé sur nos vies respectives, et après une heure de conversation, il me fit comprendre qu’il avait un rendez-vous à assurer. Avant de partir, je pris mon courage à deux mains, et lui demandai s’il souhaitait échanger un verre après la fermeture. Il accepta, précisant que sa femme était absente une partie de la semaine, et qu’il n’avait donc pas de contrainte horaire. J’étais aux anges.


Vers 20 h, je me rendis au bar dans lequel nous devions nous retrouver. Je n’ai pas attendu longtemps avant de le voir arriver. Il était vêtu d’un pantalon en toile blanc assez serré, d’un t-shirt noir moulant et d’un blouson en cuir. Bref, il était magnifique. On a commencé à discuter autour d’un verre, et je me suis fait plus entreprenant, multipliant les sous-entendus. Au bout d’une demi-heure, il m’a proposé de passer la soirée chez lui, ce que j’ai bien entendu accepté ! Je l’ai déshabillé du regard sur le trajet nous amenant chez lui, une belle maison au milieu d’un bois. J’avais l’impression que nous étions seuls au monde. À peine entrés chez lui, je pose ma veste sur un porte-manteau, et je me retrouve face à lui en me retournant. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il m’embrasse, un baiser ferme, viril et divin. Ses mains parcourent mon dos pour effleurer mes fesses. Il me dit :



Je vais sur son canapé, et il me propose un nouveau verre. J’accepte, et il va dans la cuisine. Je suis excité grave et, étant actif, je décide de prendre les choses en main.


Je le rejoins et l’embrasse. Je le plaque contre le mur tout en caressant son sexe à travers son pantalon. Je le sens alors qui bande bien fort, ce qui me motive à aller plus loin. Je lui retire son t-shirt, découvrant son torse musclé, et un magnifique tatouage sur son épaule. Un tribal, qui empiète sur son biceps, son dos et son torse. Je l’embrasse, lui lèche les tétons puis les lui mordille, ce qui le fait gémir. J’ouvre alors son pantalon, laissant apparaître un sexe plein de vigueur. Mon homme est bien monté, et je ne résiste pas longtemps au plaisir de l’engloutir. Je le suce et il se laisse faire, fermant les yeux et gémissant. Le contact de son sexe et de ses bourses rasés dans ma bouche me procure un grand plaisir. Je bande comme un fou, prenant un plaisir incroyable à dominer cet homme si viril, si musclé, et que chacun de mes coups de langue rend fou. En le débarrassant de son pantalon et de son boxer, je découvre un autre tatouage, un tribal (encore) lui enserrant la totalité de sa cuisse gauche, remontant jusqu’à la base de son cul superbe.


Dès lors, il se retire de ma bouche, et me demande de m’asseoir sur le plan de travail. Il enlève mon polo et mon jean, et commence à me branler, tout en me léchant les couilles. Bertrand sait y faire, et je perds le contrôle dès qu’il avale ma queue. Il me pompe énergiquement, me laissant peu de répit. Je pose alors ma main sur sa tête, pour lui baiser la bouche. Je l’entends gémir en me suçant, ce qui m’oblige à l’arrêter pour ne pas jouir. Je descends de la table, et le retourne contre le mur. Il écarte naturellement les jambes, de manière à laisser courir ma langue sur son petit trou. Je le sens frémir, gémir, au fur et à mesure que je le lèche. Au bout de quelques instants, il se retourne pour m’enfiler un préservatif, et en profite pour me sucer à nouveau. C’est alors qu’il se relève, me tendant son trou offert. Je me présente à lui progressivement, quand il donne un coup de rein vif, et me voilà entièrement en lui. Voyant son excitation, je le saisis par les hanches et commence mon va-et-vient très actif. Il aime ça, et me supplie de continuer, d’y aller plus fort. Je m’exécute, le limant de plus belle. Je le vois en train d’essayer de se branler, mais il ne peut s’empêcher de maintenir ses mains contre le mur. Au bout de quelques minutes, je me plaque contre lui afin de ne pas jouir tout de suite. Il m’entraîne alors sur son canapé, s’allonge sur le dos, et relève les jambes pour m’offrir à nouveau son cul.



Je le baise à nouveau, ses gémissements se font de plus en plus entendre. Pendant que je le défonce, il me regarde dans les yeux, me répétant qu’il veut me voir jouir, et me disant :



Je ne tiens pas longtemps avant de céder, ce qui lui procure un grand plaisir, car dans les secondes qui suivent la fin de mon va-et-vient, sa queue libère également sa semence, qui arrose son torse musclé.


Il m’attire alors dans sa chambre, où nous nous installons sur son lit, nus, immobiles pendant plusieurs minutes. Au moment où je commence à m’assoupir, je sens sa bouche auprès de ma queue. Il me suce un peu, avant que nous ne nous caressions tendrement. Je lui dis :



J’étais aux anges.


Après avoir bu un verre, il me raccompagna chez moi. Nous sommes restés autour de sa voiture pendant près d’une heure, à discuter sous mes fenêtres. Au moment de s’embrasser pour se dire au revoir, je le sentais insistant, me caressant vivement. Il dégrafa mon jean, et sortit ma queue pour l’engloutir. Il me tailla une pipe énergique, qui n’a pas mis longtemps à me faire jouir. À ce moment, il a avalé ma queue et tout ce qu’elle contenait. Dès lors, il me dit :



Il me plaqua contre sa voiture, et me lécha l’anus divinement. C’était la première fois que mon petit trou était « découvert », et ça n’était pas fini. Il enfila un préservatif, et présenta sa belle queue contre mon cul. Après l’avoir frottée contre moi, il me pénétra lentement. Je sentais son engin serré dans mon petit cul, mais rapidement, il accéléra sa cadence, me faisant grogner de plaisir. Je me suis senti complètement dominé, incapable de lutter face à un tel impact physique. Ses va-et-vient soutenus ont duré plusieurs minutes, j’étais stupéfait par son endurance, un vrai contrôle de soi, alors que nous étions visibles… Heureusement, l’heure tardive n’incitait pas les passants à la balade. En me baisant, il me claquait les fesses, m’agrippait sans me laisser une possibilité de bouger. Je tirais un plaisir immense de cette baise mémorable, qui s’est terminée dans un râle commun. Une fois retiré, il prit une dernière fois ma queue en bouche, pour me faire jouir dans sa gorge. Je rentrai chez moi, ravi et épuisé, quand je reçus un texto :




On se revoit quand ?