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n° 14886Fiche technique9807 caractères9807
Temps de lecture estimé : 7 mn
29/03/12
Résumé:  Un dentiste rencontré sur le web me propose de vivre un cunni dans son cabinet.
Critères:  fh médical cunnilingu nopéné confession -f+medical
Auteur : SecretaireWanted            Envoi mini-message
Dentiste complice

Un orgasme puissant venait de m’envahir. Comment ne pas aimer cet instant magique et délicieux. Ces quelques secondes, uniques, où l’on est au paroxysme du plaisir. Je suis une droguée de ce moment ultime, celui que l’on vit juste avant de se laisser envahir par cette chaleur bienfaisante et ce sentiment de bien-être si relaxant. Les muscles se relâchent de cette tension sensorielle si particulière. Les sons extérieurs sont comme coupés. On se complaît dans son monde intérieur où l’on est isolé dans une bulle de bonheur. On a l’impression de ressentir son sang couler dans ses veines et les battements de son cœur. J’étais comme caressée par des vagues, sous le soleil de plomb d’une très belle plage des caraïbes.


Au moment où j’avais commencé à exprimer mes premiers halètements, sa main mâle s’était posée sur ma bouche. J’étais une femme libre, pourquoi donc cacher mon plaisir ? Plus tard, je ne pouvais résister à l’envie de pousser de petits cris de plaisir de chatte ronronnante. Sa main, avec force, s’était appuyée plus fermement encore sur ma bouche. Il ne voulait pas que l’on entende de l’autre côté de la porte le plaisir que je prenais et moi je savais qui était derrière cette porte. Plus sa main appuyait sur ma bouche, plus le plaisir que je refreinais décuplait en moi. Et la jouissance que je n’arrivais pas à exprimer par le haut s’était exprimée par le bas. J’avais certes avalé mes cris de plaisirs, mais mon bas-ventre n’était plus qu’un grand spasme. Mon extase sexuelle devait bien s’exprimer quelque part, cela me semblait tout à fait naturel.


J’aimais la façon qu’il avait eue de me contraindre à me taire. Me donner beaucoup de plaisir d’un côté et m’empêcher de le vivre pleinement de l’autre. J’avais adoré ce simple geste de la main, ferme et assuré. C’était sa façon de me faire comprendre ce qu’il fallait que je fasse, de me prendre en charge. Jusqu’à présent tout s’était déroulé comme prévu, mieux que prévu même, exactement comme il l’avait voulu et comme il me l’avait dit. C’était rassurant et c’était justement de cela que j’avais besoin : être en confiance.


Je ne veux pas ouvrir les yeux, croiser son regard bleu acier. Je veux que cet état de jouissance ne s’arrête jamais. Je suis addicte à cette sensation, addicte à cet état de tension, puis à ce relâchement de pression. Je laisse du temps au temps pour que toutes ces sensations dans ma tête s’entrechoquent. Je me sens bien et j’aimerais rester dans cet état de longues minutes.


La pression de sa main se relâche un peu et mes narines s’emplissent de son odeur. Mais son geste reste ferme, j’adore. Je me sens femme, aimée, désirée, voulue, souhaitée. Je me sens, libre, heureuse tout simplement. Je vis un moment unique, j’en prends conscience.


Je sens son visage se décoller doucement de mes cuisses ouvertes. Mon sexe est intouchable en l’état. Mon homme le sait et me laisse apprécier mon orgasme. J’ai l’impression que tout le sang de mon corps passe par ma vulve. Mon cœur bat à tout rompre mais s’apaise.


Sa main quitte enfin ma bouche. Je n’ai plus envie de crier, mais ne suis pas en état de me lever. Je garde toujours les yeux fermés, je me sens protégée ainsi. J’ai eu envie de lécher cette main ou ces doigts, ou plus encore, mais je m’abstiens. Je ne voudrais pas prendre une initiative qui ne soit pas prévue.


Il s’est relevé, je le sais, je le sens, je l’entends. Cet homme se déplace comme un félin racé. La musique d’ambiance revient à mes oreilles. Mon cerveau l’avait comme bloquée. Je n’aime pas les musiques de fond un peu nostalgiques des cabinets médicaux vieillots. Comme un cache-misère, cette musique se pose sur les souffrances physique ou morale des gens et de leur secret médical. Mais à cet instant précis, cette musique est pour moi la plus belle des berceuses.


Ses mains redescendent fermement ma jupe sur mes cuisses, ces mêmes mains qui l’avaient retroussée sur mes hanches. Mon sexe est tout humide, ma peau mouillée de cette langue qui m’a envahie et pénétrée. Mes cuisses sont comme collées au fauteuil, probablement en cuir. Je crois que je n’ai jamais mouillé autant qu’ici ce soir.


Puis il referme les boutons de mon chemisier. Mes tétons sont encore tout gonflés.




Quand j’étais entrée dans la salle d’attente à 17 h, je n’en menais pas large. La nuit précédente je n’avais pas trouvé le sommeil, tournant et retournant dans mon lit. Je m’étais réveillée vers dix heures du matin en me caressant. Refusant de me faire jouir, j’étais partie faire un jogging. De nouveau, sous la douche, la tentation avait été grande de m’autoriser un plaisir solitaire. Pour me changer les idées, j’avais alors dévalisé ma garde-robe à la recherche du plus bel ensemble.


Ses instructions étaient pourtant fort simples. Une chemise blanche sans soutien-gorge et une jupe noire sans culotte. Cela ne m’avait pas empêchée d’essayer plein d’autres ensembles, au cas où. Il ne m’avait pas dit comment aller jusqu’à chez lui ainsi vêtue. Nous étions en été et je ne pouvais mettre un manteau pour protéger ma nudité. Dans mon miroir, il me semblait ne voir que mes tétons sous le tissu de ma chemise blanche. Et je n’aimais pas la sensation de porter une jupe sans culotte. Je ne me sentais pas à l’aise ainsi.


J’avais donc sonné au cabinet du dentiste vêtue de mes sous-vêtements. Je fus rassurée de trouver à côté de la salle d’attente, un cabinet de toilette dans lequel je pourrais me les ôter. Il y avait cinq à six personnes qui attendaient pour les trois dentistes. La secrétaire, dans le fond, m’ignora totalement, affairée dans des papiers et au téléphone, même quand je lui annonçai ma présence, sous un faux nom.



Cela ne me rassura pas, bien au contraire. Le fait que sa présence n’allait ne pas tarder me faisait réaliser l’échéance du terme toute proche.


Dans le cabinet de toilette, il me sembla que tout le monde dans la salle d’attente entendait ma culotte glisser à mes pieds et mon soutien-gorge se dégrafer. Je cachai mes sous-vêtements au fond de mon sac à main. J’avais calculé que mon petit gilet de laine gris protégerait les aréoles de mes seins sous mon chemiser. Je sentais battre mon sang sur mes tempes et j’aurais juré que mes jambes flageolaient. Était-ce de la peur ou du désir ? Probablement un peu des deux.


Je ne savais pas trop ni comment, ni où m’asseoir dans la salle d’attente. Je gardais le gilet gris bien refermé sur mon corps, comme si j’avais froid. Mes tétons étaient gonflés et pointaient sous le tissu. Surtout ne pas écarter les jambes, ne pas dévoiler ma nudité. Ne pas commencer à mouiller non plus. J’espérais au fond de moi que cette attente ne soit pas trop longue. Elle devenait un vrai supplice.


Soudain la porte de mon dentiste s’ouvre. Un bel homme au regard gris-bleu appelle mon nom. Il est conforme aux photos qu’il m’a fait parvenir. Surtout ne pas rougir. Je prends confiance mais ne peux m’empêcher de déglutir. Il me scrute rapidement de haut en bas et cherche mon regard. Comme moi, il cherche visiblement à me comparer aux photos échangées. Je baisse les yeux. Il m’invite à entrer. Je frissonne. Il me tend la main et un sourire fin accompagne un pétillement dans ses yeux. Il serre fermement ma main molle, moite et bizarrement glacée, alors qu’il fait chaud. Il referme la porte derrière lui et je me tiens debout en bonne idiote maladroite et intimidée.



Je ne réponds pas, comme bloquée.



Je me défais du gilet gris que j’abandonne sur le dossier d’une chaise tandis qu’il tapote sur son clavier quelque chose. Il me jette des coups d’œil de temps en temps. Je me sens à la fois habillée et nue. Habillée des vêtements qu’il a lui-même choisi. Nue car son regard transperce mes habits, et je sais qu’il va me déshabiller. Je regarde son fauteuil de dentiste comme un lieu du crime. Car je sais que c’est là que tout va se passer.


Les sensations sont plus fortes que je les avais imaginées. Allongée sur le fauteuil, je sens mon sexe humide à souhait, mon jus de désir dégoulinant déjà entre mes cuisses. Le dentiste arrive à ma hauteur et je ferme les yeux comme nous en avions convenu, sans rien dire. Le dentiste pose sa main sur mon menton m’invitant à tourner la tête vers lui.


Son visage était tout près du mien. Je m’enivrai de son odeur. Il posa un premier baiser dans mon cou. Mon corps frissonna à cette sensation. C’était parti pour le tourbillon des émotions. Les baisers s’enchaînèrent prenant possession de mon cou et de mon corps. Ses mains se posèrent sur mes tétons déjà gonflés. Il les caressa langoureusement au travers du tissu de mon chemisier. Puis enfin il dégrafa un premier bouton et les autres suivirent.


Le reste ne fut que bonheur et l’histoire vous la connaissez. Ce que vous ne savez pas, c’est que cette expérience me permet de me caresser, souvent, et m’apporte toujours du plaisir quand mon esprit et mon âme en ont besoin. Merci Docteur.