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n° 14914Fiche technique26325 caractères26325
Temps de lecture estimé : 15 mn
15/04/12
Résumé:  Avec ma complicité, Chrisss va danser... sur tous les rythmes.
Critères:  fhh extracon inconnu boitenuit voir photofilm fellation cunnilingu sandwich -cocucont -fhh
Auteur : Calin 13

Série : Chrisss13

Chapitre 03 / 03
Chrisss va danser



C’est une règle entre Christine et moi, nous laisser des espaces de liberté. Christine est ma chérie, deux ans que nous sommes ensemble. Elle a la quarantaine resplendissante.


Sans me vanter, je lui ai appris à s’aimer. Par des photos suggestives mais faites avec application, je lui ai prouvé qu’elle est très jolie et qu’elle peut plaire à tout homme de bon goût.

La règle que nous respectons est de laisser chacun avoir des loisirs qui lui sont propres. Pour Christine, c’est randonnée et danse.


J’ai toujours un petit pincement au creux de l’estomac quand elle part danser mais je ne le lui montre pas, au contraire. Je la titille sur les rencontres qu’elle ne manquera pas de faire au milieu d’une foule de gens qui viennent chercher l’aventure. Elle joue le jeu avec modestie et gentillesse.

Pour la taquiner je lui rappelle que nous cherchons des partenaires pour une prochaine séance photo et que le bal est une bonne occasion pour elle de choisir quelqu’un qui lui plaise.

Elle me dit qu’elle va voir mais que ce n’est pas facile.


Le vendredi, soir de sortie, je me fais plus présent, plus proche, la conseillant sur la tenue la plus valorisante. Jupe ou pantalon, haut sage ou suggestif. J’aime beaucoup le côté réservé et raisonnable en habillement mais avec le petit détail coquin, comme par hasard. Provocateur mais pas voulu, que seul un œil exercé et curieux peut déceler.


Ma Chérie est très bien faite, elle peut tout se permettre, aussi je lui conseille une jupe classique, au-dessus du genou, que j’imagine déjà volant et découvrant ses cuisses lors d’un pasodoble enlevé. En haut, un corsage blanc, très jeune fille, assez près du corps pour souligner sa poitrine, avec juste le bouton défait qui va attirer le regard de ses cavaliers et des spectateurs.


Je ne peux m’empêcher de la prendre dans mes bras et de glisser mes mains partout. Elle est douce et sensuelle et c’est un régal de la sentir tout contre moi, toute chaude et câline. Je la sens qui commence à fondre. Aussi, je dois me ressaisir et faire semblant d’autorité.



Comme à regret, elle m’embrasse, ramasse ses clefs de voiture et se dirige vers la porte.

J’ai juste le temps de lui souffler dans l’oreille :



Le vendredi soir, le Bataclan est ouvert gratuitement aux femmes et elles en profitent. Les hommes aussi, qui savent qu’il y aura plus de danseuses que d’habitude. Christine connaît bien les lieux. Après avoir posé sa veste et son sac au vestiaire, elle se dirige vers la salle de danse. Le temps à ses yeux de s’acclimater à la lumière ambiante, de chercher une table de libre et en même temps de balayer du regard la piste à la recherche de têtes connues. Il y a un cercle d’habitués, les bons danseurs, les dragueurs, les lourds et insistants, les sans intérêt…


Dès qu’elle a trouvé une place près de la piste, un de ces danseurs qu’elle connaît de vue s’approche et vient l’inviter. Régulièrement, elle danse avec lui. La cinquantaine, poli, bon danseur, il l’entraîne doucement à suivre le rythme de la musique.



Christine ne répond pas ; que dire, sinon qu’elle se sent belle effectivement, bien dans sa peau, bien dans sa tête et dans son corps. Du coup, elle se redresse, cambre un peu ses reins. Elle pense à moi, m’entend lui dire : « Tiens-toi droite, gonfle ta poitrine, tu es belle ».


La soirée s’écoule tranquillement. Son esprit vagabonde, elle pense à nous, au plaisir des photos. Qui dit photos dit Alain et Didier, complices d’une séance trop courte et dont le souvenir et la vue des photos ne manquent pas de la troubler. Ce serait drôle qu’ils soient là ce soir, le Bataclan n’est pas si loin de Cavaillon après tout.


La soirée avance ainsi, passant de cavalier en cavalier, avec de temps à autre une pose au bord de la piste.


Vers minuit, alors qu’elle attaque une série de tangos, elle a l’impression d’être observée. Rien de bien précis mais le sentiment que quelqu’un la suit des yeux. Sa première pensée est de croire que je suis venu la surprendre comme il m’est déjà arrivé de le faire. Mais non, pas de Roger dans la salle.


Cette impression dure au moins dix minutes, jusqu’à la fin de la série. Quand elle quitte les bras de son cavalier, en faisant demi-tour pour rejoindre sa place, elle heurte un homme, brun, la cinquantaine, qui plante ses yeux bleus dans les siens en s’excusant, lui sourit et lui demande si elle veut partager la série suivante avec lui. Christine hésite quelques secondes, sous la surprise, regarde mieux son interlocuteur : il a du charme, semble bien mis et d’une élégance sobre et de bon ton.


La musique reprend déjà et la voilà entraînée par son nouveau partenaire. Un parfum de qualité se dégage de lui. C’est une série de slows qui vient de commencer et inconsciemment elle s’en réjouit.



Il se tient correctement, pense-t-elle, il est charmant et poli. Ils poursuivent la conversation sur un ton badin, elle essayant de deviner son manège, lui se demandant jusqu’où il pourrait mener son numéro de charme.


Petit à petit, il tente de s’approcher plus près. Christine se laisse tantôt aller et devine une certaine émotion chez Gérard, tantôt elle frotte un peu sa poitrine contre le torse de son partenaire, tantôt elle reprend ses distances comme pour le refroidir. Ce petit jeu l’amuse, elle n’aurait jamais fait cela, il y a quelques années, mais là, elle se sait désirable et elle aime ça.


Gérard est un bon danseur. Les séries se succèdent sans déplaisir, leur laissant le temps de mieux faire connaissance. Il est directeur commercial dans une entreprise d’Avignon, divorcé depuis peu et se sent seul dans sa nouvelle vie. Christine lui avoue qu’elle a découvert l’amour avec un partenaire plein de douceur et de complicité.



Christine ne sait si elle doit révéler à un inconnu, aussi charmant soit-il, certains aspects de sa vie avec moi. Mais après tout, que risque-t-elle ? À la fin de la soirée, son cavalier sera parti et avec lui son impression bonne ou mauvaise.



Gérard est soudain songeur. Il imagine Christine, nue ou presque sous les projecteurs, dans des poses lascives.



Un petit sourire en coin, Christine l’écoute et devine le cheminement de son esprit. Elle prend son temps pour répondre, voulant apprécier l’effet qu’elle va faire à Gérard.



Gérard avale sa salive. Que doit-il comprendre ?



Christine, un petit sourire aux lèvres songe à cette séance.



Gérard plonge son regard dans celui de Christine, y cherche un encouragement.


À ce moment, un homme plus jeune s’approche du couple et vient saluer Gérard.



Puis se tournant vers Christine,



Gérard l’attrape par l’épaule, se tourne vers Christine et lui demande de l’excuser quelques instants, puis entraîne Daniel un peu à l’écart pour lui parler à l’abri des oreilles indiscrètes.

Puis il revient, l’œil pétillant.



Seule, face à deux beaux hommes, Christine sent son pouvoir de séduction au zénith, mais quand même. Elle ne les connaît pas et bien qu’ils inspirent confiance, c’est un peu risqué.



Christine m’appelle, me décrit la situation, me demande conseil.



Après avoir raccroché, Christine dit à Gérard :



Gérard fait signe à Daniel qui déjà prenait le chemin de la sortie et lui explique que ma jeune femme veut d’abord danser avec lui. Daniel est un peu plus jeune que Gérard, un peu plus de quarante ans sans doute. Ce doit être aussi un commercial, la parole facile, une certaine assurance, un habillement que l’on devine de qualité. Et de plus il s’avère un excellent danseur.


Une série avec Gérard, une série avec Daniel, les bras de l’un, le parfum de l’autre… il faut gagner une heure.


Enfin, Christine me devine dans la pénombre. Elle est belle, ils forment un beau trio. Elle rayonne entre ses deux cavaliers. Se penchant vers Gérard, elle lui murmure :



Le visage s’éclaircit, il fait un signe de tête à Daniel en direction du parking.



Après quoi ? se demande amusée Christine. Dans l’ombre de la nuit, elle devine ma silhouette qui la suit. Reconnaît ma voiture. Je les prends en filature.


Arrivé chez Daniel, dans une villa près de la route et en bordure des champs, le petit groupe descend. Je peux me garer sur le bas-côté, discrètement. Je prends mon appareil photo et me glisse vers la maison ou une fenêtre du rez-de-chaussée vient de s’éclairer. C’est le salon.

De là, je peux tout voir et même photographier si la situation s’y prête.


Arrivés dans le salon, Daniel propose à boire à ses invités. Après quelques banalités, Gérard demande à Christine, comme s’il continuait une conversation silencieuse :



Gérard en profite et joue le jeu, enlaçant Christine.



Christine joint le geste à la parole.



Gérard lui souffle à l’oreille :



Mon amour se blottit contre lui. Daniel n’ose pas bouger. Il sent la main de Christine chaude, et glisse ses doigts entre les doigts fins qui se resserrent légèrement en signe d’encouragement.


Elle se revoit entre Alain et Didier et pose la main de Daniel sur sa jambe, au-dessus du genou. Elle se sent maîtresse de la situation et ça lui plait. Gérard aime sentir le corps chaud de Christine contre lui. Doucement il promène ses doigts à la découverte du corps tendre, les glisse le long du corsage, et remonte vers la poitrine dont il a pu deviner les trésors toute la soirée. Il remonte vers l’échancrure, et d’un air détaché, de deux doigts, fait sauter un, puis deux boutons du corsage.



Daniel vient à son secours et, ne quittant pas Christine des yeux, avance les mains soignées, attrape et écarte le tissu. Il découvre la lingerie délicate qui couvre à peine deux seins magnifiques. D’une caresse légère, il parcourt les monts et le vallon de satin. Fixant toujours Christine dans les yeux pour y lire son émotion, il glisse deux doigts sous la dentelle à la recherche du téton rose qu’il accroche rapidement. Ce contact fait réagir ma Chérie, il insiste, le pince légèrement entre l’index et le majeur, l’agace…


Le regard vert de mon amour vacille et bientôt, de la gorge de Christine s’échappe un soupir incontrôlé, révélateur et émouvant. Gérard glisse une main dans le dos sous le tissu soyeux et prestement dégrafe le soutien-gorge. Le linge fin, libéré, laisse se dévoiler les jolis seins. Gérard pose ses deux mains en forme de coque sous la poitrine ronde et l’offre à Daniel qui se penche, agace les bouts roses de la pointe de la langue. Christine aime se sentir offerte ainsi, elle saisit la tête de Daniel et la presse contre son sein. Il prend le téton entre ses lèvres, le suçote, l’aspire, le hume, le tète, le lèche.


Mon amour perçoit dans son dos le sexe de Gérard. Chaud et raide, il se frotte doucement contre ses reins. Elle glisse sa main derrière elle et à travers le pantalon jauge la taille et le volume de l’objet. Tournant la tête vers Gérard elle lui souffle :



Daniel, la bouche toujours rivée aux tétons de mon amour, pose alors les mains sur ses cuisses délicates, les glisse sous sa jupe, remonte très haut et la saisit sous les fesses, la fait glisser sur le dos. Christine se retrouve allongée, les seins à l’air, la jupe retroussée à la taille, la tête sur les genoux de Gérard.


Daniel plonge alors la tête entre les cuisses de ma belle, les embrasse, les effleure, monte doucement vers l’intérieur et vers le sexe qu’il sait être là, tout près. Gérard qui le regarde faire, tout excité, avance la main et, de deux doigts, écarte la fine dentelle qui cache son sexe révélant à son ami des lèvres roses et délicates sur lesquelles il pose immédiatement sa bouche. Il écarte d’un geste délicat les douces lèvres, les regarde avec attention et envie, avance la bouche, ferme les yeux et, tirant la langue, la plonge dans cet abricot délicieux. Christine se cambre sous l’assaut, cherchant à ressentir plus profond ce baiser. Elle se sent impudique et désirée, offerte sans retenue.


Contre sa joue, elle sent le membre dur de Gérard. Elle ébauche un geste pour défaire la braguette mais, prenant les devants, il ouvre son pantalon, glisse la main dans son slip, en sort un membre de belle taille, que Christine s’empresse d’attraper et de guider vers sa bouche. Elle pose ses lèvres sur le gland, les glisse sur la tête lisse et chaude, pratique de petits baisers avant de lui faire franchir la barrière de sa bouche, de l’emboucher profondément et de le sucer d’une langue gourmande tout en le masturbant de plus en plus fort.


Que c’est délicieux d’être dévorée et de dévorer à la fois. Entre ses cuisses, Daniel s’active avec application. La lèche de plus en plus profondément, de plus en plus goulûment, exprime son plaisir sans retenue.


Derrière la vitre, je peux faire les photos car il y a assez de lumière, je suis juste limité par l’excitation qui me paralyse, ma bouche complètement sèche et mon sexe qui me fait mal, tellement il est tendu. Je partage par la pensée le plaisir de mon Amour, elle sait que je suis derrière la fenêtre et que je suis complice de son désir.


Daniel aussi est très excité. Sans lâcher de la bouche le sexe de Christine, il libère une main et défait son pantalon. Il en sort un sexe rose et volumineux, raide et lisse, aux veines gonflées. Il se redresse sur les genoux, regarde mon Amour, les mâchoires serrées et, lui tenant une cuisse d’une main, de l’autre il guide son membre impressionnant vers les lèvres délicates. Elle lâche un instant le sexe de Gérard pour regarder ce qui va la pénétrer. Elle craint et a envie de se faire prendre par un tel sexe. La tête soyeuse se pose sur les lèvres de son minou, attend quelques secondes puis sous la poussée de Daniel franchit la porte et pénètre lentement, occupant tout son sexe. Christine se sent complètement prise, envahie totalement. Le membre avance encore et encore. Plus il avance, et plus elle veut qu’il aille plus loin. Elle aussi a maintenant les mâchoires serrées, elle jette violemment son bassin contre le ventre de Daniel.



Gérard, attrape Christine sous les bras et la fait remonter contre lui. La voilà assise sur ses genoux, elle sent son membre frotter contre ses fesses. Il saisit Christine sous les cuisses et l’oblige à plier les jambes. Toujours possédée par Daniel qui la pistonne toujours plus fort, elle se laisse porter. Gérard écarte le tissu qui protège ses fesses, elle a toujours sa culotte, il se glisse à l’entrée du petit cul de mon Amour, s’assure d’être bien en place, lui écarte délicatement les fesses, d’un doigt délicat lui agace l’anus puis fermement s’introduit en elle.


Christine est dans un étau, entre Gérard et Daniel, son ventre est plein, son cul est plein, ses seins sont offerts et balancent au rythme de ses amants.



Christine aime être désirée, prise et offerte, donnée et baisée sans retenue. Elle est servie ce soir. Tous trois transpirent à grosses goutte, leurs corps glissent l’un contre l’autre. Les bouches lâchent des paroles obscènes qui augmentent encore leur excitation.



Leur corps à corps se prolonge de longues minutes, leur souffle est de plus en plus court dans une course sans fin. Bientôt les trois corps se resserrèrent comme dans un spasme, un grognement bestial emplit la pièce. Gérard et Daniel explosent enfin en de longs jets brûlants dans les entrailles délicates de mon Amour.


Ils restent ainsi immobiles, figés puis relâchent leur étreinte et se détachent lentement. Toute en sueur, Christine demande le chemin de la salle de bain, s’absente quelques minutes et revient rafraîchie. Au passage, elle me lance un coup d’œil complice que ses cavaliers ne perçoivent pas.


Gérard lui dit à l’oreille :



Daniel renchérit :



Gérard l’attire près de lui et la fait s’asseoir sur ses genoux, elle a toujours sa jupe, son slip et son chemisier, le tout bien chiffonné. Tout en glissant une main sur un sein et le caressant, il vient chercher un baiser sur ses lèvres. Daniel glisse la sienne sous la jupe, fait glisser sa culotte de fine dentelle le long de ses jambes, la force à écarter les cuisses et d’un doigt impérieux pénètre son sexe et se met en devoir de le fouiller d’un doigt d’abord puis de deux, avec vigueur jusqu’à ce que de nouveau elle gémisse.


Encore une fois elle se laisse faire, inondant de cyprine parfumée ce piston humain. De nouveau, elle sent l’orgasme monter en elle. Il ne tarde pas à la submerger et l’emmène au bord de la perte de connaissance.


Ses deux compères se lèvent, Gérard plante son sexe à la vigueur retrouvée dans la bouche de Christine qui s’en régale mais manque de s’étouffer. Daniel se masturbe à dix centimètres de son visage. Tantôt elle lâche Gérard et embouche Daniel pendant qu’avec vigueur, elle astique l’autre. Chacun la caresse comme il peut, les seins, le ventre, le sexe.


Enfin, elle sent que Gérard approche de l’éjaculation. Il lui saisit la tête, passant ses doigts dans ses cheveux blonds, il la plaque contre son ventre, l’empêchant de se dégager. Elle n’a pas le temps de réagir que déjà, il jaillit au fond de sa gorge en longues saccades. Elle avale tout son sperme chaud, jusqu’à la dernière goûte suçant délicieusement son sexe généreux.

Elle n’a pas le temps de faire la même chose avec Daniel qui dans un grognement lui explose sur les seins et le cou tout son liquide épais. Souriante, elle regarde avec tendresse ses amants et étale ce nectar sur son corps comme un lait de beauté et s’en lèche les doigts.


Enfin, épuisés, ils se laissent tomber sur le canapé, se regardant comme s’ils avaient rêvé.



Tous trois éclatèrent de rire et s’embrassèrent en attendant…