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Temps de lecture estimé : 16 mn
24/02/12
Résumé:  Un réveillon entre amis, qui va tourner au grandiose.
Critères:  grp copains grossexe fépilée danser fête facial fellation cunnilingu pénétratio fsodo hdanus partouze jeu humour -humour -totalsexe
Auteur : Bali balo
Réveillon

Réveillon


On avait loué ce gîte pour le réveillon de la Saint Sylvestre. On était arrivés la veille au soir et, le temps de tout préparer, on avait déjà bien rigolé. Ambiance sympa. On se connaissait tous bien pour la plupart, on était entre nous, tout baignait…


On était toute une bande de copains – et copines –, une douzaine. Il y avait là Alice et son copain Jules, Sylvie, grande amie d’Alice, en couple avec moi depuis quelques mois, Anne et Fred, Paul et Virginie, Marine et son mari Louis, et un couple que je ne connaissais pas : Julie, une magnifique brune, amie d’Anne, et Fab, un beau mec, bien sympa au demeurant.


La soirée était avancée. On avait préparé un buffet pour après les 12 coups de minuit. Donc, avant, on avait mis de la musique, on discutait, on riait, on disait des tas de choses inutiles, on buvait des apéritifs, on grignotait, on dansait un peu. Certains faisaient des jeux de société… Tranquilles, quoi… Et puis, un peu avant minuit, c’est Marine qui a lancé l’idée :



On ne sait pas trop si elle est sérieuse ou si c’est juste pour dire… Ma foi, pourquoi pas…


On attendait les 12 coups de minuit, qui seraient égrenés par une vénérable pendule avec une solennelle lenteur. Dès le premier coup Marine a crié :



On a eu le temps d’apercevoir sa courte robe noire passer par-dessus sa tête avant que quelqu’un ne coupe la lumière. Tout le monde a suivi le mouvement, sans trop réfléchir. Douze secondes, c’est largement suffisant pour se débarrasser de tous ses vêtements. Et quand, sur le douzième coup, la lumière est revenue, on était tous tout nus pour crier « Bonne année », et passer de l’un à l’autre pour se faire la bise en se serrant dans les bras. Bizarre, quand même, mais dans le mouvement, ça passe. Le champagne a commencé à circuler, on a trinqué… C’était super, comme idée… Pour le moment, on était dans le trip de la bonne année, et on était très décontractés malgré notre tenue. Nous étions un certain nombre parmi nous à nous être déjà vus nus entre nous, et les autres ont fait comme si ! Ça n’avait pas l’air de poser le moindre problème à Julie et à Fab qui, la veille encore, ne nous connaissaient pas.


Et puis on a remis de la musique. C’est sûr que les danses collectives où on se remue de la tête aux pieds, quand on est à poil, ça fait drôle. Les garçons ont leur zigounette qui fait des tours, et les filles ont les seins animés, des mouvements de bassin, plus ou moins gracieux, plus ou moins provocants. Là aussi, on a bien rigolé. Le DJ de la soirée a eu l’idée de mettre une lambada. Changement d’ambiance. Au début tout le monde s’y est mis, en profitant pour faire un peu de frottis-frottas. Mais bientôt, tout le monde s’est arrêté pour regarder un couple… Fab, le super beau mec qui se déhanchait et, devant lui, Julie, fille de rêve. Toute habillée, elle en jetait déjà pas mal, mais nue, alors là ! Époustouflante ! Des seins magnifiques, toniques et fermes malgré le mouvement ; un bassin d’une mobilité extraordinaire, un ventre plat et nerveux, des cuisses et des jambes superbes et un bas ventre de rêve : un triangle de poils courts et bien taillés et, au-dessous, largement exposé par la position cuisses écartées et bassin basculé en avant, un sexe à l’allure de plante carnivore guettant tout se qui pourrait passer à sa portée. Tous les garçons avaient les yeux rivés sur elle, plus ou moins exorbités. Même les filles n’étaient pas indifférentes. Quand ils ont eu fini, tout le monde a applaudi, et j’ai remarqué plusieurs queues déjà émues.


Alors on a mis une musique plus calme, un slow, en baissant la lumière, en laissant juste assez pour ne pas se cogner aux meubles. J’invite Alice, la prend par la taille, elle pose ses mains sur mes épaules. J’aime bien cette fille, grande copine de Sylvie, toute menue, discrète… Je sens bien ses petits seins qui agacent ma poitrine. Ça fait bizarre de l’avoir toute nue contre moi… Je pense aussi à son très mignon petit minou que j’ai seulement aperçu tout à l’heure… Tout lisse… J’imagine d’adorables petites lèvres. J’aimerais bien prendre le temps de l’admirer… Et même, tiens, je lui ferais bien minette… J’ai dans mes bras une femme nue… Je pense à sa chatte… Bon ! Voilà que je bande ! Plaquée contre mon ventre, Alice le sent bien. Ingénument, elle me demande :



Sans réfléchir, je lui souffle à l’oreille :



Alors, tranquillement, elle me dit :



Je suis sur le cul ! Alice, la douce et pudique Alice ! Alors j’en remets une couche :



Inutile de préciser que ce genre de déclaration ne fait que magnifier mon érection ! J’ai été obligé de m’écarter d’elle un instant pour mettre ma queue à la verticale, ce qui l’a fait rire. Ses mains ont quitté mes épaules, se sont posées sur mes fesses pour mieux me serrer contre elle. Elle me répond :



Et elle s’est mise à onduler du bassin pour se frotter contre moi… Putain ! Alice qui s’amuse à me fait bander… C’est glauque !


Le slow terminé, un DJ improvisé crie « Changement de cavalière ! ». Ma foi, pourquoi pas… Une autre fille arrive dans mes bras. J’ai à peine le temps d’apercevoir la superbe paire de seins de Julie que déjà elle est collée à moi, se lovant, se frottant. Son pubis découvre ma bite tendue, et s’écrase littéralement contre elle. Tout à coup, elle fait demi-tour, plaque son cul contre moi, mes mains naturellement vont sur ses seins, son ventre, son bas-ventre. Elle me masturbe carrément entre ses fesses… Ça devient très chaud…


Brusquement, la musique s’arrête, la lumière revient. C’est marrant de voir toutes les queues plus ou moins en érection (les filles étant ce qu’elles sont, plutôt plus que moins !)… Certains garçons sont plutôt penauds, d’autres triomphants (n’exagérons rien, quand même !). À côté de moi, j’entends Alice murmurer à ma « fiancée » Sylvie :



Et la voisine répliquer :



Alors Alice rameute l’assemblée :



Trois filles sont volontaires, Sylvie et Alice bien entendu, et Julie. On fait sortir les trois filles.


Nous voilà tous les six garçons disposés les uns à côté des autres. Le temps de s’organiser, nous avons tous débandé. Et en fait, c’est marrant, mais chacun a sa « physionomie » différente. Je pense à la chanson de Pierre Perret « Le zizi ». Celui de Fab est quand même nettement au-dessus de la moyenne. Sûr que toutes les filles auront remarqué ce détail et n’auront aucun mal à le reconnaître.


Les filles entrent, accompagnées vers nous par Marine qui guide leurs mains vers nos sexes. Elles ont une minute par garçon. Quand elle se penche pour explorer ma bite, je reconnais tout de suite la superbe paire de seins de ma cavalière de tout à l’heure. Elle n’a pas froid aux yeux. Sylvie et Alice montrent une certaine retenue, palpent du bout des doigts. Ma partenaire Julie, par contre, passe sa main sous mes testicules, les soupèse, puis resserre la main sur ma pine, et tout de suite me décalotte, passe le doigt sur le bout de mon gland, puis commence un mouvement de va-et-vient pour me faire bander. Elle n’a pas beaucoup de mal. Quand je suis en complète érection, elle palpe avec plus d’attention, puis me laisse. Le temps est écoulé. Elle n’a pas reconnu son jouet.


C’est au tour de Sylvie de s’intéresser à mon sexe. Pas très hardie, elle avait laissé chez Louis un membre à peine ému, elle est surprise de sentir sous sa main une bite bien raide. Elle la parcourt consciencieusement, hésite… Elle esquisse un sourire. Je suis sûr qu’elle m’a reconnu, mais elle continue, pensive. Et puis elle passe au suivant. C’est Fab, le beau mec qui dansait la lambada tout à l’heure. Son membre, bien qu’il soit pratiquement au repos, est vraiment de dimension généreuse. Il a du self contrôle, le type. Quand Sylvie met une main dessus, puis l’autre, elle a un mouvement de surprise. En fait, je suis bien sûr qu’elle avait déjà repéré depuis la lambada ou même depuis le douzième coup de minuit la belle queue de ce type et qu’elle l’avait reconnue au premier toucher. Mais enfin, comme elle est là, autant en profiter. Elle entame une exploration des plus attentives, sur toute la longueur, elle vérifie que la peau coulisse bien convenablement. Comme si elle n’était pas sûre, elle vérifie encore, ferme la paume sur le gland, redescend.


Pendant ce temps Alice est arrivé devant moi. Elle est plus timide, évalue la chose du bout des doigts. Et encore, elle ne sait pas qu’elle a la main sur la bite du copain de sa meilleure amie… Cette caresse, douce et délicate, est absolument délicieuse… Je ferme un instant les yeux. Mais bon ! Faut pas se laisser aller.


Je regarde les autres. La fille aux beaux seins est en train d’astiquer vigoureusement la queue de Louis. Il commence à faire une drôle de tête. Il n’a sûrement pas envie de se laisser partir comme ça, devant tout le monde ! Je vois aussi ma Sylvie qui continue à astiquer la bite de l’Apollon, lui accordant des gestes plus enveloppants, plus câlins… Il paraît évident que les trois filles ont reconnu leur homme du premier coup, mais font durer le plaisir. Ce n’est pas tous les jours qu’elles ont l’occasion de jouer avec les bites des copains de leurs copines ! L’arbitre fait durer bien au delà de la minute prévue. Quand les filles ont terminé leur évaluation, nous bandons tous comme des cerfs ! À tâtons chacune revient devant celui dont elle pense avoir reconnu le sexe. On enlève les bandeaux. Sans surprise. Aucune ne s’est trompée.


Et que pensez-vous qu’il arriva ? Il s’est trouvé quelqu’un pour proposer que les garçons retrouvent leur fille respective à l’aveugle, simplement par la minette.



Au point où on en est… Les filles sont OK. Plus ou moins emballées, mais bon. Trois garçons sortent : Fab, Jules et Louis. Les autres restent pour profiter du spectacle. Je fais installer les six filles, assises les fesses au bord de leur chaise, cuisses bien ouvertes, complètement impudiques. Là aussi, chacune a une minette bien différente : de la chatte vorace de Julie au mignon petit minou d’Alice, tout lisse, tout gentil, avec ses délicieuses petite nymphettes qui dépassent à peine (j’adore), des lèvres bien charnues en renflées de Marine qui assume sa pilosité au sexe soigneusement épilé au bord des lèvres, ne laissant qu’un petit ticket de métro au-dessus du pubis, on a l’embarras du choix. Alice a surpris mon regard admiratif sur sa petite chatte : elle me fait un clin d’œil.


On fait rentrer les garçons, on les positionne chacun à genoux en face d’une fille. Je surveille Sylvie du coin de l’œil. Quand elle s’aperçoit que c’est Fab qui va s’occuper d’elle, elle s’offre encore plus, ses lèvres sont légèrement écartées, laissant distinguer le rose de l’intérieur. Elle aime bien quand je lui fais minette, et je pense bien que je ne suis pas le premier, mais ça fait quand même drôle de voir sa copine les cuisses ouvertes, sexe palpitant, qui va s’offrir à la langue d’un autre.


L’arbitre donne le top de départ. Quand Sylvie sent la tête du garçon s’engager entre ses cuisses, elle a un imperceptible mouvement de recul. Elle me jette un rapide coup d’œil, et elle écarte encore plus en avançant son bassin vers les baisers. Alice, elle, a carrément serré les cuisses en repoussant Louis, et puis elle s’est reprise. Elle a bien respiré, et repris la position. Le garçon a commencé par de petits baisers tout doux sur ses lèvres, comme pour amadouer, pour faire connaissance, et puis a sorti sa langue et donné de tout petits coups, histoire de donner envie de connaître la suite ! Pas de doute, il sait y faire !


Quant à Julie, la fille aux beaux seins, elle ondule carrément du bassin en gloussant sous les assauts de Jules… Je pense que son ami n’aura pas de mal à la reconnaître quand ce sera son tour ! Sylvie ne va pas mal non plus. Prenant appui des deux mains sur la chaise, elle a soulevé et avancé son bassin. C’est elle maintenant qui frotte son sexe sur la bouche de Fab, qui insiste, comme s’il ne s’était pas rendu compte que ce n’était pas sa femme. Difficile de confondre Julie et Sylvie à ce niveau !


Quant à Alice qui tout à l’heure repoussait le garçon, maintenant elle lui maintient d’une main la tête entre ses cuisses, au risque de le faire étouffer, et de l’autre elle se caresse les seins sans aucune retenue.


Personne n’a songé au temps réglementaire d’une minute. Les cuisses de Sylvie sont sur les épaule de Fab qui, assis sur ses talons, la soulève. Elle se tortille, se contorsionne, gémit. Je la connais bien et je sais qu’elle doit beaucoup, mais vraiment beaucoup aimer ce que lui fait le garçon. Alice a relevé complètement les jambes écartées en V. Elle se tient les cuisses, les écarte comme pour libérer encore le passage. Louis qui s’occupe d’elle a le champ libre pour la lécher du clitoris à l’anus. Quant à Julie, elle est debout, penchée en avant, appuyée sur la chaise, cuisses bien écartées, reins bien cambrés, et offre sans vergogne son magnifique cul aux énergiques assauts de Jules.


Plus personne ne bouge, ne dit mot, regarde, écoute les bruits bien caractéristiques de ce triple cunnilingus… On sent que les trois filles sont au bord de l’orgasme. Je surprends Fred qui déguste le spectacle tout en se caressant le sexe, comme sans y penser. Il bande dur… Je dois dire que, même sans se toucher, Paul et moi ne sommes plus très présentables depuis un moment. Les filles qui n’ont pas eu droit à un partenaire n’en perdent pas une miette non plus. Anne, tombée accroupie entre les cuisses de Virginie, a elle aussi entrepris un cuni vorace. Marine, qui a du mal à rester inactive, s’est étendue, la visage sous le cul d’Anne, et la lèche elle aussi.


Et puis un gémissement, un râle, un cri. Alice est partie la première au septième ciel, suivie de peu par Sylvie qui explose bruyamment, et enfin de Julie qui se dresse littéralement avant de s’affaler sur sa chaise. Alors les trois garçons se relèvent, avec évidemment une gaule pas possible. Quand Sylvie, en redescendant du cosmos, voit cette belle bite tendue devant elle, elle la prend, et la branle vigoureusement jusqu’à recevoir de longs jets de sperme sur le visage et les seins. Satisfaite, elle l’étale négligemment avec un petit air comblé. Jules enfourche Julie et, prenant ses seins, glisse sa pine entre eux et se finit par une magnifique branlette espagnole. Quant à Louis, le cavalier d’Alice, il va pour se finir tout seul à la main. Alors, comme dans un état second, Alice se saisit de sa pine, et la prend dans sa bouche. Au bout de quelques va-et-vient le sperme jaillit. Elle avale tout, reste sonnée…


Reste que Paul, Fred et moi, et les trois filles Anne, Virginie et Marine, on n’a pas eu notre compte ! J’avance ma queue vers la bouche de Virginie, toujours sur sa chaise, elle me la prend, me la lèche, me la gobe, me la suce furieusement, comme si c’était une question de vie ou de mort. Putain, que c’est bon ! Quand je viens, elle se fait asperger le visage. Entre temps, Paul a retourné Marine et l’a prise en levrette et la besogne à grands coups de reins. Et comme elle a beaucoup de ressources, en même temps elle fait une jolie pipe à Fred.


Ça a giclé un peu partout, dans les bouches, sur les seins, les visages, entre les fesses, entre les seins… Au moins, ça s’est fait dans la joie et la bonne humeur. Fin du premier acte !


Bon, c’est pas tout ça, mais il faudrait peut-être faire un peu de toilette. C’est vrai, ça, mais on n’en parle jamais dans les histoires de cul, du foutre qui coule de partout, sur les cuisses, le ventre, le menton, les cheveux, le bout de la queue. À douze dans trois salles de bain, c’est jouable. Sylvie passe près de moi, accompagnée de Julie, et murmure :



Et elle ajoute en me prenant par la main :



Sylvie, Julie et moi ? Pourquoi pas ? Si Julie me fait pas mal d’effet, je me demande si elle n’en fait pas aussi à ma Sylvie… Je sais qu’elle ne répugne pas, quand l’occasion se présente, à faire un petit tour du côté des femmes.


On se retrouve tous les trois dans une vaste cabine de douche luxe avec des jets dans tous les sens. On se savonne mutuellement, avec beaucoup d’attention. Et elles s’amusent à diriger les jets horizontaux vers leur clitoris, leur vulve… Elles gloussent à qui mieux mieux ! À un moment, elles sont très occupées à se laver mutuellement les seins, pendant ce temps je m’occupe de leurs fesses. Puis Julie se tourne contre le mur contre lequel elle appuie les mains, me tend son cul :



Je mets du savon sur ma main, la glisse entre ses cuisses, la pose à plat contre son sexe et commence une toilette attentionnée. Des doigts je m’occupe de tous les plis et replis, sans oublier bien sûr son clitoris qui prend une taille respectable. Ensuite je glisse en arrière sur son périnée vers son petit trou. Je le nettoie bien aussi et, comme mon doigt est bien savonné, je le lui enfile bien profond. Loin de protester, elle se cambre au maximum en écartant encore plus les cuisses. Dans ces conditions, que voudriez-vous que je fasse, à moins d’être grossier ? Alors je passe bien le savon sur sa rondelle, pendant que Sylvie, ma Sylvie, me savonne abondamment la queue. Elle qui ne m’accorde cette privauté qu’avec parcimonie me prépare pour enculer la belle Julie.


Je me présente à l’entrée, et hop ! In the baba ! Sans difficulté, comme à la parade ! Pendant que je vais et je viens dans ce cul somptueux, Sylvie s’est accroupie, m’enfonce aussi un doigt au plus profond de mon intime intimité, tandis que son autre main s’occupe activement du vagin de Julie. Putain, que c’est bon, tout ça ! Une sorte de paradis sur terre. Il paraît qu’au paradis là-haut, il n’y a pas les gens les plus marrants, alors profitons de celui d’ici-bas !


Maintenant Julie par le bassin, je file de grands coups de reins, et elle aussi dans une parfaite coordination de mouvements inverses. Ses fesses s’écrasent rythmiquement contre mes cuisses. Son anus me serre délicieusement la pine à chaque mouvement. Elle est déchaînée, moi aussi ! Sylvie est maintenant assise entre nous, elle a toujours un doigt dans mon cul, l’autre main fouraille dans le vagin de Julie, et en plus elle lui bouffe le clitoris. Le massage de prostate que me prodigue ma douce fiancée va faire accélérer les choses. Mais c’est Julie qui décolle en premier, après une série de grognements quasiment animaux. Je sens ses jambes défaillir, elle tombe doucement à genoux, Sylvie a juste le temps de se dégager. J’arrive à l’accompagner dans sa chute sans déjanter pour l’achever avec les derniers coups de reins qui accompagnent enfin l’éjaculation. J’en ai des étoiles dans les yeux ! Quand je sors d’elle, ma pine est encore raide et douloureuse, et j’ai les jambes molles.


C’est à ce moment que Fab entre dans la salle de bain, en rut, précédé de son énorme phallus à tête chercheuse. On dirait une fresque de Pompéi ! Il gueule :



Monsieur a l’air en appétit ! Une aubaine pour Sylvie qui n’a pas encore eu son compte. Elle se met à genoux devant lui, ouvre une grande bouche pour lui pomper le nœud. Il lui laisse faire deux ou trois aller-retour, mais ce qu’il lui faut, c’est un con, un beau con tout prêt, bien baveux. Ça tombe bien, Sylvie a tout à fait ce qu’il lui faut. Il la prend par la taille, la soulève et lui pose les fesses sur le bord de la table et, d’un coup, enfonce sa belle bite jusqu’à la garde. Elle décolle presque, ne cherche même pas à retenir un cri de surprise et peut-être de douloureux plaisir. À moins de manier le concombre en solitaire, son intimité n’est pas habituée à un tel calibre. Mais dans l’état où elle est, ça passe sans problème. Il la tient par les fesses, elle a pris appui sur ses mains, et il pistonne, il pistonne, comme un bête. Ah, il y va, à grands coups de reins accompagnés de « hans » de bûcheron et de cris de ma belle ! Les couilles battent contre les fesses, on dirait une machine bien réglée. La bête humaine ! Pacific 231, je vous dis ! D’autres ont été alertés par le bruit et nous ont rejoints. On commence à se trouver à l’étroit, mais on a tous le sentiment d’assister à un morceau d’anthologie. Un moment historique ! Plus tard, on pourra fièrement affirmer :



Il faudrait être un Audiard pour faire décrire la scène par un Blier ! Un Audiard ou un Victor Hugo. On atteint des sommets. Le coït monumental d’un Alexandre-Benoît Bérurrier et d’une Andrea Ferreol. Les cris montent, se font plus intenses, plus suppliants. Heureusement que le gîte est un peu isolé, autrement les voisins auraient déjà appelé les flics, le SAMU, les pompiers, le GIGN, l’armée de terre peut-être ! Je commence à être vaguement inquiet : ce con, il va la déchirer avec sa bite hors du commun ! Il va la dévaster ! Je pense à la chanson :



Un silence… et puis un tonnerre d’applaudissements. Il y a même un plaisantin sacrilège qui a demandé :



Sylvie est complètement affalée sur la table, le dos appuyé au mur, la tête tombante… Julie, qui connaît bien ce qui vient de lui arriver, lui tapote dans les mains, et lui fait une irrigation vaginale d’eau fraîche, passe doucement des onguents calmants sur son con ravagé. Elle a même posé un ventilateur entre ses cuisses écartées pour apaiser la surchauffe…


Fab a fendu la foule en délire pour trouver un siège. On lui a tendu une serviette, on lui a essuyé le visage. Il est assis dans un coin de la pièce, la serviette sur les épaules. Il n’est pas encore revenu, le Fab, il est encore dans son trip. Les autres filles se bousculent auprès de lui pour voir de près ce chibre capable d’un pareil exploit. Certaines tentent de le prendre en bouche pour en exprimer la dernière goutte. D’autres le touchent respectueusement, comme les bigotes touchent avec superstition le pied de la statue de saint machin.


Alors, on est revenus dans le séjour, on a remis de la zique, on a dansé, on a bu, on a ri, on a baisé, on a niqué, on a tronché ! Enfin… d’après nos souvenirs mis en commun. En fait, personne ne se souvient de tous les détails…


Un bien beau réveillon, ma foi…