n° 14795 | Fiche technique | 17095 caractères | 17095Temps de lecture estimé : 10 mn | 03/02/12 |
Résumé: On déménage. Anaïs a trouvé un carton de photos dans le débarras, elle m'appelle pour le descendre de son étagère. | ||||
Critères: fh voir fmast intermast fellation fdanus fsodo init -couple | ||||
Auteur : FloreanMC (Auteur en herbe) Envoi mini-message |
Week-end de déménagement. Des cartons partout. Le nouvel appart est enfin à nous, on a eu les clés hier, c’est l’heure de faire les cartons.
Anaïs m’appelle.
Elle est joyeuse, enjouée, depuis qu’elle sait qu’on va partir d’ici.
Je marche à travers les piles de livres à emballer, essayant de ne rien renverser, j’ai le dos en compote, mais c’est pour la bonne cause !
Je longe le couloir étroit, pousse un carton à moitié vide pour ouvrir un peu la porte.
Elle est là, en tablier et en culotte, sur un tabouret. Elle a de longs cheveux bruns fins, un petit nez, des yeux presque bridés quand elle sourit, des taches de rousseur. Des petits seins. De belles petites fesses bien pleines. Elle n’est pas très grande. Je l’adore.
Elle tire un carton à moitié sorti d’une étagère.
Je m’approche et tends les bras. Son parfum, notes de pamplemousse et de fleurs de printemps, me chatouille les narines. Je pose la boîte au sol.
Elle descend du tabouret et s’y assoit. Ses jambes nues touchent les miennes, le tablier gode un peu, elle ne porte rien dessous, pas de soutif.
J’ouvre les battants, et tire une pochette au hasard.
Vacances 2005. La plage. Les glaces. Anaïs, à poil dans une crique, face au vent, le soleil ambré sur sa peau, ses petits nichons hérissés de chair de poule.
Elle tire une autre pochette.
Elle me tend les clichés. Anaïs, qui me suce la queue, seins nus sur une plage dans des dunes isolées, joue déformée par mon gland à l’intérieur de sa bouche écartelée. Les clichés suivants la montrent entrant dans la mer, un string fuchsia échancré ne cachant rien de son anatomie. Un mec au loin la regarde, envieux, l’air de ne pas y toucher. Il est sur chaque photo, de plus en plus proche.
Elle me passe d’autres photos. Je me rappelle de cette époque, on faisait l’amour chez ses parents, dans sa chambre, elle mettait une grande jupe au cas où ils rentreraient à l’improviste. Photo de la jupe soulevée, son beau petit cul parfait, son sourire enchanteur, son sourire coquin, ses seins, sa chatte touffue d’ado timide…
Elle sourit, se lève et éteint la lumière du débarras.
Elle me met le doigt sur les lèvres.
Elle ferme la porte.
La pièce est petite, nous sommes dans le noir total. Je pose les photos sur une étagère, à tâtons.
Elle est déjà contre moi, ses lèvres cherchent les miennes, ses deux mains entrent dans mon slip, je la sens sourire en agrippant mon érection, elle me branle lentement. Le baiser devient fougueux, elle me pousse contre les étagères, je manque de trébucher sur le carton de photos, je glousse de plaisir. Mes mains passent sous le tablier, j’empaume les petits seins pointus, dont les tétons dardent déjà.
Sa langue repousse la mienne, elle joue avec mes lèvres, les mordille en pouffant, elle me serre la bite entre ses doigts fins, me flatte les couilles, je réponds à ses caresses, je m’amuse, c’est inattendu et délicieux – même avec les livres qui me rentrent dans les omoplates, juste derrière.
Je lui presse les nichons une dernière fois, mes mains dévient, glissent sur ses hanches courbes et maigres, jusque sur son cul. Je remonte sa culotte façon string et caresse les deux lobes de sa belle lune pâle.
Elle descend le long de mon corps, me débarrasse de mon slip et me gobe le pruneau sans attendre. Je pose mes mains sur ses cheveux fins et la guide sur ma queue.
Elle glousse, sa langue fait le tour de mon gland.
Je souris.
Elle me gobe et pousse dans sa gorge pour essayer de m’avaler entièrement. Ses lèvres m’enserrent, grappillant du terrain millimètre par millimètre, jusqu’à atteindre le tiers de ma pine gonflée de plaisir. Je brûle de venir dans sa gorge, maintenant, mais je respire en essayant de me contrôler, surtout pendant qu’elle remonte en me léchant comme une déesse. Elle s’enfonce à nouveau sur mon engin à l’agonie, sans me ménager. Sa salive est chaude, douce, suave, elle m’en enduit en vagues successives, de la pointe du gland jusqu’aux couilles, elle me prépare à la sauter comme une cuisinière attendrit un morceau de bœuf avant de le poêler.
Je me penche pour la caresser, sentir sa peau contre mes mains, je n’atteins que la naissance de ses fesses, qu’elle écarte sciemment, sachant parfaitement que je n’arriverai pas à en profiter pleinement. Je passe sous la petite culotte, et me délecte du contact de ses lobes tendres. L’obscurité totale démultiplie mes sensations, mes fantasmes, je ne sais plus qui me suce, juste une femme ou « la » femme parfaite.
Elle mordille ma queue une dernière fois, et se relève lentement. Je la sens sourire.
Elle m’embrasse encore goulûment. Elle chuchote, tout près de mon visage.
Elle me met les mains sur les épaules et m’attire vers le sol. Je m’agenouille, mes tibias se prennent dans le carton.
Je pousse le carton contre la porte, et le soulève pour qu’il tienne sur la tranche. Les photos dégringolent dans un bruit de papier glacé. Je me tourne vers Anaïs et avance les mains vers elle à tâtons dans le noir. Je trouve son cul, nu, sans culotte. Elle est à quatre pattes, sans doute la tête au milieu des étagères poussiéreuses. Je lui caresse les lobes rebondis et le bas du dos, sa peau est d’une douceur éthérée, angélique. Je viens me coller à elle en me râpant les genoux sur le carrelage inégal.
Mes doigts suivent le chemin de sa raie bien dessinée, et plongent dans la vulve trempée, sans attendre.
Je me recule légèrement et, en me pliant en deux, je lui lèche la chatte, tête à l’envers. Ma langue glisse le long des lèvres glabres, et disparaît entre leurs plis délicieusement humides. Les doigts d’Anaïs s’activent sur son bourgeon boursouflé, j’entends sa respiration saccadée. Je sais qu’elle a rejeté la tête en arrière, que ses longs cheveux recouvrent son dos, qu’elle ose à peine gémir de peur que les voisins ne l’entendent. Elle se masturbe de plus en plus vite, ses doigts entrent dans son vagin éclaté comme une fleur, me repoussant, plus haut, vers son périnée, que je lèche avidement. Elle écarte les fesses, d’une manière très suggestive, me donnant un accès royal à sa rondelle souple, la porte taboue de notre sexualité, le Saint-Graal, l’Everest que je ne pourrai jamais grimper.
Sa main s’agite sur son bouton doré, ses doigts entrent et sortent du vagin en une danse très sensuelle, la tension en moi ne fait que grimper, j’ai des fourmis partout dans le corps. Je joue avec l’anus entrouvert et le goûte, y entre ma langue, le déguste et le cajole, je lui fais la cour, je l’embrasse, je l’emplis de salive épaisse et l’explore.
Je deviens plus audacieux, j’embrasse les fesses pâles et invisible et, d’une main leste, lui en caresse les lobes, approchant mes doigts de la pastille complètement trempée maintenant. Anaïs geint toujours silencieusement, elle n’a pas joui encore de sa masturbation, mon majeur lui flatte le périnée, l’irrite de ses passages répétés, puis, par magie, écarte délicatement les chairs de sa fleur inexplorée. Anaïs se cambre, se cabre, m’aide à la pénétrer, et aspire le doigt en ondulant le cul. Je ne respire plus, ma queue est dure comme du bois, je suis capable de jouir sans y toucher, tellement je suis excité, mais le moment passe, je joue enfin dans le trou offert, en me demandant combien de temps ce tour de manège particulier va durer, et à quel moment Anaïs va reprendre conscience, et me sortir gentiment de cette région extraordinaire.
Je sors mon doigt presque en entier avant de le lui enfoncer à nouveau, jusqu’à la garde. Elle se tend, je sens ses sphincters se contracter autour du majeur indélicat, elle se cambre encore et pousse dessus comme si sa vie en dépendait.
Je suis ivre, aux anges, je souris, j’en pleurerais presque de bonheur si je n’avais peur de la réveiller de son doux délire !
Elle s’écarte soudainement, mon majeur est éjecté dans un bruit de succion terrible.
Mes genoux me font mal, mais je ne me fais pas prier. Je me place derrière elle, mes cuisses entre les siennes, et j’humidifie ma queue dans sa petite chatte trempée, avant de la pénétrer brusquement.
Elle m’attrape les couilles, puis la queue, par dessous, et me guide sur la rondelle brûlante.
Ma queue est en place et Anaïs pousse doucement dessus. Je reprends mes esprits et me laisse guider dans le canal étroit. J’ai peur de lui faire mal, c’est bien la première fois que…
La fleur s’est ouverte et a englouti le chapeau de mon gland, c’est doux et étriqué, je sais qu’Anaïs a rejeté la tête en arrière, je le sens à la manière dont elle est cambrée. Je pousse encore un peu à l’intérieur avant de relâcher la pression, ma bite est aspirée, la belle me tient toujours les couilles par dessous, elle m’attire en elle, elle me veut entier, ne me laissera pas m’échapper avant de m’avoir accueilli au creux de ses tréfonds intimes.
Je place mes mains sur son petit cul, bordé par les lanières du tablier, et je vais et viens dans la grotte inconnue, étonné d’y trouver tant de place, la pression sur ma queue n’est pas aussi intense que je l’ai imaginé lors de mes fantasmagories solitaires. Je regrette d’être dans une obscurité aussi totale, je voudrais voir ses chairs distendues, les lobes écartelées, ses fesses blanches irritées par ma pine brune, la béance du petit trou lorsque je me retirerai, repu, le sperme en coulant, épais et brillant.
Je suis excité, je lui caresse le dos et les seins sous le tablier, elle se masturbe avec mes couilles, j’accélère le rythme, elle se met à gémir, puis à crier, sans plus se soucier des voisins.
Je me joins à elle, éructant des paroles incohérentes, c’est trop bon, trop soudain, trop inattendu, je n’en reviens pas.
Elle jouit bruyamment, en se redressant sur ma bite, je sens ses fesses collées contre mon pubis, je ne peux pas aller plus profond en elle, je l’encule jusqu’aux poils, jusqu’aux couilles, elle se tend sur la queue, serre ses sphincters, je l’entoure de mes bras, mains calées sur ses petits nichons aux pointes drues, elle essaye de m’embrasser à travers ses cheveux en se plantant toujours plus durement sur moi. Je l’attrape fermement et la relève en restant en elle, je la plaque contre les étagères, debout, et la ramone ardemment, je ne suis plus qu’un animal, je cherche la jouissance.
Les cris d’Anaïs sont devenus des gémissements toujours très audibles, elle m’accompagne et m’encourage à venir, donnant de grands coups de reins en arrière pour m’engloutir toujours plus loin, j’imagine encore son anus, rougi, boursouflé, cédant le passage à ma queue irritée, humide de ses sécrétions anales, et la délivrance arrive. Je sens mon gland gonfler, doubler de volume dans les boyaux étroits, et j’explose en elle, le bas-ventre secoué de spasmes violents qui libèrent de grands jets de sperme bouillant.
Mais Anaïs s’écarte, me sort de son intimité d’un coup sec – le sperme gicle partout, je ne contrôle plus rien – et s’agenouille pour me prendre dans sa bouche. Elle me happe la bite jusqu’au fond de sa gorge, les deux mains plaquées sur mes fesses. Je jouis sur sa langue trempée de salive, je deviens fou, les saccades me tirent des gémissements intenses, me transpercent d’éclairs, des couilles au ventre. Je fais pression sur sa tête pour qu’elle me gobe plus loin, sa gorge cède, je sens ses lèvres sur mon pubis, elle me repousse pour respirer, je la laisse remonter et revenir sur ma hampe où se mêlent la jute, la salive, et le jus de son cul défloré pour la première fois. Elle presse ses lèvres sous mon gland, laisse le sperme jaillir sur son visage, sur son nez, sur son menton, j’enrage d’être dans le noir et de ne pouvoir profiter de ce spectacle rare.
Les dernières gouttes, qu’elle recueille sur sa langue, avant de se relever, tout contre moi.
Elle m’embrasse, son visage colle, elle sourit dans l’obscurité.
Elle presse l’interrupteur, la lumière éclate, aveuglante, nous plissons tous les deux les yeux en nous embrassant. Ses tâches de rousseur sont plus colorées que d’habitude, et couvertes de sperme gras et translucide. Son tablier est de travers, l’un de ses seins en dépasse, les mamelons gonflés et drus. Elle me malaxe toujours la bite et sa voix est amusée et satisfaite lorsqu’elle dit :
Elle recueille le sperme sur son visage avec le majeur et le met dans sa bouche, suçant son doigt ostensiblement.
Elle me fait un clin d’œil et se retourne vers les étagères à vider.
Elle ne s’est pas rhabillée, des perles de liquide blanchâtre coulent sur ses cuisses.
Elle me tend son cul.
Je m’approche et la serre dans mes bras, lovant ma queue molle au creux de ses fesses encore humides.
Elle sourit, secrète.
Elle se tourne et me fait un clin d’œil.
Je bande à nouveau. Pour une fois, le changement d’appart, au lieu d’être fastidieux, pourrait s’avérer plein de surprises…