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n° 14766Fiche technique19317 caractères19317
Temps de lecture estimé : 12 mn
18/01/12
Résumé:  La mère et la fille, deux luronnes, recoivent le nouveau fiancé.
Critères:  f fh fplusag voir exhib noculotte fmast hmast intermast -occasion
Auteur : Albert 2
Trois orgasmes imprévus



Julie est plantée sur le palier, son t-shirt, accroché à ses seins, découvre sa nudité, de son nombril jusque ses cothurnes lacées, d’une main elle tient une mini-jupe blanche et de l’autre un slip. La toison blonde de son ventre est bien fournie mais ne cache pas entièrement la fente de son sexe. Maman se demande si elle a eu raison de donner une éducation aussi libre à sa fille. Embarrassée, elle répond :



Julie le présente, ce dimanche, à sa mère. Julie divorcée sans enfant loue une jolie petite villa pas loin de maman, elle voudrait mettre fin à sa vie de joyeuse célibataire.


Si la fille est une piquante blonde, vive comme un oiseau, la mère est au contraire d’une beauté de statue. De la même taille que sa fille, ses hanches minces et ses longues jambes lui donnent un air plus élancé, encore accentué par des épaules larges et un port de tête royal. Les années ont doté ce beau fruit d’une peau mate naturellement dorée.


Les bandeaux de cheveux argentés et le chignon strict soulignent la netteté d’un visage aux pommettes hautes à l’air froid mais celui qui reçoit un sourire de sa bouche large, charnue, est cloué sur place, ce fut le cas de Bruno.


Nadia avait choisi une tenue modeste pour ne pas éclipser sa fille. C’était une belle journée d’été ; elle portait une robe blanche à mi-mollets, jupe large boutonnée jusqu’à la taille et corsage ajusté découvrant ses épaules. Ses sandales argentées aux talons hauts, retenues par une bride de cheville étaient le seul indice qui pouvait trahir, ce jour-là, le tempérament torride de cette belle plante.


Contrairement à son habitude, elle veillait à ce que sa jupe ne se déboutonne pas trop sur ses jambes nues et évitait de lever les bras pour vérifier sa coiffure, ses aisselles pleines sont, d’après son amant, un véritable appel au viol.


Julie ajoutait à l’éclat de sa jeunesse le rayonnement de l’amour. Depuis quelques semaines, elle découvrait les jeux érotiques avec son nouvel amant. Elle se croyait presque froide ; la découverte du véritable orgasme fut comme une explosion qui libéra des désirs cachés, des besoins de domination, de revanche auxquels Bruno se prêtait.


Elle a tout raconté à sa mère, comment elle le déshabille debout, comment elle le caresse sans qu’il puisse la toucher en s’arrêtant avant qu’il ne jouisse. Elle adore l’exciter, le faire bander mais elle regrette son manque de résistance, elle voudrait qu’il reste en érection toujours à sa disposition, partout et surtout en public, elle voudrait palper sa verge dans le métro, au shoping. Au restaurant, elle ne mange que d’une main, Bruno doit lui couper sa viande et cela simplement pour être certaine de son amour, comme si elle avait encore besoin de sa poupée.


Elles avaient pris un solide apéro sur la terrasse pour se mettre en forme en attendant le héros. Dès le premier whisky, maman n’a pu s’empêcher de faire la leçon à propos du slip.



Nadia a parlé comme si elle était seule dans son un rêve, elle est confuse de ce discours qui l’a excitée. Julie répond :



Nadia, sans hésiter enchaîne :



Dans un joli mouvement Nadia se trousse, sa culotte de soie glisse, comme si elle n’attendait que cela. De la pointe de sa chaussure, elle l’envoie vers sa fille. L’échange se fait dans de grands éclats de rire, Julie apprécie la douceur du tissu, sous sa minijupe étalée, le contact du siège en osier avait, au début, déclenché des pulsations dans son sexe, mais il devenait désagréable.


C’est dans cette ambiance que Bruno est arrivé.


Nadia a vite fait le tour de cet apprenti play-boy, jean et t-shirt blanc, veste de cuir et gros scooter japonais. Il faudra du temps pour en faire un homo éroticus, un véritable amateur du beau sexe, mais s’il a l’érection spontanée, tous les espoirs sont permis.


Nadia fait le service de l’apéritif pour faire boire l’invité et garder sa lucidité. Elle peut ainsi le frôler, offrir son parfum, plonger dans ses yeux, mais ses avances restent sans réponse, Bruno ne quitte pas du regard les cuisses de la fille et la petite dentelle de la culotte qu’elle dévoile par de fréquents croisements de jambes.


Autour de la table ronde, il n’est pas possible de mettre les amoureux au contact, Julie a bien écarté les jambes, Bruno a allongé son sexe sur sa cuisse, en vain, les désirs refoulés rendent la conversation difficile. Maman met encore de l’huile sur le feu en parlant des difficultés de s’entendre en couple, de la patience dans les approches, de l’importance de l’ambiance, de la façon de s’habiller et de se déshabiller, elle s’excite en parlant, le climat devient chaud.


Julie prend l’initiative, elle déclare qu’elle a besoin de Bruno pour découper le gigot, ils filent à la cuisine.

Maman reste seule avec ses évocations érotiques, elle imagine ce qui se passe, Bruno penché sur son grand couteau, Julie derrière lui cherche son sexe, comment fait-elle ? Bruno a-t-il un slip ? Elle pense que non, Julie ne doit pas autoriser cette entrave à son besoin. Julie commence-t-elle par mettre un doigt impérieux entre les fesses de son homme ? Non, elle n’est pas encore assez experte, elle doit le zipper et remonter sa queue, elle a juste le temps de quelques branles pour la durcir. Elle l’abandonne pour dresser les assiettes et lui en donne deux à porter à table, elle est ravie du spectacle. Bruno reste là, planté avec ses deux assiettes et son sexe tellement dressé qu’il pourra difficilement rentrer dans son pantalon. Elle le rentre en force et enferme tant bien que mal le bel engin.


C’est bien ce qui s’est passé, Bruno apparaît avec une braguette énorme suivi d’une Julie rayonnante et le jeu continue, les trois participants ont le feu au ventre. Julie de son côté sent sa culotte coller et voudrait l’enlever dans les toilettes. Nadia suit son fantasme, dans la cuisine elle aurait certainement sucé la belle verge avant de la replacer, elle la sent toute chaude dans sa bouche, elle contracte son vagin, elle s’aperçoit qu’elle serre le manche de son couteau un peu trop fort, elle fait un effort pour reprendre ses esprits mais ne trouve plus rien à dire, la conversation tombe.


Bruno ne pense qu’à réaliser le scénario qu’il a imaginé. Il a rêvé d’emmener Julie en scooter, il voudrait qu’elle se cramponne à son sexe et quelle le branle en roulant à toute allure, il voulait que cela se passe aujourd’hui, c’est pour cela qu’il dégage discrètement sa verge sous la table et qu’il laisse la tirette légèrement descendue, il attend le moment de faire allusion à une petite balade dans les environs.


Le climat érotique a vaincu Nadia, elle retombe dans son fantasme tandis que les amoureux font le service du dessert. Elle imagine une réunion avec ses quatre copines, Bruno présente des coupes de champagne sur un plateau, son sexe nu est superbe, tour à tour chacune prend un verre et lui rend hommage. Les tempéraments se révèlent, l’une suce délicatement la friandise, l’autre lèche sans pudeur le cornet de glace, la troisième avale d’un coup un grand bout de la banane, alors que la quatrième prend le temps de chercher les couilles de sa main libre. Nadia, toujours élégante, se voit prendre la longue bite à deux doigts et la goûter comme un biscuit. Celle qui le fait décharger doit se masturber devant les autres. Il ne faut pas oublier de mettre un vibromasseur sur le plateau.


Nadia est fâchée de ne pas se contrôler, il vaut mieux en finir en s’envoyant en l’air. Elle ne doit pas chercher d’excuse pour disparaître, les amoureux n’attendent que cela. Sitôt dans la salle de bain, elle passe ses mains sous sa jupe et ne trouve que ses hanches nues, elle se souvient qu’elle n’a plus de culotte, instinctivement ses doigts glissent vers sa toison. Elle s’assied sur le bord de la baignoire se déboutonne jusque la ceinture et écarte ses cuisses à fond.

Quand elle est seule, elle aime une certaine vulgarité, elle pense « je vais me le mettre ». Elle démêle et peigne rapidement sa grosse touffe noire avec ses doigts, elle voit dans le miroir ses lèvres gonflées, rouges, elle y plonge deux doigts et ramène du jus qu’elle remonte vers son clito, elle ouvre son sac à main et… zut, elle a oublié son vibro-masseur. Un instant elle regarde ses scandales, elle l’a déjà fait devant son amant, planter un talon à fond dans son vagin et frotter son clito avec la semelle, mais ici elle n’a pas le temps, elle renonce mais l’image la poursuit, elle torture son clito, l’envie d’un objet dur à l’intérieur de son ventre la déconcentre.


Dans le living les choses ont évolué, sous prétexte de desservir, Julie vient se planter à côté de Bruno dans l’intention évidente de tester l’effet de sa culotte. Elle espère des caresses enveloppantes sur ses fesses mais Bruno est trop rapide, il n’a qu’un geste à faire pour entrer par derrière dans le joli vêtement dont il n’a cure. Il trouve un terrain conquis, une chatte mouillée, le moment n’est plus aux galanteries, il plante son pouce dans le sexe offert et cherche le clito en faisant vibrer son index tendu. L’attaque est brutale, le pouce entre à fond, les lèvres souples sont vigoureusement étirées, Julie repose les assiettes en catastrophe et doit s’appuyer à la table, pour garder l’équilibre, elle écarte les pieds, et se cambre, elle tente de résister à l’orgasme qui monte, mais elle s’est elle-même empalée plus profondément, elle enrage de jouir si vite en criant « non » comme toujours, un long spasme la secoue.


Bruno veut continuer de vibrer le petit bouton bien dressé qu’il a au bout des doigts mais les sursauts de Julie sont trop violents, il enfonce son pouce si fort qu’il soulève sa belle au risque de la faire tomber. Julie essaie de se dégager mais ne le veut pas vraiment, elle voit des étoiles. Finalement la décharge diminue, elle reprend son souffle alors que Bruno sent sur son doigt les contractions du vagin qui suivent un bon orgasme, il les compte avec toute la fierté du mâle dominant.


Dans la salle de bain soudain on tambourine à la porte :



Julie entre en bousculant sa mère qui conclut instantanément que Bruno a été méchant, elle se jette dans l’escalier.


En bas, Bruno est tout penaud, il cherche à se donner une contenance en portant le plateau de noix vers la cuisine. Il lève les yeux et reçoit le choc de sa vie. Le spectacle est en effet grandiose, Nadia, dans sa colère, a oublié sa robe ouverte, les jambes qui dévalent les marches sont sublimes, pas des jambes de mannequin, des jambes de reine de la pointe du pied à la pointe de la hanche qui apparaît et disparaît, tout est perfection. Si Bruno n’avait pas été cloué sur place par ces belles cuisses couronnées d’une touffe noire, il se serait extasié devant la cambrure du pied dont la pointe touche à peine les marches de l’escalier, il aurait admiré la finesse des chevilles et des genoux, mais le pubis proéminant et sa toison étonnamment fournie le pétrifient bouche ouverte. Il lâche le plat, une marée de noix roule sur le sol.


Nadia, en bonne ménagère ne voit que le désordre, le plateau à terre et les noix qui envahissent la pièce, instinctivement elle s’accroupit sur ses talons et commence à ramasser, c’est seulement alors qu’elle voit ses cuisses nues entre les pans de sa robe. Elle veut les ramener et perd l’équilibre. Elle a juste le temps de prendre appui sur ses mains derrière son dos pour éviter de basculer ; dans ce mouvement, impossible de ne pas écarter largement les genoux, ce qui offre à Bruno une vision érotique qu’il n’oubliera jamais.


Il s’est jeté à genoux pour, lui aussi, ramasser des noix, les cuisses ouvertes de Nadia sont presque à portée de sa main en pleine lumière, il a en gros plan le sexe ouvert, les lèvres rouges, les poils luisants en corolle et même, au centre de la fleur éclatée, le clito plus pâle mais bien dressé. Cette image indécente s’impose d’interminables secondes avant que Nadia ne réussisse à se redresser d’un coup de rein. Ils n’osent se regarder, même pour l’impudique belle-maman, c’était un peu fort.


On remet de l’ordre un peu partout, Julie descend toute fraîche, c’est la fin de l’orage sexuel.


Bruno, croyant le moment venu de placer son fantasme, propose son « petit tour ». C’est alors que Julie a l’inspiration fatale.



Ils se retrouvent à trois près du scooter, Julie crie dans un faux enthousiasme :



Et elle pousse Nadia sur la machine. Nadia adore surtout être la vedette ; le vin aidant, elle s’installe sur le siège en riant, le pauvre Bruno n’a d’autre solution que de lui passer le casque qu’il avait préparé pour sa belle et met le sien en tirant la tête.


Nadia n’est pas du tout à l’aise, elle ne veut pas donner le spectacle de la fifille accrochée au blouson de son mec, elle se penche en arrière et attrape la sangle du siège. La position est sans doute plus élégante mais elle a ses inconvénients, son dos est très cambré et son bassin glisse vers l’avant, elle doit vraiment se cramponner au démarrage.


Les pavés sont affreux dans le village, elle est sur le point de crier qu’elle veut descendre quand les pans de sa jupe prennent le vent et filent vers ses hanches en claquant comme des drapeaux, ses jambes jaillissent superbes, elle éclate de rire, cette robe est vraiment pratique. C’est la première fois qu’elle a la tête dans un bocal, personne ne peux la reconnaître, les maisons, les gens défilent devant son petit écran, le casque a défait son chignon, jambes nues, jupe et cheveux au vent, elle est folle de plaisir.


Elle se détend et du coup glisse encore plus vers l’avant, les fesses de Bruno sont contre son ventre, elle serre les cuisses trop tard et ne fait qu’augmenter le contact. La contraction de ses muscles se communique à son sexe. « Zut je mouille », elle aime cette formule qui parle autant de sa bouche que de son vagin.


Bruno est surpris par la pression douce, souple et chaude contre ses reins, bien différente du rude contact du jean de Julie, pour ne pas être entraîné, il doit repousser sa cavalière, il se cambre et emboîte son derrière plus avant dans ce nid accueillant sans penser que c’est celui de belle-maman. Nadia a un choc dans le ventre, elle ne peut retenir un râle de gorge que Bruno interprète comme un cri de douleur, il est tout confus et dit :



Mais son sexe a reçu le message érotique, serré dans le pantalon, il bande de plus belle.


Le sexe de Nadia est aussi très excité. Bien ouvert, il est maintenant sensible à tout, aux vibrations du moteur, aux chocs des pavés, au moindre contact du tissu, au souffle du vent. Elle se retient de toutes ses forces pour ne pas continuer de jouir, elle serre les dents, rien n’y fait, sa bouche s’ouvre, elle râle et c’est l’orage, les éclairs, les sanglots, le ventre qui bat, qui force le jus à sortir, un somptueux orgasme en pleine rue.


Déjà, ils s’engagent dans l’allée devant la maison, Bruno arrête, saute du scooter et place la béquille, Nadia essaye vainement de se redresser elle crie :



Bruno enjambe le scooter et la tire par les épaules. Ils sont face à face, genoux contre genoux, Nadia derrière sa vitre a des yeux immenses, sa bouche toute mouillée brille, elle halète, elle est superbe de féminité mais Bruno a vraiment peur, il baisse les yeux et lui aussi pousse un cri, mais de surprise.

La jupe de Nadia est déboutonnée jusqu’à la taille, son ventre est complètement nu, une grosse touffe de poils noirs trône dans l’écartèlement de ses longues cuisses qui jaillissent d’une grande corolle blanche. C’est superbe.


Nadia tente de rassembler les pans de sa robe, elle va y parvenir quand elle aussi baisse les yeux et ce qu’elle voit paralyse ses bras à mi-course. Le sexe de Bruno est sorti de son pantalon, la glissière a cédé dans le mouvement secourable et elle continue de se laisser aller sous la pression du membre trop longtemps congestionné.


Bruno lui aussi le voit pointer avec horreur, il le saisit d’une main ferme dans l’intention de le rentrer au plus vite mais quelle malencontreuse idée de tirer le prépuce vers le bas et de le remonter aussitôt et pourquoi le faire deux fois ? Impossible d’arrêter, un jet de sperme jaillit vers le ventre de Nadia qui de son côté a récupéré rapidement ses esprits.


Cela ressemble à un jeu érotique qu’elle pourrait refaire avec son amant et dans l’instant, elle pense qu’il devrait acheter une moto. Mais il y a urgence, elle rabat les pans de sa robe sur le sexe en éruption, elle sait bien qu’il ne va pas en rester à un seul jet.


Il n’est pas certain qu’elle racontera tous les détails de la suite à son amant, il est possible qu’elle oublie de dire qu’au travers du tissu, elle a pris le membre en main et l’a tenu avec délice pendant les décharges suivantes sous prétexte de garder le désastre à l’intérieur de sa robe.


Bruno se retire enfin en bredouillant quelque chose comme :



Ce qui n’est vraiment pas galant, Nadia peut enfin descendre du scooter.


Sans un regard pour le coupable mais avec un beau sourire, elle monte l’escalier de sa villa en relevant sa jupe devant elle, royale comme une marquise du Grand-Siècle.