Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14846Fiche technique7910 caractères7910
Temps de lecture estimé : 6 mn
07/03/12
Résumé:  Découverte d'un lieu d'échanges déniché par mon épouse. Devant moi, elle se donne à un autre.
Critères:  fhh inconnu hdomine humilié(e) init confession -cocucont -boitenuit
Auteur : Herve Chaumont      Envoi mini-message
Libre echange

Ma femme Ginou est auburn, visage rond, yeux verts habilement surlignés par un eyeliner, sa bouche est petite, charnue, bien dessinée. Elle a une poitrine lourde, aux bouts épais et sensibles qui supporte un bonnet C. Sa toison est fournie de soies brunes et douces desquelles dépassent des lèvres pendantes qui enserrent un clitoris épais qu’elle aime caresser, elle se masturbe très régulièrement. Pour finir la description, Ginou est plutôt de petite taille : 1,55 m et mince : 47 kg.

Dans notre couple, c’est elle qui initie les décisions de la vie courante.

Ginou aime les endroits pour le moins insolites, et j’ignore comment elle en découvre sans cesse de nouveaux.


Ainsi, depuis quelques jours nous allons souvent nous garer devant une pension de famille « Les Marronniers » dans le quartier de la rue de Prony. Ginou avait appris qu’il s’agissait d’un lieu où des femmes se faisaient prendre devant leur mari. Nous passons des heures à regarder des couples, des hommes, entrer et sortir, ce qui émoustille beaucoup Ginou qui, dès le retour à la maison, me demande de la prendre tout en lui racontant un petit scénario où je la mets en scène dans cet établissement. Je lui décris alors l’un des hommes que nous avons vu sortir, la mettant en scène avec lui, tout en la caressant. J’aime sentir venir son plaisir et suis excité à l’idée de visualiser dans mon esprit ma femme se faisant prendre devant moi.


Ce samedi-là, au bout d’un moment où nous observons depuis la voiture les allées et venues dans la pension de famille, Ginou suggère que nous y entrions, juste pour voir… J’accepte pour lui faire plaisir. Nous sonnons, une femme nous accueille, je règle, elle nous conduit dans une salle, nous indique un vestiaire où déposer nos effets et nous informe que l’accès au reste de l’établissement se fait nus. J’observe que l’empressement de Ginou est nettement supérieur au mien. Après nous être défaits de nos vêtements, nous franchissons le seuil d’une pièce composée de nombreuses banquettes et d’un immense lit sur lesquels sont couchés des couples mêlés, le tout face à une rangée de bidets.


Un homme s’approche de Ginou et lui demande l’autorisation de lui faire sa toilette intime. Sans même se soucier de moi, elle accepte. L’homme la prend par la main et l’installe sur un bidet, dos tourné au mur, face au spectacle des couples. Il lave Ginou, plutôt la caresse entre les jambes, ma femme est très excitée, cela m’emplit d’un mélange intense de jalousie, de honte, mais aussi de trouble.


Tandis qu’il la lave, un homme approche sexe tendu à la main. "Embrasse" lui dit-il. Ginou me regarde puis prend le sexe de l’homme dans sa bouche et tout en me fixant se met à le sucer. L’homme qui la caresse dit :



Il la relève du bidet, continue à la masturber, Ginou prend en main le sexe qu’elle suçait quelques secondes auparavant, l’homme qui la masturbe se met à genoux entre ses jambes, écarte ses lèvres et la lèche fébrilement. Ginou continue à masturber l’autre homme qui finit par jouir sur ses seins pour partir aussitôt.


Ginou s’abandonne sur la bouche de son laveur. Il lui suggère de monter à l’étage où des alcôves sans portes mais plus intimes invitent à des ébats plus subtils. Après une douche, nous montons Ginou et moi. Des chambres à la lumière tamisée, ouvertes sur un couloir. Nous pénétrons dans la première, vide. Ginou m’attire sur le lit, me bisouille, m’enlace, me dit qu’elle m’aime, qu’elle a aimé la caresse de l’homme autant parce qu’il la lui faisait que parce que je le voyais la faire. Elle me caresse et je n’ai pas le temps de lui dire que j’ai souffert de la voir frémir sous une autre main que la mienne, et de la voir sucer un autre homme en même temps, qu’un homme mûr entre, s’assied sur le lit à côté de Ginou, pose sa main sur ses seins qu’il caresse. Ginou est toujours contre moi, je ressens son trouble. L’homme lui prend la main et la pose sur son sexe, raide, Ginou le masturbe doucement, s’écarte de moi, se tourne vers lui, pose sa tête contre sa poitrine. L’homme lui dit :



Ginou répond par la négative. L’homme lui dit d’écarter les jambes largement et de se tourner vers le couloir. Elle se rend compte que d’autres hommes nous regardent. Il la caresse, j’entends le bruit de sa mouille qui s’amplifie de plus en plus sous les doigts de l’homme. Ginou gémit et lui demande si elle peut le sucer, l’homme lui offre sa queue raide. Cette image de ma femme dominée par ses sens devant cet homme et les autres qui, sur le seuil se masturbent face à elle, est une blessure autant qu’un plaisir et une fierté de la voir produire tant d’effet sur tous ces hommes. Je vois Ginou sucer l’homme tout en se caressant elle-même puis, trop excitée, elle lui dit, gémissante de désir ;



L’homme lui dit :



Je m’allonge sur le lit, Ginou se met à quatre pattes au-dessus de moi, l’homme reste debout au bord du lit, il m’ordonne de mettre moi-même son sexe dans la vulve à Ginou. Sa chatte est trempée, je prends la queue raide de l’homme et la mets dans la chatte à Ginou. J’entends le bruit de sa mouille quand son amant va-et-vient en elle, j’entends ses cris de jouissance, je vois la cyprine couler sur ses cuisses. Elle crie :



L’homme et ma femme jouissent ensemble, longuement, intensément. Quand il a fini, il sort de Ginou et présentant son sexe à ma bouche m’ordonne de le lui nettoyer.

Les hommes du seuil déchargèrent dans la bouche, sur les seins et sur les fesses de Ginou.

Ginou redescend avec moi, nous prenons une douche.


Nous allons au bar, Ginou me redit son amour, m’affirme que le plaisir qu’elle a eu n’est que sexuel et qu’elle me remercie de l’avoir laissée s’éclater. Elle me dit aussi qu’elle n’aurait pas accepté que je me laisse séduire par une des femmes qui étaient là. Le barman prend notre commande puis apporte nos consommations, elle m’embrasse. Un homme s’assied face à nous, c’est un homme de couleur. Il se caresse en fixant Ginou, Ginou fixe ce sexe noir et, tout en le fixant, elle glisse sa main entre ses cuisses et commence à se masturber. Puis elle prend ma main et la pose entre ses jambes, elle est déjà trempée, je n’ai plus de jalousie, plus de honte, plus de souffrance, je prends sa main et la lui pose sur mon sexe, il est raide, nous nous caressons mutuellement. J’appelle l’homme :



L’homme se lève et, debout offre à la bouche gourmande de Ginou son sexe raide de désir. Ginou s’en empare avec difficulté tant il est épais, le fait aller et venir dans sa bouche tout en continuant à me masturber, je lui murmure :



Ginou est incapable de répondre. Je demande donc à l’homme ce qu’il préfère lui : jouir dans la bouche ou dans la chatte ? Il répond qu’il est capable des deux…