n° 14867 | Fiche technique | 12385 caractères | 12385Temps de lecture estimé : 8 mn | 19/03/12 |
Résumé: Je suis VRP. Ginou, ma femme, m'accompagne dans une de mes tournées. Nous nous trouvons devant un sex-shop ; Ginou rêve d'un vibromasseur... | ||||
Critères: fhhh inconnu sexshop exhib fellation fgode préservati pénétratio confession -couplea3 -lieusexe | ||||
Auteur : Herve Chaumont Envoi mini-message |
Je suis VRP résidant à Paris. Ginou, mon épouse, s’occupe de notre intérieur, de la gestion de la maison. Nous n’avons pas d’enfant, ce qui lui permet de m’accompagner dans mes tournées, de manière épisodique, quand viennent les beaux jours.
Nous nous trouvons pour la semaine à Nancy, un hôtel, près de la gare, nous héberge. Ginou fait du shopping et du tourisme tandis que je vaque à mes occupations. Nous sommes convenus de nous retrouver, après ma journée de travail, place Stanislas, à la brasserie Jean Lamour.
Je retrouve Ginou, assise en terrasse, sa robe aux motifs printaniers et au large décolleté offre aux regards une vue sur son opulente poitrine. Je la rejoins, remarquant le regard de coulisse de deux lycéens sur ce doux spectacle, ce qui, j’en suis sûr, ne lui a pas échappé.
Je me penche vers elle pour lui donner un tendre bisou ; tout en prenant nos consommations, nous nous racontons notre journée. Ginou me dit qu’en se promenant elle a déniché, rue Jeanne d’Arc, un restaurant japonais, que si cela me convient nous pourrions y dîner.
Bras dessus bras dessous, nous voilà partis pour une soirée sushi. Nous remontons la rue, nous arrivons à la hauteur d’un sex-shop, je souris et glisse à Ginou qu’elle a de curieux buts de promenade, en réponse elle émet un léger rire accompagné d’un clin d’œil.
Le restaurant n’est qu’à quelques mètres. On nous installe, la commande est prise, nous discutons de choses et d’autres, quand Ginou me parle d’Hector.
Ah, Hector, ce vieux complice fantasmagorique de nos ébats… et de nos conversations qui les précèdent ou les suivent.
Comme je suis absent la semaine, et que Ginou m’a confié s’adonner à la masturbation de manière très régulière et assidue, elle a exprimé le souhait d’avoir à sa disposition un godemiché. J’aurais dû le lui ramener au retour d’une tournée, je ne l’ai pas fait, mais Ginou avait baptisé du nom d’Hector cet objet tant désiré que nous évoquions quasi systématiquement dans nos relations amoureuses. Parfois, nous évoquions Hector devant des amis, des relations qui, ignorant de qui il s’agissait, ne mesuraient pas le piment de nos propos, ce qui nous a valu quelques fous rires.
Nous en sommes au café.
En réponse Ginou me prend la main, esquisse un large sourire avant de murmurer un « oui » presque timide.
La nuit est tombée, nous faisons face à la porte d’entrée du sex-shop ; avant qu’elle ne la pousse, je lui dis :
Nous rions.
Ginou pousse la porte, je l’imagine un peu anxieuse, confuse et troublée ; face à nous à la caisse, un homme à la cinquantaine passée, au front dégarni. Ses yeux bleus nous fixent tour à tour avant qu’il ne se foule d’un « m’sieur dame », d’un ton qui se veut accueillant.
Nous faisons le tour de la boutique, passant du rayon DVD au rayon livres et revues, Ginou fait un court arrêt devant un appentis où sont présentés nuisettes, cuirs divers, et au coin duquel une cabine d’essayage adossée au mur est composée de trois rideaux. Dans la boutique nous croisons un homme jeune qui sélectionne des vidéos à voir en cabine, et un homme d’âge déjà avancé qui feuillette des ouvrages. Après le couloir d’accès aux cabines vidéos, le rayon des godemichés s’étale devant nos yeux sur tout un pan de mur. Je n’imaginais pas une telle variété, ni tant de formes. J’observe, du coin de l’œil, la perplexité de Ginou.
Nous étions plantés là à regarder tous ces godes, depuis quelques minutes déjà, je risque vers ginou un « am stram gram pic et pic… ce sera lui Hector ! » qui lui déclenche un petit rire, l’homme de la caisse s’approche de nous :
Il se tourne vers Ginou :
Je remarque que le client qui feuillette les revues est attentif à notre discussion, et que sans vergogne il fixe et déshabille du regard ma chère et tendre.
Le vendeur nous dit :
Nous le suivons vers la caisse, il reprend sa place derrière son comptoir. Il ouvre un tiroir et en sort trois godemichés de tailles différentes, dont un noir qui me fait penser à une matraque. Tous les trois sont revêtus d’un préservatif, il les tend à Ginou :
Je sens Ginou plus qu’étonnée ; quant à moi l’idée me ravit, il ajoute :
Ginou me regarde, comme dépassée par cet inattendu enchaînement, je dis :
Et je prends le bras de Ginou pour vaincre son hésitation. Nous nous retrouvons devant la cabine aux rideaux rouges qu’il ouvre. Il pose les trois godemichés sur une tablette, la cabine contient, en plus, un tabouret à vis genre tabouret de pianiste, et une tringle contre le mur avec deux cintres. Il nous laisse, tirant le rideau sur nous.
Je déboutonne la robe de Ginou, la lui ôte, je la prends doucement dans mes bras. Et tout en la bisouillant, je fais glisser son string le long de ses jambes, l’installe sur le tabouret, prenant soin d’en régler la hauteur de manière à ce que cuisses écartées ses pieds reposent bien par terre. Je prends soin de la caresser doucement, j’ai sorti des balconnets de son soutien-gorge ses seins qu’elle a très sensibles, puis je commence à la masturber, posant ma main sur sa douce toison, infiltrant mes doigts entre les lèvres ourlées de sa vulve, découvrant son clitoris qu’elle a court mais épais. Nos bouches se rejoignent et nos langues se mêlent, sa main se pose sur mon pantalon au travers duquel elle saisit mon sexe, sa cyprine coule sur mes doigts, elle ne peut retenir quelques gémissements annonciateurs de son plaisir.
Je me retourne pour prendre un des godemichés, et m’aperçois que le rideau est entrouvert et que nous sommes observés par l’homme des revues, et de l’autre qui à notre entrée choisissait des vidéos. Je ne trouve pas déplaisante cette situation, dans mon état d’excitation, et je me dégage un peu de Ginou, assise droite cuisses écartées, yeux clos et gémissante, pour offrir à nos spectateurs le charmant spectacle de ma femme. J’approche le godemiché de sa vulve ouverte. Je lui murmure :
Et sans douceur j’introduis le godemichet dans sa chatte trempée, je le fais aller et venir rapidement et constate qu’il se mouille de sa cyprine abondante. Elle se cabre, pousse de petits cris, les spectateurs ont ouvert en grand et sans bruit le rideau et face à elle ils se masturbent. Ginou me dit :
Ginou est dans un profond état d’excitation, tout comme moi :
Ginou prend conscience brutalement de ces présences, je la caresse toujours avec le membre factice, je la sens partagée entre un sentiment de honte et de plaisir. J’ai envie de la voir prise devant moi, je reprends sa bouche de la mienne de façon à ce qu’elle ne les voie plus, et d’un signe de la main j’appelle les deux hommes. J’invite par gestes le plus jeune, qui tient à la main son bâton d’amour plutôt impressionnant, à s’approcher du visage de Ginou. Je quitte la bouche de mon aimée pour qu’elle reçoive le sexe tendu de son admirateur, elle n’ouvre les yeux que lorsque le gland turgescent se pose sur ses lèvres, qu’elle ouvre pour qu’il s’y engloutisse.
Je me recule et regarde le sexe aller et venir dans la bouche de Ginou, qui les yeux clos se délecte. Je continue à la masturber avec le godemiché. Le « lecteur » s’est aussi approché et de son gland lui frotte le bout d’un sein, que je vois durcir. Je suis fasciné de voir avec quel plaisir et sans aucune difficulté Ginou suce le sexe pourtant imposant de son jeune amant du moment, qui se met à gémir et à jouir dans la bouche de ma femme. Ginou, qui aime se faire prendre par la bouche, avale et jouit une première fois. Le lecteur à son tour présente à la bouche de Ginou son sexe, qu’elle reçoit encore avec appétit. Le plus jeune, encore excité, me demande s’il peut la baiser. J’ôte Hector de la chatte à Ginou, exige le port d’un préservatif, le tabouret n’est pas à la bonne hauteur pour qu’il puisse prendre Ginou, il nous demande à moi et au lecteur de porter Ginou et de la tenir pendant qu’il s’active en elle.
Me voilà portant ma femme pour l’offrir aux coups de boutoirs d’un certes beau mais sans gêne amant. Ginou est très excitée par cette situation, elle gémit de plus en plus et part en jouissance au même moment que son partenaire. Leurs gémissements se mêlent.
L’homme se retire, nous reposons Ginou, le lecteur glisse sa main entre les cuisses de ma femme et insinue ses doigts entre les lèvres à la recherche de son clitoris, qu’il prend entre ses doigts et branle comme un pénis. Ginou halète, gémit, cherche la pine du lecteur, qui devient presque violette sous les caresses manuelles de Ginou.
Il s’assied sur le tabouret, Ginou s’agenouille et, peu habituée et tant bien que mal, elle finit par recouvrir le sexe du condom.
Il prend Ginou par la taille, la fait tourner dos contre lui et l’amène à s’empaler face à moi. La vulve de Ginou est trempée, je la vois descendre sur la verge raide, puis prenant appui sur ses pieds monter et descendre de plus en plus vite sur la queue. Ginou humidifie ses doigts de sa salive et les porte à son clitoris, elle se masturbe en même temps qu’elle se fait prendre, je vois la cyprine qui coule sur ses cuisses, elle gémit doucement puis de plus en plus fort, elle pousse un cri ultime :
Au même moment, ils clament leurs cris de jouissance.
Toilettes intimes et hâtives faites au kleenex, Ginou remet sa robe. Quant au string il ira dans le sac à main. Elle prend les trois godemichés, nous allons vers la caisse, « m’sieur dame » est assis à sa place. Ginou a choisi son Hector, celui avec lequel elle a joué et joui, elle n’a que faire que ce soit un modèle de démonstration, non non pas de boîte, elle le glisse dans son sac à main. Elle paie, nous nous retrouvons dehors.
Elle me regarde et d’un air désolé me dit :