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Temps de lecture estimé : 9 mn
23/01/12
Résumé:  Plaisir nylon à trois.
Critères:  ffh collègues revede lingerie pied fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo -hff -fbi -vêtements
Auteur : Frantz  (Fan de collants)      Envoi mini-message
Soirée Nylon

Un soir de mai dernier, ma collègue Céline, sachant que j’étais seul, m’a proposé de la rejoindre pour la soirée, chez une copine. Ses parents sont en déplacement quelques jours, elle dispose de l’appartement.


Vers 21 heures, je me présente devant la porte d’un joli immeuble de trois étages, très moderne. Arrivé tout en haut, je sonne là où je suis convié, un bouquet de fleurs à la main.


La porte s’ouvre, Céline m’accueille toute souriante, comme elle l’est si souvent. Je m’aperçois aussitôt que dans ce magnifique loft, il convient de se déchausser ; chose que Céline a dû faire en arrivant. Elle porte une petite robe noire, courte, qui me semble très légère, à effet voile. Ses jambes sont galbées d’un nylon noir de belle facture, probablement une grande marque.


Je la suis à travers les grandes pièces à larges baies vitrées, qui proposent une vue magnifique sur un parc, avec au loin le nouveau musée. La nuit tombe doucement. Dans ce grand salon, à épaisse moquette, des bougeoirs sont disposés avec parcimonie, sur de petites commodes ou tables basses, baignant la pièce dans une chaleureuse quiétude.


Après avoir un instant contemplé la vue, je suis invité à prendre place sur les cousins jetés à même le sol. Je m’assois tant bien que mal en tailleur.


L’hôtesse entre dans la pièce, je me lève pour la saluer. Une jolie plante d’environ 1 mètre 70. Ô surprise, c’est Solène, voisine de bureau de Céline. Je ne la connais pas vraiment, elle est arrivée il y a peu dans l’entreprise. Belle frimousse, cheveux longs et clairs. Sa petite robe rose lui colle comme un gant, dévoilant chacune de ses formes. Cadeau divin de la soirée, alors que Céline a les jambes gainées de noirs, les siennes brillent d’un blanc d’ivoirine.


Bas ou collants ?


Soirée apéro ou conte de fées ?


Nous voici tous les trois assis sur la belle moquette, calés au milieu de gros coussins, avec au loin, la ville qui scintille. Céline, serviable à souhait, ne tient pas en place. Elle se lève pour nous servir une coupe ; bien que n’étant pas fan de champagne, je ne peux refuser en si divine compagnie. La soirée commence bien, les discussions sont agréables, et la compagnie charmante.


Au gré des mouvements de Céline, j’ai pu apercevoir une bande de dentelle en haut de sa cuisse, et ainsi apporter réponse à ma question. La dentelle couleur rose, est probablement assortie à ses sous-vêtements. Il n’y a pas que le champagne qui me donne des bouffées de chaleur.


Solène me parle d’elle, de ses origines, de son enfance. Elle est là, face à moi, assise en sirène. Céline se pose à nouveau, et à mon grand étonnement laisse traîner une douce caresse le long du bras de Solène, puis dans sa nuque. Solène redresse la tête, et change alors de position. Un bref instant, elle s’assoit en tailleur. Cette fois c’est certain, elle porte également des bas, et ceux-ci ne sont assurément pas assortis à ses dessous. Elle est nue sous sa robe.


Mon cœur est emballé, je dois avoir les joues rouges, et suis serré dans mon jeans. Je demande poliment où se trouve la salle d’eau. Céline m’accompagne le long du couloir. Devant le lavabo, elle pose sa main sur mon entre-jambe, probablement pour vérifier mon état d’emballement, et d’un inattendu baiser, tourne généreusement sa langue dans ma bouche. Elle quitte ensuite la pièce en me lançant un petit regard malicieux par-dessus son épaule.


Je suis sous pression ultime. Je tente de reprendre mes esprits ; je me rafraîchis le visage. Rien à faire, mon jeans est oppressant.


Je retourne au salon. Elles sont toutes deux sur le tapis.


Céline est assise, les jambes légèrement écartées. Du rose, du noir, du bonheur. Solène est assise dans le dos de Céline, une jambe de part et d’autre. Elle a retiré sa robe, et semble ne porter que ses bas. Leurs jambes se frottent. D’une même voix, elles me demandent :



Je reste à distance, ne sachant quoi répondre ni que faire. Il fait effectivement chaud, très chaud, et comme bien souvent je porte, sous mon jeans, un collant.


Céline se rapproche de moi, à quatre pattes. Son décolleté laisse apparent sa généreuse poitrine. Arrivée à mes pieds, elle se redresse, à genoux. Elle desserre ma ceinture, défait un à un les boutons de ce fichu jeans. Que vont-elles penser de moi, nu sous un collant ? Je ne puis fuir, tout s’annonce si bien. Vont-elles se moquer, et se rhabiller ? Je suis désemparé.


Solène est à quelques mètres, assise en tailleur, ne portant que ses bas. Elle sirote sa coupe.


Céline descend à présent mon jeans le long de mes jambes, dévoilant le nylon.


Elle est là, à vingt centimètres de mon intimité finement dissimulée par le voile du collant.



Je suis pivoine.


Solène ne dit rien. Elle affiche même un joli sourire.


Céline pose sa tête sur ma cuisse, et d’une main, caresse doucement le collant le long de mon sexe. Je suis raide !


Solène l’interpelle :



Céline recule alors. Toujours à genoux elle retire sa robe. Elle me tourne le dos.


L’assortiment des dessous est raffiné. Le string et le soutien sont de fine dentelle noire avec des zones de voile rose. De nouveau à quatre pattes, elle retourne vers Solène qui la réclame. Céline s’avance doucement, son derrière bien tendu en arrière, ses pointes de pied relevées. Sous le voile rose, je devine facilement son sexe déjà humide, et son anus épanoui. Solène bascule en arrière, la tête légèrement relevée par un coussin.


Elle ouvre en grand son entre-jambe, et présente à sa collègue son minou délicieux. Céline se penche en avant, et effleure du bout des lèvres le petit duvet délicatement entretenu. Céline remonte se bouche le long du ventre de sa compagne de plaisir. Sa bouche contourne à présent les formes des seins de Solène, ses tétons pointant de désir. Céline se frotte, effleure avec sa joue, hume et embrasse la peau de velours de la jeune fille. Céline se trémousse, son string est de plus en plus humide.


Je suis là, les yeux dans l’ivresse. Mes idées claires m’ont déjà quitté. Je m’affole.


Je m’approche des filles. Céline et Solène s’embrassent, s’étreignent. Solène dégrafe le soutien de Céline, le lui retire, et caresse les seins qui se frottent aux siens. Je suis à présent à leurs côtés. Elles m’ignorent. Je caresse alors le dos de Céline, passe une main sous son string. Mon majeur contourne son anus, et s’invite au milieu de ses lèvres. Aucun doute, Céline est toute excitée.


Solène prend la tête de Céline entre ses mains, et lui indique que son minou est en manque de bisous. Céline s’exécute avec délice, pénétrant de sa langue sa joyeuse compagne. Solène m’ignore toujours. Céline ayant reculé, elle n’est plus à portée. Je recule d’un pas et profite du jeu coquin qui se déroule devant moi. Céline butine toujours ; les jambes ivoires de Solène l’étreignent à présent.


Céline se redresse enfin. Elle se tourne vers moi et m’adresse un sourire de plaisir. Son doigt s’introduit dans Solène, y joue un instant et se retire. Céline le suce avec délice, et me fait signe de les rejoindre. Je me rapproche, impatient de prendre part au jeu. Nos jambes se frottent, et le nylon distille de divines sensations.


Solène se redresse, saisit mon membre sous le collant et le caresse doucement. Céline m’allonge sur le dos. D’un geste rapide et habille, elle retire son string bien trop humide à présent. Elle le dépose sur mon visage ; je peux en apprécier la saveur. Solène joue toujours. Je sens à présent ses cheveux qui reposent sur mes abdos. Sa tête se baisse, elle abaisse mon collant et ses lèvres enveloppent mon gland, sa langue manifeste sa présence.


Céline retire son string de mon visage, chevauche mon corps, et vient poser, jambes écartées, son clito sur ma bouche. J’ai de part et d’autre de ma tête, ses cuisses de nylon, et dans chaque main, un pied à caresser. J’ai pu un bref instant m’apercevoir que son minou est celui d’une jeune fille.


Ma langue s’en donne à cœur joie, mon nez est de la partie, butineur. Mille délices m’enivrent. C’est bon, c’est chaud, c’est pour moi, pour elle. Je lâche un instant ses pieds, pour donner du plaisir à ses seins qui me le rendent bien. Elle se trémousse, frétille, se manifeste. Solène me besogne toujours goulûment, profondément.


Je parle trop vite. Elle se retire. Dans un bref instant de lucidité je la sens qui bouge, m’enjambe à son tour, saisit mon sexe d’une main, et le place à l’entrée de son bas-ventre. Je la pénètre. Elle est sur moi, bien en place. Céline se retourne à son tour, et lui fait face. J’ai toujours son clito au bout de la langue. Les deux filles se caressent les seins, les bras et les épaules. Je devine qu’elles s’embrassent à toute langue.


Le plaisir est à son comble, il me faut me retirer. Solène se soulève, Céline bascule sur le côté. Mes lèvres me brûlent de délicieux parfums. Mon sexe est au bord de l’éclatement. Les filles ne se sont pas lâchées. Elles sont à présent emmêlées pour un cunnilingus féminin. Je les regarde, les contemple ; elles, si belles, épanouies dans leurs bas de nylon.


Elles changent de positions. Céline sur le dos, se fait lécher par Solène, qui me tend son derrière. Je m’abaisse, et de mes lèvres coquines, lui humidifie son orifice défendu. Céline se tortille de plus belle, alors que Solène se détend de confiance. Tout n’est que douceur et plaisir. Offrir pour mieux recevoir. De longues minutes durant, je lèche de bas en haut, de haut en bas, le long du sillon. Solène semble apprécier, Céline tout autant.


Solène se redresse, et propose que l’on fasse une pause. Elle nous invite à prendre l’escalier qui monte à l’étage. Je remonte mon collant et nous la suivons, coupe à la main. Le palier ouvre sur une grande terrasse, où nous nous installons. Un immense coussin carré est posé sur le sol, suffisamment grand pour nous accueillir à trois. La vue est splendide. Le musée est éclairé de dizaines de spots, ce soir c’est la fête ! Il a un an.


La nuit est douce.


C’est la première fois que je suis en collant à l’extérieur. Cette une excitante sensation.


Nous prenons place sur des banquettes. Les filles se mettent côte à côte, me faisant face. Elles tiennent leur flûte de champagne, tendent leurs jambes, et avec leurs pieds mes caressent les parties. Solène est vraiment très excitée, et le manifeste en se masturbant doucement. Céline pivote, suce un trop bref instant mon membre, puis fait face à Solène.


Simultanément, elles se frottent le sexe avec la pointe de leurs pieds, n’hésitant pas à se pénétrer. Je reste à distance, m’adonnant au plaisir solitaire. Le jeu de pieds cesse ; elles glissent sur le dos, se rapprochent, et collent leurs sexes humides, pour un baiser coquin, le temps pour moi de sucer leurs orteils.


Céline me fait signe d’approcher. À genoux à ses côtés, elle me donne du plaisir en me suçant tendrement. Solène retire ses bas, qu’elle enfile le long de ses bras. Elle s’approche de moi. Avec une main de nylon, me caresse le corps, en effleurant mes bourses. De son autre main, s’invite dans l’entrejambe de Céline, qui me garde toujours en bouche.


Solène s’absente un moment. Je me retrouve seul avec Céline. Nous nous approchons de la barrière de verre qui court le long de la terrasse. Céline s’accoude, la tête au grand air. Je passe derrière elle, et la pénètre doucement. La ville nous fait face. La nuit est à nous.


Je vais, je viens, une main sous ses seins.


Mon pouce a pris place dans son anus. Céline, de prime abord résistante, manifeste tout de même son plaisir. Elle bouge, s’essouffle en cadence, de plus en plus fort, et dans un cri de plaisir se détend doucement. Solène de retour un instant plus tôt semble jalouse. Allongée sur le coussin, elle manifeste son envie.


Nous la rejoignons. Céline lui dépose un baiser sur le bout des lèvres. En levrette, elle se tend en arrière. Je m’y présente doucement, pénétrant son derrière, mains sur les hanches, à bonne cadence. Elle étouffe un cri de plaisir dans l’épais coussin. Je me retire ; elle m’attire, et me prend en bouche. Céline désire que je jouisse. Elle place mon sexe entre ses seins. Mes va-et-vient sont ponctués de baisers sur mon gland.


Minuit sonne, le feu d’artifice éclate au loin. La nuit s’illumine de mille feux, j’explose de plaisir, sous les yeux de Céline. Solène s’approche ; d’un geste de langue délicat, goûte à mon plaisir, et d’un long baiser salue sa compagne de soirée.


6 h 30, le réveil sonne. Je me tourne dans mon lit. Seul.


7 h, je m’habille, ouvre mon tiroir à dessous.


Les bas ivoire sont là, dans leur emballage d’origine, tous neufs. Les noir et rose, eux, ne sont plus là.


Ah oui, il y a quelques temps, je les ai offerts à Céline. Elle en rêvait !