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Temps de lecture estimé : 14 mn
29/01/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Ma femme, son truc, c'est d'être attachée. Je ne le savais pas... elle non plus, d'ailleurs. Jusqu'à ce qu'un enfoiré le lui fasse découvrir...
Critères:  fh hplusag extracon cadeau fsoumise jouet attache yeuxbandés -amourdram -fsoumisah
Auteur : Vincent A      
Ma femme, son truc, c'est d'être attachée

Mon épouse Marion est une jolie brune de 32 ans. Elle est la prunelle de mes yeux et je ne me lasse pas de lui faire l’amour. Seulement voilà, elle n’aime pas le foot. Les jours de match, elle a pris l’habitude de sortir au cinéma avec sa meilleure amie, une camarade d’école, Estelle, une fausse blonde qui s’est fait refaire le nez et gonfler les seins. Bref, une pétasse au look d’enfer qui pourrait, sans trop de retouches, faire la une de magazines du genre FHM. C’est aussi une garce qui vient de divorcer de son second mari. À 32 ans, il faut le faire ! Le premier était impuissant d’après elle, ce qui m’a toujours laissé très dubitatif, vu qu’ils avaient vécu deux ans ensemble avant de se marier. Quant au second :



La conversation en était restée là. Je n’ai jamais avoué à Marion qu’il y a six mois, Estelle m’avait fait des avances. Ce jour-là, j’avais mal réagi. Au lieu de la remballer gentiment, je l’avais traitée de salope pour s’attaquer au mari de sa meilleure amie et j’avais ajouté que ses gros nichons siliconés étaient loin de me faire bander. Depuis, sans que je le sache, elle m’en voulait à mort, ce qui allait avoir des conséquences fâcheuses sur mon couple.


Le mois dernier, j’avais un rhume et le match retransmis le soir à la télé commençait très mal. On venait de se prendre un penalty sur la première action de jeu. Mon nez coulait grave. Je n’avais pas de mouchoir sous la main mais le sac de Marion était à ma portée sur le canapé. Un sac de grande marque, très bien imité ! (Encore une combine d’Estelle !) J’avais prévenu ma charmante épouse des risques encourus mais autant parler à un mur. Je ne m’étais jamais amusé à fouiller dans tout le fatras qu’elle trimbalait dans ce sac mais je ne doutais pas d’y trouver un petit mouchoir. Il y avait urgence, je ne voulais pas manquer le penalty. C’est ainsi qu’avec stupéfaction je mis la main sur un tube de gel intime et une boîte de préservatifs !


Mon cœur s’est arrêté de battre, car je suis gentil mais je suis loin d’être con. Primo, ma chérie était en train de passer un temps fou à se faire belle dans la salle de bain, deuxio, le gel et les préservatifs, cela faisait beaucoup pour une simple sortie au cinéma entre copines. Il y avait 99 chances sur 100 que je sois cocu ! Depuis combien de temps ? Avec qui ? Je m’apprêtais à lui demander une sérieuse explication quand j’ai réalisé qu’elle allait évidement me répondre qu’elle avait acheté tout ça à la demande d’Estelle. Pour en avoir le cœur net, je devais la suivre.



J’ai pris mon casque pour pouvoir la suivre à distance, en scooter. Elle est partie à pied vers le boulevard. Arrivée au coin de la rue, je la vis téléphoner avec son portable. Cinq minutes plus tard, une grosse Audi Q7 s’arrêta devant elle. Un mec habillé chic, au teint hâlé et aux cheveux grisonnants en descendit. Mon épouse lui sauta au cou. Le mec l’embrassa sur la bouche puis lui ouvrit galamment la portière en lui mettant au passage la main aux fesses d’un geste possessif.


J’étais fixé, j’étais bien cocu. Qui était ce vieux salaud bourré de thunes ? Il avait bien vingt ans de plus que ma femme. Où allait-il la sauter ? Sur mon scooter je gambergeais dur. Le tube de gel intime me faisait péter les plombs. Marion n’avait aucun problème de sécheresse vaginale. C’est donc que ce type se l’enfilait côté cour et côté jardin, l’ordure ! J’allais lui faire bouffer ce tube de gel avant de lui éclater la tête contre le mur… Et le sac Vuitton ? Sûrement un vrai, finalement. Un cadeau de cette ordure.


Je ne quittais pas des yeux la grosse Audi. Heureusement, il y avait encore beaucoup de circulation et me faufilant entre les voitures, je réussis à rester au contact. À ma grande surprise elle se dirigea dans une petite rue que je connaissais, celle où habitait Estelle. Non seulement cette garce servait d’alibi à ma femme mais en plus elle lui prêtait son lit. Allait-elle tenir la chandelle ? S’agissait-il d’une partie à trois, à quatre, ou plus ? D’une partouze ?


Le type se gara comme une merde sur un emplacement destiné aux handicapés et je les vis entrer dans l’immeuble. Mon regard se porta immédiatement sur les fenêtres de l’appartement d’Estelle. Elles n’étaient pas éclairées, signe qu’il n’y avait personne et qu’il s’agissait d’un cocufiage on ne peut plus classique.


J’étais perplexe. Que pouvais-je faire ? Sonner à l’interphone ? Ridicule, ils ne risquaient pas de m’ouvrir. Attendre deux heures ou plus qu’ils ressortent et démolir le portrait de l’amant de ma femme ? J’ai soudain pensé que, d’ici le prochain « match », je pouvais très bien récupérer la clé d’Estelle dans le sac de ma femme et en faire un double. Je pourrais avoir un beau flag.


Je suis donc reparti sur mon scooter, non sans m’être occupé de l’Audi. Rassurez-vous, j’aime les voitures, je ne suis pas du genre à rayer une belle carrosserie. J’ai seulement dégonflé les deux pneus côté trottoir. Ce n’est pas bien, je sais, mais cela soulage. Marion est rentrée très, très tard, forcément. J’ai fait semblant de dormir, j’avais trop peur de lui taper dessus en l’écoutant me débiter une excuse bidon.


Les jours qui suivirent furent un véritable calvaire. J’essayais de ne rien laisser paraître mais j’étais à ramasser à la petite cuillère. Toujours les mêmes questions me hantaient : Depuis combien de temps ? Était-ce son premier amant ? En avait-elle plusieurs ? Ne me trompait-elle que pendant les matchs ? Au bureau par exemple ? Portais-je autant de cornes que les maris d’Estelle ? Évidement je n’avais plus le cœur à lui faire le moindre câlin. Elle s’en inquiéta :



Je me sentais nul à chier. J’étais un cocu magnifique ! J’avais en Marion une confiance totale, je ne m’étais jamais inquiété de savoir où elle allait, ce qu’elle faisait, qui elle rencontrait. Quelle douche ! Quel con, surtout ! La nuit, il m’arrivait de pleurer silencieusement alors qu’elle dormait à mes côtés. J’allais devoir divorcer, comment continuer à vivre avec une fille qui menait une double vie ?


Quand elle m’annonça que le jour du match retour, elle sortait de nouveau avec Estelle, j’ai téléphoné à un huissier. Ce soir-là, nouvelle filature en scooter, retour au même endroit. Je confirmai aussitôt le rendez-vous et l’adresse à l’huissier. Connaissant le tarif de ce genre de type à 10 heures du soir, je n’allais pas le faire venir pour rien. Une demi-heure après, rejoint par l’homme de loi, j’ouvris la porte de l’appartement d’Estelle avec mon double de clé. Arrivé dans la chambre je suis resté scotché devant le spectacle. Marion était allongée nue sur le lit, bras et jambes écartés et attachés par des liens à chaque montant. Elle avait un bandeau sur les yeux, une chose brillante sortait de son anus (j’appris plus tard que cela s’appelait un rosebud) et son vagin luisait de mouille. Elle avait le visage tourné vers le mec, nu comme un ver lui aussi, qui lui enfonçait son sexe dans la bouche tout en lui pelotant un sein. Je me suis fait la réflexion idiote que ce type avait une petite bite conformément à l’adage, grosse voiture, petite quéquette. Pour compléter le tableau, sur la table de nuit, trônait le tube de gel, un préservatif usagé et un gode qui me parut monstrueux. Le mec complètement déstabilisé par notre arrivée perdit toute contenance. Je vis son pénis se ratatiner à vue d’œil.



En entendant cette voix inconnue, Marion resta muette de stupéfaction. Elle n’était pas au bout de ses surprises. Je revois encore son regard paniqué quand, libérée de ses liens, elle retira son bandeau et m’aperçut.



Si la situation n’avait pas été si tragique, j’aurais éclaté de rire. Le mec que je pensais être bourré de thunes, vivait de ses allocs !



Ma future ex-épouse était décomposée. L’huissier imperturbable fit son constat, il en avait vu d’autres. L’amant de ma femme fila sans demander son reste. Quant à Marion, elle n’arrêtait pas de pleurer. Je l’ai ramenée sur mon scooter. Elle semblait complètement perdue. Arrivé à notre appartement, elle me demanda entre deux sanglots :



Le reste se perdit dans un haut-le-cœur. Mon intention de divorcer sur le champ l’avait rendue physiquement malade. Je la vis se précipiter vers les toilettes pour aller vomir. Reportant la grande explication au lendemain, j’ai été m’installer dans le canapé-lit du salon en lui laissant notre chambre. J’ai dû m’endormir au petit matin. Quand je me suis réveillé elle n’était plus là. J’ai trouvé une lettre de plusieurs pages qu’elle avait dû rédiger pendant la nuit. À la fois confession et lettre d’amour.


Mon chéri,


J’ai été nulle, lamentable, salope… tout ce que tu veux. Je suis consciente de t’avoir trahi et je n’ai aucune circonstance atténuante parce que je t’aime. Quand je t’ai dit que tout était de la faute d’Estelle, c’était vrai. Il y a six mois, nous étions à la terrasse d’un café, elle me racontait qu’elle allait divorcer parce que les mecs, au bout de quatre ans, elle ne pouvait plus les supporter. Je me souviens de notre conversation mot pour mot :


  • — Marion, tu as un ticket avec le type qui vient d’arriver, m’a-t-elle signalé en riant.

Cela m’avait amusée moi aussi car d’habitude les mecs flashent sur elle, pas sur moi.


  • — Il est séduisant mais un peu vieux, ai-je rétorqué.
  • — Qu’est-ce que tu attends pour lui rendre ses sourires ?
  • — Estelle, ça va servir à quoi ? Je ne vais plus pouvoir m’en dépêtrer.
  • — Et alors ? Tu n’en as pas marre d’être fidèle à ton mari ?
  • — Pas du tout, j’ai passé le cap des quatre ans depuis un bout de temps, ai-je répondu en riant, et puis je l’aime mon chéri, pourquoi je le tromperais ?
  • — Mais Marion, je ne te parle pas d’amour ! Je te parle de t’amuser et de pimenter un peu ta vie sexuelle. Il est séduisant ce type, tu viens de le dire, en plus il est bourré de thunes, tu as vu sa bagnole ? Tu serais conne de ne pas profiter de l’occasion. Je te fournirai des alibis. Ton mari n’en saura jamais rien.

Elle paraissait contente que je puisse te tromper et elle lui fit signe de se joindre à nous. Si elle n’avait pas été là, rien ne se serait passé. Ensuite tout s’est enchaîné. C’était un beau parleur, il m’a baratinée et il ne m’a pas lâchée. Il me bombardait de mots d’amour par SMS, il m’attendait chaque soir à la sortie de mon bureau et pour finir, il m’a offert ce sac que je pensais valoir une fortune. La même semaine, toi, tu avais complètement zappé notre anniversaire de mariage. Je m’attendais à une surprise, à un petit restau en amoureux, à des fleurs ou à un petit cadeau, mais non, rien ! Le contraste m’a déstabilisée. Je me suis demandé pourquoi rester fidèle à un mari qui ne pensait plus à moi.


La première fois que je me suis trouvée dans son lit, passé la petite poussée d’adrénaline due à la nouveauté et à l’idée de braver un interdit, j’ai été déçue. Il me faisait l’amour moins bien que toi et je le lui ai fait comprendre. C’est là qu’il m’a attachée sur le lit et bandé les yeux. Une découverte. Mon cœur tambourinait, j’avais très peur mais j’étais terriblement excitée en imaginant ce que j’allais subir. Mes sensations se sont trouvées décuplées, chaque attouchement me faisait frémir. Quand, après m’avoir longuement caressée, sa langue s’est posée sur mon clitoris cela a été un véritable feu d’artifice. Ensuite il m’a retournée et il s’est enfoncé entre mes reins. Tu ne m’as jamais prise comme ça. Sans doute pensais-tu que je n’accepterais pas, à moins que tu n’en aies jamais eu l’envie ou même l’idée. Moi-même, je ne pensais pas avoir le moindre plaisir en étant prise de la sorte. Et pourtant !


La fois suivante, toujours attachée, il s’est amusé à me faire expérimenter un tas de sextoys. Je vais te faire de la peine mais je n’ai jamais autant eu d’orgasmes en une seule soirée. La suite, tu la devines. Alors que toi tu m’as toujours fait l’amour de façon classique, lui était délicieusement pervers. Je suis devenue accro à ces séances de sexe.


Mais tout a une fin. Crois-moi si tu veux, j’avais l’intention de le quitter. Il me tannait pour qu’un autre homme participe à nos ébats. « Tu ne le verras pas, me disait-il, tu auras les yeux bandés, tu sentiras juste un sexe bien vigoureux succéder au mien, c’est mieux qu’un gode, non ? » Inutile de te dire que cela ne me plaisait pas. Je commençais à réaliser que ce type voulait me transformer en pute.


Sache que je n’ai jamais été amoureuse de lui. Quand je te retrouvais, je culpabilisais à mort mais j’avais une folle envie de toi. Ne crois pas que c’était pour effacer dans mon esprit et dans mon corps toute trace de mon adultère, c’était par besoin d’amour et de tendresse. Deux choses que je ne trouvais que dans tes bras. C’est pour cela que tu n’as jamais eu le moindre soupçon. Depuis que je te trompais, j’avais envie de toi deux fois plus qu’avant.


Voilà, tu sais tout. Si tu savais comme je regrette. Ma vie, c’est toi. Je viens de la gâcher pour une histoire sans lendemain, pour quelques orgasmes que j’aurais dû avoir avec toi. En ce sens tu es un peu coupable mais comment puis-je te reprocher d’être trop gentil, trop amoureux et pas assez pervers pour m’avoir fait découvrir ce côté troublant de ma sexualité.


Ma plus grande faute, c’est de ne t’avoir jamais demandé de m’attacher à ton tour et d’être un peu plus coquin et imaginatif. Je n’aurais pas éprouvé le besoin de le revoir. J’avais trop peur que tu me traites de cinglée, de névrosée ou même de pute. Avec toi c’était les sentiments, la passion, l’Amour avec un grand A, avec lui j’étais une sorte de poupée gonflable soumise à ses caprices. J’en avais honte mais c’était comme une drogue.


Alors, voilà ! Tu sais tout ! Je comprendrais parfaitement que tu ne veuilles plus de moi. Sache que je t’aime comme au premier jour et sache que je suis prête à tout pour que tu me pardonnes. Laisse-moi une chance. Ne va pas voir ton avocat tout de suite.


J’attends ta décision au café d’en face. J’espère de tout mon cœur pouvoir vivre avec toi jusqu’à la fin de mes jours. Si tu ne viens pas, je comprendrai que tu ne me pardonne pas, j’irai me réfugier chez Estelle.


Je t’aime.


Marion.



La nuit m’a porté conseil. Voir Marion si bouleversée par mon intention de divorcer m’avait déjà montré qu’elle m’aimait réellement. Mais surtout j’ai réalisé que c’était moi le fautif dans cette histoire. Pour qu’elle puisse tomber dans les bras d’un type aussi naze, c’est que vraiment je n’avais pas tenu ma place. Y compris au lit ! Bien sûr, j’avais toujours été tenté de lui faire des choses très coquines mais, pour moi aussi, il y avait jusqu’alors dans ma tête deux registres différents : mes ex, des filles faciles à moitié putes, que je prenais de toutes les façons possibles et Marion, la femme de ma vie, que je respectais jusque sous la couette. Grave erreur, ce respect idiot, il n’y a aucun interdit entre un mari et une femme qui s’aiment.


Je me suis rendu au café. Je l’ai serrée dans mes bras. Je lui ai dit que je repoussais mon rendez-vous chez l’avocat à condition qu’elle ne voie plus cette salope d’Estelle. Elle est partie travailler un peu rassurée. Moi, j’ai téléphoné à mon patron et j’ai négocié une journée de RTT. J’ai commencé par découper en rondelles sa copie de sac Vuitton et j’ai été lui en acheter un vrai. Tant pis pour le grand écran plasma que je projetais d’acheter pour mieux suivre les matchs. J’ai programmé sur mon IPhone tous nos anniversaires, rencontre, mariage, fiançailles, etc. pour ne plus en louper un. J’ai changé les montants de notre grand lit pour pouvoir l’attacher dans toutes les positions. Pour finir, je lui ai préparé… enfin j’ai commandé un super dîner en amoureux. Quand elle est rentrée de son travail, je lui ai offert le sac accompagné d’un mot d’amour.


Ma chérie, excuse-moi de t’avoir donné l’impression que je te délaissais. Tu es ce que j’ai de plus cher au monde. Je te pardonne mais ne recommence jamais.



Inutile de vous dire qu’elle est tombée dans mes bras. Depuis, c’est le grand bonheur. Je surveille son emploi du temps, elle en est ravie car elle voit que je tiens à elle comme à la prunelle de mes yeux. Nous faisons l’amour beaucoup plus qu’avant mais je ne l’attache que de temps en temps pour que cela ne devienne pas une habitude. J’ai appris le faire de manière sophistiquée, avec des nœuds qui se resserrent tout seuls quand elle essaye de s’échapper. Quant à être plus coquin et imaginatif dans nos câlins, aucun problème. Maintenant que je sais qu’elle adore tout, je ne m’en prive pas.


Le fait de ne plus se sentir responsable de rien libère ma chérie de toutes ses inhibitions et de tous ses tabous issus d’une éducation coincée. Attachée, sa libido explose. Une autre femme apparaît, une bête de sexe avide de se faire pénétrer de n’importe quel côté et capable d’enchaîner orgasme sur orgasme. Quand elle est dans cet état, pour arriver à l’épuiser j’ai recours à une panoplie de sextoys.


Ce qu’elle aime aussi c’est que je la prévienne à l’avance de ces petites séances. Le jour venu, elle est tellement excitée qu’elle est obligée de porter des protèges slips. Le top du top, pour elle, c’est le soir d’un match. Elle y voit la preuve qu’elle compte pour moi plus que tout le reste. J’en suis quitte à le regarder en différé. Garder Marion, la femme de ma vie, vaut bien ce petit sacrifice.



Cette histoire a été inspirée des confidences d’un ami, le soir d’un match où il avait un peu trop fêté la victoire de son équipe. Depuis, je ne regarde plus sa très jolie femme de la même manière.