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n° 14921Fiche technique20557 caractères20557
Temps de lecture estimé : 12 mn
20/04/12
Résumé:  Alyssa découvre peu à peu quelle est sa vraie nature.
Critères:  hh prost hépilé boitenuit hsoumis exhib hféminisé travesti fellation anulingus préservati hdanus coprolalie hsodo confession -hhomo -travesti
Auteur : Alyssa      Envoi mini-message

Série : Une vocation de pute

Chapitre 02
Une vocation qui se révèle

Résumé de l’épisode précédent : Alyssa, jeune travesti de dix-huit ans, découvre le plaisir sexuel avec Driss, son boy-friend. Cependant, la révélation accidentelle dans une boîte de nuit de la tendance d’Alyssa à se comporter en salope soumise provoque la rupture avec Driss. Alyssa, un peu en dérive et en rupture familiale, se réfugie temporairement chez un ami. Suite à une errance nocturne dans Lyon, Alyssa s’essaye pour la première fois à la prostitution.








Une fois en sécurité à bord de la voiture, la tension retomba. L’homme au volant me dévisagea avec curiosité. Il m’interrogea d’une voix douce :



Je retrouvai mon calme petit à petit et décidai de mentir et d’évoquer une agression. Il me proposa de m’emmener au commissariat pour porter plainte. Je ne pouvais pas accepter, sachant que ce que j’avais fait pouvait être considéré sans aucun doute comme de la prostitution occasionnelle, sachant que la police s’en rendrait compte rapidement. Je refusai donc la proposition. Il me sourit et me confia :



Je me mis sur le champ à redouter d’être de nouveau en danger. Il me prit la main et me dit :



Je me calmai peu à peu et le regardai, intriguée. C’était un homme d’une trentaine d’années, grand et athlétique d’origine métisse, plutôt séduisant avec un regard pétillant un rien sauvage. Mon cœur de midinette commençait à fondre sous l’effet de sa gentillesse attentionnée à mon égard. Je parvins à lui sourire timidement et lui indiquai la rue où j’habitais.


Il s’adressa de nouveau à moi :



Après une légère hésitation, je lui racontai mon parcours de fille dans un corps de garçon, les développements récents et tous les déboires qu’une telle situation me causait. Notamment, ma situation précaire actuelle et aussi cette envie irrépressible qui me prenait parfois de jouer les salopes. J’acceptai sa proposition de nous revoir, car cet homme ne me semblait pas feindre la sympathie à mon égard. Il m’avait écouté avec attention, et il m’encouragea à assumer au grand jour ma personnalité profonde. Il me raccompagna jusqu’au pied de l’immeuble de Michael et me proposa :



Il me laissa une carte avec ses coordonnées.




Deux jours plus tard ma recherche d’emploi était toujours infructueuse, je repensai à la proposition de Rudy, l’automobiliste qui m’avait ramenée chez moi. Après réflexion, un travail dans une boîte de nuit, habillée en fille de surcroît, était une offre excitante. Je l’appelai aussitôt et il me proposa de passer chez lui pour en parler. Il me demanda de venir habillée en fille pour préparer mon entretien d’embauche.


Une heure plus tard, je sonnai à sa porte. Il m’accueillit en souriant.



Voulant faire forte impression, j’avais mis sous mon manteau une robe courte noire moulante en stretch ajourée à la taille, avec chaînettes décoratives et un string assorti, des bas autofixants en large résille avec jarretières brodées, et une paire de sandales noires à talons de 10 cm, un ensemble que Driss m’avait offert pour nos sorties en boîte de nuit. Pour la circonstance, j’avais dépensé mes derniers euros pour acheter un soutien-gorge rembourré avec des faux seins en silicone. Pour parachever l’ensemble, je m’étais maquillée un peu plus sexy pour être dans le ton.


Je rejoignis Rudy dans son salon et me pendis à son cou pour lui faire un petit bisou mutin sur la joue pour le remercier de ses compliments. Il me demanda de défiler devant lui, puis quand il en eut assez de me regarder il me tendit la main et m’attira vers lui.



Il me serra dans ses bras et m’embrassa avec fougue, ses mains descendirent sur mes fesses, il me butina le cou et les épaules. Je me sentis vibrer et frissonner sous ses caresses expertes. Il me souleva dans ses bras et me déposa sur le canapé.



Il releva la robe et descendit le string en libérant mon petit sexe qu’il caressa, et me couvrit le ventre de caresses buccales. Il introduisit un doigt dans mon puits d’amour et commença à me titiller la prostate. Je commençai à gémir de plaisir.



Il se déshabilla, dévoilant un corps d’athlète et une peau de couleur caramel, et lorsqu’il retira son slip faisant jaillir une magnifique verge longue et épaisse, je fus comme électrisée. De mon côté, je m’étais débarrassée de ma robe, de mon string et de mon soutien-gorge, il ne me restait que les talons aiguilles et les bas filets, et je me mis à genoux sur le sol devant lui. Je pris l’initiative en saisissant sa bite, je la caressai de la main puis, la sentant durcir, je titillai le méat du bout de ma langue et décalottai le prépuce pour l’exciter.


Lorsque je sentis que sa verge était bien dure, je l’engloutis de plus en plus profond, allant et venant langoureusement puis plus rapidement. J’étais au septième ciel de sentir le plaisir qui montait dans ce sexe puissant. Rudy me repoussa doucement, me releva et m’allongea sur le dos sur le canapé, me releva les fesses et reposa mes pieds sur ses épaules, il étala une noix de lubrifiant sur ma rosette, mit un préservatif, présenta sa bite à l’entrée de mon puits d’amour et me pénétra lentement, amoureusement.


Je me sentais remplie par ce sexe chaud et ardent, un peu meurtrie mais comblée. J’ai toujours été chaude du cul, mais cette fois-là Rudy réussit à me faire mouiller du cul comme une fille en chaleur. Il me baisa pendant un long moment, me faisant hurler de plaisir dans cette position, puis il me mit en levrette, me pelotant les fesses pendant sa chevauchée, je me sentis femme comme je ne l’avais jamais ressenti. Il s’assit sur le canapé et je m’empalai sur son sexe, montant et descendant comme une folle, ma petite bitte battant sur mes couilles, il explosa dans mon fondement, un jet de foutre puissant inondant le préservatif.



Je m’empressai d’accepter, complètement subjuguée. Une nouvelle vie commençait pour Alyssa, serait-elle durable ?




Depuis six mois, j’habitais chez Rudy et je faisais quelques remplacements pour tenir le vestiaire de la boîte de nuit où il travaillait. Ce petit job me laissait beaucoup de temps libre et me procurait de faibles revenus. J’étais très dépendante financièrement de Rudy, qui en définitive m’entretenait. J’étais très amoureuse et j’utilisai mes premiers salaires à parfaire ma féminité pour paraître plus séduisante à ses yeux. Notamment, je fis de fréquentes séances chez une esthéticienne pour me débarrasser de ma maigre pilosité et parfaire ma science du maquillage. J’étais sa petite femme et cela me convenais plutôt bien. De son côté, Rudy conservait toute son ardeur sexuelle à mon égard, mais dans la vie courante je le sentais parfois un peu agacé sans en comprendre les raisons. Dans ma quête de satisfaire pleinement ses désirs, je sentais qu’il me manquait un atout important : de jolis seins.


Je lui parlai de ce désir de parfaire ma féminité. Il me proposa de me procurer un traitement hormonal adapté par internet, mais précisa que ce traitement était trop onéreux pour lui et que je devrais donc contribuer au financement. Dans l’immédiat, je devais donc renoncer à ce rêve.


Un soir, arrivant à mon travail, je fus interpellée par mon patron dont j’étais l’employée occasionnelle lors de mes remplacements au vestiaire de la boîte de nuit.



Toujours frustrée de ne pas avoir pu parfaire ma féminisation en raison de mes revenus insuffisants, je décidai d’en parler à mon patron, qui connaissait ma situation de travesti, pour essayer d’obtenir plus de travail.



La proposition de Marco, mon patron, m’offrait la possibilité de réaliser le fantasme latent que j’essayais tant que bien mal d’enfouir au fond de moi : faire la pute ! Un émoi sexuel puissant émergea au creux de mon ventre et je m’entendis répondre comme dans un rêve :



Subjuguée par les paroles crues de cet homme autoritaire, je me laissai faire. La porte du bureau aussitôt refermée, il me fit m’agenouiller, il descendit rapidement sa braguette et son boxer et me présenta la bite la plus imposante que j’aie jamais vue. Elle était déjà érigée et luisante de plaisir. Il gémit assez rapidement sous l’effet de mes caresses buccales, son sexe m’enivra de son odeur musquée et j’étais dans un état quasi second, les sens exacerbés par cette situation fantasmée.



Je portais un top transparent en voile noir qui laissait apparaître mon soutien-gorge, une mini-jupe noire très courte mettant en valeur mes jambes galbées et fines, des bas autofixants avec des arabesques, et enfin des bottes à talons. J’enlevai rapidement ma jupe.



J’obéis, excitée, mais un peu anxieuse car son sexe me semblait démesuré.



Ces paroles m’excitèrent un peu plus, et je me cambrai plus fort. Ses mains me pelotaient les fesses, il me les écarta et je sentis sa langue passer le long de ma raie, puis ses doigts écarter le string. Il écarta mes globes.



Il me mit un doigt dans le cul.



Puis il s’occupa de nouveau de mon cul et de ma rondelle avec sa langue. Il promena sa langue, caresse délicieuse, autour de mon sphincter anal, la rentrant dans mon anneau, salivant pour lubrifier. Je me mis à gémir de plus en plus, à chaque passage de sa langue ou de ses doigts dans mon fondement.



Je mouillais comme une folle, je sentis sa langue m’exciter, ses doigts qui m’ouvrirent le cul, ses mains sur mes jambes gainées de bas et pelotant mes fesses. Je me sentis femelle en chaleur soumise au mâle viril. Puis, il se positionna à genoux derrière moi, me crachant sur la rondelle, il enfila rapidement un préservatif et je sentis son gland glisser dans ma raie plusieurs fois, pour se positionner sur mon anneau. Ses doigts m’avaient rendue folle, je voulais sa queue dans mes entrailles. Il me tint aux hanches et commença à forcer, m’ouvrant lentement le cul, passant mon anneau. Le reste fut presque aspiré à moitié. Je sentis quand même une douleur à cette intrusion, il attendit quelques instants en me caressant le dos, les épaules, les fesses, puis se retirant un peu, il reprit sa progression jusqu’au bout.



Il attendit de nouveau puis se mit en mouvement. Mon anus irradiait, sa queue faisait de courts mouvements dans mon ventre, il était toujours au fond, puis lentement, il prit plus d’ampleur, ressortant sa queue à moitié et revenant. Mon cul chauffait, et pourtant à chaque coup de boutoir, je poussais un gémissement. Il me tenait aux hanches et me baisait comme un métronome, mais coulissant à chaque fois plus facilement dans ma rondelle que je sentais de moins en moins douloureuse. Bientôt, ce ne fut plus que du bonheur, sa queue ne suscitait plus qu’une forte jouissance anale et je couinais continuellement.



Il ressortit entièrement de mon cul, et replongea d’un coup au fond, ce qui fit éjaculer ma petite bite, souillant le string et le sol. Cette jouissance extrême était toute nouvelle pour moi. Il recommença plusieurs fois, ce qui me fit lâcher un nouveau jet et me fit couiner plus fort. Il se remit profondément dans mon cul pour m’emmancher plus fort, me tenant les fesses et les écartant. Je n’étais plus qu’une femelle esclave de ses sens. Il continua à me limer le cul puis se retira, s’allongea à côté de moi.



Je me positionnai au-dessus de lui, face à lui. Je descendis sur son dard tendu vers le plafond, je le tenais d’une main et le positionnai de l’autre sur mon œillet ouvert. Je sentis son gland en phase avec mon cul ouvert, je m’empalai d’un coup, poussant un long gémissement. Je tortillai du cul une fois bien enculée, il mit ses mains sur mes flancs et m’attira à lui, les mouvements étaient moins amples, j’avais la tête dans son cou. Il m’embrassa les épaules et me chuchota dans l’oreille :



Je repris un rythme d’enculage plus rapide. Son gland me massait la prostate à chaque coup de dard, mes cris reprirent de plus belle. La chevauchée provoqua de nouveau une jouissance anale puissante, dévastatrice, une boule de plaisir grossissait entre mes reins et dans mon ventre. J’alternai différentes vitesses, puis il se mit sur le côté et sa bite sortit de mon anus. Je sentis un grand vide dans mon cul, j’avais encore envie de sa queue en moi, comme une vraie salope insatiable.



Je m’exécutai, présentant mon cul, le mettant à disposition.



Il me planta d’un coup sa pine jusqu’au fond de ma grotte, ressortit complètement et recommença, encore et encore. Il me soulevait le bassin à chacune de ses pénétrations, m’arrachant à chaque fois un couinement plus fort. Je pouvais même voir son mandrin aller et venir entre mes fesses, mon sexe coulait tout seul sur mon ventre tellement je prenais du plaisir.



Il reprit sur un rythme acharné, il me cassait le cul, plongeant le plus loin possible, ma boule de plaisir n’allait pas tarder à exploser, une grosse jouissance anale se préparait.



Il me pistonna comme un fou, je sentis les spasmes de mon œillet autour de son manche que je sentis palpiter. Planté au fond de mon cul, je le sentis jouir puissamment, plusieurs jets vinrent remplir le préservatif. Une ultime jouissance anale me fit vibrer comme une harpe, éprouvant la satisfaction de la femelle qui a fait jouir le mâle.



Je remis ma mini-jupe, à la fois contente d’avoir trouvé un moyen agréable de financer mon traitement hormonal et vaguement un peu honteuse de découvrir jusqu’où mes tendances de petite vicieuse m’entraînaient.