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n° 14764Fiche technique20164 caractères20164
Temps de lecture estimé : 13 mn
17/01/12
Résumé:  Je retrouve Elsa après des années pour partager un moment autour d'un thé. Mais nous n'avons jamais pu être sages.
Critères:  fh grosseins fellation cunnilingu anulingus 69 fsodo hdanus fouetfesse -fsoumisah
Auteur : Patang

Série : Comme un lundi

Chapitre 01
Comme un lundi - Première partie

Elsa devait venir me récupérer à la sortie du métro Grange Blanche à 8 heures ce lundi matin. Je sors du métro et je reçois un SMS m’indiquant où elle est garée. Je me recoiffe un peu, le cœur battant, ça fait tellement longtemps qu’on ne s’est pas vus. Et la dernière fois avait été si… excitante.


Je me dirige vers la petite Clio stationnée pas loin, et je me penche à la fenêtre. Là, j’aperçois Elsa, penchée sur son téléphone. Je toque et, surprise, Elsa sursaute. Elle lève les yeux vers moi et son visage s’éclaire d’un sourire quand elle me reconnait. Elle ouvre la porte et sort de la voiture pour m’accueillir. Je glisse ma main dans son dos pour l’approcher de moi et dépose un baiser appuyé sur sa joue, tout en caressant son dos.



Le contact de son corps, sa voix, tout cela réveille en moi des souvenirs qui provoquent immédiatement mon excitation.



Elsa hésite un moment et accepte, tentée par un moment d’intimité sans doute. Elle me propose de monter dans sa voiture et nous voilà partis. Pendant le trajet, je la regarde de profil, détaille sa silhouette. Elle a beaucoup changé depuis la dernière fois où l’on s’est vu, il y a maintenant un tout petit peu plus de dix ans. Mais elle me fait toujours le même effet : l’envie de la toucher, de la câliner et d’autres pensées bien moins avouables. Je suis un peu timide, mais on discute un peu sur le chemin, et je tente de lui effleurer la main ou le bras, histoire de retrouver un peu de cette intimité que nous n’avons toujours partagée qu’à distance.


Arrivés à destination, nous montons l’escalier qui mène à son petit appartement et là, une fois ôtés nos manteaux, elle me fait asseoir sur le canapé avant d’aller préparer du thé. Elle revient vite, alors que je m’impatiente, s’assoit à côté de moi sur le canapé et sert le thé. Nous commençons à discuter, et je remarque bien qu’elle me dévore du regard. Moi-même, j’ai envie de me jeter sur elle et de lui arracher ses vêtements. J’espère qu’elle n’a pas remarqué le début d’érection qui naît dans mon pantalon.


Nous papotons donc et je remarque ce tic qu’elle a de tout le temps mettre ses doigts à sa bouche, ce tic qui a le don de m’exciter et de me donner des idées, va savoir pourquoi. Le temps passe, bien trop vite en fait, nous discutons, buvons notre thé et finalement petit à petit la réserve disparaît. Elsa se met à l’aise, enlève ses chaussures et finalement s’allonge sur le canapé, la tête posée sur ma cuisse pendant que je lui caresse les cheveux.


Nos évoquons finalement notre dernière rencontre, il y a si longtemps, nos conversations écrites et téléphoniques tout au long de ces années et pendant ce temps je caresse ses cheveux, puis sa joue. J’ai envie d’elle, mais même si j’imagine que c’est réciproque je ne sais pas trop comment amener la chose.


Je glisse quand même petit à petit mes doigts sur sa peau, derrière ses oreilles, le long de son cou, et puis finalement sur la peau de son décolleté, le haut de ses seins. Elsa se tait tout à coup. Je me demande si je vais me prendre un râteau, mais je sens sa respiration s’accélérer. Nous sommes silencieux tous les deux, elle regarde toujours dans la direction opposée alors que mes yeux sont fixés sur son visage et son décolleté. J’observe sa poitrine qui se soulève, j’essaye d’imaginer à quoi ressemblent ses seins qui me paraissent énormes sous son chemisier.


J’avance doucement mes doigts dans son corsage, je les glisse dans son soutien-gorge pour caresser doucement la pointe de son sein. La respiration d’Elsa s’accélère, elle a fermé les yeux, pendant que je caresse son téton et que finalement je prends son sein à pleine main. Je continue à lui caresser les seins de la main droite alors que de ma main gauche je lui caresse doucement les cheveux. Je sens à sa respiration que ça l’excite. Les yeux fermés, elle se mordille les lèvres. Une de ses mains est posée sur ma cuisse, immobile. À quelques centimètres, mon sexe est tendu à l’extrême dans mon pantalon au point que c’en est difficile de rester calme. J’aimerais bien qu’elle le prenne dans la main pour le caresser à travers le tissu.


Je retire ma main de son corsage, provoquant un gémissement de frustration de sa part. Je la repose tout de suite sur ses seins mais à l’extérieur du chemisier et je la fais glisser doucement sur son ventre. Là, je tire petit à petit sur son corsage, pour découvrir son ventre et y poser mes doigts d’abord, puis la paume de ma main. Elsa se cambre pour pousser son ventre contre ma main et elle m’agrippe la hanche.



Obéissant, je me penche doucement pour poser mes lèvres sur les siennes et glisser ma langue entre ses lèvres pour un baiser fougueux. Ce faisant, je pousse ma main vers le bas-ventre d’Elsa, au-dessus de son pantalon, pour esquisser une caresse sur son pubis. Je défais le bouton de son pantalon et glisse ma main à l’intérieur pour y découvrir une chaleur moite et un pubis où subsistent de courts poils. La paume de ma main posée sur son bas-ventre, le bout du majeur qui effleure à peine le capuchon de son clitoris, Elsa s’enflamme et me dévore littéralement la bouche. Tout ça m’excite tellement que je pourrais jouir si elle venait à effleurer mon sexe.


D’ailleurs elle lit peut-être dans mes pensées, car sa main gauche tire ma chemise hors de mon pantalon pour caresser ma peau, pendant que son autre main se glisse derrière ma tête pour caresser mes cheveux et attirer encore plus mes lèvres contre les siennes.


Je n’y tiens plus, je l’embrasse encore plus fougueusement, ma main s’enfonce un petit peu plus dans sa culotte et je caresse du bout des doigts les lèvres de son sexe. Mais la position ne me permet pas d’en faire plus. À regret, je détache ma bouche de la sienne, et je me penche sur le côté pour pouvoir enfoncer ma main plus encore dans sa culotte et glisser ainsi un doigt au fond de son sexe qui est littéralement trempé. Elsa gémit de plus belle. De mon autre main, je fais glisser son pantalon sur ses genoux pour pouvoir mieux la caresser. Libre, elle écarte un peu les jambes pour me permettre de mieux la caresser.



L’odeur de son sexe qui monte jusqu’à mes narines m’excite terriblement et je me penche pour lécher mes doigts puis je pose ma bouche sur son sexe. Je fais glisser le bout de ma langue le long de ses lèvres trempées, je caresse son clitoris longuement, avant de refermer mes lèvres sur son sexe et d’aspirer doucement ce petit bouton entre mes lèvres. Ma main gauche cherche ses seins pour en pincer méchamment les bouts. Elsa gémit, un peu de douleur mais surtout de plaisir et d’excitation. Sa main appuie sur ma tête pour que je lèche son sexe plus fort, puis vient défaire ma ceinture et ouvrir mon pantalon.


Enivré par son sexe que je lèche avec délice, je suis surpris quand ses doigts extraient ma queue tendue de mon caleçon et que sa bouche se referme autour de moi. J’ai l’impression, sans doute renforcée par l’excitation, que je viens d’être plongé dans l’eau bouillante. Heureusement que je suis concentré sur son clitoris, parce que sinon j’aurais joui et je lui aurais rempli la bouche de mon sperme. Je laisse échapper un gémissement terrible, qui provoque chez Elsa un frisson proche de l’orgasme. Elle fait glisser sa bouche autour de mon sexe, le laisse ressortir pour le lécher avant de d’engloutir à nouveau le gland pour le sucer.


Les minutes qui suivent ne sont plus que bruits de succion, soupirs et gémissements. L’atmosphère s’emplit de cette odeur si caractéristique du sexe et de la sueur. Petit à petit, dans ce délicieux 69, nous arrivons à nous dévêtir. Elsa a grossi un peu depuis notre dernière rencontre. Mais je la trouve belle. Ses rondeurs gracieuses ne font que la rendre plus désirable. J’ai envie de caresser ses fesses rebondies ou ses seins qui me paraissent énormes.


Alors que je fais courir mes mains sur son corps, tout en léchant son sexe pour l’amener à l’orgasme, Elsa me surprend : elle avale mon sexe jusqu’à la garde et glisse un doigt entre mes fesses, appuie le bout sur mon anus et le fait pénétrer doucement. Sa salive qui coule de mon sexe jusqu’à mon anus fait que la pénétration, sans être facile, n’est pas très douloureuse. Sous cette caresse, je n’arrive plus à me contenir et j’explose littéralement dans sa bouche. Ma jouissance et le sperme qui se déverse dans sa bouche provoquent également chez elle un orgasme qu’elle retenait à grand peine sous les caresses de ma langue. Malgré tout, elle continue à me sucer jusqu’à ce que je me sois complètement vidé et avale goulûment mon sperme, comme lors de sa première fellation.


Épuisés tous les deux par la jouissance, nous restons collés tête-bêche un moment, caressant mollement le corps de l’autre de nos mains libres. Puis Elsa se redresse, vient s’allonger contre moi et m’embrasse doucement, partageant avec moi un peu de mon foutre qu’elle a gardé en bouche.



Je l’attrape alors, me glisse au-dessus d’elle et la plaque à plat ventre sur le canapé. Je caresse ensuite doucement ses fesses et ses cuisses avant d’abattre mollement ma main sur ses fesses. Puis je recommence en augmentant petit à petit la force des claques. D’abord Elsa rit. Puis, les claques devenant plus fortes, elle tente de se libérer en se débattant, et finit par se résigner et ne bouge plus. Au bout d’une dizaine de claques, sa respiration devient haletante et elle se met à gémit à chaque coup. Son excitation est communicative et, placé comme je suis, je vois son sexe qui ruisselle et j’entrevois son anus entre ses fesses. Tout ça réveille bien vite mon excitation et ma queue se redresse le long de mon ventre.



Je l’attrape par les cheveux et, sans lui faire mal, guide sa bouche sur mes testicules, comme je l’avais fait la toute première fois. Elle commence par lécher, avant de remonter le long de la hampe de mon sexe. Elle se met à me sucer alors que je lui caresse les cheveux et que j’appuie doucement pour la forcer à accueillir entièrement mon sexe dans sa bouche. Heureusement, c’est facile, il n’est pas si grand que ça.


Sa punition ne fait toutefois que commencer : je me retire de sa bouche, et je la fais se placer à genoux sur le canapé, penchée sur le dossier. Docile, elle s’exécute. Je glisse mes mains le long de ses hanches, je me penche pour lécher sa nuque, son cou et elle tourne la tête pour m’embrasser. Nous partageons un baiser alors qu’elle ondule du bassin pour faire glisser mon sexe tendu le long de son sexe et de ses fesses. C’est décidément une drôle de punition.


Pour sa peine, je donne sur ses fesses une claque bruyante qui la fait gémir. Ma bouche quitte la sienne, et je dépose des baisers le long de son dos jusqu’à ses fesses et je place mes lèvres sur celles de son sexe pour la lécher encore. Mais je quitte bien vite cet emplacement que j’ai déjà longuement goûté tout à l’heure : j’ai envie de lécher son anus qui m’est offert. Là, je pose mes lèvres, j’embrasse, avant de lécher du bout de la langue son petit trou. Mes mains écartent ses fesses et j’enfonce le bout de ma langue dans son cul, doucement, mais sans faillir. Littéralement je roule une pelle à son cul. Ses doigts caressent son sexe alors que ma bouche s’active. Elsa gémit sous mes caresses, sachant très bien ce que je prépare.



Doucement ? Hors de question. Ce n’est pas que je veuille lui faire mal, mais j’ai envie de la prendre fougueusement, de m’enfoncer en elle d’un coup, de la faire crier de plaisir. Je sais, c’est présomptueux, mais nous avons tellement fantasmé au cours de ces années que j’aimerais lui faire perdre la tête.


Je place la pointe de mon sexe sur le sien, et j’enfonce ma queue doucement dans sa chatte. Et là, je crois bien que je vais jouir tout de suite tellement c’est bon. Elsa frissonne et se tient silencieuse alors qu’elle commence à pousser son sexe à la rencontre du mien. Les allers-retours deviennent de plus en plus fougueux, nous laissons échapper des gémissements.


Mes mains caressent ses hanches alors que je la prends en levrette, elle se retourne pour me regarder et nous nous laissons submerger par le plaisir. J’essaye de glisser ma main entre ses cuisses pour caresser son clitoris, mais la position ne s’y prête pas. À défaut, je pose ma main sur sa fesse, de manière à ce que mon pouce soit posé sur son anus et là je le caresse doucement alors que mon sexe continue ses allers-retours, et j’applique juste assez de pression pour que mon doigt pénètre doucement à l’intérieur de son cul, petit à petit.


Elsa semble apprécier et moi cela m’excite terriblement. Au bord de l’orgasme, je me retire avant de jouir et je me penche pour l’embrasser.



Elsa acquiesce silencieusement et, toujours en levrette, je guide le bout de mon sexe entre ses fesses, espérant que cette courte pause aura assez calmé mon excitation pour que je ne jouisse pas tout de suite.



Sans piper mot, Elsa, pose ses mains sur ses fesses et les écarte de manière indécente. Elle se penche en avant et me dit :



Nous avions répété cette scène tant de fois dans nos conversations par chat… Je pose le bout de mon sexe sur son anus, entre ses fesses que ses mains écartent et fermement. Je pousse ma queue d’une seule traite dans son cul, lui arrachant un cri de surprise. Je retire ensuite doucement mon sexe de son cul et je le renfonce tout aussi fermement. La troisième fois, c’est elle qui pousse sa croupe en arrière pour s’empaler complètement sur ma queue. Son anus est brûlant autour de mon sexe, et elle est terriblement serrée mais assez lubrifiée pour que la pénétration se fasse sans problème. La position, avec son cul qu’elle écarte pour me l’offrir, est terriblement excitante. Les va-et-vient se succèdent, deviennent plus rapides. Nous sommes complètement captivés par cet acte si fort que nous partageons. Ma respiration est saccadée et Elsa pousse des gémissements rauques.


Je me retire de son cul, Elsa se retourne en me jetant un regard interrogateur. Je regarde son anus se refermer doucement et je l’aide à se lever pour l’attirer contre moi et l’embrasser. Sans un mot, je m’assieds sur le canapé. Je guide Elsa pour qu’elle s’assoie à califourchon sur moi. Elle prend mon sexe, le place entre ses fesses et s’empale à nouveau sur ma queue alors que je l’embrasse. Dans cette position elle est maîtresse de la pénétration, c’est elle qui impose le rythme. Moi, comme consolation du contrôle perdu, je peux caresser ses gros seins. Je les pétris, j’en pince les bouts, je les porte à ma bouche pour les sucer et les mordiller, lui tirant des gémissements dont je ne sais s’ils sont causés par le fait que je la mordille trop fort ou par ma queue dans son cul.



Le ventre d’Elsa se frotte au mien alors que ma queue s’enfonce dans son cul. Je sens son excitation monter. J’aimerais que ma queue soit plus grosse ou plus longue pour lui donner plus de plaisir. J’espère qu’elle trouve ça aussi bon que moi.


Tout à coup elle pousse un gémissement qui se transforme en un cri qu’elle essaye de retenir. Ses mains m’attirent contre ses seins dont je mords les bouts. Elle jouit, si fort, si belle, les yeux fermés. Je sens son anus se contracter autour de ma verge, et la broyer presque, provoquant mon orgasme que je ne retenais qu’à grand peine.


Essoufflée, Elsa s’écroule sur moi et nous essayons de retrouver notre souffle l’un contre l’autre. Mon sexe se recroqueville et mécaniquement, se retire de son anus, qui se referme doucement en laissant couler un peu de mon sperme sur mon sexe.



Elle se demande si je plaisante ou pas, mais nous partageons un baiser, collés l’un contre l’autre. Les minutes passent alors que nous nous faisons des câlins. Et déjà je vois l’heure venue de repartir. Un dernier baiser, une douche rapide, trop rapide, où nous prenons plaisir à nous savonner l’un l’autre. Nous nous rhabillons rapidement, pressés par le temps.



C’est sur cette promesse que nous redescendons l’escalier et qu’elle me dépose devant l’immeuble où j’ai rendez-vous. Ça va être difficile de me concentrer sur le travail alors que mon imagination tourne à plein régime…