n° 14894 | Fiche technique | 21115 caractères | 21115Temps de lecture estimé : 13 mn | 03/04/12 |
Résumé: Comment j'ai découvert les plaisirs entre hommes. Des retrouvailles entre amis qui prennent un tournant coquin. | ||||
Critères: hh hhh hsoumis fellation hdanus hsodo init | ||||
Auteur : Antoine |
Cela fait six mois que je ne suis pas rentré en France. J’ai souscrit un contrat expatrié à la fin de mes études et ai travaillé à l’étranger depuis lors. Du point de vue sentimental ces mois à l’étranger furent un peu durs et malgré quelques tentatives, mon activité sexuelle se soldait par une longue traversée à la force du poignet.
Je reste en France pour deux semaines avant de repartir pour un autre contrat.
Paul est un camarade de promotion avec lequel j’ai sympathisé durant mes études. Nous avions alors plaisir à parler ensemble de tout et de rien. Mais rien dans nos rapports ne m’avait préparé à ce qui allait se passer.
Je reprends contact quelques jours après mon retour ; nous convenons de nous retrouver dans une cafétéria où il a ses habitudes.
Il arrive vers huit heures, c’est un jeune homme sportif, passionné de course à pied. Légèrement dégarni, il a belle allure. J’ai toujours pensé – même si nous n’avons jamais évoqué ce sujet au cours des années – qu’il devait plaire aux femmes. Personnellement je n’ai jamais été attiré par le physique des hommes, et ce sont plutôt les rondeurs féminines qui me font me retourner dans la rue.
Durant le dîner nous échangeons sur nos expériences personnelles, il est toujours à la recherche d’un emploi. Déjà dix heures, je me sens bien avec lui, nous quittons la cafétéria et je le ramène à son appartement.
J’accepte volontiers. Il vit dans un grand studio, décoré avec goût. Je m’installe sur le canapé pendant qu’il sort une bouteille de saké et des verres. Après un verre de cet alcool je suis un peu saoul, je bois très peu et un seul verre suffit le plus souvent à me désinhiber et faire tomber toute mes réserves.
La conversation peu à peu change de sujet et roule bientôt sur l’homosexualité et sa place dans la société. À mon arrivée, je n’avais pas prêté attention à la décoration, les posters dans le studio ne représentent que des hommes, uniquement des hommes, de très belles photos d’hommes plus ou moins dénudés. Je lui explique que je n’ai rien contre cela et que chacun fait ses choix. Il devient de plus en plus précis et m’avoue qu’il est gay.
Première surprise, je n’ai rien contre cela mais je n’ai aucune expérience en la matière. Le saké aidant je lui avoue que même si les hommes ne m’attirent pas, j’ai souvent fantasmé sur des pénis que j’avais pu voir dans les douches des complexes sportifs. J’ai en particulier été fasciné, par un gars que je croisais ces derniers temps et qui a une bite qui me laisse rêveur ; elle lui arrive quasiment à mi-cuisse.
Je le regarde d’un air interrogatif. Il approche son visage du mien. Lentement, il approche ses lèvres des miennes, je suis tétanisé. Ses lèvres se promènent sur les miennes, c’est agréable. Il se penche à mon oreille :
Je ne réagis pas, il revient à mes lèvres, mais ce coup-ci c’est sa langue qui explore mes lèvres, c’est excitant, je sens mon sexe se durcir. J’entrouvre mes lèvres et sa langue me pénètre avec délicatesse. Nous passons plusieurs minutes à nous embrasser à pleine bouche. Ses mains commencent à se promener sur mon corps.
Je profite de l’occasion pour me dégager et reprendre un peu contenance.
Il nous ressert un petit verre.
Je suis incapable de répondre, l’alcool, l’excitation sexuelle, j’ai envie d’essayer avec lui.
Il me regarde en souriant.
Dans mon for intérieur je me sens rassuré, l’idée de sodomiser quelqu’un ne m’a jamais tenté, homme ou femme, soit dit en passant. En fait quand je fantasme sur une bite, mon premier désir est de la sucer.
Je m’enhardis et c’est moi qui l’embrasse à pleine bouche. Je sens ses mains sur mon corps qui vont de mon sexe à mes fesses. Tout en poursuivant ses caresses il prend ma main d’autorité, il a compris qu’il devait me dominer – oui je crois que c’est le bon mot – j’ai envie qu’il me guide ou m’impose son désir. Il dépose avec autorité ma main sur son sexe. À travers le tissu je sens une bite qui me semble énorme comparée à la mienne que j’ai souvent manipulée.
Maladroitement, je la caresse, elle se raidit encore plus.
C’est un ordre que j’entends, Je glisse ma main dans sa braguette. Pour la première fois je caresse un autre pénis que le mien. La peau est douce, j’extrais difficilement l’objet des vêtements. Tout en nous embrassant, je la caresse à nouveau, il a l’air d’apprécier.
C’est fait, il me considère comme sa chose, j’ai peur, j’ai envie. Je me dégage de son étreinte. Aurais-je le courage d’aller au bout ? Je suis excité comme je ne l’ai jamais été. Il se lève et se déshabille. Il est nu devant moi, complètement épilé, cela donne des proportions gigantesques à son sexe qui est dressé devant moi. J’ai besoin de me sentir dominé, dans mes fantasmes je m’agenouille toujours devant mon amant imaginaire avant de lui faire une fellation. Je suis au pied du mur, j’ai l’occasion de réaliser mon fantasme. Nous sommes face à face, courage, c’est le moment de savoir. Je prends d’abord sa bouche, puis lentement à coup de petits baisers sur le torse et le ventre je descends vers l’objet du désir.
Je suis devant lui, son sexe est à portée de mes lèvres. Lentement je dépose de petits baisers le long de sa hampe et sur ses testicules. Il apprécie les prémisses, je reprends son sexe à pleine main, de petite gouttes se sont formées à l’extrémité, il est très excité, j’avance lentement ma langue et je cueille ce liquide, c’est salé mais pas désagréable. J’arrondis mes lèvres qui se positionnent sur son prépuce, ma langue continue l’exploration de son gland au fur et à mesure que je le fais pénétrer en le décalottant dans ma bouche, j’aime cette sensation et lui aussi. Il pose ses mains sur ma nuque comme pour m’encourager. Son gland a maintenant entièrement pénétré ma bouche, je l’explore sous toutes les coutures avec ma langue pendant que mes mains stimulent ses bourses et sa hampe. Il reprend le contrôle, ses deux mains se placent avec douceur sur ma nuque et il imprime lentement un mouvement de va-et-vient à son sexe dans ma bouche. Il me baise, je suis sa chose, j’aime. Il accélère le mouvement, sa verge se durcit. Il arrête.
Comme si c’était moi le maître du jeu, alors que je suis totalement soumis à son désir, mon sexe et gonflé à bloc de désir dans mon pantalon j’ai l’impression que je vais jouir. Je dégage ma bouche, je le regarde, il est rayonnant de plaisir, je lui souris, et comme par défi je reprends son sexe dans ma bouche et c’est moi qui conduit le jeu. Rapidement, je le sens se durcir, se raidir, il va jouir, sa sève envahit ma bouche, je l’avale, ce n’est pas désagréable. Il me caresse la nuque avec délicatesse, je finis le job comme dans mes fantasmes les plus fous en prenant le temps de nettoyer à petits coups de langue son gland des traces de sperme.
Il est satisfait et s’assoit sur le canapé, j’en profite pour récupérer mes clés et partir comme un voleur. Un mélange de honte et de plaisir m’habite, j’ai du mal à retrouver mon chemin, et mon sexe est toujours en érection, que va-t-il comprendre ?
Après une nuit à me masturber en pensant à la soirée, je décide de reprendre contact, et l’appelle. Il accepte que l’on se revoie le soir même.
Ma journée se passe à me préparer. Après une bonne douche, je reprends le chemin de son appartement. Il m’attend, habillé d’un peignoir en soie sous lequel, je le devine, il est nu. Il me commande de me changer en indiquant la salle de bain ou un peignoir m’attend. J’hésite quelque instant. Puis je me prépare dans cette salle de bain.
Sans attendre ma réponse, il entre et récupère d’autorité mes vêtements qu’il range dans un placard.
Ce rapport d’autorité qu’il installe me plaît, m’excite comme le laisse voir mon sexe qui soulève le petit peignoir. Il l’a repéré et me sourit.
En réponse, je laisse le tissu glisser.
En fait, je suis loin d’être un canon de beauté. Il s’approche, tourne autour de moi. Ses deux mains se positionnent sur mes fesses, je tressaute, une première exploration rapide du sillon qui les sépare me fait m’exciter un peu plus. Il se rend compte du pouvoir qu’il prend sur moi.
Le scénario est posé, je vais perdre mon pucelage ce soir.
Rien ne se passe, la soirée avance, on boit un peu, il me trouve trop velu, il faudrait m’épiler il va y réfléchir. J’ai le sentiment qu’il attend que je lui demande de me sodomiser. Il voit bien – je suis nu – que je suis excité. Je m’approche de lui et avec douceur j’attrape sa bouche, je lui susurre à l’oreille que j’ai envie de lui. Il n’attendait que ça, que j’avoue ma soumission à son désir.
Je suis impressionné malgré l’ambiance, le fait d’être avec quelqu’un de totalement soumis dont on sait que l’on pourra en jouir à volonté, son sexe est au repos. Je fais mine de m’installer à genoux devant lui pour le sucer, il me retient. Il s’allonge sur le canapé et me donne l’ordre de m’installer à califourchon sur lui, un « 69 » sauf que lui n’a pas l’intention de sucer ma bite en érection.
Rapidement mes coups de langues font leur effet, son membre reprend de la vigueur. Pendant que je m’applique, les mains et la langue de mon amant parcourent mon intimité qui lui est complètement offerte. Ses doigts se présentent un à un à l’entrée de mon anus, le caressent, font mine de forcer le passage, puis se retirent. Mon sexe gonfle sous ces caresses, je tente par des mouvements de m’empaler sur ses doigts mais ils se retirent à chaque fois. C’est lui le maître du jeu, je me soumets, je reprends mes caresses sur son sexe. Encore une fois il jouit dans ma bouche.
Comme pour me récompenser un premier doigt force le barrage de mon petit trou, j’ai un gémissement d’aise. Je n’ose bouger j’attends mieux, un liquide froid se met à couler le long de ma raie. Ces mains s’activent, un doigt, puis deux me pénètrent. J’avais déjà fait ce genre d’expérience lors de mes soirées solitaires, mais le plaisir en sentant les doigts de mon amant forcer mon anus est décuplé par rapport à tout que j’ai connu. Je me laisse aller à des râlements de plaisirs. Comme pour remercier mon amant du plaisir qu’il me donne je reprends dans la bouche son sexe. Il redevient ferme, mais d’un mouvement il m’ordonne de quitter la position.
Il s’assoit en face de moi, je suis terriblement excité mais encore une fois c’est lui qui mène le jeu. Je regarde avec envie son sexe qui se dresse fièrement en face de moi et dont j’ai envie. Il boit à petites lampées un verre d’alcool et aborde des sujets sans intérêts. Mes sentiments s’emmêlent, j’ai honte d’être là, soumis au plaisir d’un autre et d’un autre côté j’ai très envie de goûter au plaisir défendu. Dois-je me rebeller ? Ou encore m’abaisser en le suppliant ? Son sexe est face à moi, désirable, je m’assois sur lui et de la manière la plus humble, le regardant dans les yeux, je lui dis :
Il sourit.
Je m’agenouille devant lui.
Voilà, je suis totalement à sa merci. Il passe sa main dans mes cheveux et m’attire vers son sexe qui a perdu de sa vigueur. Je m’attelle à le remettre en service. Il m’arrête dès qu’il a retrouvé une fière allure, enfin le moment est arrivé. Il se lève et passe derrière moi, mon sexe est dur, il me fait mal tellement je suis excité. Il écarte mes cuisses puis remet du lubrifiant avec son doigt. Il positionne ma tête sur la chaise. Je suis ouvert, totalement offert, comme dans mes meilleurs fantasmes. Son gland est maintenant au contact de mon anneau, il presse l’entrée, je le sens pénétrer, c’est bon, il force le passage, j’ai mal. Une fois le gland et son prépuce en moi le reste n’est que plaisir, il s’enfonce jusqu’à la garde, ses couilles viennent au contact des miennes. C’est trop bon, son va-et-vient commence lentement, je râle de plaisir, il m’embrasse la nuque.
Je me laisse porter par son rythme, ses mains me caressent, le plaisir m’envahit, je jouis dans un râle bruyant. Il se retire, il n’a pas joui en moi, il se rassoit et m’intime de la main de le finir avec la bouche. Je reprends dans ma bouche ce sexe qui m’a donné tant de plaisir dans mon anus quelques secondes auparavant et m’applique à le vider de sa sève.
Dans ma voiture les fesses me font mal, mais cette douleur me ramène au plaisir que je viens d’avoir. Nous devons nous revoir le lendemain – peut-être m’a-t-il dit – il m’appellera. Je suis impatient.
ooo000ooo
Face à moi une femme dans la quarantaine – bien – la patronne d’un centre de beauté. Elle m’installe dans une cabine et m’intime l’ordre de me déshabiller.
Je suis à la lettre les ordres donnés par Paul que je dois retrouver en début de soirée.
Au sortir de la douche, je passe un peignoir, j’attends peu, une jeune asiatique magnifique entre.
Pour la seconde fois je me retrouve nu comme un ver devant une jolie femme, mon sexe laisse transparaître le désir qu’elle m’inspire. Son regard se porte sur mon sexe en érection. Elle me rassure, elle est habituée et cela ne la dérange pas dans son travail. Après le torse et les jambes, elle s’attaque à mon pubis, sans gêne elle empoigne mon sexe pour éviter de le blesser, l’excitation est à son comble pour moi. Voyant mon état, elle m’abandonne quelques instants et revient avec une boîte de kleenex. Sans plus de cérémonie elle entreprend de me masturber, je jouis très rapidement.
Je rougis et n’ose pas lui répondre alors qu’elle reprend son travail. Elle me retourne et entreprend l’épilation autour de l’anus.
ooo000ooo
Je suis resté plus d’une heure totalement entre les mains de cette femme qui avec précision m’a épilé sur tout le corps, je me sens complètement nu, délicieuse sensation.
Il m’embrasse, sa langue joue avec la mienne, je suis excité prêt à me faire baiser. Je vais me changer, mon peignoir m’attend. À peine suis-je prêt que quelqu’un frappe à la porte. Il m’ordonne d’aller ouvrir car cela doit être ma surprise. Un moment d’hésitation, mais je suis tellement excité que j’ai envie de découvrir la surprise. Derrière la porte un jeune homme de belle allure. Il se présente comme étant François, un ami de Paul. Je pense à un gêneur qui va me gâcher ma soirée. Il entre à ma suite, je sens son regard sur mes fesses.
Je regarde Paul, étonné. Autour d’un verre mon amant m’explique l’amitié qui le lie avec François. Les partouzes auxquelles ils ont participé, comment ils leur arrivent de se prêter leurs amants respectifs. Aujourd’hui c’est différent comme je suis vierge… enfin affranchi depuis peu – il voulait m’offrir la possibilité de me faire baiser par deux hommes.
Un peu d’alcool me permet de me relaxer. François ouvre le bal, il vient vers moi et m’attire à lui, sa langue pénètre ma bouche et ses mains explorent mon corps. Il relève le peignoir et explore mes fesses avec insistance. Il se colle à moi et je sens son sexe gonflé. Ma main se fait baladeuse. Paul m’avait pour lui tout seul mais si c’est ainsi pourquoi ne pas profiter de l’occasion. Je me mets sur les genoux sa braguette est déformée par son sexe qui ne demande qu’a sortir de son étui. J’ouvre lentement son pantalon, je masse son sexe à travers son caleçon.
Il est terriblement excité ! Ma langue parcourt sa verge à travers le tissu. Il éclate, baisse brutalement le vêtement, et pénètre ma bouche sans retenue. Je le repousse gentiment et reprends son sexe en main. Je regarde Antoine installé dans le fauteuil. Il se lève et vient vers nous. Il se place derrière moi et maintient ma tête comme il l’avait fait la première fois. François en profite pour pénétrer à nouveau ma bouche. Je me laisse faire. Il va-et-vient en moi, je sens sa verge durcir. Je bloque son mouvement pour qu’il jouisse dans ma bouche. Je m’applique sur son sexe. Paul qui est retourné sur le fauteuil me sourit de contentement.
Plus tard, la soirée reprend ses droits et je m’installe entre les deux qui discutent sans prêter attention à moi, je suis à leur disposition – pas l’inverse, j’ai bien compris. Paul enfin se décide, il me fait un signe pour que je vienne le sucer. À quatre pattes je commence à m’exécuter j’avale son sexe, c’est ce qu’il aime et ma langue s’active sur son gland. François profite de la position de mes fesses qui sont disponibles. Ses doigts parcourent mon anus, le lubrifient. Je relève mes fesses et écarte mes cuisses du mieux que je peux, j’ai envie qu’il me prenne. Il me pénètre avec délicatesse, c’est bon, son va-et-vient fait monter en moi le plaisir, je vais jouir, un amant dans ma bouche, l’autre dans mon anus, le plus fou de mes fantasmes. Merci Paul.
Une fois l’invité parti Paul m’invite à dormir avec lui. Je me réveille très tôt, je regarde mon amant dormir son sexe au repos. Nous avons baisé une partie de la soirée et j’ai encore envie de lui, de le sentir en moi. Je me colle à lui, mes mains parcourent son corps, son sexe réagit. Je le glisse dans ma bouche…