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n° 14922Fiche technique28344 caractères28344
Temps de lecture estimé : 17 mn
20/04/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Carole a dû repartir pour 6 mois. François s'est fâché avec Yvette. Celle-ci décide de se venger en poussant Carole vers le libertin M. Arnaud.
Critères:  fh ff ffh fbi hplusag fplusag extracon sauna froid vengeance dispute massage cunnilingu 69 pénétratio -couple+f -extraconj
Auteur : François G.  (Homme mûr qui écrit pour son plaisir à partir de faits réels)            Envoi mini-message

Série : La petite voix

Chapitre 05 / 07
Monsieur Arnaud

Résumé des épisodes précédents : Carole et François se sont connus au lycée. Après quatre ans de mariage, Carole tombe sous l’emprise de Jean-Pierre, un quadra bohème et pervers. Elle s’offre à lui mais François les aperçoit sans toutefois intervenir, conseillé par la petite voix. Lors d’une fête, alors que François tombe sous le charme d’Yvette, Carole se laisse entraîner dans une bergerie par Jean-Pierre et Alain. François les observe mais se contente de n’intervenir qu’à leur sortie sans dire à Carole qu’il sait tout. Furieux il repart seul à Paris et finit par accepter l’invitation d’André et Monique, un couple d’âge mûr qui l’initie à des plaisirs défendus.

De retour chez lui, la situation semble s’améliorer avec Carole car François a pris de bonnes résolutions. Malheureusement, en voulant stopper sa relation avec Yvette, il se fâche avec elle. Elle lui annonce ce que Carole n’a pas osé lui dire : elle doit repartir pour six mois dans le même IUT, proche de la maison de campagne de Jean-Pierre.

Elle lui apprend aussi qu’elle et son mari déménagent aussi pour la même ville et qu’elle va se faire un plaisir de dévergonder un peu plus Carole, en particulier en la mettant en relation avec son patron, le libertin M. Arnaud…








J’attendis donc la fin de semaine avec anxiété. Le temps étant encore clément, elle avait prévu de rentrer.

Elle arriva de très bonne humeur. Elle me parla des achats qu’elle avait faits avec Yvette. Moi qui ne suis pas très chiffons et décoration, je fis mine de m’y intéresser car je voulais surtout qu’elle me parle de la soirée. Elle y vint naturellement, me dit qu’ils avaient été reçus par M. Arnaud et son épouse, que la soirée s’était super bien passée. Difficile d’en savoir plus ou de trouver une faille dans tous ses commentaires. J’en vins à positiver moi-même en retenant surtout que M. Arnaud était marié et que donc sa femme devait le surveiller aussi.

Le lundi suivant, j’étais de nouveau seul chez moi lorsque le téléphone sonna.



Je marquai un temps d’arrêt dans la conversation. Je venais de comprendre l’objet du coup de fil d’Yvette. Le « Je me ferais un plaisir de tout te raconter » raisonna dans ma tête. Yvette mettait son projet de vengeance à exécution.



Piégé, j’étais piégé. Je n’avais pas le choix dans l’immédiat si ce n’est celui de me montrer plus ou moins indifférent. Je fis le choix de laisser venir sans réagir.



Je tentai de me rebeller, mais la réplique me cloua sur place.



Dans ma tête, les pires images de Carole se mirent à défiler.



Je restais silencieux, inquiet de cette dernière phrase, surpris parce que je pensais qu’on était repartis dans la bonne direction. Yvette reprit :



Elle raccrocha dans un éclat de rire sadique. Je restais un long moment le combiné à la main, abasourdi. J’étais dépassé par les événements. Pourquoi Carole ne m’avait pas parlé de cette invitation ? Pourquoi ne m’avait-elle pas dit qu’elle voulait prendre du recul ? La petite voix me dit :


« Et toi, pourquoi tu ne lui as pas dit que tu l’avais vue ? Tu as fait le pari qu’elle te reviendrait sans avoir une vraie explication. Alors tiens-toi à ta décision. De toute façon, maintenant c’est trop tard pour reculer. »


Je finis péniblement par trouver le sommeil en me demandant ce qu’avait pu raconter Yvette à Anne sa… bonne copine.


Durant la semaine, je téléphonai chaque soir à Carole, me montrant gentil, attentionné, amoureux. Je m’attendais à ce qu’elle me parle de cette invitation. Elle me disait au contraire qu’elle rentrait le vendredi. Ce n’est que le vendredi en fin d’après-midi qu’elle m’appela pour me dire qu’elle avait un problème de voiture. Je proposai aussitôt de venir la retrouver. Mais elle m’en dissuada en me disant qu’il allait neiger et qu’il valait mieux rester tranquillement chez nous. Pour finir de me convaincre, elle me dit qu’elle m’appellerait tous les jours et qu’on se « rattraperait » la semaine suivante.


J’eus bien droit à un appel par jour : le samedi matin de bonne heure et le dimanche soir tard. Le samedi, elle m’annonça qu’il neigeait mais que, comme elle était seule, Daniel et Anne l’invitaient chez eux. Quant au dimanche, ce fut pour me dire qu’elle ne se sentait pas bien et qu’elle pensait avoir pris froid. Tout juste si elle me concéda qu’elle avait passé une bonne soirée chez les Arnaud. Manifestement, elle n’avait pas envie de s’étendre sur le sujet, au sens propre et sans doute aussi au sens figuré. De toute façon, je savais que je saurais…


Le coup de fil d’Yvette ne fut pas une surprise.



J’avais parlé posément, calmement dans cet appareil. Le ton de ma voix ne laissait aucun doute sur ma sincérité. Yvette comprit que sa tentative désespérée pour salir Carole et essayer ainsi de me reconquérir ne la mènerait à rien.



Yvette entreprit de me raconter le week-end de Carole chez les Arnaud.




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Anne était passée chercher Carole le matin de bonne heure, d’où le coup de fil matinal. Elle l’avait conduite dans leur résidence secondaire, un beau chalet au pied des pistes. Journée ski, toute en convivialité pour mettre en confiance ma chérie. Au retour, ils lui avaient fait découvrir leur jacuzzi. C’est Anne qui avait suggéré de s’y mettre nus. Apparemment Carole n’avait pas hésité longtemps à la grande joie de Daniel. Anne avait alors entraîné Carole dans leur petit sauna biplace laissant le soin à Daniel de préparer l’apéritif. Anne avait profité de l’espace réduit pour amorcer une conversation plus intime avec Carole :



Anne poursuivit sa douce caresse coquine. Léchant, mordillant le petit bouton d’amour de Carole. Celle-ci, allongée sur le banc dans une belle impudeur, se laissa aimer, cuisses écartées, seins dardés, reins cambrés et ventre creusé. Elle explosa dans un cri rauque. Anne s’allongea sur elle et elles échangèrent un long baiser.



Anne prit la main de Carole. Elles enfilèrent des peignoirs et rejoignirent Daniel qui les attendait au salon, devant la cheminée.



Doucement, Anne fait lever Carole troublée par la situation. Elles sont debout face à la cheminée. Daniel bande déjà sous son peignoir. Anne tire sur la ceinture, repousse le tissu éponge. Le lourd peignoir blanc de Carole tombe à ses pieds. Elle est nue devant le couple Arnaud.



Carole s’allonge docilement sur le dos. Daniel, dans son fauteuil, n’en perd pas une miette. Il contemple les seins dévoilés dont les pointes dardent au milieu des petites aréoles brunes. Carole croise son regard plein de désir. Comme à chaque fois, son esprit lutte avec son corps mais, comme depuis le jour où elle a cédé à Jean-Pierre, son désir charnel est trop fort. Elle sait que le regard de Daniel a glissé de ses seins à son ventre. Elle ouvre doucement ses cuisses…


Anne s’est aussi dévêtue. Elle s’allonge sur Carole. Elles échangent de longs baisers. Anne se relève doucement puis glisse à nouveau son visage entre les cuisses de Carole. Mais cette fois, elle se met en position de 69 et présente son sexe à la bouche de Carole.



Carole a hésité mais les premiers coups de langue d’Anne ont vite réveillé son désir. Timidement, pour la première fois, elle goûte un sexe féminin. Sa langue explore les lèvres fines d’Anne pendant que celle-ci suce son clitoris. Daniel a ouvert son peignoir. Il attend sagement. Il sait que sa femme est en train de lui préparer sa nouvelle conquête. Carole gémit, se cambre sous les assauts d’Anne. Elle essaie maladroitement de lui donner du plaisir. Elle ne sait pas que la seule façon pour Anne d’avoir du plaisir c’est de contempler son mari avec une autre femme…

Anne se relève. Carole croit qu’elle est en train de changer de position.



Daniel est déjà à genoux entre les jambes de Carole. Doucement il s’allonge sur elle. Anne la caresse doucement. En appui, Daniel semble attendre. Les mains d’Anne ont glissé sur le ventre de Carole. Toujours en douceur, elle lui fait ouvrir un peu plus les cuisses. Pendant que Daniel l’embrasse dans le cou, elle sent les mains d’Anne qui effleurent ses petites lèvres, qui l’ouvrent, la préparent à la saillie du mâle… Elle pousse un premier soupir de plaisir. Un grognement de Daniel lui répond. Anne vient de prendre son sexe en main et le guide vers la grotte de Carole. Elle sent ce troisième sexe d’homme qui l’envahit. Elle a honte mais elle se cambre pour l’accueillir.


Anne s’est relevée et s’est installée dans un fauteuil. Elle se caresse en regardant Daniel posséder Carole. Il est bien doté par la nature. Endurant et expérimenté, il pilonne doucement, puis plus vite, Carole. Nue sur la peau de bête, elle subit les assauts. Son plaisir monte. En sueur, elle gémit. Elle se mord les lèvres. Elle tourne violemment sa tête d’un côté à l’autre. Un premier orgasme la submerge.

Daniel s’est un peu redressé. Il reste planté en elle. Anne continue doucement à se caresser.



Trop secouée pour répondre.



Carole a fermé les yeux. Quelques petites secondes s’écoulent. Doucement, elle avance son bassin, s’empalant un peu plus sur le sexe de Daniel. Cambrée, elle vient d’ouvrir un peu plus ses cuisses, s’offrant à son amant pour un nouvel assaut. Anne et Daniel se sourient. Elle est à eux.


Daniel recommence à bouger en elle. Il bouge puis s’arrête, attendant qu’elle vienne à sa rencontre. Il se retire, garde son sexe à quelques centimètres d’elle. Il la provoque, l’excite. Totalement sous son emprise, Carole ondule des hanches, puis se soulève pour venir à la rencontre du sexe de son amant. Anne est ravie.



Daniel se met sur le dos.



Carole ne se fait pas prier. Elle s’assoit sur le pieu dressé et commence à onduler. Anne s’est approchée. Elle lui empaume les seins la caresse en l’embrassant. Un deuxième orgasme la foudroie. Daniel la retourne, la met à plat ventre sur la peau de bête.



Daniel se déchaîne. Il veut son plaisir. Sous les coups de boutoirs, Carole feule puis crie. Anne jouit à son tour, excitée par ce spectacle. Carole sent le sexe de son amant se durcir encore plus.



Elle n’a pas le temps de répondre ni de se dégager. Daniel se vide en elle en de longs jets brûlants. Elle jouit, elle aussi, à nouveau. Et s’écroule sous son amant.




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