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n° 14913Fiche technique8671 caractères8671
Temps de lecture estimé : 6 mn
14/04/12
Résumé:  Petite exhib au concert, petits jeux aussi...
Critères:  fh hplusag extraoffre inconnu fépilée fête exhib noculotte fmast confession -occasion -mastf
Auteur : Yonidouce            Envoi mini-message
Scorpions, tournée d'adieux !



Remarque préliminaire : Depuis quelques années, je suis très sage. Je raconte mes aventures passées. Aujourd’hui j’ai quelque chose de neuf à partager, quelque chose qui, pour moi, a été un moment très fort. Je sais bien que mes mots ne vous feront pas vivre cet instant magique, mais on peut essayer.







J’étais début avril en vacances en Normandie, et mon mari avait réservé deux places pour le Zénith de Caen où Scorpions passait pour sa tournée d’adieux. Je ne suis pas fan de hard rock, mais j’adore les ballades de Scorpions – « Still loving you », « Send me an angel »… Mon mari, lui, est un fan absolu.


Nous nous étions habillés pour l’occasion : lui en jean, tee-shirt noir et vieux cuir de moto, et moi en jupe de jean – j’avais une jupe en cuir mais j’ai un peu vieilli (quarante-cinq ans), et je ne rentre plus dedans ! Ou alors en forçant, et ce n’est pas plaisant – un top à fines bretelles en crêpe blanc, et une veste en cuir, plus bourgeoise que motarde mais je voulais être raccord. Ah oui, avec des bottes. Jolies bottes, pas cuissardes vulgaires. Euh ! Non, rien d’autre. C’est tout.


Le concert était génial. J’ai même adoré les moments hard rock. Une ambiance phénoménale. Je dansais sur place, chantais. Mon mari sifflait… Nous battions des mains, bras en l’air… Fabuleux !


Assez rapidement, j’ai retiré ma veste et l’ai posée sur mon sac, lui-même posé entre mes pieds.


J’étais sur un nuage. Nous regardions souvent la foule autour (nous étions dans la fosse), c’était incroyable. Et, plus terre-à-terre, à côté de moi certains spectateurs me regardaient avec insistance. Cela ne me déplaisait pas. Au contraire. Il y avait de tout, de vingt à soixante ans, des gens proprets et des bikers tatoués jusque sur leurs crânes chauves !


Un peu devant moi, sur ma droite, un jeune d’une trentaine d’années se retournait souvent pour me regarder. En fait, quand je dansais en tapant des mains, bras en l’air, son regard allait de mon visage à ma poitrine qui semblait lui plaire, voire plus bas. C’est vrai que mon top relevé par mes bras en l’air dégageait un peu de mon ventre nu (l’attrait de la chair !), et que mes seins libres sous mon top léger et très agités par la musique devaient attirer le regard ! Et j’aimais tant ça que j’ai eu envie de plus. Je me suis mise devant mon mari (je ne le gênais pas, il est bien plus grand que moi), et ai pris ses mains pour les poser sur mes hanches.


Dans cette nouvelle position, j’étais juste à côté de mon admirateur. Mon mari est resté un moment comme cela, c’était agréable mais insuffisant. Je l’ai alors guidé sur mon petit top pour que ses mains remontent et me caressent les seins. C’était si bon ! Nous dansions, bougions sur place plus que nous ne dansions à vrai dire, et ses mains me caressaient. J’adorais.


Je tourne la tête, mon voisin nous regarde. Je lui souris. Il me répond. Je le sens gêné mais comme délivré de sa culpabilité de mateur. Il est désormais connu, reconnu… et invité. Je le regarde désormais et lui souris pendant que mon mari me caresse. Lui ne regarde plus la scène mais moi. J’ai envie de lui.


Je me retourne vers mon mari et lui demande à l’oreille s’il me permet un petit délire avec ce voisin – il est ultra-possessif et ne supporte pas que je fasse quoi que ce soit dans son dos, mais avec lui pas de souci ! C’est même lui qui m’a poussée à faire les pires insanités.



Je le remercie d’un baiser en posant mon sac et ma veste entre ses pieds puis, en regardant mon voisin dans les yeux, grand sourire aux lèvres, je viens me placer devant lui. Il n’ose rien. Je lui prends les mains et les pose sur mes hanches. Je pense qu’il va comprendre.


Il comprend vite. Il assure sa prise (je sens la pression de ses mains sur mes hanches) puis me caresse le ventre. J’ai envie qu’il caresse mes seins. Ils sont si sensibles que je pourrais jouir ainsi ! Scorpions fait durer « Still loving you », c’est magique. Mon voisin n’ose pas remonter le long de mon ventre, l’idiot. Il sort ses mains mais vient les coller sur ma poitrine. Un frisson me parcourt ! Je ne suis pas une traînée qui va avec n’importe qui ! Chaque expérience est unique et me bouleverse. Et là, je suis bouleversée. Scorpions m’entraîne dans mes rêves, mon voisin pose ses lèvres dans mon cou et caresse mes seins avec passion… J’adore !


Et le morceau arrive à sa fin.


Je me retourne et dépose un baiser sur les lèvres de mon voisin pour le remercier. Il me le rend en me pressant contre lui, sa main plaquée sur mes reins. Manifestement ce que je ressens me laisse à penser qu’il a aimé.


Scorpions vient d’enchaîner sur une deuxième ballade mythique :



Mon biker peut-être aussi car il ne m’en empêche pas. Ses mains se posent sur mes hanches, accueillantes, mais ne s’y attardent pas. Je sens des mains rêches parcourir mon ventre nu et arriver à ma poitrine, lui a osé rester contre ma peau. Il a bien fait. Il semble jouer un peu en voulant continuer à monter malgré elle. Ses mains poussent mes seins vers le haut. Il joue un instant ainsi avant de les prendre à pleines mains. Il les malaxe avec vigueur, presque avec violence. Il vient pincer mes tétons (sait-il que j’aime cela ?) et me lécher les lobes des oreilles. En fait « manger » serait plus juste, « téter » même ! Oui ce doit être cela. Il me tête les lobes, me signifiant qu’il me mange les seins ! Et waouh ! Ça le fait !


Il me murmure (en fait il crie, vu le bruit ambiant, mais dans mon oreille) :



Évidemment, je ne lui réponds pas.



Je le regarde et lui crie à mon tour :



Il comprend et reprend ses caresses, ses gourmandises auriculaires… et malgré ses airs de brute se contente de cela. J’attrape une de ses mains et la descend vers ma jupe. Il comprend et continue tout seul. Sa deuxième main descend. Mon voisin a les yeux exorbités. Mon mari me sourit avec un regard satisfait, excité. Les mains de mon biker arrivent sur mes cuisses et remontent, remontent. Ma jupe colle un peu trop pour accueillir ses deux mains. Il la relève. Encore.


À l’orée de mon sexe, le contact de ses doigts rêches m’électrise. J’aime ça. Mon cœur bat à casser ! Je vais avoir une attaque ! Ses doigts glissent maintenant autour de mon sexe. En effet, il n’y a ni culotte ni système pileux pour l’empêcher d’atteindre mon intimité. Ils cherchent l’entrée. Je suis trempée. Il y est. Il y plonge. Il en joue. Il plonge un doigt très profond, le retire et vient me le faire lécher. Je le fais avec gourmandise. Il recommence mais c’est lui qui le lèche.


Il y retourne et remonte encore ma jupe pour caresser mon clitoris. Il me masturbe dans la fosse. Un ange passe. They send me an angel ! Je jouis. Il le sent, il le sait, il maintient doucement ses doigts sur mon sexe, me ramenant doucement vers la réalité. Puis abandonne mon intimité et me « murmure » :



Je le regarde, regarde mon mari, mon jeune voisin, les amis bikers de mon « amant » qui, manifestement, n’était pas seul…


Un ange passe, encore…


Il y a eu une suite, je vous laisse l’imaginer !