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n° 14768Fiche technique44072 caractères44072
Temps de lecture estimé : 26 mn
20/01/12
Résumé:  Une jeune parisienne descend sur la Côte pour pratiquer la plongée sous-marine.
Critères:  fh hplusag couple inconnu vacances travail bateau amour intermast entreseins facial fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo hdanus portrait -coupfoudr
Auteur : Starpom      Envoi mini-message
La passionnée de plongée sous-marine



Mince, je la connais ? Ben… non, je ne crois pas… En plus, avec le soleil dans les yeux, pas moyen de la voir nettement.



Ah, nous y voilà. Ouf, j’ai eu peur de la vexer en ne la reconnaissant pas.

Bon, il faut que je me présente. Eric, plongeur professionnel, scaphandrier classe II, comme on disait à l’époque, breveté PGP (Plongée Grande Profondeur), grand chercheur d’épave devant l’éternel, malheureusement, tout petit trouveur d’épaves… infime trouveur… une seule à mon actif, sans aucun intérêt qui plus est, quelques canons, une flopée de boulets.


Je suis en train de préparer ma barge pour une intervention, un capitaine de yacht de plaisance ayant eu la bonne idée de jeter l’ancre sans vérifier qu’elle était bien arrimée à son navire. C’est que ça coûte, 180 m de chaîne et une ancre ! Bien plus cher qu’une intervention de récupération.

J’étais en train de préparer mes parachutes, des espèces de ballon que l’on arrime à l’objet, puis on les gonfle, et hop, ils remontent à la surface et il n’y a plus qu’à tout embarquer sur le bateau, et le tour est joué, lorsque la miss m’a interpellé de la sorte.



Zut, j’aurais du réfléchir un peu avant de parler, moi ! Quelle truffe je fais…



Je la voyais mieux, elle s’était avancée et me faisait de l’ombre. Une petite brune, cheveux courts, une très bonne bouille, un poil enveloppé, mais ça lui allait super bien. Des formes harmonieusement réparties, très féminine, et toute pâlotte. Ah oui, une Parisienne, elle n’a pas encore eu le temps de bronzer au soleil du midi.



Oui, elle n’a pas tort. Je me demande comment ça se fait qu’ils n’ont pas encore eu de soucis, ces charlots. Enfin, à mon avis, ils doivent juste barboter et puis ensuite frimer sur les quais.



Elle était tellement suppliante que ça la rendait fortement désirable. Elle me regardait comme un dieu, ou plutôt, comme un Golden Retriever qui veut sa pâtée ou des caresses. En plus, comme elle était penchée vers le bateau, son top baillait un peu. Manifestement, elle avait des seins superbes.



Mais elle me suppliait presque, maintenant ! J’étais gêné comme jamais, là…



Elle devenait toute rouge, et ce n’était pas le soleil…



J’avais tellement de mal à me retenir d’éclater de rire qu’elle s’est rendue compte que je la mettais en boîte. Franchement, sympa, la miss ! Et craquante quand elle rougit.



Elle se retourna et partit en direction de la buvette. Elle ne marchait pas, elle sautillait. Quelle silhouette sympathique…

Bon, allez, mes ballons à préparer. Vérifier que la vanne du haut est bien fermée, que les élingues ne sont pas emmêlées, bref, tout ce qui pourrait me casser les pieds sous l’eau, d’autant que le sondeur du yacht indiquait 35 m de fond, là où il a perdu son ancre. Pas très profond, mais il ne faut pas rester trop longtemps, sinon, on est bingo pour des paliers de décompression longs. Eh oui, quand on travaille, on sature plus que lorsque l’on se balade. Du coup, les tables que nous utilisons sont spécifiques, elles tiennent compte de l’effort fourni.



Hop, elle sauta dans la barge, et me tendit la main.



Elle avait la main douce et ferme.



Tout en disant cela, elle ouvrit le panneau de cale pour ventiler, mit le coupe-circuit et enclencha le démarreur. Le moteur se mit à ronronner immédiatement. On voyait qu’elle savait s’y prendre.



Je détachai les amarres des bittes d’amarrage et les rangeai à bord. Hélène fit une manœuvre impeccable, tout aux inverseurs, et aligna la barge pile dans le chenal de navigation. La sortie du port fut sans aucun problème, très sûre, parfaite en un mot. Sacré nana, cette Hélène !



Je calai la barge sur le bon cap. Le point de plongée n’était pas très loin, quelques minutes de navigation tout au plus. Hélène était sur le banc avant, elle me tournait le dos. Elle enleva son t-shirt, ses chaussures de pont et son jean, et apparut en maillot de bain deux-pièces rouge, très joli, et relativement… petit. Pas à dire, une jolie fille, bien foutue, une belle poitrine, des fesses bien galbées.



Qu’elle était blanche ! Elle devait travailler dans un souterrain tous les jours, c’est pas possible !



Son sac était grand ouvert. Alors, voyons… Ce tube là…



Mince, j’avais pas fait gaffe. Gel intime, sensations chaleur. Mince, c’est mon tour maintenant de rougir. Ouf, la crème solaire est là.



Elle était presque aussi rouge que moi, maintenant. Les schtroumfs rouges sont de sortie. La schtroumfette et le schtroumf bricoleur sont dans un bateau…



Elle était hilare aussi. Sympa, cette fille, très sympa, nature, droite, et drôlement bandante en plus.



Je m’équipai, et une heure après, la chaîne, l’ancre et moi-même étions de retour dans la barge.



Je lui désignai un gros yacht de plaisance de 40 m, en plein milieu de la rade.



Elle avait mit une casquette. Elle était terriblement attirante comme ça.

Elle a adroitement abordé le yacht, les marins ont embarqué la chaîne, l’ancre a retrouvé sa place dans l’écubier, et je suis monté à bord avec mon facturier.

Le capitaine m’a donné 1000 euros « pas besoin de facture, merci pour le boulot, pas un mot au boss si jamais… » Ok, tu veux masquer ta boulette… pas de problème. Et puis, un peu de black, ça ne se refuse pas !

Je sautai dans la barge avec à la main les 20 billets de 50 €.



Et paf, elle me colle un énorme bisou sur la joue. Elle sent bon la crème solaire.



Je n’en revenais pas ! En plus, en été, j’ai peu d’interventions, et souvent bien payées en plus. Ça pourrait être quinze jours de sympas, vu comme ça. Décidément, elle sait ce qu’elle veut, la Parisienne…



Elle s’est levée, a enlevé son maillot de bain, et s’est glissée toute nue dans son néoprène. Inutile de dire que je bandai déjà. De la voir vu nue, de dos, j’avais une furieuse envie de me masturber, histoire de ne pas jouir trop vite tout à l’heure… Elle avait une chute de rein divine !



Mince, grillé ! Je l’aidai à passer son bloc bouteille, puis elle sauta dans l’eau. Je la surveillai un peu, mais manifestement, elle savait plonger, et puis 15 m, il y a vraiment peu de risques…

Une demi-heure plus tard, elle émergea de l’onde !



Je la hissai par la poignée du bloc. Elle était encore plus jolie, avec les cheveux mouillés.

Elle fit glisser la fermeture de sa combinaison, et je l’aidai à s’en extraire.



En disant cela, elle se mit à quatre pattes devant la console de navigation, les reins cambrés. Elle était magnifique ! Ses seins pendaient, ils étaient assez gros, bien ronds, et sa chatte m’appelait. Sa peau humide brillait au soleil. Elle avait commencé à bronzer, ses fesses étaient un tout petit peu plus blanches que le reste de son corps. À tous les coups, elle avait ôté son soutien-gorge pendant que je récupérais la chaîne d’ancre. Je vis qu’elle se masturbait avec sa main droite.



Hop, enlevé le maillot de bain. Je bandais comme un fou. Une fois positionné derrière elle, lentement, je la pénétrai. Ça rentrait tout seul, pas besoin de gel, effectivement.



Je ne me fis pas prier. Ma main gauche serrait son sein gauche, ma main droite était bien agrippée à sa hanche, et je la besognais sereinement. C’est vrai que c’était super bon.

Je lui caressais les fesses qu’elle avait bien ronde, bien douces… Mon pouce s’attarda sur son petit trou.



Mon ventre tapait contre ses fesses, j’accélérais la cadence… Je sortais de plus en plus, et rentrais d’un coup, à fond… Je sentais les mouvements de sa main sur son sexe contre mon sexe.



Elle m’a attrapé les testicules avec sa main, les a serrés, et j’ai tout envoyé d’un coup !



Manifestement, nous avions joui en même temps ! C’est rare…



Je lui caressais le dos, les seins… Je suis sûr que les mecs du sémaphore devaient se régaler à nous regarder avec leurs jumelles hyper puissantes…

On est resté soudés quelques minutes, puis je me suis extrait de son ventre, et lui ai mis une tape sur les fesses !



Là, je dois avouer qu’elle m’a séché. Moi qui croyais la taquiner, je me suis fait retourner comme une crêpe !



Le retour au port fut sans histoire, et une fois amarré à ma place, elle m’aida à transborder le matériel dans la camionnette.

L’après-midi se déroula comme dans un rêve, nous bossions tous les deux en parfaite harmonie, nous étions souriant… un vrai bonheur. Ça changeait de la solitude ! Et puis, plus je la côtoyais, plus elle me plaisait.



Aussi sec, elle m’attrapa le maillot de bain, le fit descendre jusqu’aux genoux. Ensuite, elle prit mon sexe dans sa main, et commença à me branler.



Avant que je puisse répondre, elle prit mon sexe dans sa bouche et commença une fellation divine… En même temps qu’elle me suçait, elle me malaxait les testicules. De temps en temps, elle me regardait dans les yeux, et me souriait.

J’en profitais pour lui peloter les seins, les malaxer… et ce qui devait arriver arriva, je me vidai dans sa bouche…

Hop, elle avala le tout…



Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle s’allongea sur le bureau. Je lui fis descendre son bas de maillot de bain, lui écartait les jambes, puis j’approchai ma bouche de sa toison noire… Je commençai par lui lécher le clitoris. Elle sentait bon, elle avait un goût un peu salé, dû à l’eau de mer. C’était très agréable.


Puis ma langue s’insinua dans son vagin… Aux contractions de son ventre, je sentais qu’elle appréciait beaucoup ce traitement. Du reste, vu l’humidité de son sexe, à mon avis, elle adorait ça.

De temps à autre, ma langue s’égarait sur son petit trou. Elle semblait apprécier ces incursions.

Je mis mon majeur dans ma bouche, pour bien l’humidifier, puis je l’ai introduit dans ses fesses. J’entamais des va-et-vient langoureux, tout en continuant à la lécher.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle jouit brutalement !



J’étais trempé de son plaisir… Si j’avais pu bander encore, je l’aurais prise là, sur le bureau. Mais vu le traitement qu’elle m’avait réservé, mon sexe pendouillait lamentablement…

J’avais une vision de rêve… elle était allongée sur le dos, jambes écartées, mollets pendants, et j’étais à genoux devant son sexe tout humide de son plaisir… Fais gaffe, Eric, tu es en train de tomber amoureux de la demoiselle…



Arrivés chez moi, je l’ai aidée à porter son sac dans la chambre. Aussitôt, elle entreprit de ranger ses affaires dans un tiroir et dans la penderie. C’est vrai qu’elle avait peu de choses, deux maillots de bain, quelques t-shirts, culottes, un pull et son flacon de gel



L’eau commençait à frémir dans la casserole et les verres de pastis commençaient à transpirer lorsqu’elle revint dans le salon. Il faut dire qu’en ce début de soirée estivale, il devait faire encore un bon 27°.

Elle avait mis un top blanc et une petite culotte noire, elle était délicieusement craquante.



Le repas fut des plus agréables. Nous avons discuté de tout et de rien, nous nous sommes trouvés beaucoup de points communs, et bien sûr, avons parlé plongée et travaux sous-marins.

Elle a débarrassé la table, mis les couverts dans le lave-vaisselle.

Je sortis sur le patio pour fumer une cigarette. La nuit était calme, une belle lune éclairait le jardin. J’aimais ce moment de détente, ce calme… et la relative fraîcheur du soir.

Je me suis allongé sur le transat, les mains croisées derrière la tête. C’est là qu’elle m’a rejoint.



Elle était devant moi. Je constatai qu’elle avait ôté sa culotte, elle avait juste gardé le top blanc.



Elle fit demi-tour. J’avais ses fesses devant moi, ses belles fesses bien rondes et douces.



En disant cela, elle se mit à quatre pattes sur le deuxième transat, les fesses bien relevées et ouvertes. Heureusement que personne ne pouvait voir mon jardin ! Elle ôta son top et le jeta sur la table du jardin.

De mon transat, j’avais une vue directe sur son anus et sa toison.

Quel spectacle attirant ! Mon sexe durcit immédiatement. Je ne me connaissais plus cette vigueur… Elle me fait rajeunir ou quoi ?

Je me suis levé, j’ai enlevé mon short, mon caleçon, et je me suis approché d’elle. Je lui ai embrassé les fesses, des baisers très tendres… puis j’ai saisi ses hanches. Mon sexe vint buter contre ses fesses.



Houlà, elle rentrait direct dans mon fantasme.



Je positionnai mon gland sur son anus, et je commençai à pousser pour la pénétrer.



Mon gland venait de franchir son anneau, ça rentrait plus facilement maintenant.



Elle y allait fort quand même, mais ça m’excitait profondément.



Elle se masturbait furieusement en même temps.



Je n’arrivais plus à me retenir, et me vidai dans ses fesses. Vu les séances précédentes, je n’avais plus beaucoup de sperme, mais c’était géant. Encore une fois, Hélène jouit en même temps que moi.



Elle se mit à plat ventre, puis nous nous sommes tournés sur le côté. J’étais toujours fiché dans ses fesses.



Tout en parlant, je lui caressai les seins et le clitoris



Sa voix semblait angoissée… Elle devait avoir peur de se faire larguer après avoir baisé.



Je venais de lui couper la parole.



Le lendemain matin, je me réveillai vers 8 heures, attiré par une bonne odeur de café. Hélène avait mis la table du petit déjeuner.

Après le déjeuner, nous nous sommes douchés, chacun notre tour, vu l’exiguïté de ma cabine de douche. Déjà tout seul, je me cogne de partout, alors imaginez à deux dans la cabine… Ça ferait limite sardine en boîte.

Lorsque je suis sorti de la salle de bain, Hélène m’attendait sur le lit, toute nue, les jambes repliées sur son ventre, complètement offerte.



Aussitôt dit, aussitôt fait. Je me suis mis à quatre pattes au-dessus d’elle, et je l’ai léchée en la doigtant. De son côté, elle me branlait d’une main, me suçait de temps à autre, et elle me taquinait mon petit trou. Avec ses ongles longs, elle n’osait pas me l’enficher…

J’embrassais et léchais son sexe de tout mon cœur, c’était délicieux… J’adore son odeur. Elle mouillait à nouveau copieusement. Mon doigt s’agitait dans ses fesses, à son plus grand plaisir.

Je compris, aux contractions de ses abdos, qu’elle venait de jouir.



Je fis demi-tour, la chevauchai au niveau du ventre. Elle saisit ses seins à pleine main, et emprisonna mon sexe entre.



J’accélérai le mouvement, c’était géant… Lorsque la jouissance arriva, je pris mon sexe en main, et lui dirigeai vers la figure.

Je jouis longuement, lui envoyant du sperme du menton jusqu’aux cheveux…



En disant cela, elle souriait.




Aujourd’hui, c’est-à-dire dix ans plus tard, nous sommes toujours ensemble.


Nous avions fait un saut à Las Vegas l’année suivante, et nous nous étions mariés. Nous n’avons pas d’enfant, il s’est avéré qu’elle ne pouvait pas en avoir, la vie n’est pas parfaite hélas, mais elle a passé ses diplômes de plongée pro, et nous travaillons ensemble depuis lors.


La boutique marche bien, elle y veille… Bien sûr, nous ne faisons plus l’amour trois fois par jour, mais nous prenons beaucoup de plaisir à sortir au restaurant, au théâtre, et bien sûr, à faire l’amour ensemble de temps à autre.


Quand je repense à la jeune parisienne qui voulait à tout prix plonger, et que je vois la belle vie que nous avons ensemble, je me dis que la vie, ce n’est pas si mal que ça en fait !