n° 14767 | Fiche technique | 11036 caractères | 11036Temps de lecture estimé : 7 mn | 20/01/12 |
Résumé: Une soirée privée avec un ring et de fiers combattants... | ||||
Critères: ff 2couples asie cinéma humilié(e) voir exhib fellation fdanus fsodo hsodo lavement humour -humour | ||||
Auteur : Samuel Envoi mini-message |
Ricardo me dit ce matin-là :
Je comprenais. Ricardo avait toujours des affaires à la limite de la légalité, des combines un peu suspectes, des relations un rien douteuses et un train de vie dont on pouvait se demander la réalité. Il était là dans mon lit, fumant un cigarillo et ne jetant qu’un œil distrait à la petite suédoise qui dormait entre nous deux. Il pouvait parler sans qu’elle ne s’éveille à la francophonie. Nous avions communiqué toute la soirée en anglais et toute la nuit avec nos doigts. Quand même, il la réveilla pour lui faire constater son érection matinale. Elle se tourna de l’autre côté pour tomber sur la mienne. D’une main lasse, elle me caressa sans plus de conviction qu’un boulanger son petit mitron. Je préférai me lever pour un petit déjeuner consistant.
Je préparai le café pour la petite tribu, des toasts, du jus d’orange et même quelques œufs avec du bacon. Je branchai un CD de musiques mexicaines pour me donner de l’entrain. Pour jouer à l’hôte international bed and breakfast, j’apportai dans la chambre et sur un plateau mes douceurs du matin blême. Je poussai du pied la porte et devant moi, Erika montait aux rideaux, l’érection matinale de Ricardo dans le fion. Les rideaux cédèrent devant cette sodomie latino-scandinave et j’aurai encore des problèmes avec la voisine d’en face qui ne peut plus calmer son mari depuis qu’il sait ce qui se passe chez moi. Une grande fille nue à la fenêtre et tout un immeuble tremblait sur ses bases. Heureusement, chacun était pressé. Ricardo de conclure, Erika de prendre une douche et moi d’aller chez mon disquaire. Un petit mot sur la table me fixait néanmoins le rendez-vous de la soirée.
Il fallait donc pénétrer dans une impasse, rentrer dans une cour intérieure et attendre. Ricardo me remit un sésame, une sorte de disque en carton comme on en faisait au temps de la zone bleue. Et nous avons attendu. En silence. Une vingtaine de personnes qui attendent en silence, d’habitude cela fait du bruit sur tous les paliers. Mais apparemment, le coin était plus ou moins désaffecté. L’attente se fit nerveuse quand apparurent quelques képis, mais seul un Marocain se fit contrôler. Par routine. Les flics vérifièrent son identité avec la mollesse d’un douanier slovaque dépressif. Ils avaient à peine tourné les talons que l’entrée de la cave s’illumina. Oh, très discrètement. Juste une lanterne japonaise.
On entra, et je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre. Au bas de quelques marches, nous nous sommes trouvés en face d’un ring réglementaire, pour autant que je connaisse les règlements de la boxe. En tout cas, c’était classique. Un petit tabouret de chaque côté et un type en rayures qui jouait l’arbitre. Il annonça en anglais le premier combat. Ling Li, la Chinoise, contre Sofia Lorraine, la Belge. Les deux créatures à la musculation assez impressionnante, mais qui n’avait rien des gonflettes culturistes, firent leur entrée sur une musique de gladiateurs. Ling Li portait un superbe soutien-gorge rouge vif agrémenté de brillants, et une culotte de la même couleur. Sofia avait un ensemble beige. L’arbitre expliquait aux deux combattantes le règlement qu’elles connaissaient déjà et qu’elles n’écoutaient pas, se contentant de se cracher mutuellement au visage. Ricardo m’assura qu’il s’agissait d’un rituel. Le gong retentit et après quelques sautillements sur place, ce fut l’affrontement.
Ling Li fut la première à marquer des points. Elle s’assura une prise tout à fait classique en tordant délicieusement le bras de son adversaire qui tapait sur le sol pour marquer à la fois son irritation et sa douleur. Sophia s’en tira en prenant Ling par les cheveux et elle retourna la situation à son avantage. Ling se retrouva les jambes en l’air, le visage enfoui dans le postérieur de la Belge. Il y eut encore quelques retournements de situation et le premier round se terminait sur une quasi-égalité. Je me tournai vers Ricardo avec la moue de celui qui commence à regretter une soirée télévisuelle. Il me fit signe de ne pas m’inquiéter. Le gong de nouveau, et les deux lutteuses se jettent l’une sur l’autre. Ling Li paraît plus agressive et arrache le soutien-gorge de sa rivale. Et pendant qu’elle le montre au public qui rugit, Sophia réussit à lui descendre sa culotte en s’accrochant de toutes ses forces au tissu qui résiste. Mais rien à faire, Ling est cul nu.
Elle est imberbe et sa fente semble légèrement fardée. Le combat fait rage désormais. Et la fin du round verra les deux filles complètement dénudées après de nombreuses figures de style. Sophia arbore un impeccable ticket de métro, tellement bien taillé qu’on dirait un vrai. Le troisième round fut très disputé. Mais la fatigue se fit sentir chez la Flamande et, essoufflée, elle fut vaincue sur une prise subtile de la Chinoise. Elle domina son adversaire, la tenant les épaules au sol et les jambes repliées sur les bras, ce qui offrait un spectacle charmant pour ceux qui étaient placés comme moi de ce côté du ring : un sexe ouvert en quelque sorte. L’arbitre en profita pour s’y introduire sous l’ovation du public. Eh oui, il y avait un enjeu dans ce combat. Après l’avoir ainsi pénétrée, il demanda au public s’il y avait lieu de la sodomiser. Et Ling Li remonta un peu plus les jambes de la perdante pour que tout le monde profitât de la vue de cet anus en danger. Mais comme la combattante avait été vaillante, il se contenta de lui enfiler un doigt, ce qui amusa les spectateurs qui trouvaient cet apéritif assez prometteur.
On nous promit alors un combat à quatre, deux hommes et deux femmes. Mais il y avait un entracte et il ne fallait pas rater cela. En effet, douze demoiselles japonaises avec un superbe peignoir sponsorisé par une marque de produits lactés firent leur entrée. Elles se déplaçaient avec l’élégance de grands mannequins, mais semblaient un peu crispées. Une fois montées sur le ring, on les débarrassa de leurs peignoirs et, nues, elles se placèrent au centre dos à dos, puis elles prirent toutes la position du poirier. Brusquement, ce fut Versailles. Ces jeunes filles avaient bénéficié chacune d’un lavement au lait et elles restituaient ce liquide dans de merveilleuses giclées qui duraient indéfiniment. Une image de pure beauté. Des anus enfiévrés, le lait s’élevait vers la voûte de la cave et retombait sur les filles illuminées. De blancs geysers éclaboussaient jusqu’aux projecteurs. À la fin, le ring n’était plus qu’une rivière lactée. Et, dans son coin, le sponsor buvait du petit lait. Je pensais qu’on nettoierait un peu le plancher, mais pas du tout.
Arrivait maintenant sous les feux des projecteurs et dans une musique d’enfer, l’attraction principale. Deux couples allaient donc s’affronter. Le premier qui se présenta était en costumes de cowboy. Avec des franches partout. Une fille brune et souple, si l’on se réfère à sa façon de monter sur le ring sans prendre le moindre élan. Les combattants de l’autre couple portaient des kimonos. La fille était rasée et semblait même balafrée, mais ce devait être un maquillage pour impressionner l’adversaire. Les deux mecs jouaient des biscotos pour influencer l’arbitre. Je passe sur le premier round qui avait tout d’un combat traditionnel. Avec les tours de passe-passe des catcheurs professionnels. Mais dès l’entame du second, la salle frissonna de plaisir. La cowgirl arracha d’un geste qui surprit tout le monde le kimono de la nipponne. Brusquement, on avait l’impression qu’il était en papier, alors qu’il avait parfaitement résisté jusque-là. Son costume fendu laissait voir un sein, une fesse et un ventre ferme.
Pour la venger, son partenaire sauta sur la scène et sur l’occasion pour déculotter la fille aux franges. Il y réussit si bien qu’elle resta avec pour tout costume son soutien-gorge texan. Elle arborait une touffe brune bien fournie, mais remarquablement taillée en buisson ardent. Les garçons en sont alors venus aux mains. Jeux de mains, jeux de vilains, et le cowboy fut bientôt queue à l’air sous les sifflets d’un public connaisseur. Le dernier kimono tombait en ruine à la fin du second round et l’on comprit vite qu’après la minute de repos, les quatre seraient à poil dans les flaques stagnantes de lait. En effet, le début du troisième round ressembla au premier dans les simagrées, sauf que l’on voyait les sexes et les seins secoués par les prises au corps. Les pénis fendaient l’air à chaque assaut. Mais à un moment donné, la femme tondue se retrouva coincée sans pouvoir faire appel à son partenaire obligé de tenir une cordelette et surveillé par l’arbitre. Elle fut emmenée dans le coin adverse et tenue à la fois par l’autre fille qui lui tordait le bras et par le type (ce qui est interdit). Elle fut contrainte d’ouvrir la bouche et d’y accueillir aimablement la verge texane.
Le nippon en furie profita de ce que l’arbitre appréciait la fellation d’un œil d’expert pour libérer la nipponne. La vengeance fut terrible, puisque l’autre fille dut subir un assaut fatal à son vagin. Il y eut encore quelques coups fourrés (bien fourrés d’ailleurs), et à quelques secondes du coup de gong final, le judoka profita d’un coït sur sa partenaire pour sodomiser d’une belle façon le cowboy pendant que la cowgirl pissait sur la gueule de sa rivale maintenue au sol. Vous imaginez l’ovation des spectateurs. Il fallait désormais attendre la décision de l’arbitre. Celui-ci avait déjà perdu son pantalon en essayant de séparer les catcheurs et cheuses lors de prises illégales. Une naine perverse lui faisait une turlutte pendant qu’il réfléchissait. Il accorda finalement le prix de 5233 euros aux texans. Les autres se consolèrent avec un prix en nature puisqu’ils gagnaient l’équivalent de leurs poids en produits lactés. Puis on se retira. Un peu triste, le pantalon humide. Ricardo me demanda si j’avais apprécié, je lui répliquai que bien sûr c’était intéressant, mais je ne comprenais pas pourquoi des geishas agitaient systématiquement et frénétiquement des éventails devant les scènes de sexe. Il m’expliqua qu’au Japon les scènes de sexe sont toujours floutées.