n° 14861 | Fiche technique | 54449 caractères | 54449Temps de lecture estimé : 32 mn | 15/03/12 |
Résumé: Les aventures d'une jeune femme récemment célibataire qui explore la sexualité des autres. | ||||
Critères: ff ffh couleurs couplus extracon prost fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo échange init -extraconj -fbi | ||||
Auteur : VincenLise Envoi mini-message |
La quarantaine avancée, un début de calvitie, un ventre de buveur de bière, voilà le portrait de l’homme avec qui je suis en train de faire l’amour. Le soir où il m’a draguée, j’étais bien imbibée et sûrement en manque, mais je remercie Bacchus de l’avoir mis sur mon chemin, dans mon lit plutôt, car c’est un bon coup. Actuellement il est en train de me lécher le clito pendant que ses doigts jouent à touche-touche de part et d’autre de la fine cloison qui sépare mes deux conduits. De mon côté je m’occupe de son vit, que j’ai bien du mal à faire tenir dans ma bouche.
Cela fait un bon moment que nous sommes en 69 et je resterais ainsi pour l’éternité tellement il me fait du bien et que les jouissances succèdent aux jouissances. Mais il demande grâce dans un souffle.
Je me lève pendant qu’il fait dérouler un préservatif sur son sexe ainsi qu’un anneau de plastique qui trouve sa place à la base de son mandrin. À ma question muette, il répond :
De toute façon ce n’est pas le moment de discuter car je suis « chaude » et il me faut du concret, du solide. Il me suffit de l’enjamber pour que sa queue trouve le chemin sombre et humide que depuis la nuit des temps les femmes réservent à leurs amants. Dieu que c’est bon de se laisser glisser le long de ce pieu avec le gland qui ouvre le chemin. Voilà, j’arrive au bout, mes fesses touchent ses cuisses, Andromaque est en place, mais j’ai l’impression que des vibrations m’électrisent. Je remonte, cela cesse, je redescends, cela revient. Je comprends, c’est son anneau avec cette curieuse protubérance qui vibre et si… oui c’est… oh quelle sensation !
Voila, il suffit que je bascule le bassin en avant pour que cet objet qui vibre trouve le chemin de mon clito. Ce cher clito, déjà bien éprouvé par la langue de mon amant ne sait plus où donner de la tête et il ne faut pas compter sur sa propriétaire pour garder la tête froide.
Je n’ai qu’une envie, jouir. Et mon amant qui, avec ses mains, presse mes seins pour faire pointer, encore plus si c’était possible, mes deux tétons déjà gonflés pour quémander des caresses. Je les frotte de la paume des mains mais aussi je les presse du pouce et de l’index, je les roule jusqu’à la douleur. Pendant ce temps, je me fais du bien sur ce pieu de chair en me « baisant » moi-même, montant et descendant avec des pauses lorsque cette vibration m’électrise le clito. Rapidement je sens le plaisir qui vient et je sens ma liqueur qui coule. Sans être une femme fontaine j’ai une jouissance toujours très humide et j’adore ce clapotis produit par le piston du sexe dans ma vulve.
Je pense à mon amant, si résistant, et que le préservatif a protégé d’une éjaculation trop rapide. J’extrais son sexe de ma chatte, enlève le latex parfumé et tout en le branlant, je titille son gland de la langue jusqu’à sentir la montée du sperme et au dernier moment m’éloigner pour le laisser cracher sur son ventre. J’ai toujours le regret de ne pas pouvoir le goûter, comme j’aimais le faire avec mon mari, mais c’est trop tôt, je le connais seulement depuis un mois. Alors prudence.
Je vous raconte ma dernière aventure alors que je ne me suis même pas présentée. Qu’allez-vous penser de moi ?
Voilà, je m’appelle Clara, j’ai trente-cinq ans, blonde, assez grande, pas mal faite, enfin on le dit, célibataire. Oui célibataire, mais plus exactement : récemment divorcée. Oh, pas de drame, nous nous sommes séparés d’un commun accord et mon mari a l’élégance de me verser une pension qui, pour l’instant me permet de voir venir. Mon statut est donc passé de femme casée à femme sur le marché, ce que mes amis me font bien sentir en essayant de me caser lors des dîners et pince-fesses. Soit dit en passant, j’y retrouve mon ex qui file le parfait amour avec sa nouvelle conquête.
Si je regrette une chose de notre mariage, c’est le sexe. Pierre et moi étions en parfait accord sur le sujet, mais c’était bien le seul. Croyez-moi, les bons coups ne sont pas si nombreux et je parle d’expérience. Mon amant actuel fait remonter la moyenne.
Quelques jours plus tard je réponds au téléphone.
Bien sûr que je me souviens. Mathilde, une belle brune, très classe, très élégante mais avec une réputation sulfureuse, genre entremetteuse.
Ma première pensée est : mais elle me prend pour une pute ? Mais, après tout je suis curieuse de la voir venir.
Au point où j’en suis, je dis : d’accord.
La première chose que j’ai faite, c’est d’engueuler Joël pour avoir parlé de moi à sa copine. Mais, ce traître a retourné la situation en me présentant cette offre comme une vraie chance et qu’il était persuadé que je serais enchantée après. Finalement j’ai téléphoné à Mathilde pour donner mon accord à une séance d’essai.
Quinze jours plus tard elle m’appelle pour une soirée « mains chaudes » afin que je remplace une des femmes. C’est le baptême du feu, mais je ne suis pas du tout inquiète, plutôt curieuse et même impatiente. Je sonne à l’heure prévue et elle me fait attendre dans un petit salon, le temps que les couples arrivent. Lorsqu’elle revient, elle est accompagnée de la femme que je dois remplacer, la quarantaine, petite et très réservée. Mathilde m’explique que c’est la première fois, que cette femme ne se sent pas prête et qu’elle a préparé un papier pour expliquer ce qu’elle fait avec son mari. En le parcourant, je me dis que je comprends son mari de vouloir améliorer l’ordinaire et j’ai du mal à imaginer comment il a pu la décider pour cette soirée. Enfin ce n’est pas mon problème, sauf que, selon les accords, je dois rester dans le canevas. Elle ajoute cependant « Faites pour le mieux ». Je sais qu’elle va tout de même assister à la soirée, plus exactement entendre ce qui va se passer, installée derrière un rideau.
Mathilde me passe une cagoule qui recouvre totalement la tête jusqu’aux épaules et ainsi déguisée je suis conduite dans une grande chambre où trois autres femmes, cagoulées de la même façon, attendent en bavardant. La pièce n’est pas très grande, plus exactement un lit gigantesque au centre, laisse peu de place pour circuler. Chacune a une place désignée sur chaque côté du lit et de la même façon, les hommes devront retrouver la partenaire d’un soir, désignée par tirage au sort. Cela ne laisse pas beaucoup de place à l’imprévu mais notre hôtesse m’a expliqué que justement cela rassurait ces couples qui voulaient, sans vraiment vouloir, qui fantasmaient sans oser, enfin qui voulaient partager sans vraiment le voir, donc d’une certaine façon, pas assurer leur sexualité.
Enfin, la lumière s’éteint et quelques secondes suffisent pour que la porte s’ouvre et que l’on devine les hommes entrer dans la pièce et se diriger vers leur promise. J’éclate de rire lorsqu’on entend un « Aïe » suivi d’un « Pardon » qui montre que rien n’est simple dans le noir. Mais une main malhabile se pose sur mon épaule, aussitôt suivie par une seconde, signifiant que mon partenaire est tout près de moi. D’ailleurs j’entends un « Bonsoir » susurré dans mon oreille alors que les mains se déplacent pour former une corolle autour de mon visage et que deux lèvres viennent toucher les miennes, dans un baiser d’une tendresse désarmante. Ce geste si doux me touche car je ne m’attendais pas à une telle délicatesse dans ces circonstances.
Je suis toute émoustillée et si les hommes savaient combien nous sommes sensibles à ces petits gestes, au point de littéralement fondre dans leurs bras, la vie serait pleine de surprises. Je réagis par un petit soupir et mes lèvres s’entrouvrent pour laisser nos langues faire connaissance. Ce n’est pas violent, mais doux et sensuel et ce baiser est comme un pacte passé entre nous pour la suite de cette rencontre.
Nos mains partent en reconnaissance, remplaçant ce que la vue ne nous révèle plus. Il est en chemise légère, le col largement ouvert sur un torse que je devine velu, avec des hanches étroites, sans les poignées d’amour que certains hommes présentent souvent. De son coté, il constate que je suis dans une robe qui épouse un corps dont je suis assez fière, et que la pratique régulière de la natation rend ferme et filiforme. Très vite, la fermeture éclair, qui part de la nuque jusqu’aux reins, s’ouvre pour laisser tomber ce petit bout d’étoffe à mes pieds. Alors ses mains sont en contact direct avec ma peau et ce n’est pas mon soutien-gorge qui peut le retenir car j’ai oublié d’en mettre un, jugeant que mes seins n’ont pas besoin de cette lingerie pour se tenir droits. De mon coté, je m’échine sur ces satanés boutons qui freinent mon envie de palper son torse et alors que j’ai atteint mon but, il est déjà en train de faire glisser ma petite culotte que je pousse du pied. Il reste immobile pendant que je dégrafe sa ceinture et que son pantalon et son slip suivent le même chemin. Le baiser, un temps interrompu, reprend et comme nos corps se touchent, peau contre peau, poitrine contre poitrine, sexe contre sexe, le rythme s’accélère.
Doucement, il me pousse contre le lit et me fait asseoir pendant que ses lèvres quittent les miennes pour descendre mordiller les mamelons de mes beaux nichons. Sa main descend et ses doigts plongent dans mon intimité. J’écarte les cuisses instinctivement, ses doigts fourragent ma chatte, je me cambre, je tends la main vers son sexe, je le branle. Mais il s’éloigne, et je dois lâcher cette queue que je voudrais explorer plus longuement, pour sursauter quand sa langue plonge dans ma vulve déjà bien humide de ses traitements. Je ne peux retenir un cri de plaisir et je me rends compte que la chambre n’est plus silencieuse mais résonne de petits bruits humides ponctués de gémissements qui font penser que les autres couples se donnent aussi du plaisir.
On peut entendre, et même ressentir par les secousses du matelas, le claquement caractéristique de cuisses contre cuisses lorsqu’un homme baise avec vigueur sa partenaire. C’est bon de se sentir si bien entourée et je me cambre encore quand la bouche commence à me sucer, passant de mes petites lèvres à mon clitoris et descendant jusqu’à mon œillet, essayant de pénétrer mon cul du bout de la langue mutine. Cette caresse n’est pas anodine. C’est une façon de demander si je suis disponible par ce passage. Comment refuser ce plaisir, aussi ma réponse est éloquente et sans ambiguïté car je gémis « Ouiiiii » et pousse mon bassin au-devant de cette caresse.
Mon amant m’amène au plaisir uniquement par ses caresses buccales et il recueille mon jus intime pour l’amener près de ma pastille. Je suis prête, mais je résiste au plaisir de me faire mettre car je veux moi aussi apporter ma contribution. Je prends l’initiative et quelques secondes plus tard, les rôles sont inversés. Je suis à genoux et c’est moi qui gobe son sexe dans ma gorge. Sa queue est bien raide, légèrement courbée, le gland totalement libre de peau laissant ma langue l’explorer. Une légère odeur de musc s’en dégage, preuve que mon amant s’est recouvert le corps de parfum. Il est trop long pour que je puisse le prendre entièrement dans ma bouche mais je le pompe avec plaisir pendant que ma main palpe ses testicules. Il apprécie ce traitement et je sens son sexe « battre » dans ma gorge.
Lorsque je juge qu’il est au bord de l’explosion, je me relève et prenant mon amant par les mains je lui montre que je m’installe à quatre pattes sur le lit. Il n’est pas nécessaire de lui faire un dessin et il se place en position pour me prendre. Je le guide et des doigts je positionne son gland pour que sa queue entre et glisse dans ma chatte qui doit être dilatée, les lèvres gorgées de sang, indécente, prête pour la saillie. Je pousse sur sa queue, je m’ouvre à lui, je me donne à cette pine que je ne connaissais pas il y a une heure. Ses mains viennent servir de réceptacles à ma poitrine et ses paumes m’électrisent uniquement par leur frottement sur mes tétons.
Une de mes voisines vient de crier son bonheur et les autres ne sont pas en reste si j’en juge par les vibrations du matelas et les « han » de bûcherons que lance un homme.
C’est le moment que je choisis pour sortir son vit de ma chatte et en me cabrant je le dirige contre mon œillet. Je pousse sur sa queue et ses mains s’accrochent à mes hanches pour forcer mon anus à s’ouvrir sous la délicieuse pression de son bâton. Il me remplit jusqu’à ce que son ventre bute sur mes fesses. Je veux qu’il me prenne sans ménagement, mon ventre est en feu, je veux jouir, je veux qu’il me laboure le cul. Je me penche jusqu’à ce que ma tête touche le lit, libérant mes mains pour me masturber et presser ses couilles qui se balancent au rythme de mon enculade. Je gémis, je l’encourage, je me fiche que les autres entendent. Il pourra se vanter auprès de sa femme. « C’est moi qui l’ai fait crier de plaisir ».
Son sexe me bourre le cul avec force alors que ses mains retrouvent le chemin de mes seins auxquels il s’accroche comme à des bouées. C’est violent, brutal, mais c’est si bon. Je jouis et je sens couler mon jus sur ma main. Il continue cependant de me pistonner jusqu’à ce que sa jouissance arrive et je sens des flots de sperme noyer mon cul. Il s’écroule sur moi, en sueur et à bout de souffle. Nous restons un instant dans cette position, sans bouger et je sens que son sexe qui ramollit glisse hors de mon conduit. Alors, tendrement il m’embrasse derrière l’oreille et me susurre :
Et il me libère.
Manifestement nous sommes les derniers, et j’imagine que nos voisins ont bien profité de notre plaisir. Je pense un instant à la femme que j’ai remplacée et qui a entendu ces quatre couples faire l’amour, cherchant peut-être à reconnaître la voix de son mari. Je lui souhaite d’avoir profité de ces moments pour s’adonner au plaisir solitaire et peut-être a-t-elle regretté de ne pas être participante.
La porte s’ouvre et on entend Mathilde demander aux hommes de sortir après s’être caché le visage avec la cagoule. Une fois que c’est fait, elle récupère leurs vêtements et sort en nous demandant de nous dissimuler aussi le visage.
C’est un spectacle surprenant que le retour de la lumière offre à notre regard. Le lit est un champ de bataille et nos corps montrent des traces du plaisir donné et du plaisir reçu. Une d’entre nous montre une longue traînée de sperme du ventre à la poitrine, preuve de la puissance de son partenaire. De mon côté, je sens le sperme de mon amant s’écouler lentement de mes fesses et mouiller ma cuisse. Mais personne ne semble mal à l’aise, encore sous le charme de cette aventure.
Voila, c’est à la suite de cette expérience que j’ai commencé ma carrière de… euh… quel mot faut-il mettre pour mon emploi ? Escort girl ? Non ! C’est même le contraire car je ne m’affiche pas. Pute ? Peut-être certains soirs où j’ai simulé car je n’avais pas de bonnes sensations avec mon partenaire. Nymphomane ? Je ne pense pas être addicte au sexe à ce point-là.
Vous voyez, rien ne convient. Je suis une femme moderne, libérée, qui aime faire l’amour et qui trouve des partenaires, non pas dans les sites de rencontres, mais chez une amie.
Donc, je pratique maintenant cette activité en fonction des appels de Mathilde. C’est assez irrégulier et cela apporte une inconnue supplémentaire.
Quelques mois passent nous amenant à l’été où je rejoins, pour quelques jours, ma sœur qui habite dans le sud de la France. Un matin, sur le marché, je croise une femme que je reconnais aussitôt comme ma première cliente. Par discrétion je fais mine de ne pas la remarquer mais c’est elle qui m’aborde.
Comme je ne veux pas faire d’impair, je fais l’étonnée.
Je fais toujours l’imbécile.
J’accepte volontiers. Ma sœur ne rentre pas à midi, j’ai donc tout mon temps et c’est l’occasion de mieux comprendre. Elle se penche vers moi et comme une conspiratrice me dit :
À ces paroles, le regard du mari s’est allumé, mais il est resté très calme et surtout pas égrillard.
Ce matin je me demandais comment j’avais fait pour me mettre dans cette situation. Pourquoi avais-je donc reconnu cette Clara et pourquoi avait-il fallu que je me confie à elle ? Pourquoi avais-je avoué à mon mari mon subterfuge chez cette Mathilde et, dans un moment de faiblesse, avais-je continué ma confession sur la nostalgie des moments passés entre filles ? Pourquoi avait-il appelé Mathilde pour avoir les coordonnées de Clara ? Pourquoi l’ai-je laissé téléphoner à Clara pour l’inviter quelques jours à la maison ? Pourquoi n’ai-je rien dit lorsque je les ai entendus discuter des conditions financières et de ce qu’il attendait d’elle, alors qu’en même temps il me questionnait du regard, guettant un geste de refus que je n’ai pas fait ?
Et ce matin, il est allé la chercher.
Bien sûr, j’ai fait bonne figure et en parfaite maîtresse de maison, je me suis appliquée à bien la recevoir. D’ailleurs ce n’est pas difficile, elle est sympathique et on bavarde tous les trois comme des amis de longue date. Thomas m’a servie généreusement en vin, et lui et moi savons qu’il me faut peu d’alcool pour que je devienne euphorique.
STOP.
Ne croyez pas un mot de ce que je viens d’écrire. C’est ce que je veux faire croire, mais la réalité est très différente.
Si j’ai refusé chez Mathilde, ce n’est pas par peur ou pudibonderie. Je voulais rester fidèle, non pas à mon mari qui me poussait dans le libertinage, pensant me libérer de ma retenue dans le sexe, mais à mon amant, mon ami, mon amour : John. J’étais folle amoureuse de cet homme que je croyais sincère et qui m’avait fait découvrir tout ce qui peut être fait entre un homme et une femme. Notre aventure durait depuis dix mois, j’étais sa chose et envisageais de quitter mon mari pour lui. Et le salaud, alors que je lui révélais mon subterfuge pour lui rester fidèle, il m’a annoncé qu’il retournait dans son pays et pas question de m’emmener.
Je suis tombée de haut et j’ai mis un moment à remonter la pente.
Bien sûr, mon mari n’a rien vu et je me suis retrouvée dans une position bancale, celle de l’épouse un peu coincée malgré les efforts du mari, alors que les séances de sexe avec John me manquaient. Comment faire pour passer du stade d’épouse à celui de maîtresse expérimentée alors que j’avais fermé toutes les portes offertes ? Aussi, lorsque j’ai reconnu cette Clara au marché, j’ai tout de suite pensé qu’elle était la réponse à mes questions.
Mon piège est en place et je n’ai plus qu’à me laisser faire.
L’alcool que Thomas m’a généreusement servi est censé me désinhiber, et du coup ma proposition de se baigner nus parait normale.
La piscine nous tend les bras et alors que je m’assieds au bord, les pieds délicieusement rafraîchis par l’eau, Clara et Thomas plongent pour nager un peu. Je suis agréablement étourdie par l’alcool et le soleil, décontractée, disponible, regardant, sans vraiment les voir, les deux nageurs.
En réalité elle n’attend pas de réponse car elle place ses mains sur mes cuisses pendant que ses lèvres fraîches me surprennent au contact de mon minou.
Pendant que sa langue fait connaissance des lieux, elle m’invite à m’allonger tout en plaçant mes pieds sur la margelle de la piscine. Dans cette position mon intimité est largement offerte aux regards et à ses caresses. Ses lèvres et sa langue explorent mon sillon que j’ai eu la bonne idée de dégager de tout ce gazon disgracieux que la nature nous inflige. Ainsi, rien ne gène la progression de cette langue qui me lèche de haut en bas, s’attarde sur mon clito et le décalotte pour le sucer de ses lèvres.
Je retrouve toutes les sensations de mon adolescence où, entre amies, nous jouions à ce petit jeu, avant de vraiment tourner nos regards vers les garçons. Seule une femme peut deviner et devancer les attentes d’une autre. C’est bon de sentir ces petits frissons précurseurs du plaisir, de la jouissance. Sa langue écarte mes petites lèvres pour me pénétrer comme un petit sexe à la fois rigide et souple. Puis elle descend vers mon œillet qu’elle titille comme si elle voulait ouvrir cette porte, si peu de fois franchie par mon mari, mais largement pratiquée par ce salaud de John.
Tout s’accélère, un doigt maintenant me sodomise, un ou deux autres me baisent et j’entends le bruit humide de leurs va-et-vient dans mon sexe. Une langue caresse mon clito. Des mains caressent mes seins et une bouche gourmande suce mes tétons pendant que je jouis. Mais comment, bien sûr, c’est Thomas qui s’est joint à Clara pour me faire…
Et le plaisir arrive, fort, violent, titanesque. Je me cambre comme sous l’emprise d’une décharge électrique avant de m’effondrer, littéralement épuisée.
Mes deux amants me laissent reprendre mes esprits. C’est Clara qui parle la première.
Lorsque le mari d’Ophélie m’a téléphoné pour me faire la proposition de passer quelques jours chez eux et qu’il m’a exposé ses souhaits, j’ai pensé refuser car je ne voulais pas me prêter à un jeu que sa femme ne souhaitait peut être pas. Plusieurs choses m’ont fait changer d’avis. D’abord il m’a affirmé qu’Ophélie écoutait notre conversation et qu’elle acceptait. Puis le dédommagement financier proposé et aussi le fait que je commençais à me barber, coincée entre ma sœur et son mari qui ne sont pas ce qu’on appelle des rigolos.
Je continue :
En effet, son mari toujours à genoux près de sa femme, présente une belle érection et je les entraîne pour nous installer plus confortablement, lui dans un fauteuil et nous accroupies sur des coussins. J’invite Ophélie à s’occuper du sexe fièrement dressé et c’est une adolescente que je vois prendre l’objet avec deux doigts pour l’approcher de ses lèvres et minauder en le léchant sans grand enthousiasme. Je pense qu’elle joue une sorte de jeu complice avec son mari, mais non, elle continue dans le même registre. Bien vite elle me cède la place et c’est avec un plaisir non dissimulé que je me fais une joie de montrer tout mon art sur cette belle queue.
Très rapidement Thomas montre le plaisir que je lui donne par de petits bruits de gorge alors que justement je m’efforce d’engloutir le maximum de son sexe dans la mienne. Je m’applique, je suce, je lèche, je branle de la bouche le mandrin de l’homme sous le regard de sa femme. Nos regards se croisent, elle me sourit, et au même moment son mari éjacule dans ma bouche de grandes giclées de sperme que je me fais un devoir d’avaler, toujours sous le regard presque incrédule d’Ophélie.
Tout se déroule bien, même très bien. Je n’aurais pas pu trouver meilleure professeur que Clara. Sa démonstration de fellation est magistrale. De mon côté je me suis bien amusée à jouer mon rôle de femme un peu réticente à sucer. S’ils savaient !
Le reste de l’après-midi s’est passé en farniente et promenade au village. Dès le soir, j’ai fais mine de mettre en application la leçon de Clara pour montrer que je pouvais progresser et j’ai sucé mon cher mari comme je ne l’avais encore jamais fait. Oh, bien sûr, je ne suis pas idiote, je ne suis pas passée de l’épouse prude à la maîtresse expérimentée, mais je me suis appliquée à le prendre plus en bouche, jusqu’à ce qu’il jute entre mes mains. Ce n’était pas un show à la Clara mais il m’a complimentée, surtout lorsque j’ai porté une goutte de son sperme sur mes lèvres.
Le lendemain, au réveil, alors que Thomas commence à me caresser, je propose.
Lorsque je pénètre dans la chambre de Clara, je suis subjuguée par le spectacle de ce corps sans défaut que le soleil habille par les ombres projetées des fleurs du rideau. Elle dort encore, alanguie, offerte à mon regard, légèrement humide de la transpiration de cette nuit d’orage. Je m’approche doucement, dépose un chaste baiser sur ses lèvres pendant que mes mains effleurent son corps et déclenchent des frissons. Elle ouvre les yeux, me sourit sans paraître surprise de ma présence. Je glisse sur les draps pour venir vers son minou qu’elle m’offre en pliant les jambes.
Ma bouche et ma langue dégustent cette humidité si parfumée par la nuit, bien plus goûteuse que celle d’une chatte fraîchement lavée. Je ne sais pas si Clara est lesbienne par goût ou par devoir, mais en tout cas elle ne cache pas son plaisir et soulève son bassin pour me faciliter l’accès à sa raie et son petit œillet. Je m’applique, retrouvant mes gestes d’adolescente, et je veux qu’elle jouisse pour ne plus me considérer seulement comme une « cliente » mais comme une partenaire.
Nous nous déplaçons, impatientes de reprendre nos ébats, et nous nous retrouvons en 69, face à face, plutôt bouche à chatte. Et maintenant chacune est en position de répondre, caresse pour caresse, succion pour succion, langue pour langue. Je me concentre car je ne veux pas me laisser emporter par le plaisir avant d’entendre Clara crier le sien.
Enfin, elle jouit et, si ses lèvres peuvent simuler, le liquide abondant qui s’écoule de son intimité ne peut pas mentir. Je suis fière, heureuse, pleinement satisfaite du but atteint. Maintenant je peux me concentrer sur mes propres sensations.
Quelle agréable façon de se réveiller. Mon hôtesse sait recevoir et rien ne vaut un câlin pour commencer la journée. Je ne suis pas particulièrement attirée par les femmes, mais il faut reconnaître que ça a son charme. Ophélie m’a amenée à la jouissance avec brio.
À moi maintenant. Je suis confortablement installée, un coussin sous la tête, aussi ma bouche est bien placée pour embrasser les petites lèvres de ma maîtresse avant de sortir le petit bouton pour l’aspirer entre mes dents. Mes mains écartent ses fesses pour me faciliter l’accès à son intimité et de cette façon je la lèche avec de grands coups de langues pour humidifier son sillon avec ma salive et sa propre liqueur.
Bien qu’occupée par ce doux labeur, je remarque pourtant que la luminosité change. En basculant légèrement la tête en arrière j’ai la vision d’un plateau maintenu par deux mains et d’un sexe d’homme reposant sur ses testicules. C’est bien sûr Thomas, dans le plus simple appareil, qui m’apporte mon petit déjeuner. Enfin quand je dis, reposant, ce n’est presque plus vrai car le spectacle que nous offrons ne le laisse pas indifférent et je le vois doucement gonfler, palpiter et se raidir suffisamment pour se tenir horizontal.
D’une main je lui fais signe de poser le plateau et de venir me rejoindre. Je ne pense pas qu’Ophélie ait remarqué sa venue. Je n’ai pas cessé de la caresser et elle est maintenant dégoulinante de mouille que mes doigts utilisent comme lubrifiant pour la branler et franchir le passage étroit de son anus.
Thomas est là, juste à quelques centimètres et lorsque j’ouvre la bouche il comprend l’invite pour amener sa queue au bord de mes lèvres. Je suce son gland mais, comme il reste sans bouger, je saisis ses testicules dans ma main et par une légère pression je lui fais comprendre d’oser aller plus loin. Je l’accueille presque entièrement, le faisant aller et venir à mon rythme pour le faire durcir encore, au point qu’il s’échappe lorsque je le laisse ressortir.
Mais mon idée n’est pas de le faire jouir en moi. Non, je veux qu’il prenne la place des doigts qui ont élargi le chemin du cul de sa femme. Je suis d’ailleurs surprise de voir que l’œillet reste bien ouvert lorsque je retire mes doigts et cela n’a pas échappé à Thomas. Il présente son gland en face de ce trou qui semble l’appeler, hésite mais comme j’ai gardé ma main sur ses couilles je l’invite à continuer. Ophélie, totalement surprise, esquisse un mouvement de retrait mais son mari, qui la retient par les hanches, la force à revenir. Le mouvement est si brusque que le gland disparaît, suivit par une large partie du mandrin.
Aïe ! Ce n’est pas Ophélie qui pousse ce cri de douleur ? C’est moi ! La vache, elle m’a mordue ou pincé la chatte avec ses lèvres.
J’ai sous les yeux le parfait exemple de la souplesse de ce sphincter qui entoure, étrangle, ce bâton d’amour qui est pourtant entré bien facilement, comme si, il l’attendait. Mais peut importe, Thomas est dans la place et sa femme n’a pas l’air de s’en plaindre, d’autant que de mon côté je suce son clito et que j’ai deux doigts dans son vagin qui caressent le sexe conquérant de l’autre côté de la fine paroi.
Le moment n’est plus à la retenue et la queue s’active avec force comme si son propriétaire avait imaginé cet instant depuis longtemps. Enfin, il sodomise sa femme. Pas comme les rares fois où il avait l’impression du service minimum. Non, aujourd’hui elle participe et elle dit son plaisir de se faire enculer. Pas besoin de la maintenir par les hanches, c’est elle qui vient au-devant. Si le gland ressort, le trou reste ouvert comme si il en voulait encore.
Ils bougent trop, ma langue ne trouve plus le chemin du clito et je retire mes doigts devenus inutiles. Enfin Thomas crache son sperme avec un petit cri de victoire et s’effondre littéralement sur le dos de sa femme. Heureusement cela ne dure pas trop car je commence à sentir leur poids.
J’ai passé les plus beaux jours de ma vie, au moins pour ce qui concerne le sexe. Merci Mathilde, Clara et surtout mon épouse qui s’est prêtée avec un enthousiasme presque surprenant à cette aventure. Dans deux jours nous remontons à Paris, Clara retourne chez sa sœur et la vie va reprendre. Encore une fois, nous profitons de la piscine avant d’aller dîner, quand Clara m’attire à l’écart pour me dire.
Dés que nous franchissons le seuil de la porte, Clara se met en chasse pendant que nous allons danser dans une salle plus intime que ces grands hangars où les gens se démènent. Pendant une bonne heure nous dansons et buvons, peut être un peu trop, entourés de couples qui profitent des slows pour se caresser discrètement. Enfin, elle revient. L’homme, plutôt le jeune homme, n’est pas particulièrement beau garçon, et elle nous le présente sous le prénom de Stuart. Il ne parle qu’anglais et je suis tout surpris qu’Ophélie lui parle dans un anglais qui me semble parfait, moi qui suis loin d’être de niveau.
Clara les invite à aller danser et lorsque nous sommes seuls, je lui demande.
Dans la limousine qui nous ramène, j’imagine qu’Ophélie a compris la raison de la présence de Stuart. Clara et moi avions décidé de ne rien lui dire et de voir comment elle réagirait. Je caresse ostensiblement Clara en glissant ma main sous son chemisier, montrant ainsi que le champ est libre. Le garçon, assit en face de ma femme, place alors ses mains sur les genoux et lentement, glissant par l’intérieur des cuisses, il remonte jusqu’au mini-slip. Sous la caresse, Ophélie écarte largement les jambes, montrant ainsi son assentiment. Les doigts écartent le morceau de tissu pour effleurer le minou et avancer dans le vagin, avec ma femme qui se cambre pour lui faciliter la tâche. Mais la voiture s’arrête et il faut reprendre une tenue normale.
Aussitôt arrivés, je mets de la musique pour reformer les couples. Nous dansons côte à côte au bord de la piscine, sous un ciel étoilé et une lune qui nous éclaire comme en plein jour. Ma femme est collée contre Stuart qui déjà explore son corps et la déshabille en deux mouvements. Elle est nue et le provoque en tournant sur elle-même. Il veut la reprendre contre lui, mais elle entreprend de le déshabiller.
Clara me tire de ma fascination en me susurrant :
Je la suis dans la cuisine où elle ouvre le réfrigérateur pour prendre du champagne. Sa croupe me tend les mains, je me colle contre ses reins, lui faisant sentir mon sexe déjà raide par le spectacle de ma femme. Elle se redresse, mes mains remontent vers ses seins, elle frissonne, se frotte à moi avant de se retourner pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue lutte avec la mienne. Mais elle s’arrête.
Les tourtereaux ne sont pas restés inactifs et Ophélie est à genoux en train de sucer son amant pendant qu’il la guide de ses mains. Il lui parle, et si je ne comprends pas, je peux facilement deviner ce qu’il lui dit, comme tout homme qui se fait pomper. Au bruit du bouchon qui jaillit, ils regardent dans notre direction pour demander une coupe qu’ils boivent d’un seul trait. Ma femme en redemande et sous nos yeux médusés elle se saisit de la queue noire pour en tremper le gland dans le liquide et le lécher. C’est à ce moment que je prends conscience de la taille et de la longueur du sexe. Elle n’aurait pas pu baigner le bout si nous avions servi des flûtes à la place des coupes. Même Clara semble surprise. Ce n’est pas un monstre comme on peut en voir sur internet mais il en impose. En tout cas, ma femme ne semble pas effrayée de l’objet.
Maintenant il est trop tendu pour l’incliner et le tremper. Alors elle boit le champagne ou plus exactement elle le garde dans la bouche comme un récipient ou elle amène le sexe pour le baigner. Du champagne coule de ses lèvres et s’écoule le long de la hampe. Je ne sais pas comment elle fait pour faire entrer ce pénis si large dans sa bouche. En tout cas, cela ne semble pas lui poser de problème et elle le pompe avec une telle ardeur que son amant l’arrête pour ne pas déjà jouir.
Ils échangent leurs places et c’est lui maintenant qui la goûte.
Clara, que le spectacle a dû émoustiller, me pousse vers le matelas de piscine, déboutonne mon pantalon, passe sa main sous mon slip et saisit mon sexe tendu. Je fais sauter son chemisier, j’arrache sa petite jupe, je déchire presque son string pendant que mon pantalon, mon slip et mon t-shirt suivent le même chemin. Elle s’installe sur moi en 69, position que nous apprécions tous les deux.
J’ouvre ses lèvres et lèche son sexe ouvert. Elle a déjà engloutit ma queue dans sa gorge accueillante. Je pense : pourrait-elle faire pareil avec le sexe de Stuart ? Elle gémit sous les caresses de ma langue qui descend vers son clitoris déjà dressé par l’envie. Elle ondule, mes doigts trouvent le chemin maintenant familier de son vagin et de son anus. Je sens monter son plaisir, j’accélère mes mouvements, elle abandonne ma queue pour se redresser et pousser encore plus sur mon visage. Elle sursaute quand la jouissance arrive et son jus a le goût de la victoire.
Ma bite est dure, douloureuse et impatiente de pénétrer. Nous changeons de place pour que je puisse la prendre. Elle est sous moi, les yeux clos, essoufflée d’un premier orgasme. Je m’enfonce dans son vagin brûlant, humide, ouvert pour la bite. Bien à fond je fais une pause, ses jambes se nouent autour de mes reins.
Mais elle en veut plus, et elle l’installe sur le matelas tout près de nous. Clara et moi restons immobiles pour les regarder faire. Ophélie se positionne en cavalière, agenouillée face à Stuart qui tient d’une main sa queue verticale. Mon épouse se positionne juste au-dessus en présentant sa chatte qu’elle écarte de ses mains, comme pour en élargir l’accès. Et je vois, là, à côté de moi, pour la première fois, la queue d’un autre envahir le fourreau qui m’était réservé jusqu’à ce jour. Quel baptême sous la lumière de cette lune qui accentue encore plus le contraste de ce bâton noir sur lequel Ophélie s’empale.
Centimètre par centimètre nous voyons la hampe disparaître, puis ressortir, pour pénétrer encore plus loin et ce que je croyais impossible se produit. Ma femme est assise sur les cuisses de son amant, une queue longue et large au fond de son vagin. Elle sourit et nos regards se croisent. Elle semble comblée, pleine, empalée. Un instant, je pense que je ne peux pas tenir la comparaison et heureusement Clara se rappelle à mon bon souvenir.
Mon sexe semble avoir gonflé. J’ai envie de la prendre violemment et de la faire crier sous le regard de nos voisins. Ses jambes pressent mes reins, accompagnant mes mouvements. Elle est comme moi, excitée par le spectacle, pressée de jouir. J’accélère mes mouvements, quand je vois son regard se troubler, et ralentis au moment où elle va jouir. Son ventre vient à ma rencontre, ses seins oscillent et tremblent sous mes coups de boutoir, de plus en plus fort. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Voilà, elle jouit, son corps secoué par des spasmes, et dans un geste de tendresse elle plaque ma tête tout contre son épaule et c’est à cet instant que ma semence monte dans ma tige pour jaillir et inonder son sexe. Je crois que j’ai crié pour dire combien c’était bon.
Je ne sais pas si Ophélie a regardé nos exploits, mais lorsque je tourne la tête vers eux, elle en train de se baiser sur son amant, à son propre rythme, avec de grandes amplitudes, comme pour profiter au maximum de sa longue queue. Stuart se laisse faire, ne prend pas d’initiative. Il lui parle. Sûrement qu’il l’encourage, la dirige pour que son plaisir monte lentement. Ou bien, est-il plus grossier et il la traite de salope. Le son de sa voix change, plus sourde.
Là, je comprends et Ophélie aussi. Elle se soulève pour sortir la queue de son ventre. Elle apparaît, peut être encore plus imposante. Rapidement, elle enlève le préservatif, tiens je ne s’avais pas qu’il en existe des noirs, et après quelques masturbations le fait éjaculer sur le ventre de Stuart, laissant de grandes traînées blanchâtres.
C’est le moment de la pause et Clara remplit les coupes que nous vidons avec plaisir. Les femmes bavardent avec Stuart comment pendant une soirée mondaine et pourtant leurs mains effleurent négligemment son sexe. Doucement le serpent ondule pour s’allonger, se gonfler, se durcir et redevenir le gros bâton noir qu’une main recouvre de latex.
Ophélie se retourne pour que Stuart la prenne en levrette. Cette fois, nous ne sommes pas surpris de voir les couilles venir buter sur le pubis. Pourtant il reste doux et c’est délicatement qu’il la baise. Ma femme se penche encore pour venir appuyer sa tête sur le matelas. Elle tend ses bras en arrière pour que ses mains remontent vers ses fesses et les écartent. Son amant comprend. Il laisse tomber de la salive sur l’œillet, fait entrer un doigt, puis deux qu’il anime d’un mouvement de rotation.
Clara et moi échangeons un regard de surprise. Même Stuart se demande s’il a bien compris.
Alors il prend son sexe et le dirige, plus haut sur la croupe. Je me rapproche encore pour mieux voir. Oui l’œillet est ouvert mais c’est sans commune mesure avec le gland qui approche. Stuart ajoute encore de la salive, appuie, appuie encore, pousse de ses reins et l’impossible arrive. Je suis si près que je vois le sphincter se dilater et céder le passage au gland pour aussitôt se refermer sur la base. Ophélie ne peut retenir un cri de douleur mais elle répète.
Stuart comprend parfaitement, même si elle a parlé en français. Il pousse sans retenue et la hampe disparaît presque entièrement. Elle pousse des soupirs pendant qu’il commence son va-et-vient. Les chairs ont cédé, le chemin est moins étroit et ses couilles viennent buter contre le cul de ma femme. Plus de retenue, tous deux gémissent, crient, et cette queue qui la pilonne, maintenant entre et sort sans résistance. Ophélie se caresse et d’un cri aigu, interminable, jouit pendant que la queue l’abandonne pour venir cracher le sperme sur son dos.
Alors, sans réfléchir, je pousse Stuart pour prendre sa place et d’un seul coup je sodomise ce trou béant, large et rond comme un abîme. Je la pistonne si fort qu’elle doit s’accrocher au matelas pour ne pas avancer sous mes coups. Cette violence, ce viol, semblent lui plaire car elle ne cesse de m’encourager.
Elle ondule. Je roule les tétons de ses seins entre mes doigts pour lui faire mal. Je vais jouir. Je crache mon jus au fond de son cul. Je me retire. J’attends, je surveille. Oui, doucement, l’anneau se referme laissant suinter un peu de ma liqueur. Quelle merveille ! Quelle horreur !
Une année s’est passée. Je frappe à la porte de la villa de mes amis que je n’ai pas revus depuis l’été dernier. Beaucoup de choses ont changé dans ma vie. J’ai rencontré un homme que j’aime et qui m’aime. Bien sûr, je ne vais plus chez Mathilde. Nous parlons d’avoir un enfant. On ouvre.
Installé dans le salon, il me narre tout ce qui s’est passé. Au retour à Paris, ils ont continué de vivre leur nouvelle sexualité chez Mathilde et ailleurs. Mais, petit à petit, Thomas s’est senti mal à l’aise avec la nouvelle attitude d’Ophélie, devenue extravertie, provocatrice et de plus en plus accro au sexe. Bien sûr, c’est lui qui a tout déclenché, mais il devient jaloux, soupçonnant des aventures extraconjugales sans sa présence. Un détective privé ne découvre rien sauf une ancienne liaison avec un étranger, un Anglais, qu’il retrouve et qui lui raconte la passion torride qu’ils ont vécue, avec force détails et même des photos que cet ancien amant indélicat a cédé contre rétribution.
Et il ajoute en souriant.
Sur le chemin du retour, j’ai croisé Ophélie. Elle ne m’a pas vue.
Bonne chance !