n° 14841 | Fiche technique | 18226 caractères | 18226Temps de lecture estimé : 11 mn | 03/03/12 |
Résumé: Une séance d'ostéopathie se transforme en massage thaïlandais. | ||||
Critères: fh couple médical revede massage fellation pénétratio fsodo -couple | ||||
Auteur : VincenLise Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Du massage à la manipulation Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Voilà, je me sens de plus en plus détendu, faisant une totale confiance à ces mains qui parcourent mon corps. Je suis bien, chaque geste apporte sa contribution et, petit à petit, tous mes muscles se relâchent.
Virginie me connaît sur le bout des doigts et, depuis le temps que nous nous rencontrons, une sorte de routine s’est établie. Elle commence toujours par mes pieds, puis remonte jusqu’aux hanches, exerçant une pression ici, un étirement là, puis s’attarde longuement sur mon ventre pour masser les points méridiens.
Nous nous connaissons depuis longtemps et je pense avoir été un de ses premiers clients. À l’époque, mon dos me faisait souffrir des suites d’un accident de moto et, grâce à l’ostéopathie, elle avait réussi à me soulager. Ainsi je suis devenu un client régulier, presque un ami, au point de quelquefois échanger quelques confidences.
Je suis toujours surpris qu’une femme de sa taille, non pas qu’elle soit grosse, mais elle est grande, très charpentée, avec des mains de mec, surpris donc par la douceur de ses gestes pour me « manipuler ». Ce n’est pas le genre de femme auquel on peut manquer de respect, si vous ne voulez pas en « recevoir une ». Attention, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. C’est une vraie femme, toujours maquillée avec soin et lorsqu’il m’arrive de la croiser dans la rue, elle est toujours très élégante.
Bon, pour en revenir au sujet, je suis allongé sur sa table de soin, en slip comme d’habitude et nous bavardons pendant qu’elle travaille. Arrive le moment où, pour débloquer les vertèbres de ma nuque, elle me prend dans les bras, mon visage en appui contre sa poitrine, et fait ce qu’elle fait toujours, c’est-à-dire faire jouer les vertèbres afin de tout remettre en place. Et là, contrairement aux autres fois où j’attends le craquement de l’articulation, je découvre que la blouse de Virginie est assez déboutonnée pour que je puisse sentir la douceur de sa peau sur ma joue. Ce contact est nouveau car elle veille toujours à ce que sa blouse soit une barrière physique et psychologique pour les clients qui confondent quelquefois massage thaïlandais et ostéopathie.
C’est doux, agréable, et ses mouvements font glisser ma joue sur sa peau laiteuse. Enfin, elle termine et me laisse retomber sur la table et je constate, autant que je ressens, que mon sexe s’est tendu au point de non seulement former une bosse, mais de faire ressortir le gland de la ceinture de mon slip. C’est presque douloureux, mais je n’ose pas faire un geste pour le remettre en place de peur d’attirer l’attention. Virginie se déplace et, toujours comme d’habitude, s’installe derrière moi pour prendre ma nuque dans ses mains et continuer ses manipulations. Placée comme elle est, la bosse dans mon slip et le gland qui émerge du tissu ne peuvent qu’attirer le regard et j’entends :
Je ne la laisse pas terminer et je l’interromps en disant :
Et je me tais avant de dire que « je ne comprends pas ce qui m’arrive », ce qui pourrait être une remarque désobligeante pour une femme.
Et ses mains quittent ma nuque pour descendre sur ma poitrine et se glisser sous l’élastique, de part et d’autre de ma verge. Elle soulève et repousse mon slip sur mes cuisses, libérant mon sexe et mes testicules de la pression désagréable du tissu. Comme on dit, le temps suspend son vol et pendant quelques secondes, nous sommes comme paralysés. C’est étrange car je suis à la fois mal à l’aise de cette situation, mais d’un autre côté, pas fâché du spectacle que j’offre à son regard. C’est idiot, mais je suis assez fier de mon sexe qu’aucun poil ne cache, avec mes bourses totalement et douloureusement épilées. Sans être narcissique, je trouve que ma verge est belle, bien équilibrée, ni trop longue, ni trop large, et mes copines l’apprécient.
Je ne sais pas quoi faire et heureusement Virginie se déplace pour faire entièrement glisser mon slip le long de mes jambes. Elle est maintenant à côté de moi, au niveau de mon bassin. Je n’ose bouger, ni faire un mouvement, mais mon sexe refuse de revenir à une taille plus raisonnable. C’est elle qui fait le geste qui libère cette tension entre nous. Sa main vient prendre possession de mon mandrin en le soulevant de mon ventre. Son autre main remonte de ma cuisse pour envelopper mes testicules comme pour les soupeser. Elle me branle doucement et je profite de l’instant pour défaire quelques boutons de sa blouse et laisser apparaître sa poitrine généreuse galbée par un soutien-gorge transparent.
Alors elle se penche et sa bouche vient remplacer la main qui me branle pour gober ce gland provocateur. Elle ne s’arrête pas en chemin et je me retrouve rapidement au chaud dans sa gorge. Je n’ai plus aucune raison de me retenir, aussi je glisse ma main sous sa blouse pour ne trouver qu’un petit slip que je repousse du doigt pour trouver le chemin de sa grotte déjà humide, ce qui me fait penser que je ne suis peut-être pas le seul à fantasmer. Mes doigts pénètrent, un, puis deux, puis trois. Le passage est ouvert, humide presque crémeux et, un instant, j’envisage de tenter d’y introduire ma main toute entière. Mais je n’ose pas et préfère enduire toute sa raie avec sa mouille pour glisser mon pouce dans un anus accueillant. Ces caresses lui plaisent et la bouche pleine de ma queue, elle grogne de plaisir.
Mais elle se redresse et, comme possédée, elle arrache sa blouse, libère sa poitrine en faisant glisser son soutien-gorge tout en disant :
Elle a dû appuyer sur un mécanisme car la table de massage descend assez bas pour qu’elle puisse l’enjamber et venir me chevaucher. Dans le même mouvement, elle guide mon sexe dans sa chatte que le malheureux string ne protège pas vraiment. Un instant j’ai peur d’être écrasé, tellement elle se laisse tomber sans retenue. Mais non, je ne sens que la douce caresse de ses fesses sur mes testicules, preuve que je suis entièrement en place.
Ma cavalière s’est immobilisée et les yeux fermés elle semble apprécier, alors que de mon côté, je suis comme observateur de cette situation. Sans vraiment se soulever, son bassin avance et recule pour permettre à ma queue d’explorer des zones nouvelles pendant que ses mains palpent son opulente poitrine. Mathilde est si grande et si forte que les miennes ne peuvent pas apporter leur contribution, aussi je me concentre sur son clitoris que je titille avec mes pouces.
Petit à petit, son basculement de bassin se transforme en vrai va-et-vient sur ma tige, avec les seins lourds et laiteux qui oscillent en cadence. C’est étrange, je ne me sens pas concerné, pourtant mon sexe est gonflé, dur avec le gland sensible. Je ne suis qu’un objet de plaisir, une queue, une bite, un mandrin que la cavalière utilise pour se baiser, à son propre rythme, de plus en plus profond, de plus en plus vite. Je la vois se pétrir les seins, tirer sur les bouts, les tordre jusqu’à gémir de douleur, ou de plaisir. Elle est de plus en plus frénétique et j’ai bien du mal à garder un doigt sur son clito. Elle monte et descend sans que jamais ma verge ne ressorte de sa grotte comme si un sortilège la faisait se dresser verticale, avec le gland pointé vers sa chatte.
Elle jouit et elle m’inonde de son plaisir. C’est la première fois qu’une femme me noie de cette façon. Au même moment, elle pousse un cri « Ouiiiii » à faire trembler le cabinet. Heureusement que je suis son dernier client.
Virginie reste un long moment immobile pour reprendre son souffle puis elle se soulève légèrement pour libérer mon sexe toujours aussi dur. Elle est comme moi, surprise que j’ai pu résister et durer aussi longtemps malgré sa chevauchée endiablée.
Elle est à demi allongée sur mes jambes, sa poitrine frottant délicieusement sur mes cuisses et, comme je plie un peu une jambe, mon orteil se place comme un petit sexe pour pénétrer sa chatte. Alors que je la caresse assez maladroitement de cette façon, Virginie entreprend une fellation où sa gorge devient un fourreau vivant qui me branle et me suce. Lorsqu’elle abandonne ma queue, c’est pour venir gober mes testicules encore luisants de sa liqueur. Ses lèvres sucent mon gland pendant que sa langue en lèche la base avant de descendre tout le long de ma tige jusqu’à venir buter sur mon ventre. Qui pourrait résister à un tel traitement ? Elle y met une telle ardeur, un tel savoir faire que rapidement je sens la jouissance monter et c’est dans sa gorge que mon sperme jaillit.
Elle est ravie de le recueillir et se fait un devoir de tout avaler. Alors elle rampe vers moi, les lèvres tachées de gouttes blanche et au moment de m’embrasser…
Il me faut quelques secondes pour réaliser que je suis dans mon lit et que j’ai joui dans les draps. Je suis tout poisseux de sperme. J’ai l’impression de revenir pendant mon adolescence avec mes éjaculations nocturnes. Ce rêve m’étonne car je ne fantasme pas du tout sur Virginie. Le lien vient peut-être de ce film érotique que j’ai regardé hier soir et qui se passait dans un milieu médical. Où va se nicher notre imagination !
Le réveil m’indique six heures et j’ai encore le temps de dormir un peu mais je suis encore émoustillé par mon rêve et le sommeil ne revient pas.
Ma copine dort à côté de moi, couchée en chien de fusil avec la lumière de l’aube qui éclaire ses belles fesses offertes à mon regard. Doucement je rampe pour venir me coller contre elle et, au contact de sa peau, mon sexe durcit pour venir se placer à l’entrée de sa grotte. Lentement j’essaie de pénétrer et, à ma grande surprise, je trouve le chemin déjà humide et je me retrouve sans effort douillettement au chaud, le pubis effleurant son postérieur. Après tout, elle aussi a peut-être fait un rêve érotique, ce qui expliquerait cette lubrification bienvenue. Je ne bouge pas et elle ne semble pas se réveiller, tout au plus un petit gémissement sort de ses lèvres. Je m’enhardis, après tout où est le risque ? et je commence un très lent mouvement de va-et-vient qu’elle semble apprécier dans son rêve. Qui est avec elle dans ses pensées ? Quel est l’homme qui la prend ? Est-ce moi ? Un inconnu ? Un fantasme féminin ?
C’est très excitant et ma queue en vibre de plaisir. Pourtant elle ne se réveille toujours pas. Il est vrai que je la baise tout en retenue, avançant et reculant sans à-coups.
Et si elle faisait semblant de dormir ? Je susurre son prénom. Rien. Mais si, elle ondule et puis semble marmonner entre ses dents. Je n’entends pas, je stoppe mes mouvements pour écouter et je crois comprendre :
Et je sens sa main descendre pour venir caresser son petit bouton.
Mais qui est ce Paul dans son rêve ? En tout cas, elle est en train de se caresser et je sens ses doigts qui touchent ma tige. Je reprends mes mouvements pour relâcher un peu la pression dans mon bas-ventre. Que c’est bon de coulisser incognito dans ce vagin pourtant bien des fois possédé. J’imagine que dans son rêve, c’est la queue de Paul qui l’enfile et qu’elle effleure de ses doigts. Elle gémit, mais sous les caresses de qui ?
Mais oui, rêve, réalité, tout se mélange. D’une main j’attrape sur ma table de nuit ce liquide que nous utilisons quelquefois et, sans pitié pour nos draps, j’en fais couler sur ma verge et sur les fesses de ma maîtresse en l’étalant copieusement dans sa raie. Aucune réaction, ce qui m’encourage à continuer et je fais glisser mon gland de sa chatte à son anus, recueillant au passage un maximum de lubrifiant. Ma copine ne m’a accordé le privilège de la sodomiser qu’une seule fois, un soir de fête bien arrosée. Bien que cette première fois ne se soit pas mal passée, elle m’a refusé de recommencer sous de faux prétextes.
Nos rêves sont-ils influencés par des événements extérieurs ou bien ne sont-ils que le résultat du cerveau qui classe les informations de la journée ? Je vais avoir une partie de la réponse dans la façon où elle va réagir alors que mon gland passe sans grande difficulté le passage étroit de l’anus et que ma queue envahit son cul étroit et presque vierge. On dit que c’est la contraction et le risque de douleur qui rend quelquefois ce chemin difficile. Ah mon enculée marmonne à nouveau.
Elle s’agite, je sens qu’elle se réveille, et je peux imaginer ses premières pensées, ses premières sensations alors qu’elle prend conscience que son rêve continue dans la réalité et que ce sexe est bien dans son cul et que le propriétaire est son copain, Jean.
Je crois que je n’aurais pas tenu compte d’un refus, tellement je suis excité et que ma queue est gonflée de désir. Aussi, le « oui » me libère et aussitôt je commence à bouger pour réoccuper le terrain libéré par son petit mouvement de retrait. J’en profite également pour porter mes mains à la rencontre de sa poitrine que je n’ai pas encore osé toucher de peur de la réveiller.
J’adore ses petits seins, si fermes que je lui demande souvent de ne pas porter de soutien-gorge. Oh, voir ses tétons pointer sous un chemisier bien sage, une robe moulante ou un petit pull en cachemire ! Rien n’est plus érotique et Annie apprécie aussi le doux frottement du tissu sur ses pointes.
Mes mains découvrent cette peau si soyeuse, presque brûlante des globes déjà gonflés par le désir avec les pointes érigées que je me fais une joie de faire rouler entre mes doigts. Elle gémit sous ces caresses et je peux aussi sentir sa main, qui est restée en place pendant tout ce temps, bouger pour reprendre sa masturbation. Enfin libéré, je peux commencer à la prendre par des petits mouvements que le lubrifiant rend agréables malgré l’étroitesse du chemin. Pour l’instant je suis tout à son écoute, attentif au moindre de ses mouvements, guettant le geste, le gémissement qui, je l’espère de toute la raideur de ma verge, me dira qu’elle apprécie. Enfin voila ce que j’attends.
Et je sens qu’elle atteint une première jouissance par ses propres caresses.
J’augmente le rythme. Oui, je retrouve cette sensation d’avoir ma queue pressée de toute part et aussi je sens l’anneau qui me masturbe comme j’aimais tant avec ma copine d’avant. Plus de retenue maintenant. Je la bourre par de grands coups de reins, faisant ressortir ma verge pour la replonger, sans grande résistance, au plus profond. Elle aussi participe, nous sommes en phase. Mes « han » de bûcheron se mêlent à ses gémissements. Elle jouit, mais je ne faiblis pas. Mon éjaculation de la nuit me rend résistant. Je vais, je viens, entre ses reins, comme le chante Gains… Et c’est bon. Que c’est bon ! Je crie mon plaisir. Je crache mon sperme avec une telle force que je m’attends presque à le voir jaillir de son cul.
Voila, je suis vidé. Nous sommes bien, collés l’un à l’autre, mon sexe qui fond doucement dans son anus et mes mains plaquées sur sa poitrine. C’est seulement après un long moment que je la questionne.
Son ton de la plaisanterie me fait relancer.
Le réveil coupe notre conversation et c’est tant mieux car cela nous aurait peut être amené à une dispute. Toujours est-il que je ne crois pas un mot de sa prétendue comédie et que je vais mener ma petite enquête sur ce Paul.
Comme chaque matin, le temps est compté et nous nous préparons rapidement pour aller travailler. C’est sur le trottoir, au moment de nous séparer, qu’Annie lance :