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n° 14772Fiche technique20480 caractères20480
Temps de lecture estimé : 13 mn
22/01/12
Résumé:  Christine Yen et Alain partagent une soirée de jeux coquins avec plusieurs couples d'amis.
Critères:  grp couplus extraoffre fête intermast cunnilingu jeu -entrecoup -jeux
Auteur : FloreanMC            Envoi mini-message

Série : Petits flirts entre amis

Chapitre 01
Petits flirts entre amis, chapitre 1

J’embrasse un ami sur la bouche, dans le noir total. Sa langue cherche à ouvrir mes lèvres, j’ai du mal à l’accepter, j’élude, je fais semblant de vouloir le goûter lentement, avec curiosité. C’est pourtant le jeu. C’est le premier des quatre hommes qui sont debout, à chaque coin de la pièce. L’un d’eux est mon mari, les trois autres les maris de mes trois meilleures amies, qui sont aussi chacune dans le noir, en train de bécoter les autres gars - dont mon mari, donc.


L’idée me rend un peu jalouse, mais j’ai accepté le jeu du « qui embrasse le mieux », proposé, à la fin de la soirée par une Olivia à moitié bourrée. Du moins en apparence. Comment ai-je pu me laisser entraîner là-dedans ?


Les mains de l’ami que j’embrasse se posent sur mes hanches, descendent sur mes fesses. Je lui donne une petite tape et les lui écarte, silencieusement. On a dit : « Sans les mains ! ».


Nos bouches se collent, s’ouvrent, nos langues se mêlent, on est debout, il est plus grand que moi, (évidemment puisque je mesure 1,53 m) le baiser est plus aisé, moins hésitant, meilleur. J’entends les copines soupirer d’aise. Toujours la pointe de honte et de jalousie. Je ferme les yeux, me laisse emporter.


Olivia tape dans ses mains. La minute est passée. Les garçons ne savent pas quelle est la fille qui donne le signal. Je m’écarte de celui qui m’embrasse encore - et que je n’ai pas identifié - et lui trace une petite croix sur la joue avec mes doigts. C’est le signe que j’ai tiré au hasard dans la panière. Il me trace un ovale, autour des lèvres, et sa main caresse ma joue. Il a dû aimer. Je souris.


Je me dirige vers la droite et trouve à tâtons mon deuxième concurrent. Son nez trouve le mien, les lèvres sont douces, il ne cherche pas à mettre la langue. Toujours pas mon mari. Je me rapproche, mordille les lèvres, teste avec un bout de langue. Il m’enlace sans ses bras musculeux, je me laisse faire, tant qu’il n’y met pas les mains. Je place mes bras autour de ses hanches, le baiser commence, langoureux. C’est certainement… Laurent, le mari de Sylvie. M’a-t-il reconnue ? Ou confondue avec sa femme ? Le baiser me fait partir, je sens à peine sa main quand elle passe sur mon T-shirt, et attrape un de mes seins. Il marque un temps d’arrêt mais ne retire pas sa main - il m’a donc confondue avec sa femme - et a vu la différence de poitrine… Je suis une petite asiatique fine (43 kg toute mouillée) avec de gros seins parfaits, au galbe idéal, malgré de tout petits mamelons qui réagissent à la moindre caresse, alors que les nichons de son épouse (un peu plus grande) sont petits et rondelets.


Je le laisse profiter avant de retirer gentiment sa main mais le baiser reste passionné et fusionnel. Je me demande si Alain, mon mari, nous confondra aussi… La pointe de jalousie me vrille encore le cœur. Ce n’est qu’un jeu. Clap de fin d’Olivia. Je fais ma petite croix sur sa joue, il dessine un « V » sur la mienne. Laurent est donc le « V ». À priori.


Déplacement vers la droite, je tâtonne, trouve l’épaule du troisième larron. J’entends mes copines changer de partenaire, l’une d’elle glousse, je l’imite, le ridicule de la situation me fait rire jaune. Les gars sont silencieux. C’est Olivia qui a tout manigancé. Cette soirée, le trop plein d’alcool, la discussion sur le mariage, et sur l’ennui sexuel, sur les jeux amoureux. On se connaît tous depuis la fac, on est tous mariés depuis moins de cinq ans, et paf, jouons à qui embrasse le mieux, concours pour réveiller le couple, petits flirts entre amis, et autres jeux coquins en perspective, si ça nous plaît. Et ça me plaît, si j’en crois l’humidité qui s’accumule entre mes jambes fines. Même si la raison pure me donne envie de me cacher sous le parquet.


Je reconnais Alain dès que ses lèvres touchent les miennes. Il est hésitant, presque timide, je souris intérieurement. S’il m’a confondue avec Sylvie, et qu’il n’y a pas mis les mains, il ignore peut-être que c’est moi. Je titille ses lèvres avec ma langue, il me rend le baiser, mécaniquement. Je me rapproche de lui, il peut sentir ma poitrine sur son torse.


Le baiser se réchauffe, la respiration devient plus profonde, plus abandonnée. Sa main vient sur ma hanche, j’ai envie qu’il me la mette dans la culotte, ce petit jeu me monte à la tête… Sur une impulsion, je glisse la mienne sur son pantalon et cherche la forme de son sexe. Je suis surprise de le trouver en érection. Et une belle ! La bite n’est-elle pas plus grosse que d’habitude ?


Je fronce les sourcils et tâte mieux. Le baiser devient ardent, mais je ne suis plus si sûre qu’il s’agisse d’Alain maintenant…Le sexe est-il réellement plus massif ? Ses deux mains glissent sur mon T-shirt et réussissent à soulever mon soutif, mes seins sont exposés sous le tissu fin, il les caresse, les presse… les découvre… pour la première fois ?


Je rougis, et ôte ma main de son pantalon. Sa langue tourne sur la mienne. Je lui fais signe d’ôter ses mains de ma poitrine. Clap de fin. Je me recule en hâte, et fais ma croix sur sa joue. Il glisse ses mains sous mon T-shirt et trace un « S » sur mon ventre Jamais je n’avouerai à Alain ce que j’ai fait là !


Rapidement vers la droite, à tâtons dans le noir. Une des filles trébuche et ricane. Suraya. Elle a beaucoup bu ce soir. Comme nous toutes. Je n’ai pas le temps de rajuster mon soutif : Une bouche se colle à ma joue, un nez me sent, je tourne la tête, la langue trouve la mienne sans hésiter, c’est Alain, cette fois. Du moins je le pense. Difficile d’être sûre, sans les mains. Il se colle à moi, son pantalon contre mon ventre, sa queue est gonflée sous le tissu, il se frotte, je m’écarte un peu. Qu’est-ce qui lui prend ? Deux mains touchent mes fesses, me les pincent, je ris malgré moi, le son est étouffé dans le baiser, sa langue est fougueuse, empressée dans ma bouche. Ses mains passent sous ma jupe, caressent les lobes nus de mon cul - je suis en string - et passent devant, sur ma moussette coupée court. Un majeur glisse dans la fente trempée, presse mon clito très sensible, j’attrape son bras, et le repousse, avec difficulté, j’ai la tête qui tourne, j’ai gémi, de manière audible, je le sais. Est- ce vraiment Alain ? Je suis frustrée de ne pas reconnaître mon propre mari. Si c’est lui, est-ce qu’il s’est frotté à mes trois copines de cette manière scandaleuse ? Clap de fin. Je fais ma croix sur sa joue, il me trace un carré sur la fesse. On se regroupe au milieu de la pièce, et Olivia annonce :



Je marche, une main trouve la mienne, j’enlace un homme, nos lèvres se trouvent, le baiser est délicieux, ses mains courent sur mon dos, passent sous ma jupe, sous mon string, je pars… Clap.


On se sépare difficilement, je suis dans tous mes états, croix sur la joue, « S » sur la mienne. Un chaud, celui-là. Je marche, sens une tape sur l’épaule, une bouche cherche la mienne, je ne reconnais pas ce baiser, le nez est pointu, le parfum féminin. Curieuse, je glisse mes mains sur les hanches, fines, je remonte lentement, et… tombe sur deux beaux seins fermes, sans soutif sous le haut en coton ! C’est une fille ! Comme pour confirmer, une des filles chuchote :



Je ne reconnais pas la voix. Mon embrasseuse anonyme sourit et m’enlace avec conviction, les lèvres sont douces, sa langue tourne en harmonie avec la mienne, le baiser - que je partage sans retenue - est formidable. Elle met les mains sous mon T-shirt, caresse ma poitrine. Elle pince mes tétons minuscules (mon ventre hurle de désir) et retire ses mains. Elle s’écarte déjà et s’éloigne dans le noir. Clap de fin.


Qui était-ce ?

Jamais plus !


Un garçon me frôle, je lui mets la main sur le sternum, pour être sûre, il me prend par la taille, nous nous embrassons, toute timidité disparue. Je meurs d’envie de glisser mes mains sous sa ceinture, pour voir s’il bande beaucoup, s’il est aussi excité que moi. Il n’en faudrait pas beaucoup pour que j’accepte de me faire sauter par le premier qui dégaine sa bite sous ma jupe. Je gémis urgemment, je mange la bouche qui me dévore, il répond avec enthousiasme. Clap de fin. Je ne m’écarte pas, le baiser se prolonge, on se serre, s’enlace, se caresse. Ses mains remontent sur mes seins nus sous mon T-shirt, je place les miennes sur ses abdos, glisse mes doigts sous son pantalon, trouve son gland énorme et m’en saisis. Ses mains descendent sur mon ventre, sous ma jupe, mon string, ses doigts fouillent ma fente humide, y pénètrent, je gémis encore, je soupire, le baiser est une apothéose de sensations, je lui presse la queue, la main tordue dans son slip. Clap de fin.


La lumière va s’allumer, je le sais, je me sépare difficilement de ce baiser magique, trace ma croix sur sa joue, il me fait un ovale sur un sein. Ovale encore. Il est bon, celui-là. Je rajuste hâtivement mon soutif et mon string, roulé dans ma fente trempée. Je suis rouge pivoine, je le sais.



Olivia craque une allumette, et allume les bougies, sur la cheminée. On se regarde tous, timides, rouges, débraillés. Filles et garçons. Les pantalons sont bosselés à l’entrejambe. Le retour à la réalité est difficile. Ma pauvre Christine Yen, dans quoi as-tu mis le doigt ?



On acquiesce tous, encore sous le choc de la fin des cinq petites minutes qui viennent de s’écouler.



Chacun prend son bulletin (un post-it violet) et commence à écrire. Alain s’est rapproché de moi, l’air de ne pas y toucher. Je me demande quel était son signe, et s’il connaît le mien. J’hésite un instant. Est-ce que je veux continuer ? Je connais la réponse. J’inscris « oui/croix/ovale », je plie le papier en quatre et le mets dans la panière.


Qui était l’ovale ? Je détaille les mecs. Pas Alain. Ni Laurent, a priori. Ça laisse donc Souleymane, le mari de Suraya, ou Stephen, le mari d’Olivia. Suraya est rouge comme une tomate, elle essaye de cacher son soutif dans ses mains. On a dû le lui enlever au cours du petit jeu. Ses gros seins siliconés pointent sous son T-shirt blanc.



Les garçons applaudissent, les filles les imitent. La tension qui restait s’évapore, tout le monde est moins nerveux. Je me demande qui a voté « non ». Je regarde Alain qui a l’air d’avoir mis le doigt dans le pot de confiture. Je lui souris, incertaine. Apparemment, ce n’est pas lui.



Je rougis. L’ovale a voté pour moi !



Nouveaux applaudissements nourris, les miens sont énergiques et sincères. Qui est l’ovale, bon sang ? Stephen et Souley ont la même taille, un grand blond et un grand noir, ils ont tous les deux une belle musculature, et, comme tous les hommes ici portent un jean et un T-shirt. Et toutes les filles sont en jupes, plus ou moins courtes, difficile de juger. Olivia nous avait demandé cette tenue pour le jeu de la soirée. Tout était prémédité.



Olivia est à elle seule un appel à chercher du plaisir en-dessous de la ceinture. J’espère presque que le baiser volé venait d’elle.



Nous nous regroupons devant la cuisine. J’envie un peu le couple qui va s’y retrouver, et je me demande si Alain est le « S » ou le carré. Et si c’est le « S », suis-je jalouse ?



Les bougies sont soufflées. Je me dirige au milieu de la pièce, on me prend par la main, je m’allonge sur le parquet frais. Un homme m’embrasse, sur la bouche, sur le menton, dans le cou, il est à genoux à côté de moi. Une de ses mains glisse sur mon ventre, sous mon haut, et soulève mon soutien-gorge. Le baiser descend sur mes seins, il soulève mon T-shirt et mordille les mamelons minuscules de mes gros nichons dorés, je me laisse faire, aux anges, sa main descend encore, passe sous ma jupe, ses doigts plongent dans mon intimité, j’écarte les cuisses instinctivement, son index et son annulaire fourragent ma moussette, je me cambre, lui en demande plus, je tends la main vers son pantalon, la braguette glisse toute seule, la pine de belle taille est dans ma main, je le branle, sa bouche revient sur la mienne, il écarte ma main de sa bite et vient se placer entre mes cuisses, il humecte son gland dans ma fente, je secoue la tête, je veux et ne veux pas à la fois, il se glisse tout au bord de ma grotte intime… Clap de fin.



(Non !) Je pousse sur ses fesses pour qu’il me pénètre, (baise-moi !) mais il se retire et trace un « V » sur mon ventre avec sa queue dressée. Je trace ma croix sur son ventre tendu au-dessus de moi.


C’était Laurent ? A priori, oui. J’ai failli faire l’amour avec le mec de ma meilleure copine que je connais depuis le collège ! Je reste là, pantelante, T-shirt relevé, string de travers. Une main me caresse le visage, je tends la tête en arrière, une bouche m’embrasse, à l’envers, puis descend sur mon corps, explore mes seins nus, les mord, je sais que je dois refuser, mais le jeu dit « la meilleure bouche » et il ne me touche qu’avec celle-ci. Ses lèvres survolent mon ventre plat, il attrape ma jupette avec ses dents, la relève, sa bouche découvre ma fente ouverte, je me tends, incapable de refuser. J’appelle sa langue en ouvrant les cuisses, elle plonge dans ma vulve, je gémis. Je cherche son pantalon, juste là, à côté de mon visage, et ne suis pas surprise de le trouver entrouvert, la bite à l’air. Je colle mon nez dessous, je la respire, mais ne la prends pas dans ma bouche. Il se crispe dans ma chatte, me griffe les fesses de ses deux mains, je sors ma langue, ouvre la bouche, goûte sa virilité… Clap de fin.


Je suis frustrée, haletante, comment puis-je me laisser à presque sucer un inconnu ? Je m’écarte, trace ma croix sous son gland, il frissonne et vient me faire un carré sur le ventre avec ses doigts. Alain ? Je n’ai pas reconnu son odeur. Il s’éloigne, je reste sur le sol, en haletant les yeux fermés. Une main me frôle la cuisse, la remonte, trouve ma chatte ouverte et trempée ; elle tourne sur le clitoris, indécente, puis une bouche s’y colle, la lèche, la bichonne, la caresse, la déguste.


Les lèvres montent le long de mon corps, je sais ce qui va arriver, elles vont dévorer mes seins, je les attends, je me serre contre ce corps musculeux, et quand le pénis caresse mon vagin, je m’en saisis, et me masturbe avec, tout en le branlant avec énergie, le sexe est interminable, le gland énorme, la peau douce, ferme, excitante. Il pousse avec ses reins pour me pénétrer, je chuchote un « non » à peine audible. Il va entrer, je le sais, il va me sauter, ma vulve s’ouvre, je m’offre, je suis vaincue. Clap de fin.


Je reprends mes esprits. Le gland est au bord de mon abandon — il n’a qu’à pousser sur ses reins. Il chuchote à mon oreille.



Je hoche la tête.



Il sourit contre ma bouche et se retire. Je reste ainsi un instant, encore pantelante, frustrée, émerveillée. Je me relève, j’entends des froissements de vêtements, une porte qui s’ouvre, des soupirs féminins, je replace mon soutif sur mes seins sensibles, rajuste mon string et ma jupe, me recoiffe comme je peux.



Olivia a la voix qui tremble légèrement. Je ne suis pas la seule à avoir été déstabilisée par le second jeu, apparemment. Une flamme d’allumette. Une bougie, deux bougies. L’obscurité recule. Les visages sont souriants, ivres, incrédules. Suraya se mordille la lèvre, nerveuse. J’ai du mal à croire que nous n’avons joué que trois minutes. Stephen me fixe des yeux, l’air innocent. Alain vient me prendre la main, me la serre brièvement, et m’embrasse sur la joue. Je lui pince la fesse en souriant.



Elle a l’air de s’amuser. Personne ne proteste, nous avons tous l’air un peu honteux, un peu curieux, et nous nous laissons manipuler avec plaisir par Olivia et ses idées tordues. Je prends mon papier, mon crayon, je vote « non » après encore un instant d’hésitation. Je ne peux plus me laisser aller comme ça, prête à ouvrir mon intimité à la première langue venue… ni à la première verge. J’ai un pincement au cœur, des éclairs de désir me vrillent le ventre, l’idée d’une bouche sous ma jupe me transperce. Ça va être la fête d’Alain tout à l’heure…



Je ne sais pas si je suis soulagée ou non du résultat. (Secrètement ? Oui…) Stephen met la main sur l’épaule d’Olivia.



Personne ne moufte.



Hochements de têtes, j’imite les autres après qu’Alain ait acquiescé. Olivia est radieuse.