n° 14901 | Fiche technique | 13468 caractères | 13468Temps de lecture estimé : 9 mn | 06/04/12 |
Résumé: Ce récit que vous allez pouvoir lire, est une histoire vraie, celle-ci raconte une période de ma vie qui est toujours d'actualité. (C'est aussi mon premier texte.) Bonne lecture. | ||||
Critères: fh jeunes couple grossexe grosseins fépilée vacances fsoumise hdomine voir exhib noculotte strip ffontaine massage fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo init | ||||
Auteur : ChrisS Envoi mini-message |
Ces mots résonnaient dans ma tête comme un cri dans une église… Une chance s’offrait à moi… moi, son meilleur ami. Elle, elle était célibataire…
Je me présente, je m’appelle Chris. Je suis de taille normale, ni trop grand, ni trop petit : 1,80 m. Je fais souvent du sport, ce qui me permet d’avoir un corps entretenu.
Celle qui me fait rêver, c’est elle, ma meilleure amie, Mélanie. Depuis deux ans que l’on se connaît, nous nous sommes quasiment jamais séparés. Nous sommes comme les deux doigts de la main !
Mélanie, est à peu près à la même taille que moi, ce qui est gênant pour elle si elle souhaite mettre des talons, mais passons cela. Sa chevelure blonde m’a toujours attiré, ainsi que son corps athlète, sans être musclé, des fesses bien rebondies, pour une poitrine généreuse… sans doute un 90C (Même étant son meilleur ami depuis deux ans, nous avions jamais pu en parler, c’était… « déplacé »).
Mais venons-en au fait !
Mélanie venait de se faire jeter par son petit copain. Alors, je faisais tout pour lui remonter le moral ! Ceci était bien mon devoir, non ? (Quel coquin, il va en profiter, vous vous dites ?) Eh bien oui, j’en ai profité !
Depuis un moment, Mélanie, je ne la regardais plus de la même manière, c’était vraiment une femme. Même si j’étais son meilleur ami, je m’étais toujours dit « Et si… ». Je me décidai alors à mettre toutes les chances de mon côté pour qu’elle soit mienne.
Les vacances sont arrivées après une longue période d’examens, alors les sorties au ciné, les balades, les restos, les week-ends ensemble… Tout ça nous rapprochait…
Je ne savais jamais quoi dire à ces moments-là, sauf « Alors, ma récompense ? ». Bien sûr ça, je ne le disais pas, je ne pouvais pas. J’étais pris dans le dilemme de l’amour ou de l’amitié… Que faire ?
Souvent, je venais lui faire des câlins, je la prenais par les hanches. Mon dieu ! Son corps était parfait. J’avais du mal à me retenir ! Sa poitrine qui se collait contre mon torse, par moments je me demandais si elle sentait le degré d’excitation qu’il pouvait y avoir à l’intérieur de mon boxer ! Parfois, elle me réclamait des massages, alors vous n’imaginez pas le bonheur que c’était de voir ses fesses se plaquer contre mon marteau piqueur !
Mais un jour, chez elle, en lui massant le dos, je lui demandai :
En tant qu’homme, les seuls mots enregistré furent « Tu peux y aller ».
Alors je reprenais de plus belle mon ménage, mes doigts allaient de ses épaules jusqu’à ses hanches. Je n’osais pas aller plus bas, mais je me dis « À quoi bon ? Ce n’est qu’un massage… puis elle aime bien ! », alors je continuai. Sa peau était bronzée, j’adorai son odeur, je me suis permis de lui faire un baiser sur sa peau… Elle se retourna et me gratifia d’un sourire… « Qu’est ce qui ce passe ? Pourquoi elle m’a souri, et si j’en fais un autre… Et si j’arrête le massage ? »
Là, mesdames, je vous l’accorde, un homme peut EN EFFET faire une seule chose à la fois. En y pensant, j’ai cessé de bouger mes mains, alors le dernier « Et si… » est devenu réalité.
Elle se retourna, lentement… Puis, me fixa et me dit :
Je n’ai pas attendu, ni une ni deux secondes, mais elle était déjà allongée sur moi, je l’ai prise dans mes bras, puis l’ai embrassée. Mon cœur battait à tout rompre, mais pas que ça !
Elle s’arrêta puis, l’air surprise, se redressa et m’expliqua qu’elle n’était pas sûre… Mais en prime, elle m’expliqua qu’alors qu’elle était avec son copain, elle n’était plus sûre de ses sentiments et qu’elle ne savait plus faire la différence entre l’amour et l’amitié concernant elle et moi.
J’étais au septième ciel.
Elle me regarda, ses yeux vert était incroyables…
Elle ne dit aucun mot et vint simplement m’embrasser dans une fougue encore plus excitante que la première fois…
Nous nous embrassâmes, alors qu’elle était allongée sur moi. Mes mains caressèrent son corps, pour finalement aller vers le bas de son dos, puis les fesses que je massai fermement. Elle ondula du bassin pour sentir mon sexe qui était sur le point d’exploser.
Elle recula :
Je la vis se déshabiller devant moi, j’étais assis sur le lit, elle me faisait un strip-tease, ce qui augmenta ardemment la température de la pièce. Son haut était au sol… j’étais face à une femme, son ventre plat, bronzé, était incroyablement beau. Tout était beau. Ses seins qui avaient peine à être contenus dans son soutien-gorge ne demandaient qu’à sortir… Je l’imaginai déjà, les tétons à l’air qui devaient pointer d’excitation…
Elle enleva son soutien-gorge pour me faire découvrir une poitrine ferme. Ses seins étaient si gros, les tétons qui pointaient me donnaient envie de me jeter sur elle pour lui manger la poitrine !
Mon dieu, elle le fit ! Elle baissa son jean, sa braguette descendit… Et là, la grosse surprise… Aucun string, pas de culotte, aucun bout de tissu n’était présent.
Je la regardai plus intensément, alors qu’elle fermait les yeux, l’air d’être en pleine extase, elle en arriva à la fin… Je détaillai son sexe totalement épilé. Ses lèvres étaient gonflées par le désir… son sexe m’appelait. Mais… Mais… oh ! De la mouille coulait déjà sur sa jambe gauche. C’était totalement incroyable. Je n’en crus pas mes yeux.
Elle se dirigea vers moi, cette fois-ci, les yeux rivés sur mon boxer qui était toujours présent, avec une grosse bosse à l’horizon. Elle me regarda d’un coup, mystifiée par la taille de la déformation. C’était un complexe pour ma part.
Elle se mit à la hauteur de mon sexe, moi couché sur le dos…
Malgré les circonstances très… excitantes, je trouvai cette prise de parole, juste magnifique et incroyablement sincère. Je ne sus que lui dire que je l’aimais du plus profond de moi-même. (Ce qui était vrai)
Elle sortit sa langue qui vint directement se placer sur mon sexe déjà décalotté par l’excitation, elle lécha mon gland, mon dieu, c’était tout juste divin. Elle me regarda d’un air malicieux, elle prit plaisir à me regarder en prendre, moi aussi. D’un coup, elle fixa mon sexe, puis essaya malgré sa grosseur, de le mettre dans sa bouche, elle ne put mettre que le gland, elle se contenta de ça. Sa langue tournait autour de mon gland, la chaleur de sa bouche autour de mon membre était tout juste indescriptible.
J’avais ce sexe dégoulinant de cyprine devant moi. Elle gémissait déjà alors qu’aucun contact n’était encore fait. J’écartai à peine ses lèvres qu’un « Hmmmmmm, oui… » sortit de sa bouche. J’avançai ma langue sur ce sexe qui me quémandait depuis un moment, je léchai chaque coin de son intimité, comme une exploration. Aucune partie n’était oubliée, je tournai ma langue autour de son petit bouton d’amour… Elle aimait ça, elle s’en mordait les lèvres en gémissant, je dardai ma langue comme un petit sexe, puis j’essayai de la faire entrer au plus profond d’elle…
Elle me supplia qu’elle voulait continuer à me sucer, que ce n’était pas juste qu’elle soit seule à ressentir un plaisir aussi immense.
Je lui dis de se mettre au-dessus de moi… Je continuais de lui lécher la chatte alors qu’elle me suçait… C’était tout juste un plaisir à l’état pur. Je léchai encore plus vite sa chatte qui dégoulinait pour laisser place à des gémissements. Les vibrations qui émanaient de sa bouche se faisaient ressentir sur mon sexe qu’elle essayait de mettre au plus profond de sa gorge…
Elle allait être servie…
Ce qui était à peine ma meilleure amie, il y a de cela… une heure, était maintenant une femme incroyable, qui me rendait fou de joie, pour ne pas dire d’excitation.
Je me mis alors au-dessus d’elle, une position classique. Je voulais voir son visage pendant que je me planterai en elle… Je l’embrassai, je sentis sa langue forcer le passage, le mélange de nos sécrétions m’excita davantage.
Huuuummm… la cochonne ! Je commençai à entrer en elle, centimètre par centimètre. Juste avant, ma première pénétration rata, je glissai sur son clitoris, ce qui eut don de lui faire pousser un gémissement démesuré. Mais finalement, je trouvai le bon chemin et assurai ma descente dans l’antre du plaisir…
J’étais totalement en elle, je soupirai, son visage était plein de bonheur, je l’embrassai, elle me rendit mon baiser, j’entamai un va-et-vient…
J’allais encore, et encore ! Je commençai à montrer des signes de faiblesse au niveau de ma résistance… J’allai toujours plus fort, pour qu’elle continue de pousser ses cris, encore plus fort :
Elle ne bougea plus, mais je sentis un jet de liquide sur mon sexe… c’était sa cyprine… Elle mouilla énormément, je me retirai pour constater les dégâts des eaux, et là, un jet de mouille s’écrasa sur le drap, puis sur mon sexe. Mon dieu, c’était bon et incroyable.
Un sourire fut le résultat de mon objection.
Elle était à quatre pattes devant moi… ses fesses, étaient devant mon sexe… je caressai son sexe de la main… puis remontai légèrement plus haut pour déposer la cyprine sur son anus… je le préparai… mon sexe était prêt… Mon gland toqua à la porte de son cul… J’y suis entré comme « une lettre à la poste », elle poussa un gémissement de plaisir et de douleur…
…
Je me demandai comment mon sexe avait pu prendre possession des lieux…
J’allais encore et encore… Plus fort, sans qu’elle me le demande, elle fut à nouveau terrassée par un orgasme, qui appela le mien, je me lâchai en elle…
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Je me réveillai, elle était nue, à côté de moi. Je la pris dans mes bras en remerciant le ciel que ce ne fut pas un rêve…
Depuis, cela fait deux ans que nous sommes ensemble… Et chaque jour, je remercie son ex de l’avoir larguée, car je compte bel et bien l’épouser !