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n° 14759Fiche technique36161 caractères36161
Temps de lecture estimé : 21 mn
15/01/12
Résumé:  Une soirée du nouvel an qui donne un nouvel élan à un couple amoureux.
Critères:  fh couple fépilée amour photofilm intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fdanus fsodo hdanus -couple
Auteur : Bichon_92  (Homme, la trentaine, heureux !)            Envoi mini-message
Nouvel (Él)an



Ni une ni deux, je file prendre l’appareil : réglage sur le timer et, l’un a côté de l’autre, on pose en tenue d’apparat pour cette soirée du nouvel-an. La diode rouge clignote de plus en plus vite et hop, c’est dans la boîte.


Tous les deux autour de l’appareil, nous regardons le résultat. C’est vraiment bof : le mur blanc derrière nous donne l’impression d’une photo montée, mon costume et sa robe ne rendent pas leurs couleurs, il faut recommencer.


Changement d’endroit, et on recommence. Cette fois-ci la photo est réussie, je la complimente sur sa tenue qui, à l’écran, fait très sexy : une robe bleu nuit à mi-cuisse, légère, avec des reflets satinés, met en valeur ses jambes d’habitude si quelconques.



Clic, je la bombarde avec le numérique, avant qu’elle ne vienne vers moi pour voir le résultat. Appareil en main, elle fait défiler les quelques photos prises : quelle n’est pas sa surprise quand elle tombe sur une photo d’elle, en peignoir au sortir de la douche.



Et des photos, il y en a ! Le peignoir à moitié sur les épaules, le peignoir à ses pieds ; elle penchée sur le tiroir à sous-vêtements… Oh, celle-ci est indécente : on voit clairement son sexe et son entrée interdite… S’en suivent des dizaines de photos en bas, en sous-vêtements et enfin en robe, en train de se maquiller dans la salle de bain. À sa moue, je sais qu’elle n’apprécie pas.



L’appareil toujours en main, elle le trifouille avant de me le tendre.



Et merde, elle a tout effacé. Quelle chieuse !



Nous partons donc chez nos amis fêter le nouvel-an en boudant l’un et l’autre. Elle, à cause de mes propos ; moi, à cause de son manque d’« ouverture ». Pour une fois qu’il n’y a pas les enfants et qu’on devrait pouvoir passer un bon moment ensemble, c’est reparti pour se faire la gueule toute la soirée.


Le voyage en voiture est rythmé par les paroles du GPS qui entrecoupent la radio et mes commentaires sur sa façon de conduire. M’enfin !


Déjà trente minutes de voiture et le GPS annonce encore vingt minutes…


Alors qu’elle conduit, je ressors l’appareil photo et prends quelques clichés d’elle, concentrée sur la route. « Celles-ci au moins tu ne les effaceras pas ! ». Et toc, prends ça dans les dents.


Elle me regarde d’un air désabusé, mais ne renchérit pas.


Je me colle contre la vitre pour prendre un peu de recul et, arrêtés au feu, je l’interpelle pour qu’elle se tourne dans ma direction. Une, deux, trois photos, et le feu passe au vert. Quelques passants regardent en notre direction après les quelques flashes émanant de la voiture. Nous finissons par rire tous les deux de concert.


Les disputes avec nous c’est comme ça, ça peut durer des jours ou s’arrêter en quelques minutes par un sourire mutuel.



Joignant le geste à la parole, elle remonte légèrement sa robe pour laisser entrevoir ses cuisses à la lisière de ses bas.



Tout en conduisant, je continue à prendre quelques clichés de ses jambes. Elle me provoque en passant ma main sur une cuisse et en relevant très furtivement sa robe un peu plus à chaque passage.



Sa jambe gauche fait un mouvement sur la gauche et s’appuie sur la portière : de mon siège, j’ai une vue imprenable sur sa cuisse gainée d’un bas mais aussi sur la partie dénudée de celle-ci. Quand j’approche ma main du tissu de sa robe, elle continue à conduire sans me réprimer et me laisse remonter le tissu, découvrant la dentelle blanche qui cache son anatomie. À ce moment-là, le GPS interrompt : « Sortie imminente ». Et nous partons dans un fou rire.


Arrivés en bas de chez nos amis, nous sommes quelques minutes en avance comme toujours. Je lui montre les quelques planches faites pendant le voyage.



Elle me regarde alors avec un sourire plein de complicité. Nous nous embrassons et sortons de la voiture.



L’appareil entre ses genoux illumina d’un flash l’intérieur de sa robe



Elle me prend l’appareil des mains et jette un œil au cliché qui s’avère bien flou et peu révélateur. Elle efface le cliché et me le dit. C’est bien mal parti ! Mais à peine entrée dans l’ascenseur, elle dirige elle-même l’appareil sous sa robe et, ouvrant généreusement les jambes, elle fait un cliché.



La soirée chez nos amis se déroule jusqu’aux fameux douze coups de minuit où nous souhaitons une heureuse année 2012. Dans le creux de l’oreille, je lui souffle :



Je fronce les sourcils à ses mots.



Je reviens avec l’appareil photo et deux coupes de champagne. Nous trinquons et je prends une photo de nous en tendant l’appareil photo à bout de bras à l’envers. À ce moment, elle me glisse à l’oreille :



Et elle s’éclipse pour rejoindre les autres convives.


Je suis tout étonné de la photo qui se présente sur l’écran : elle a fait la même photo que celle faite dans l’ascenseur avant d’arriver, sauf que sur celle-ci, elle n’a plus de culotte ; la dentelle blanche a laissé place à son sexe complètement nu. Je lui souris et ne dis mot ; ma main discrètement, après s’être assuré que personne ne nous regarde, prend la direction de ses fesses afin de sentir au travers du tissu de sa robe sa culotte. Ne trouvant pas la démarcation attendue, je poursuis mon investigation en glissant sous la robe jusqu’à tomber sur son sexe lisse et libre de toute contrainte.


Elle s’empresse de retirer ma main.



L’avantage d’une petite poitrine c’est que même sans soutien-gorge les formes tiennent. J’esquisse un sourire malicieux en passant ma main dans son dos…


Il est une heure passée quand nous décidons de rentrer. Les dernières bises, les derniers vœux, et nous montons dans l’ascenseur.



L’ascenseur s’ouvre et je scrute le hall à la recherche d’un endroit adéquat ; mes yeux se posent sur une porte désignant les escaliers. Je l’attire dans cette direction et lui ouvre la porte avec galanterie. Immédiatement enlacés, je l’embrasse passionnément : mes mains parcourent son corps avec délicatesse par l’ouverture de son manteau.



Parti pour une petite séance photo ! Je maudis quelques commentaires sur la lenteur du flash. Elle se prend au jeu et pose : de côté, de face, de dos la tête en arrière.



Adossée au mur, un pied sur une marche d’escalier, elle tend ses hanches en avant.

Quelques photos et elle laisse tomber son manteau par terre, prenant quelques poses plus suggestives.



Ma chérie, visiblement entrée dans le jeu, laisse aller ses mains sur ses cuisses et remonte lascivement sa robe jusqu’à presque découvrir son abricot. D’un mouvement rapide, elle se retourne et continue son jeu. Je mitraille jusqu’à découvrir dans l’appareil ses fesses dénudées de profil avant qu’elle ne reprenne une tenue correcte.



Je la rejoins contre le mur et, collé à elle, ma langue virevolte dans sa bouche. Une main exploratrice part à la rencontre de son intimité ; à plat, je la caresse. Elle m’interrompt presque immédiatement :



Moi qui dors toujours en voiture quand on rentre de dîner, je n’arrive pas à fermer l’œil. Un brin excité, je gesticule sur mon siège et cela ne passe pas inaperçu aux yeux de ma belle.



Le GPS est ma seule source d’informations intéressantes pendant ces longues minutes.


Arrivés dans le parking, elle me laisse le volant pour garer la voiture. Je sors et elle m’attend appuyée contre la porte, manteau ouvert avec un sourire sur les lèvres. Une première photo ! Puis une dans l’ascenseur en gros plan.


Dans l’appartement, je continue mon reportage lorsqu’elle enlève son manteau, lorsqu’elle enlève une chaussure, puis l’autre. Je me dirige dans la chambre et m’installe assis sur le lit avant qu’elle n’arrive. À peine entrée, je la photographie.



Dos à moi, elle fait glisser la fermeture éclair de sa robe, jouant à me regarder, à droite, à gauche, puis elle enlève une manche, puis l’autre tout en empêchant sa robe de tomber. Elle se tourne face à moi et dévoile sa poitrine ; le dos contre le mur, elle laisse descendre doucement son vêtement et m’offre le spectacle de son corps qui se dévoile. Nue, elle me fait face et viens poser une jambe sur le lit : sa chatte est ouverte sous mes yeux ; son sexe est complètement épilé et ses lèvres semblent déjà ouvertes et gonflées. Elle prend le temps d’enlever son bas avant de m’enlever cette jolie vue en procédant avec l’autre jambe.



Je me lève et m’approche d’elle, face au miroir de notre dressing. Je continue de prendre quelques photos de nous dans le reflet de celui-ci. Ma chérie détache ma chemise, mon pantalon, et jette mes vêtements sur le valet de chambre. En boxer et chaussettes, elle semble hésiter.



Ma chérie s’agenouille et en levant les yeux vers moi, elle m’enlève une à une mes chaussettes en me regardant. Une photo. Elle attrape l’élastique de mon boxer et lui fait suivre le chemin du sol. Mon sexe est fièrement dressé vers son visage ; elle enroule ses doigts autour…



Un dernier flash et l’appareil est sur la table de nuit. Les yeux dans les miens, elle ouvre ses lèvres pour y guider mon gland au ralenti. Tirant vers la base, la chaleur de sa bouche se fait immédiatement sentir, et seule sa langue caresse mon gland. Une succion douce et agréable commence. Ma chérie aime me faire languir, elle aime l’emboucher doucement : chaque millimètre de mon sexe attend patiemment son tour, et plus je progresse dans sa bouche, plus sa succion augmente, jusqu’à ce qu’elle salive abondamment. Puis elle ressort avec la même lenteur, ressortant mon sexe luisant de sa salive. Ses mains quittent mon sexe pour se poser à l’arrière de mes cuisses, et elle imprime une légère pression pour me faire signe de venir coulisser dans sa bouche. Ses lèvres se font alors plus serrées, plus gourmandes, jusqu’à ce que je bute au fond de sa gorge et qu’elle me rejette pour reprendre sa respiration. Quelques minutes de ce traitement et me voilà déjà obligé de me contrôler.


L’aidant à se relever, nous échangeons un baiser mêlant sa salive et mes premiers émois. Je la fais pivoter et l’allonge ; les genoux repliés, les pieds en bord de lit, ma tête se glisse entre ses cuisses pour goûter sa chatte déjà humide. Elle ouvre ses cuisses plus largement, générant la même ouverture sur ces lèvres. Je ne résiste pas et attrape l’appareil photo. Debout, je cadre tout son corps et surprends un joli sourire sur son visage pour la photo. Revenant à ma tâche, mes doigts parcourent ses cuisses et se posent sur son pubis. Le haut de ses lèvres est taquiné par mes pouces qui la massent circulairement. Ma chérie tortille déjà son bassin, lève ses fesses à la rencontre de mes doigts. C’est mon pouce qui force la barrière de son sexe et vient lui masser les parois intérieures : sa respiration accélérée m’autorise à lui glisser mon deuxième pouce bien au fond de son antre avant de ressortir caresser son clitoris gonflé de désir. Je la connais par cœur : il suffit que je pose ma langue sur son sexe, que je la darde, et d’elle-même, elle va se frotter contre ce bout de chair faisant office de petit sexe. Ses mains viennent se poser alors dans mes cheveux pour augmenter la pression dans son bas-ventre. Seule coquinerie qu’elle m’autorise, elle lève son bassin et ma langue vient s’insinuer dans sa rosace. Rien de plus, mes doigts n’ont pas d’autorisation, le reste encore moins. Même si ce soir est un nouvel élan dans notre vie intime, elle n’accueille dans ses fesses que ce petit plaisir que nous avons de réciproque. Elle passe ainsi de son petit trou à sa chatte variant la pression sur mes cheveux.


Son plaisir pointe déjà dans ma bouche et ses mains m’attirent pour que je vienne m’allonger sur elle, m’allonger en elle. C’est elle qui guide ma tige dans son antre et empoigne mes fesses pour me faire entrer jusqu’à ce que nos corps soient emboîtés. Les yeux clos, la bouche entrouverte, ma belle se laisse aller à ce plaisir charnel.



Après un roulé sur le côté, elle s’installe à califourchon sur moi ; son bassin monte et descend sur moi. J’aime regarder ses seins qui, malgré leur taille raisonnable, rebondissent généreusement à chaque mouvement de son corps : mes mains les agrippent, les malaxent, je sens ses tétons tout durs qui roulent entre mes doigts. Elle gémit son plaisir, toujours aussi convenable, toujours aussi discrète ; comme j’aimerais qu’elle rugisse son plaisir…


Décidément, elle veut me surprendre ce soir : elle sort mon sexe de sa chatte et, tout en me regardant, elle pose ses lèvres sur mon torse, descendant doucement sur mon ventre. Elle me masturbe d’une main ferme contre sa poitrine.



Mon bras se tend vers la table de nuit. Je l’ai dans le viseur, le visage souriant, mon sexe dans sa main ; je prends une photo.



Ce faisant, elle s’allonge de tout son corps entre mes cuisses et enfourne ma bite dans sa bouche sans perdre un instant, son regard sur l’objectif. Je pose de moi-même l’appareil et m’installe à genoux face à sa bouche. Relevée sur les coudes, la bouche ouverte, elle accepte que je lui baise la bouche. Quelques mouvements lents dans sa bouche et c’est elle qui vient buter son front contre mon ventre ; elle ressort de temps à autre pour reprendre sa respiration et déglutir la salive qui lui vient, pour mieux me reprendre, m’avaler à s’en étouffer. Ses yeux sont rouges, légèrement humides de ces enfournements sauvages.


Profitant d’une pause, elle glisse sa tête entre mes jambes en se retournant sur le dos pour laper mes couilles et me lécher la rondelle ; ses mains écartent mes fesses et je sens pointer sa langue à l’intérieur de mon anus. Mes mains se baladent sur ses seins, et elle écarte les cuisses pour me montrer son attente : penché en avant, je la doigte de plus en plus fort, deux doigts dans son abricot, un doigt qui caresse sa rosette. Je m’enhardis à lui glisser la première phalange de mon index dans le derrière. Sa réaction est inattendue ; je sens que mon petit trou est investi comme le sien. Elle alterne entre sa langue et un doigt, le poussant chaque fois un peu plus loin. Je l’imite en joignant un deuxième doigt que j’insinue plus franchement dans son cul.



Ma chérie, vos paroles sont des ordres : ma langue vient jouer avec son bouton, je salive abondamment sur mes doigts et les lui fourre dans son derrière si étroit, si peu habitué à cette caresse. Ce 69 m’endiable au plus haut point, je sens mon pouce dans son sexe qui côtoie au travers de la paroi mes doigts qui lui fourragent le cul. Elle ne bouge plus, je sens juste son souffle contre mes fesses, et elle n’a pas l’air indifférente au traitement.


Je me redresse et recule légèrement pour que mon sexe vienne caresser ses lèvres.



Elle se replace devant moi et se lance dans une fellation qui ne cache rien de son but. M’enserrant fermement de sa main, elle me masturbe dans sa bouche. Seuls des bruits de succion, d’aspiration, se font entendre dans la pièce. Son autre main vient me malaxer les testicules. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. Par habitude, j’essaye de lui faire comprendre en me retirant.



Et elle reprend son rythme infernal. Quelques secondes plus tard, tout mon corps se contracte et je sens un jet puissant se déverser dans sa bouche. Je la sens surprise, mais elle continue de me garder en bouche jusqu’à ce que mon sexe commence à perdre de sa fierté. Un filet de sperme coule le long de la commissure de ses lèvres et lorsque sa bouche s’ouvre, sa langue s’enroule autour de mon gland, déversant un peu de sperme sur les draps. Elle sort mon sexe de sa bouche et avale le liquide encore présent dans sa bouche. Elle pince ses lèvres entre elles, passe sa langue sur ses lèvres et me reprend dans sa bouche pour m’aspirer une fois encore.


Mon sexe quasiment au repos, elle se redresse face à moi et nous nous embrassons tendrement.



Je me lève quelques secondes plus tard pour aller, moi aussi, faire un brin de toilette. Sous le jet de la douche chaude, mon sexe se revigore déjà au contact de mes mains savonneuses et surtout de mes pensées obsessionnelles pour le corps de ma chérie. Je la revois dans cette cage d’escalier, fesses cambrées en arrière et sa jupe relevée sur la taille ; j’aurais aimé la prendre dans l’instant, dans cette position outrageuse, indécente.


Me séchant, je la rejoins dans la chambre : elle est allongée sur le ventre, appuyée sur les coudes. Elle tient l’appareil photo entre ses mains et regarde les photos prises ce soir. Elle a revêtu sa nuisette qui la couvre jusqu’à mi-cuisse.


Je m’assois sur le bord du lit à côté de ses jambes et ma main suit le mouvement de mes yeux sur son corps ; la courbe de sa voûte plantaire, sa cheville, et déjà son mollet épouse la forme de mes doigts.



Je m’installe alors à genoux entre ses jambes. Mes mains massent de ses chevilles jusqu’à ses genoux. Elle est pour le moment sur les photos prises avec nos amis : elle prend le temps de les regarder une par une, et quand nous arrivons à la photo prise dans l’ascenseur, je remonte mes mains plus haut sur ses cuisses. J’ai le droit à un petit « humm » de contentement quand mes mains passent sous la nuisette en coton et remontent sur ses fesses, qui sont recouvertes d’une culotte en coton assortie à la nuisette. Je lui masse ses chairs doucement, de ses hanches au haut de ses cuisses.


La vue est sublime ; mon massage a tiré le coton de sa culotte entre ses globes fessiers, et, tendue, elle moule son sexe et fait ressortir ses lèvres. Volontairement, je tire avec exagération sur le haut de sa culotte pour insérer le tissu dans sa raie. Mes mains continuent d’explorer le reste de son corps, jusque dans son dos. L’appareil photo est toujours dans sa main, mais il ne fait plus l’objet de son attention ; sa tête est posée sur l’oreiller et elle profite simplement. M’installant à côté d’elle, je plaque ma main sur l’intérieur de sa cuisse et remonte contre son abricot. Le coton me sépare de la douceur de son sexe et je l’utilise pour exciter son entrecuisse. Le tissu frotte au passage de ma main depuis son pubis jusqu’à sa rosette, dans un mouvement linéaire, lent et régulier. Une main à plat contre sa chatte, de l’autre main juste un doigt dans sa raie, je caresse superficiellement ses orifices.



Frottant sa culotte contre sa chatte, je sens l’humidité de son antre venir imprégner le coton, qui s’échauffe au fur et à mesure de cette caresse. Ma chérie se laisse aller à quelques gémissements. Aussi étonnant que cela puisse paraître, notre vie sexuelle, bien que régulière, se limitait à faire l’amour, souvent le soir et jamais plus d’une jouissance. Remettre cela après une légère pause semble amener chez ma femme plus de sensibilité, plus de plaisir. Sous l’effet de mes caresses, sa culotte est maintenant complètement insérée entre ses lèvres et mes doigts ne font qu’amplifier la moiteur de sa chatte.


Sans bouger le reste de son corps, elle vient d’une main déplacer sa culotte distendue pour me libérer l’accès.



Je m’exécute et sans autre but que la faire jouir, j’insère un doigt dans son sexe ainsi offert. Je le vrille doucement et y joins rapidement un deuxième et un troisième. Son antre est encore détendu de notre précédente chevauchée, et mes doigts n’ont aucun mal à coulisser en elle. Approchant mon visage de ses fesses, je lui lèche son anus tout en la pistonnant. Son bassin remue alors que ma langue lui assouplit le derrière. Ses feulements de plaisir sont maintenant remplacés par ses gémissements de plaisir ; pour une fois, elle se laisse aller à son plaisir et le communique. Profitant de son état de bonheur, j’ose joindre mon pouce au ballet qu’effectue ma langue, et remplace ma langue dans son étroit conduit. Je m’efforce de détendre son anneau en alternant quelques pénétrations et quelques caresses superficielles, jusqu’à ce que mon pouce disparaisse complètement en elle.


À ce moment-là, elle laisse échapper un cri plus long, moins contrôlé, témoignant de la jouissance qu’elle vient de connaître. Fatigué par ce pistonnage, je retire ma main et la remonte en caressant ses fesses, qui se retrouvent mouillées de sa cyprine. Alors que ma chérie tourne la tête dans ma direction, je laisse mes doigts humides taquiner sa rosette… Elle saisit mon sexe dans sa main et me branle doucement en le regardant.


Me délaissant le temps d’attraper un coussin, elle le glisse sous son ventre.



À genoux, les mains dans le dos, elle continue à me masturber ; les couilles contre ses fesses, je la sens les contracter pour me masser en même temps qu’elle m’enserre.



Mon sexe toujours entre ses mains, elle le frotte entre ses cuisses, de son pubis, écartant ses petites lèvres, et remontant dans sa raie jusqu’au haut de ses fesses. Elle continue ainsi, avant de diriger ma queue dans son sexe pour en engloutir le gland. Puis elle recommence les mêmes mouvements, inondant ainsi toute sa raie de ses secrétions.



Elle enfonce sa tête dans l’oreiller et continue de se masser l’entrejambe avec ma bite. Elle bouge son bassin en même temps que ses mains pour m’accueillir plus profondément dans sa chatte, puis ressort mon sexe pour le passer dans sa raie et ainsi de suite. Arrêtant ses mouvements, elle pose mon gland sur son anus et ondule les hanches pour appuyer la pression sur son anneau. Après quelques mouvements, mon bout turgescent suinte quelques gouttes et presse beaucoup plus fortement contre son cul.


Elle choisit ce moment pour retirer ses mains et commencent à bouger d’avant en arrière. Elle provoque le retrait de mon sexe qui se tend contre ses fesses.



Je jubile. Elle me demande ce que je n’osais espérer depuis si longtemps.


Je plante mon gland sur son anus et presse légèrement pour ouvrir son anneau. Mes mains sur chacune de ses fesses, je les écarte et pousse un peu plus fort. Je sens alors ma chérie se contracter et son corps se tendre. Mon gland est en elle, et je progresse très lentement pour ne pas qu’elle change d’avis. J’effectue quelques pénétrations et elle cambre ses fesses en venant s’empaler un peu plus sur mon sexe.



Avec son aval, je pousse plus avant mon sexe dans son cul ; elle serre les fesses et chaque poussée génère la contraction de son anus. Sa main vient sous l’oreiller se caresser ; un dernier coup de rein et mon sexe la déflore pour la première fois dans cet orifice. Cela lui arrache un cri strident qui lui fait relever la tête.



Je m’enhardis et la lime à un rythme régulier. Son cul est serré et je réfrène mes envies de lui pilonner le derrière comme j’en aurais envie. Je m’allonge sur elle, enfiché au plus profond de son derrière, et elle relàve les fesses pour encore plus se coller à moi.



Je me retire d’elle délicatement et glisse plus bas dans sa chatte. Je lui brutalise son abricot et lui maintiens les hanches. Elle me stoppe dans mon élan et me pousse pour que je m’enlève de son corps. Allongé sur le dos, ma chérie vient s’asseoir sur ma bouche pour que je lui mange la minette et avançant son bassin, elle me donne son anus à lécher ; il est encore ouvert de mon assaut, ma langue glisse à l’intérieur et joue avec son anneau.



Je salive abondamment et quelques secondes plus tard, elle tient mon sexe en main et le dirige dans son derrière. Elle fait doucement entrer mon gland dans son anus et s’empale vigoureusement sur celui-ci.



Elle qui est si chaste dans ses propos d’habitude, j’en suis surpris. Elle rigole et se redresse avant de s’empaler à nouveau. Puis une nouvelle fois. Le rythme est de moins en moins haché et son visage alterne grimaces et décontraction.



Un petit « poc » de décollement nous fait rire, et elle se met à quatre pattes et attend mon intromission. Je lâche un peu de salive sur ses fesses et l’étale avec mon doigt, avant de la reprendre. J’ai une vraie bête de sexe devant moi : les fesses en arrière, elle ne me laisse pas le temps de venir en elle mais s’empale d’elle-même.



Énorme, je bourrine son derrière alors que ses mains agrippent mes testicules. Je suis trop excité pour tenir plus longtemps : je jouis dans son cul et une décharge électrique parcourt ma colonne vertébrale…


Affalé sur elle, je sens les derniers soubresauts de mon sexe dans son antre inondé de mon jus.



Je sens ses chairs se détendre en même temps que mon sexe perd de sa vigueur. Nous restons ainsi quelques minutes avant que je ne roule à côté d’elle.



À ces mots, j’ai déjà en tête d’autres moments, d’autres lieux, d’autres positions où je vais pouvoir satisfaire mon désir de la prendre par son petit orifice.


La laissant quelques minutes, je reviens dans la chambre et m’assois au niveau de son derrière. Gant de toilettes humide entre les mains, je lui passe délicatement celui-ci sur son anus, sur mon nouveau territoire. Les petites contractions de son derrière laissent échapper un filet que j’essuie un peu comme un gladiateur qui observe sa proie gisante !


Après cette toilette, j’attrape l’appareil photo et prends un dernier cliché en gros plan… de son visage souriant et apaisé.