n° 14878 | Fiche technique | 17314 caractères | 17314Temps de lecture estimé : 11 mn | 26/03/12 |
Résumé: J'invite mon ami Philippe pour faire l'amour à ma femme. | ||||
Critères: fhh couplus fellation cunnilingu anulingus fdanus hdanus confession -couple+h | ||||
Auteur : Mongil |
En fait, je n’ai jamais raconté comment je m’étais débrouillé pour faire découvrir à ma compagne Nathalie les plaisirs que procure à une femme le fait d’avoir deux amants en même temps…
… mais je préfère lui laisser la parole.
ooooooooooooooooooo
Mon mari a invité Philippe, un copain de longue date, pour l’apéro.
Lorsque je rentre du boulot, à l’invitation de mon chéri, je trinque avec eux avant de filer prendre une douche. Après quelques minutes, mon chéri entre dans la salle d’eau, entrouvre la cabine et me dit :
Moi qui pensais passer une soirée câlin avec mon homme, j’en suis pour mes frais ! Enfin, je ne tiens pas à jouer les rabat-joie. Je me prépare donc, me maquille très légèrement et m’habille. Nous somme en plein mois d’août et mon choix se porte sur une robe légère avec, en-dessous, une parure claire elle aussi très légère.
De retour au salon, Philippe lance un regard perçant dans ma direction tout en s’exclamant :
Je ne peux m’empêcher de trouver sa façon de me regarder troublante, mais je sais que si je n’étais pas avec François, il me draguerait volontiers. J’ai comme d’habitude l’impression d’être littéralement déshabillée du regard par notre ami. Je ne laisse rien transparaître, ne voulant pas gâcher le plaisir de cette sortie.
Philippe, après s’être assuré que nous aimions la cuisine chinoise, nous amène dans un établissement dans lequel il semble avoir ses habitudes.
Le repas se passe très agréablement et, peu à peu, mon malaise se dissipe, Philippe se révélant comme à l’accoutumée, un convive fort agréable, plein d’humour et très cultivé.
Nous quittons le restaurant et Philippe propose de poursuivre la soirée dans un endroit « tranquille et discret » qu’il connaît bien. Bien qu’un peu fatiguée, et toujours pour faire plaisir à François, j’accepte et, après une dizaine de minutes, nous sommes installés dans une espèce de pub, où une sorte d’alcôve très discrète nous accueille. Nos dégustons un café puis, pour remercier son ami, François offre le digestif.
Ce nouveau verre, après un apéritif et le vin en mangeant, me met dans un état doucement euphorique. Aussi, quand mon chéri pose une main sur ma cuisse et qu’il remonte doucement le tissu de ma robe, dévoilant ma chair, je ne proteste pour ainsi dire pas, me contentant d’un :
Qui l’encourage à poursuivre plus qu’il ne l’en dissuade !
Philippe a bien entendu les yeux rivés sur moi et cette sensation d’être déshabillée du regard revient, plus forte encore que tout à l’heure. Étrangement pourtant, cela ne me met plus mal à l’aise mais me procure plutôt une certaine excitation.
Quand François, profitant de ce que Philippe se soit absenté, me propose de l’inviter à terminer la soirée chez nous, avec une bouteille de vin, je lui souris largement, toute fatigue envolée.
Nous voici donc chez nous, François et moi dans le canapé, notre invité face à nous dans le fauteuil. Bien sûr, à peine assis, mon mari a reposé sa main sur moi et repris ses caresses, parvenant à remonter très haut ma robe, dévoilant mon sous-vêtement, sans que je lui oppose une quelconque résistance. Notre conversation est entrecoupée de longs blancs, comme si chacun de nous trois attendait que la situation évolue sans vouloir en prendre l’initiative. François se lève pour aller aux toilettes et à peine a-t-il quitté la pièce que Philippe me dit :
Il y a trois heures, cette phrase lui aurait valu une vigoureuse paire de baffes ! Pourtant, maintenant, je le regarde, souris et, lentement, écarte les cuisses, lui dévoilant mon léger sous-vêtement. Cette vision ne semble pas lui déplaire si j’en juge la bosse qui déforme son pantalon.
Comme un automate, je le rejoins. Il me prend le bras, me fait asseoir sur ses genoux et sa main remplace celle de François sur ma cuisse. Mon chéri revient et nous découvre ainsi, moi avec ma robe retroussée, la main de Philippe presque sur mon sexe. Il nous regarde, un sourire aux lèvres, puis s’installe dans le canapé et dit :
Je tente de me relever mais Philippe me maintient fermement.
Serait-ce un piège ? Mon mari est-il complice ? À ce moment je commence à le croire sérieusement. Je me rappelle quelques discussions pendant lesquelles François évoquait ce genre de rapport à trois. Il n’aurait pas osé sans m’en parler auparavant !
Pendant que j’imagine cette connivence entre eux, Philippe n’a pas perdu de temps et ses doigts flattent maintenant ma fente dont je dois bien reconnaître l’état d’humidité avancé. Après tout ? Puisque mon mari est consentant, pourquoi ne pas en profiter ?
J’écarte donc largement les jambes, offrant sans retenue ma chatte aux doigts curieux de son ami qui, sentant toutes les barrières levées, se faufile sous mon sous-vêtement pour me caresser à même la peau, d’une façon fort agréable d’ailleurs. Mon chéri ne nous quitte pas des yeux et son pantalon présente la même déformation que celui de Philippe.
Et bien puisque qu’il le veut…
D’un signe, je l’invite à s’approcher et fais rapidement glisser jean et caleçon, dévoilant son sexe fièrement dressé. Je le branle un peu puis, me penchant, embrasse le gland, flatte la hampe, quelques soupirs d’aise de mon chéri me confirme son désir.
D’ordinaire, je ne supporte pas ce genre de langage, mais ce soir, pourtant, entendre un quasi inconnu parler de moi comme ça m’excite. Philippe semble s’en rendre compte d’ailleurs car ses doigts s’enfoncent un peu plus loin encore en moi.
Je ne me reconnais plus ! Moi, l’épouse si sage, certes plutôt expansive quand je fais l’amour avec mon mari, mais jamais en présence d’autrui. Me voici me conduisant comme une gourgandine, employant des mots que je n’ai jamais osé prononcer !
Je reprends le sexe de François entre mes lèvres mais Philippe, après quelques minutes, m’oblige à le lâcher une nouvelle fois. Il me fait mettre debout et me déshabille. Pour la première fois depuis que je suis avec François, je suis nue, et offerte aux yeux plus que gourmands d’un autre que mon époux. Ses mains parcourent mon corps, soupèsent mes seins, caressent mon ventre.
Docile, je m’exécute. Ses mains se posent sur mes fesses, les caressent, les malaxent sans ménagement.
Il dépose deux baisers bien sonores puis d’un doigt, parcourt ma raie, s’attarde sur mon petit œillet, en teste la résistance en appuyant légèrement.
Je devrais me fâcher, me rebeller, pourtant, rien de tout ça et, sous les yeux de mon mari, je laisse Philippe poursuivre son exploration de mon intimité la plus secrète. Pire encore ! Quand son doigt force le passage et s’enfonce en moi, je ne retiens pas un léger gémissement, suffisant pour lui indiquer que je ne déteste pas cette initiative. Il ne laisse pas passer cette occasion !
Il le fait aller et venir quelques instants puis cesse toute caresse, se lève et se met à son tour nu, me laissant admirer son beau sexe bien bandé. Il se rassied et dit :
Je m’agenouille entre ses cuisses et caresse son phallus. Il ressemble à celui de François, peut-être juste un peu plus long mais moins épais. Je donne de petits coups de langue sur le gland, la hampe, descend embrasser ses couilles puis remonte en le léchant comme s’il s’agissait d’une sucette. Enfin, j’ouvre les lèvres et, le plus lentement possible, le fait coulisser, me faisant un devoir de le prendre le plus loin possible, ce qu’il semble apprécier.
Je m’emploie à lui faire la plus gourmande des fellations, je veux qu’il se souvienne de moi, que plus tard, il bande rien qu’en y repensant !
Mais qu’est-ce qui me prend d’avoir de telles pensées ? Je sois être très excitée ! Peu importe ! Pour l’instant, seul compte le plaisir que je prends à caresser et sucer ce membre viril ! D’autant plus fort quand mon chéri se met en tête de me doigter la chatte. J’écarte les jambes, il me branle allègrement, s’enfonçant entre mes chairs, agaçant mon clitoris. Jamais encore je n’avais été dans un pareil état d’excitation !
Je le suce ainsi de longues minutes puis j’ose une caresse en direction de ses fesses. Il ne se dérobe pas, bien au contraire.
Il relève les cuisses, m’offrant son cul puis me lance :
Jamais je ne me serais cru(e ? hésitation…) capable de ça, et pourtant ! Je lâche sa bite et pose ma bouche sur son petit trou que j’embrasse sans hésiter. J’en force même l’entrée avec le bout de ma langue, lui tirant des gémissements qui m’indiquent combien il apprécie la chose !
Tout en lui bouffant le cul, je le branle et lui masse les couilles. Je sens, aux frémissements de sa tige, qu’il n’est pas loin de rendre les armes. Ce qu’il me confirme dans son langage toujours aussi poétique :
Effectivement, je sens sa queue agitée de soubresauts annonciateurs de son plaisir imminent. Un premier jet jaillit, puissant, suivi de quelques autres tout aussi abondants, je dois faire un effort pour tout avaler.
Moi qui, d’ordinaire, n’apprécie que fort peu de recevoir le plaisir de François dans ma bouche, je me surprends à apprécier ce foutre dans ma bouche et, est-ce par bravade ou par plaisir, je me fais fort de ne pas en laisser échapper la moindre goutte.
La source se tarit et le membre, lentement, perd de sa raideur. Je le relâche et, avec une moue coquine, vient offrir un baiser à mon amant.
Pendant qu’il reprend des forces, je crois que j’ai encore soif de foutre et décide de m’occuper de mon chéri !
Comme s’il n’attendait que cela, il se présente face à moi et je m’empresse de l’avaler pour lui donner à son tour du plaisir. Après tout, si j’ai pu goûter au sexe de Philippe c’est grâce à lui, il mérite une récompense.
Mon mari se tourne, prend appui sur le canapé et se penche, m’offrant sa raie que je lèche à grands coups de langue avant de m’attarder sur son petit œillet sombre. Comme son ami tout à l’heure, je le masturbe pendant que ma langue s’insinue dans son petit trou. Il reçoit cette caresse avec un plaisir non feint et, dans les mêmes termes que Philippe, me le fait savoir :
À croire qu’ils font un concours de poésie ce soir !
Après quelques minutes, mon amour me dit de reprendre son sexe en bouche. Il est temps, je n’ai que le temps de le faire coulisser entre mes lèvres et, dans une longue plainte, il m’abreuve de ses jets. Je le garde en moi jusqu’à ce qu’il soit débandé, avalant sans rechigner cette seconde ration de sperme.
Après cette petite séance, François sert une tournée et nous dégustons une nouvelle bouteille. Je regarde mes deux hommes, visiblement ravis de la soirée et leur dis :
Philippe se penche pour enfin me rouler une pelle tout en caressant mes seins et mon ventre, cela suffit à me faire gémir.
Il lèche mes tétons, passe de l’un à l’autre, caresse celui que sa bouche a lâché. Mes tétons sont durs et pointés, mon ventre se noue sous les caresses. Il poursuit en embrassant mon nombril, mon ventre, délaissant ma chatte, il poursuit ses baisers et ses caresses sur mes cuisses.
Il relève la tête, me regarde en souriant tout en enfonçant deux doigts dans ma chatte trempée. Il les fait aller et venir avant de les ressortir, trempés, et les présenter à sa bouche :
J’ouvre mes lèvres et lèche ses doigts couverts de mouille sans le quitter des yeux. Il plonge alors le visage vers mon entrejambe et, dans un long gémissement, j’accueille sa langue sur ma fente. Il me lèche avec passion, aspire mon bouton. Je gémis sans discontinuer sous ces caresses et quand il enfonce sa langue dans ma grotte, je ne retiens pas un long râle de bonheur. Il me déguste ainsi de longues minutes, quand il me sent sur le point de succomber, il ralentit avant de reprendre de plus belle. Il n’oublie pas mon cul et deux doigts y vont et viennent aussi régulièrement que profondément. Mon chéri m’embrasse tout en caressant et pétrissant mes seins.
Dans un long cri, je me lâche et succombe à un orgasme d’une rare intensité. Mon sexe s’est transformé en fontaine, tant je coule pour le plus grand plaisir de mon partenaire. Lui, la bouche rivée à ma fente, s’abreuve de mon jus intime. Je le repousse quand il veut embrasser mon bouton, tant celui-ci est devenu sensible. Il se relève, le menton luisant de mon plaisir et, en souriant, me dit :
Mon cœur bat la chamade. Il y a bien longtemps que je n’avais joui aussi intensément. Le fait de jouir avec un autre que mon chéri et devant lui n’est pas étranger, j’en suis sûre, à ce plaisir démultiplié.
Je ferme les yeux et savoure cet orgasme.
Le premier d’une longue série, je n’en ai aucun doute !