Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 14916Fiche technique15592 caractères15592
Temps de lecture estimé : 10 mn
17/04/12
Résumé:  Par une belle soirée d'été, deux couples de voisins se laissent aller à leurs pulsions.
Critères:  fh extraoffre voisins piscine toilettes intermast entreseins cunnilingu pénétratio fsodo confession québec -entrecoup
Auteur : Sportrick      Envoi mini-message
Nos voisins

Nos voisins


Cette histoire, si elle n’avait pas eu lieu, eût été un fantasme, mais… ce fut un fantasme qui s’est réalisé. Il y a bien trente ans, oui, nous étions en 1980 ou 81. Ma femme et moi étions tous les deux début-trentaine, un jeune couple avec une fille de sept ans, et nous venions d’emménager dans un nouveau quartier.


La rencontre s’est faite par l’entremise de nos enfants respectifs, qui fréquentaient la même école. Étant de bons parents, nous avons voulu valider la fréquentation de notre fille, en rencontrant les parents.


Diane, secrétaire, et lui, Caspar, ingénieur suisse italien de naissance. Donc, pas de problème de ce côté. En fait, il n’y eu jamais de problème, aucun. Diane, belle femme assez grande, cheveux courts (je craque déjà), blonde, mince, des petits seins mais fermes, élégante, toujours vêtue de façon soignée, jamais négligée. Lui, un peu plus grand, barbu, début de calvitie, toujours souriant, un peu bourgeois mais à peine, comme elle d’ailleurs.


Donc, on se voit à l’occasion, quand nous allons chercher notre fille ou que cette dernière est invitée à dormir chez eux ; ou le contraire, quand leur fille vient passer la nuit chez nous. Bavardage anodin sur la température, les enfants, etc.


Par un après-midi d’été, une journée chaude et ensoleillée, nous passons la journée chez nos nouveaux amis, en maillot. Ils sont propriétaires d’un duplex, dans un quartier bien situé, la cour arrière voit une piscine hors sol et une terrasse attenante qui enjolivent cet espace de vie baigné de soleil. Il est très agréable de venir s’y reposer. Les femmes portent des maillots deux pièces, qui ne nous laissent pas indifférents. Je vois du coin de l’œil que Caspar a les yeux sur la poitrine généreuse de ma femme. De mon côté, le maillot plus petit de Diane me permet de fantasmer sur ses seins. J’aimerais bien les toucher, mais là, je rêve…


La conversation est agréable, la journée au soleil et quelques boissons rafraîchissantes alcoolisées ont fini par enlever les avant-dernières barrières de gêne. Nous parlons de vacances et d’endroits où nous aimons passer des moments de calme, loin de la ville. Je me permets de décrire un lac dans les Laurentides, qui n’est accessible que par un chemin de terre et une petite île à 150 mètres de la rive que nous rejoignons avec un dinghy, deux ou trois allers-retours nous permettant de transporter la tente et tout le barda. Nous sommes seuls sur cette « île déserte ». J’ose même leur dire que nous vivons nus, car il n’y a personne pour nous voir. Caspar jette un regard vers ma femme et je suppose, à son regard, qu’il aimerait bien être sur place pour voir ma femme nue. Je ne détesterais pas voir Diane dans le plus simple appareil. Ils nous avouent à leur tour avoir déjà fait du camping dans des endroits retirés et s’être dénudés.


Viens l’heure du souper, ils nous invitent. Par politesse nous refusons… du bout des lèvres. Leur insistance bien sincère nous convainc.



Le souper se passe allègrement, la terrasse bien arrosée par le soleil couchant et encore quelques bouteilles de bon vin, nous mettent tous dans une ambiance très détendue et cordiale. Je ne remarque aucun sous-entendu, et encore moins de regards qui auraient pu laisser présager de la fin de cette soirée. Mais là, je devance mon récit.


Donc, la soirée se poursuit, les enfants jouent encore dans la piscine, la belle vie quoi ! Puis vient l’heure de sortir les enfants de l’eau et de les préparer au dodo. Ils ne veulent plus se quitter et nos voisins insistent pour que notre fille reste à dormir chez eux. Pas de problème. Nous les mettons au lit et le sommeil ne tarde pas à faire d’eux des enfants très sages et très endormis.


La soirée fraîchit et nos amis nous invitent à l’intérieur. Nous en profitons pour nous débarrasser de nos maillots et remettre les vêtements que nous portions à notre arrivée.


Nous en sommes rendus aux boissons digestives, genre Grand Marnier ou autres. Le ton des conversations augmente légèrement, assez pour que Diane suggère que nous descendions au sous-sol afin de ne pas compromettre le sommeil de nos enfants. Caspar prend une bouteille de je-ne-sais-plus-quoi, sa femme en prend une autre, et nous descendons au sous-sol. Il est bien aménagé, grand sofa très confortable (canapé pour nos amis européens) et tapis moelleux. La conversation se poursuit, en fait elle ne s’était jamais interrompue. Caspar veut en savoir plus sur nos habitudes de nudisme.


Le téléviseur diffuse des images que personne ne regarde avec conviction. Les boissons ingurgitées tout au long de la journée commencent à avoir un effet engourdissant. Nous sommes tous les quatre assis sur ce grand canapé, la seule lumière est celle de la télé. Diane est ma droite, ma femme à ma gauche, Caspar est à la gauche de ma femme.


Fatigué d’avoir les mains sur mes cuisses, j’ose sans arrière-pensée mettre mon bras droit sur le dossier du canapé et, par le fait même, derrière le cou de Diane. Il ne se passe rien, car je n’avais rien prévu… Mais Diane prend ma main qui est derrière elle et vient me la plaquer contre son sein. Je tourne la tête et mes yeux rencontrent les siens, elle me fait un léger sourire. Dans ma tête il n’y a aucune ambiguïté, comment pourrait-il y en avoir ?


Doucement, j’écarte sa blouse déjà entrouverte et j’y glisse le bout de mes doigts qui viennent effleurer son mamelon qui est au garde-à-vous. Sa main gauche, elle, glisse sur ma cuisse et remonte sur mon pénis qui forme une bosse très dure dans mon pantalon. Elle me caresse tout doucement, comme si de rien n’était. Pour ma part mes doigts font tourner son mamelon sans retenue. Personne ne parle et je ne me retourne même pas pour savoir ce qui se passe à ma gauche.


Après quelques minutes ou secondes de ce contact des plus érotiques, Diane se lève et se dirige vers l’escalier qui mène à l’étage. Arrivée devant l’escalier elle se retourne et me fait signe de la suivre. Je ne me fais pas prier. Je lui emboîte le pas et nous nous retrouvons dans la salle de bain. Une fois la porte fermée, elle me prend par le cou et m’embrasse, sa langue ne perd pas une seule seconde et se retrouve à caresser ma langue. Le baiser est chaud, s’y mêlent les effluves de Grand Marnier. Elle veut ma bouche, et moi je réponds tout aussi énergiquement à son étreinte. Elle me repousse un peu, le temps de défaire les boutons de ma chemise, je fais la même chose avec sa blouse, je découvre sa petite poitrine, aux seins… ô combien fermes. Je m’approche d’elle et commence à les embrasser, à mordre ses mamelons.


Elle défait la ceinture de mon pantalon, libère mon pénis après avoir baissé mon pantalon et mon caleçon. Je ne suis pas inactif, un bouton, une fermeture éclair et hop ! la jupe se retrouve sur le plancher avec mon pantalon, il ne reste qu’une barrière de tissus, sa petite culotte qui va rejoindre le reste des vêtements sur le plancher. Mes mains n’ont de cesse de la caresser : les seins, le dos, le ventre, les fesses, et sa chatte… qui, lorsque j’y glisse un doigt, me révèle toute l’excitation qui l’habite. Sa chatte est pleine de mouille je n’ai aucune difficulté à y insérer un doigt, elle me facilite la chose en écartant les cuisses, son bouton est, lui aussi, prêt à accomplir son devoir, la faire jouir. J’aime faire jouir les femmes, après j’aime jouir en elle, mais avant cela je veux les voir jouir.


Nos baisers n’ont pas perdu de leur ardeur et nos mains n’ont pas cessé de caresser nos corps en feu. Ses mains, avec ses grands doigts, se sont emparées de ma verge et elle me prodigue des caresses d’une douceur insoupçonnée. Son clitoris est si bandé que je la sens prête à jouir d’une seconde à l’autre. Je continue ma caresse et bientôt je sens ses jambes qui fléchissent, sa respiration qui m’indique qu’elle a atteint le point culminant de cette caresse. Je la soulève et l’assieds sur le comptoir de la salle de bain. Elle s’accroche à mon cou, je dirige mon pénis vers son sexe qu’elle m’offre, cuisses bien écartées. Avec mes doigts j’ouvre ses lèvres et je pousse mon gland en feu dans sa chatte ruisselante. Je n’ai aucune difficulté à prendre possession de son puits d’amour, je m’enfonce jusqu’au fond, elle me retient en m’entourant de ses jambes, elle me garde ainsi pendant quelques secondes, puis sans retenue, le souffle court encore sous l’effet de sa jouissance, elle me dit :



Ses yeux m’ordonnent de la prendre avec toute la vigueur que je peux.


Elle se cambre et avance son bassin pour que je la pénètre encore plus, ses mains sont derrière elle sur le comptoir et elle pousse pour que je m’enfonce en elle, je m’exécute. Je la pompe du mieux que je peux, mais toute cette excitation fait en sorte que je ne peux me retenir bien longtemps et dans un grand souffle, je lui décharge une quantité de sperme qui ne tarde pas à lui couler le long des cuisses.


Je me sens encore en érection même si ma verge a perdu un peu de sa dureté, ce qui ne m’empêche pas de continuer à lui pilonner la chatte, et elle en redemande. Nous nous embrassons et je lui caresse ses petits seins avec leurs bouts toujours en érection. Elle se rapproche de moi et colle sa poitrine contre la mienne. Elle passe une main derrière ma nuque et presse ses lèvres contre les miennes. Ses baisers sont presque sauvages tant son désir est intense. Ma main, qui avait quitté ses seins, se retrouve dans son dos et je la maintiens dans cette position. Je suis toujours en elle. Elle me chuchote a l’oreille :



Nous quittons la salle de bain pour nous diriger vers sa chambre qui est juste à côté. Au passage, par l’ouverture de l’escalier, j’entrevois ma femme et Caspar qui sont restés au sous-sol, mais ne sont pas restés à contempler le téléviseur. Je ne m’attarde pas sur les bruits qui parviennent à mes oreilles, mais ils sont sans équivoque.


Une fois dans la chambre, elle tire les couvertures et nous voilà allongés sur le lit. Nous reprenons où nous avions laissé, nos lèvres se retrouvent après cette brève interruption et nos corps chauds se retrouvent avec la même ardeur. Mes mains cherchent ses seins qui sont toujours aussi beaux et durs, et me revoilà pris d’une érection qui ne m’avait pas complètement abandonné. Ses mains ne restent pas inactives, elle me caresse la poitrine, mais juste pour un court moment, ma verge l’attire encore.


Avec sa main et ses grands doigts, elle entoure ma verge et commence une masturbation toujours toute en douceur. Pour ma part, j’ai retrouvé entre ses cuisses chaudes et humides, son clitoris qui est très sensible à mon majeur ; dès que ce dernier l’effleure, elle resserre l’étreinte de ses cuisses sur ma main. Mon doigt se fait plus insistant, elle relâche son étreinte et je la masturbe doucement, tout comme elle avec mon pénis.


Ayant déjà joui une première fois, nous pouvons consacrer plus de temps aux caresses et à cette douce masturbation. Allongés côte à côte, nous calquons notre vitesse de masturbation sur les frémissements de nos corps. Tantôt ma bouche rencontre la sienne et nous échangeons des baisers, et quand ma bouche quitte ses lèvres, ses seins deviennent l’objet de mes caresses, ce qui l’excite encore davantage. Elle sent ma verge se gonfler, prête a éjaculer et me dit :



Je change donc de position et je la chevauche, pendant qu’elle continue de me masturber. Je ne me retiens plus et décharge encore une bonne quantité de sperme sur sa poitrine. De sa main qui n’est pas en possession de ma verge, elle glisse un doigt sur le sperme qui est sur ses seins et le porte à sa bouche et le suce, puis elle me prend la nuque, m’attire vers elle et m’embrasse, me faisant goûter à mon foutre.


Je roule sur le côté et entreprends de la faire jouir mais cette fois, pas avec mes doigts, ni ma verge, mais avec ma langue. Je me glisse tout doucement juste qu’à hauteur de son sexe et dépose mes lèvres sur son bas-ventre. Elle se raidit et, comprenant ce qui va se passer, elle écarte ses jambes et m’offre sa chatte. Je ne perds pas une seconde et enfouis ma figure dans ce puits d’amour.


Au contact de ma bouche sur sa chatte, la voilà qui émet des gémissements de jouissance, et quand ma langue touche à son clitoris, j’entends comme un long soupir de contentement. Je la besogne du mieux que je peux et elle n’est pas longue à réagir, son bas-ventre se contorsionne, ses jambes n’en finissent plus de me serrer la tête, ses mains se pressent sur ma nuque et me forcent à lui manger la chatte. Dire qu’elle aime ce qui se passe est superflu. Une dernière contraction, un dernier cri et la voilà qui jouit à son tour.


Je ne lui donne pas le temps de se remettre de ses émotions, je la retourne sur le ventre, je lui écarte les jambes, avec deux doigts je vais chercher dans sa chatte un peu de sa jouissance et l’étale sur son joli petit cul. J’y fais pénétrer un, puis deux doigts et, sentant son cul se lubrifier, je glisse ma queue dans sa chatte, pour la mouiller comme il faut. Je ressors de sa chatte et je me présente à son anus. Avec mes doigts, j’écarte ses fesses et je lui dis que je vais la prendre.



Mais je ne l’écoute pas, je pousse doucement pour franchir les premiers centimètres et pousse toujours plus loin tout doucement. Ses « non » ne m’avaient pas paru convaincants. Maintenant elle lève les fesses et pousse pour que je puisse la prendre encore plus profondément. Nous sommes en position de levrette mais je suis dans son joli cul, et j’ai deux doigts dans sa chatte que je masturbe en même temps que je lui pompe le cul. Je sens son clitoris se gonfler et je la sens prête à vivre une autre jouissance. Son cul si serré sur ma verge me permet de jouir encore, mais là je n’ai plus grand foutre à lui décharger dans le cul. J’en ai presque le pénis endolori.


Je sors de son cul et je me laisse tomber à côté d’elle sur le lit. Pour cette fois, nous sommes satisfaits.


Quelques minutes ou plus se passent, j’ai perdu la notion du temps. Nous sommes encore allongés, Diane et moi, lorsque ma femme et Caspar viennent nous rejoindre. Ils sont à moitié nus et je comprends qu’ils ont passé par les mêmes plaisirs que nous.


Sur ce, ma femme me dit :



Un dernier baiser, une dernière caresse…