n° 14905 | Fiche technique | 16396 caractères | 16396Temps de lecture estimé : 10 mn | 09/04/12 corrigé 11/06/21 |
Résumé: Ma première expérience sexuelle avec une femme, inconnue et plus agée que moi. | ||||
Critères: fh fplusag fagée inconnu voiture intermast fellation init -inithf | ||||
Auteur : Didier Ero 61 Envoi mini-message |
Je me prénomme Didier, je viens d’avoir quarante ans. J’ai décidé d’écrire mes premières expériences sexuelles. En quelque que sorte, je commence à écrire mes mémoires.
Ma première expérience s’est déroulée il y a vingt ans. J’étais très timide à l’époque et donc je n’osais pas aborder les filles de mon âge. De plus, j’étais beaucoup attiré par les femmes plus mûres ! Certaines femmes de mon entourage, plus âgées que moi me faisaient fantasmer. À cette époque, j’avais mon BTS en poche et je cherchais du travail. En ce mois de novembre, je devais passer un concours pour entrer à la ville de Paris, comme technicien supérieur en construction de bâtiments.
Ce jour-là, pour arriver bien en avance à l’heure du concours, j’étais parti tôt de province. J’avais pris le train, puis le RER. Le concours avait lieu à l’est de Paris, à Noisy-le-Grand. À la station RER, j’avais encore quinze à vingt minutes de marche. J’avais mis mon costume (le seul que j’avais, normal pour commencer la vie…). Je traversai un parking près d’immeubles modernes et neufs quand j’entendis une voix qui appelait quelqu’un.
Je cherchai d’où provenait la voix. En fait, cet appel m’était destiné. Je vis une femme qui me faisait des signes de sa main droite et qui criait :
Elle était proche de sa voiture, je suppose. Je regardai l’heure et comme j’avais une bonne heure d’avance, je pris la direction de cette femme. Je m’approchai d’elle. Elle portait un long manteau en fourrure et un chapeau de la même matière. Normal, car cette semaine, il faisait très froid.
J’étais arrivé à peu près à deux mètres d’elle et je lui dis :
Elle avait l’air affolée. Pendant qu’elle me parlait, j’ai pu mieux la contempler. C’était une très belle femme, sûrement la quarantaine, brune, yeux verts. Elle était grande, elle devait mesurer plus d’1,70 m. Elle portait de jolis escarpins rouges avec de longs talons aiguilles qui la grandissaient encore plus. Ses fines chevilles étaient gainées de nylon noir. Que portait-elle en dessous ? Je sentis une certaine chaleur parcourir mon corps, comme lorsque qu’on commence à être excité. Je repris mes esprits et lui dit :
J’examinai la roue avant droite de sa voiture. En effet, il fallait une clé spéciale pour ouvrir le cache écrou qui est un antivol. Je lui demandai donc :
Elle fit le tour de la voiture, ouvrit la portière gauche et chercha dans sa boîte à gants.
À mon tour, je fis le tour de la voiture par l’arrière pour aller du côté gauche de la voiture. Je l’aperçus accroupie sur le bord de la voiture en train de chercher dans la boîte à gants. Enfin, comme le manteau était ouvert, je pus voir un peu plus de ses jambes. De très belles jambes, très fines aux chevilles, de beaux mollets musclés. Elle devait porter une jupe, sûrement un tailleur. Elle travaillait dans un bureau, elle était peut-être assistante de direction ou peut-être avait-elle avoir des responsabilités au sein de son entreprise. Elle avait dit qu’elle avait une réunion très importante à 11 h.
Je m’approchai d’elle et elle s’écarta un peu pour me laisser de la place, toujours accroupie. Je fixai ses jambes de nylon noir et, comme elle bougea, je pus voir le haut de ses bas ! Je rêvais ou était-ce la réalité ? J’ai toujours rêvé de connaître ce genre de situation. Combien de fois je me suis masturbé en imaginant caresser de belles jambes comme celles-ci, gainées de bas nylon ! Je sentis mon sexe gonfler de plus en plus. Je devais avoir une belle bosse ! Évidemment, elle a dû s’apercevoir que je fixais ses jambes et donc se releva. Avait-elle remarqué qu’elle m’avait excité ?
Je suivis ses ordres. Je cherchai cette maudite clef antivol avec énervement car moi aussi j’allais être en retard si cela continuait comme cela ! Enfin, j’ai pu trouver celle-ci, rangée dans la pochette avec tous les documents.
Son visage nerveux et triste est d’un coup passé à la joie, la bonne humeur. Elle me dit :
Reprenant ma tâche, je débloquai les écrous de la roue, fit monter le cric, enlevai la roue crevée, remis l’autre et la serrai, puis descendis la voiture. Après avoir tout rangé, je rendis la fameuse clef à Catherine.
Elle me remercia longuement, me disant lui avoir sauvé sa vie, du moins sa journée.
Nous entrâmes tous les deux dans la voiture en ayant mis nos manteaux à l’arrière. Elle prit ses lingettes de son sac et ouvrit le paquet.
Elle portait un tailleur de couleur noire avec un chemisier blanc. Je pus enfin voir sa poitrine. Une poitrine généreuse sûrement. Je suis vraiment tombé sur une très belle femme. Je n’aurais aucune chance avec elle ! Moi, je suis plutôt banal, bref : pas un top model !
En sortant deux ou trois lingettes du paquet, elle me dit :
Elle prit mes mains et passa la lingette nettoyante, sur le dessus, la paume, de mes mains. Mon cric commença à remonter ! C’était tellement agréable ! Elle prit son temps pour me nettoyer chaque doigt, un par un, avec minutie. Je crus deviner qu’elle prenait aussi du plaisir à faire cela. Elle me dit :
C’est vrai qu’elle avait de très belles mains. Les doigts longs et fins, les ongles bien manucurés avec un rouge à ongles vif. J’imaginai ces mains tenant ma queue, ces doigts parcourant ma verge et me caressant les couilles. Mmmmhh ! D’ailleurs, à ce moment, mon sexe était très à l’étroit dans mon boxer !
Elle recula son siège pour avoir plus de place. Elle recula le mien. Elle voyait bien que j’étais excité mais apeuré par le moment qui allait venir. Elle remonta un peu la jupe de son tailleur, juste au niveau du haut de ses bas. Elle plaça sa jambe droite sur mes genoux. J’avais mon rêve à portée de main et mieux encore, proche de mon sexe. Allons, Didier ! Réveille-toi et prends les choses en mains.
Je commençai à caresser cette longue jambe, de la cheville jusqu’à la chair du haut de ses cuisses non couvertes pas ses bas nylons ! Quel plaisir ! Quelle sensation étrange de toucher ce nylon si fin et puis sa peau si douce ! Mon sexe n’en pouvait plus ! Il ne faudra pas longtemps pour que j’explose !
Je vis qu’elle fermait les yeux et ne disait plus rien. Elle avait l’air d’apprécier mes caresses. Comme sa jambe droite était plus haute, sa jupe était remontée au niveau de sa culotte blanche en dentelles, de même couleur que ses talons-aiguilles. Quel spectacle pour moi ! Quel plaisir ! Quelle émotion !
Mes mains tremblaient ! Et si j’allais plus loin, en approchant mes doigts de ses dentelles blanches qui laissent deviner un petit triangle noir. Mon excitation était de plus en plus grande ! Je n’avais jamais connu cela. J’approchai doucement ma main droite de cette dentelle blanche. Mes doigts frôlaient la peau blanche du haut de ses cuisses. Je sentis sa respiration se faire plus rapide et elle me dit :
Elle commença à déboutonner son chemisier blanc, laissant apparaître la même dentelle blanche que sa culotte, prit mes mains et les posa sur ses seins encore retenus dans cette dentelle.
C’est vrai qu’ils étaient tout durs. Sa poitrine était ferme et la peau toujours aussi douce. Un vrai plaisir pour les mains. Elle décida de dégrafer son soutif pour dégager ses seins.
Je suivis à la lettre ses ordres. J’explorais sa chatte avec ma main tandis que je goûtais ses deux globes de chairs. Je sentis son bassin se lever et ses jambes se tendre. Elle commençait à pousser de petits cris.
Je sentis du liquide couler sur ma main. Quelle sensation ! C’était la première fois que je voyais une femme jouir autrement que dans des films. Et c’était moi l’auteur ! Je ne bougeai plus, je restai à contempler ce corps de femme qui venait de prendre du plaisir. Elle reprit ses esprits et me dit :
Catherine se redressa et s’approcha de moi. Elle posa ses lèvres sur les miennes et nous nous sommes embrassés avec tendresse. Sa main qui était posée sur ma cuisse remonta tout doucement vers ma bosse. Elle caressa mon sexe à travers le pantalon. Elle prit ses deux mains pour ouvrir la ceinture et le bouton. Elle descendit tout doucement la braguette toujours en m’embrassant. Nos deux langues se mélangèrent dans nos bouches.
Elle quitta ma bouche pour se diriger vers mon volcan ! Ses mains avaient déjà commencé à me caresser ma verge mais aussi mes couilles ! Elle passa sa langue sur mon gland, puis descendit et remonta comme si c’était une sucette. J’éprouvais une telle sensation que je ne voulais pas que cela se termine. Je fermai les yeux et ma respiration fut de plus en plus forte ! Elle me suça doucement pour que je ne jouisse pas trop tôt ! Sa bouche était si chaude et sa langue se promenait partout sur mon gland. Enfin j’imaginais, car j’avais tellement de plaisir que j’étais incapable de discerner ce qu’elle faisait réellement ! Catherine sentit que j’étais au bord de l’explosion. Elle me garda en bouche et me branla doucement mais avec force jusqu’à la jouissance finale.
Elle garda tout mon sperme dans sa bouche. Elle avala tout. Elle continua à me sucer, à me lécher. Moi j’étais toujours dans un état second ! J’ouvris les yeux, et je la vis qui me regardait avec un léger sourire. Elle était contente de me voir ainsi, de m’avoir fait connaître une telle jouissance, de m’avoir initié.
Elle démarra et mit la ventilation à fond car les vitres étaient pleines de buée !
Elle me conduisit à l’endroit où je devais passer mon concours. Nous sommes embrassés longuement et je suis sorti de la voiture.
Évidemment, je n’ai pas eu ce concours car j’avais beaucoup trop de choses en tête, impossible de se concentrer après ce moment inoubliable.
FIN