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n° 14910Fiche technique15803 caractères15803
Temps de lecture estimé : 12 mn
12/04/12
Résumé:  J'ai tenté d'écrire exactement la première fois où j'ai fait l'amour...
Critères:  fh vacances amour cunnilingu préservati init -prememois -initfh
Auteur : Maelys            Envoi mini-message
Ma première fois

Je m’étais trouvé un job d’été, en cet été 1999, dans une colonie de vacances. Nous étions installés dans un beau chalet de montagne en Haute-Savoie. Le directeur avait monté des tentes dans les alpages, non loin d’un petit lac charmant, aux eaux bleues et vertes.


C’était le tour de mon groupe d’y passer cinq jours. Je suis donc partie avec un groupe de quinze enfants, et Marie et Kamal, les deux animateurs avec lesquels je travaillais. Les conditions étaient spartiates, mais c’était très sympa.


Premier soir autour du feu avec chants durant la veillée. Kamal jouait de la guitare comme un pro et chantait très bien. Marie et moi étions sous le charme. Malheureusement, il semblait être insensible à nos charmes et aux miens en particulier.


Première nuit. J’occupais la même tente que Marie, et Kamal en avait une pour lui seul. Après avoir couché nos loupiots, nous nous sommes endormis comme des masses. Je me suis réveillée de bonne heure. Marie dormait encore. J’ai pris mes affaires de toilette et je suis allée vers le torrent à cinq minutes du camp pour me laver. Juste avant d’y arriver, j’ai aperçu un garçon nu. Je m’apprêtais à faire demi-tour, mais je m’aperçus qu’il s’agissait de Kamal. Il était entré dans le torrent jusqu’aux genoux et s’aspergeait d’eau pour se rincer. Il était magnifique, musclé, et de le voir nu dans ce torrent lui donnait un air sauvage qui le rendait irrésistible. Il mesurait 1,80 m


Je me suis dissimulée pour le regarder finir de faire sa toilette et j’avoue que sa verge, qui mesurait une dizaine de centimètres au repos, me rendait curieuse. Musulman, il était circoncis et je pouvais voir son gland. J’avais déjà vu des hommes nus dans des revues mais jamais dans la réalité. J’ai un peu mouillé…

J’ai attendu qu’il parte, puis je suis allée me laver moi-même. Je pensais faire comme lui, mais l’eau était vraiment trop glacée et je me suis juste lavée au bord du torrent.


Toute la journée, dès que je le voyais, je me l’imaginais tout nu comme je l’avais vu le matin. Hélas, il ne semblait pas du tout faire attention à moi. Je me suis imaginée un scénario pour attirer son attention, que j’ai mis en œuvre le second matin.


Je me suis levée très tôt. Marie dormait à poings fermés et devait redescendre ce soir, étant de congé le lendemain. J’ai gravi le raidillon qui séparait le torrent de notre camp. Je me suis assise derrière les fourrés et j’ai observé avec attention la tente où Kamal devait encore dormir.


Je n’ai dû attendre qu’une dizaine de minutes pour l’en voir sortir. Mon cœur s’est mis à battre la chamade. J’ai parcouru rapidement le trajet qui me séparait du torrent. J’ai ôté rapidement ma culotte et mon long t-shirt blanc. J’ai commencé à mettre un pied dans l’eau. Elle était glacée. Comment faisait-il pour y entrer ? Je me suis finalement décidée à y entrer jusqu’au chevilles, puis jusqu’aux genoux. Rapidement, j’ai pris du gel douche et je me suis mise à me savonner.


Debout face aux arbustes, on ne pouvait me rater depuis le chemin qui redescendait vers le torrent. Je me suis savonnée entièrement le corps. Mes tétons étaient tout dressés, à cause de l’eau froide, sans doute, mais aussi à cause de l’impudeur, toute nouvelle pour moi, de la situation dans laquelle je me retrouvai.


Normalement si Kamal devait apparaître, il devait arriver dans les prochains instants. Je continuai, comme de rien, à me laver. Pas de Kamal. Soit il avait fait demi-tour en me voyant nue, soit il m’observait comme je l’avais fait la veille. Je pris le parti de penser que c’était le cas. Il devait me voir, moi et ma taille mince, mon ventre ferme à l’époque et ma poitrine volumineuse, un bon 95c, qui attirait depuis quelques années déjà le regard des hommes, mes hanches généreuses et mon pubis à la toison brune et épaisse.


J’entrepris de me rincer. J’eus le souffle coupé par le froid de l’eau coulant sur ma tête puis sur mes seins. Je me suis tournée pour rincer mon intimité, histoire, s’il était là, de lui montrer mes fesses, rondes, pleines, mais que mes flirts avaient avoué aimer en me pelotant lors des soirées dansantes d’ados. Je me suis cambrée en avant et j’ai écarté les jambes pour rincer ma vulve en y projetant de l’eau dessus. S’il était là, Kamal devait voir ma croupe et ma vulve offerte par derrière.


Je suis sortie de l’eau, me suis séchée, rhabillée et j’ai pris le raidillon pour franchir la petite butte qui nous séparait du camp. Pas de Kamal. Comme il est très délicat avec les filles, de ce que j’ai pu en voir, il avait dû redescendre en me voyant nue dans le torrent. Je commençai à douter que mes efforts pour le charmer aient pu payer. À peine avais-je franchi la butte, que je le vis grimper, ses affaires de toilette sous le bras.



Nous avons poursuivi chacun notre chemin. J’étais heureuse car j’étais persuadée qu’il avait dû regagner le chemin à toute vitesse quand j’étais sortie de l’eau. Il m’avait vue nue. Mon corps était désirable et j’avais dû lui faire de l’effet. J’en eus confirmation tout au long de la journée par ses regards fugaces et détournés sur moi.


Le directeur arriva en fin d’après-midi avec le ravitaillement pour les deux prochains jours. Marie redescendit en voiture avec lui pour prendre son jour de congé. Il nous annonça que Camille, une animatrice, nous rejoindra demain, à pied, par le sentier de randonnée.


Nous voici tous les deux seuls avec les enfants. Le repas s’acheva. J’ai organisé quelques jeux de société tandis que Kamal est allé faire la vaisselle. Le soir tomba bientôt. Nous avons couchés garçons et filles dans leurs tentes. Nous avions terminé notre journée. Kamal s’apprêtait à entrer dans sa tente. Je suis allée le voir en lui demandant s’il acceptait que je dorme dans sa tente, ne voulant pas rester toute seule la nuit. Il a semblé d’abord gêné, puis a accepté en me disant



Je suis allée prendre mes affaires dans la tente et j’ai rejoint Kamal dans la sienne. J’ai commencé par sortir ma petite bouteille d’eau et j’ai pris devant lui ma pilule. J’ai enlevé mon t-shirt et mon short. Kamal m’a dit, très gêné :



Non content d’être très beau et de savoir chanter comme un Dieu, c’était un vrai gentleman. C’est à ce moment précis qu’en plus d’avoir envie de lui, je suis tombée amoureuse. Je lui ai répondu de façon très audacieuse :



J’ai donc retiré mon slip et mon soutien-gorge. Il ne savait quoi faire. Il ne s’est pas détourné, ce qui aurait paru ridicule, mais s’est lui-même déshabillé, pour ne garder qu’un short long qu’il a sorti de dessous son sac de couchage. Nous sommes ensuite entrés dans nos sacs de couchage. J’ai pris un roman dont je ne me rappelle plus le nom et il a pris les « Extraordinary tales » d’Edgar Allan Poe, in english, s’il vous plaît ! Intelligent et cultivé, en plus de tout cela…


Nous n’arrivions pas vraiment à lire, restant plus de cinq minutes sur la même page. Je sentais Kamal absorbé par autre chose. Comme je l’étais par lui, j’en déduisis que nous nous cherchions sans nous trouver. Il ne savait pas comment faire le premier pas et je ne savais pas comment serait interprété le fait de l’accomplir.


J’avais décidé que ce serait lui qui serait mon premier amant et j’avais peur qu’il n’ose pas tenter de le faire, alors j’ai posé mon livre et je me suis blottie contre lui. Il fit mine de continuer à lire, mais ne me repoussa pas. Je me mis à caresser son torse. Ses deltoïdes étaient durs comme de la pierre. La chaleur m’envahit et je sentis mon petit clitoris durcir.


Après une minute qui me sembla durer une heure, il posa enfin son livre, se tourna vers moi avec un beau sourire, me prit par la nuque et m’embrassa longuement sur la bouche. Une main sur son épaule, l’autre sur sa tête, notre baiser dura longtemps. Nous avions envie l’un de l’autre, nous nous désirions entièrement.


J’ai baissé la fermeture de mon sac de couchage et il en fit de même. Il posa sa main gauche sur ma taille tout en m’embrassant sur le nez et sur mes paupières, puis en blottissant sa tête sur mon cou. C’était délicieux. Il passa sa main sous mon t-shirt et entreprit de me caresser les seins. Ils s’étaient durcis à la suite de nos baisers langoureux et mes tétons s’étaient dressés. Il prit bien soin de ne pas les saisir dans un premier temps, contrairement à mes précédents petits amis qui les utilisaient à la manière de joysticks, ce qui était pour le moins désagréable.


Je sortis de mon sac de couchage et retirai mon t-shirt lui laissant le loisir de me découvrir toute nue. Il fit de même. Son short enlevé, sa verge était dressée et palpitait de désir. En érection, il faisait un bon 17 cm mais il n’était pas très épais. J’eus néanmoins un peu d’appréhension car pour une défloration, le défi ne me semblait pas évident à relever.



Kamal était vraiment un garçon d’une grande délicatesse. Mes amants ultérieurs le furent aussi. Je ne sais, si une première fois est fondatrice d’une vie sexuelle, mais cet aspect est resté important dans le choix de mes amants, comme le fait que j’ai une préférence pour les sexes de belle taille.


Il se plaça à mes côtés. Sa bouche vint goûter mes seins dont il aspira les tétons. C’était divin. J’avais envie de me toucher en même temps, mais je n’osai pas, de peur de le choquer. Je ne sus que plus tard que les hommes aiment pourtant cela. J’empoignai plutôt sa verge, découvrant sa dureté. Jusqu’à présent, je n’en avais caressée que par-dessus les pantalons de mes petits amis. C’était doux et dur en même temps… Ses testicules s’étaient durcis et il semblait apprécier que je les caresse.


Après avoir longuement pétri et léché mes seins, il me fit des baisers dessous puis sur mon ventre, de plus en plus bas. Je savais ce qu’étais un cunnilingus, mais c’était mon premier et je me sentis frissonner à l’idée qu’il allait passer sa langue sur des parties aussi sensibles… Cela me fit mouiller énormément : j’eus presque la sensation d’uriner du vagin, tellement je sentais ma cyprine en exsuder.


Pour lui montrer mon assentiment à la pratique de cette caresse, j’écartai largement les cuisses. De sa main, il caressa le mont de Vénus en passant ses doigts dans ma toison fournie. Son index glissa vers mon capuchon et je ressentis comme une décharge quand il tapota de son index le gland de mon clitoris. Il caressa mes nymphes. Quel délice ! Il approcha son visage de ma vulve : il allait enfin me lécher ! Au moment d’écarter mes petites lèvres, il s’arrêta net :



Décidément, il était plein d’attention. Alors qu’il était excité, il était prêt à renoncer à son plaisir. Il me prit dans ses bras et m’embrassa sur la bouche. Il semblait très ému.



Il reprit sa caresse mais de façon plus directe : il se mit à me lécher les nymphes. Il caressa mon périnée. Je sentis que j’étais trempée. J’étais vraiment prête, dans ma tête et physiquement, à me donner.

Kamal le sentit et fouilla dans son sac à dos, en sortit un préservatif qu’il déroula jusqu’à la moitié de son sexe. Il mit un peu de gel lubrifiant sur le préservatif. Il se plaça entre mes cuisses écartées et positionna sa verge à l’entrée de mon vagin. J’avais peur de la douleur que je pourrais ressentir lorsqu’il allait pousser mais j’étais aussi impatiente de le sentir en moi.



Je sentis un petit déchirement et comme une petit coupure. Son pénis était entré un petit peu en moi. Il marqua une petite pause et s’enfonça au fond de moi. Je me détendis et il entama de longs va-et-vient en se couchant sur moi et en m’embrassant. Son torse puissant sur mes seins, ses caresses sur mes seins et ma taille, tandis qu’il allait et venait en moi de plus en plus vite, firent disparaître la petite douleur du début.


Peu à peu, je me mis à ressentir du plaisir. Il accéléra encore, puis s’arrêta brusquement au fond de moi. Après quelques instants au fond de moi, il reprit sa pénétration mais plus lentement, mais plus profondément. Comme une vague, je sentis mon vagin se resserrer et tous mes muscles se contracter. Des spasmes de plaisir pur me submergèrent : je venais d’avoir mon premier orgasme vaginal. J’étais vide, j’étais comblée, j’étais une femme, entière…

Il attendit que mes contractions s’espacent et en quelques coups de boutoir, il parvint à l’orgasme. Je sentis les pulsations de son éjaculation tout au fond de moi.


Il s’est retiré de moi, a enlevé son préservatif, qu’il a jeté dans le sac poubelle de l’avancée de la tente. J’ai remis mon t-shirt, lui son slip, et nous nous sommes blottis l’un contre l’autre en nous caressant et nous nous sommes endormis. Même en été, il fait frais la nuit en montagne. De plus, si nous devions sortir rapidement, des enfants nous réclamant, il valait mieux que nous soyons décents !


Je me suis réveillée au milieu de la nuit. Kamal dormait à poings fermés. J’étais heureuse mais j’avais envie qu’il me prenne encore, comme pour avoir la confirmation qu’il ne s’agissait pas d’un rêve. Je me suis allongée à plat ventre et j’ai commencé à caresser ses cuisses et son bas-ventre, puis son sexe à travers son short.


Petit à petit, Kamal est sorti de son sommeil… Il a retiré son short. J’ai pris dans ma bouche son sexe à nouveau en érection. C’était ma première fellation. Avec le recul, la prise en bouche directe n’était pas ce qu’on fait de mieux. Je sais aujourd’hui combien il est agréable pour un homme de se faire lécher les testicules et de parcourir de sa langue son membre avant de l’emboucher. Après un moment d’hésitation durant lequel je le léchai, je l’aspirai du mieux que je pus, à la limite de ce que je pouvais faire, avec ses 17 cm de long… Je sentis son désir monter et d’un seul coup, il se retira de ma bouche et me demanda :



Je m’apprêtai à me mettre sur le dos et à écarter les cuisses. D’un geste doux mais ferme, il me dit :



Il remit un préservatif et je retirai mon t-shirt. Je ne savais pas que faire : écarter un peu mes jambes ou au contraire les serrer pour qu’il m’enjambe. Je n’eus pas à tergiverser très longtemps. Il se mit à califourchon sur mes cuisses, serrées, donc. J’ai senti sa verge passer entre mes cuisses. Il a fait quelques va-et-vient verticaux, butant à chaque fois sur mon clitoris puis est entré en moi, cette fois-ci d’un coup.

Mon plaisir est monté rapidement. Contrairement à ce qu’il avait fait lors de ma défloration, il me prenait de manière vigoureuse et je sentais sa longue verge buter au fond de moi.


Je n’ai pu retenir quelques cris tellement c’était bon, fort, sauvage, presque…

Nous avons joui ensemble. Il s’est écroulé sur moi, m’a embrassé le cou et caressé les seins ce qui a contribué à prolonger mon orgasme… Nous sommes restés ainsi quelques minutes puis il s’est retiré. Après les petites toilettes de nos sexes, nous nous sommes endormis, heureux, nos baisers s’espaçant au fur et à mesure que le sommeil nous gagnait…



Mes amies me parlent souvent de leur déception lors de leur première fois. J’ai vraiment eu de la chance de rencontrer Kamal pour cette première fois. Il m’a faite femme avec délicatesse et force, tendresse et désir, avec respect et animalité… Une nuit de rêve, pour résumer.


Nous avons été amants durant les trois semaines de la colonie de vacances. Kamal m’a fait découvrir bon nombre des facettes de l’amour physique, mais aussi l’amour véritable d’une autre personne.