n° 14934 | Fiche technique | 19403 caractères | 19403Temps de lecture estimé : 13 mn | 27/04/12 |
Résumé: Ah ! ils croyaient que j'allais me dégonfler ! | ||||
Critères: fh extracon fépilée boitenuit voir exhib strip vidéox rasage fellation fdanus fsodo | ||||
Auteur : Alaink Envoi mini-message |
Putain, je ne suis pas pompette mais carrément bourrée ! Je ne m’en suis pas aperçue. Pour l’anniversaire du pote à mon Jules, on les a invités au restaurant, lui et sa copine, qui est un peu la mienne.
Mais d’abord, rendez-vous chez nous et un petit whisky. Arrivés au restaurant, apéritif. Et deux ou trois verres d’un vin rouge, je ne sais pas lequel, mais vraiment très bon. Résultat maintenant, je peine à marcher droit. Il fait très froid.
Pour nous remercier, le pote et la copine nous invitent dans une boite à strip-tease, pas très loin. Paraît que c’est classe. On verra. En attendant, le froid me dessaoule un peu et le pote dit qu’on n’en est plus très loin. Le quartier est calme, pas du tout celui où on s’attend à trouver ce genre d’établissement.
On arrive, une porte discrète. Ouf ! Il fait plus chaud dedans. La préposée au vestiaire prend nos manteaux. Accueil sympathique. L’endroit est curieux. Un peu comme un cirque, avec deux ou trois rangées de tables autour d’une sorte de piste au centre. On nous place à une table près de la piste. L’endroit est presque plein.
Une conso est comprise dans l’entrée et me revoici devant une coupe de champagne. Voilà qui ne va pas m’arranger ! M’en fous, c’est la fête ! Un animateur vient sur la piste et nous annonce le strip de Miss-je-ne-sais-pas-trop-quoi. Musique, éclairage, la fille est jolie, souriante, belle silhouette et mérite tous les applaudissements. À entendre les conversations qui comparent, je comprends qu’il y a eu d’autres numéros avant notre arrivée mais que celui-ci est le meilleur. L’animateur revient et annonce le concours de strip amateur. V’là autre chose !
Une petite nana, un peu boulotte, lève la main. L’animateur l’accueille et sans perdre de temps, la musique démarre et elle se dandine, y’a pas d’autres mots. Bof… Enfin, terminé. Elle n’a même pas été jusqu’au bout. Une autre fille lève le bras… Pas mal du tout, la nana. Elle danse bien, enlève ses vêtements avec élégance. Qu’est-ce qui se passe ? Et merde, elle n’ose pas aller jusqu’au bout et reste plantée en slip et soutif.
Estelle fait signe à l’animateur en me désignant. Mon Jules et son pote se marrent. Au point que je me demande si ce n’était pas un coup monté, de m’emmener là. Ils savent que j’aime bien m’habiller un peu sexy. Mais de là à croire que je vais me foutre à poil en public… Et mon Jules qui continue de se marrer en me regardant. Et merde ! Ils n’avaient qu’à pas me saouler. Et je tends la main à l’animateur. J’espère qu’il ne va pas me lâcher. Non, je tiens debout. Me voici sur la piste. Il me demande mon prénom.
Tu parles. Je suis habillée pour affronter le froid, pas pour un strip ! Tiens, je n’avais pas vu ces écrans. Ah oui, parce qu’en plus, on est filmé et c’est projeté sur deux écrans pour que les spectateurs puissent mater, même si tu leur tournes le dos. Rien ne me sera épargné ! Et alors, par quoi je commence ? La ceinture, ça n’engage à rien, juste de la décoration, rouge
Alors que tout le reste est noir : noir mon pull en laine, noire ma jupe et noir mon collant de laine. Côté culotte et soutif, noirs aussi. Fait un peu deuil, tout ça ! Bon, assez discuté, sinon ils ne vont pas tarder à siffler, tous les voyeurs qui attendent que je me foute à poil. Je dégrafe ma ceinture et une assistante me la prend. Au moins, mes fringues ne traîneront pas par terre. Juste la ceinture en moins, c’est pas vraiment un strip-tease.
Alors qu’est ce que j’enlève ? Les bottines, bien sûr. Là aussi, ça n’engage pas beaucoup ! Mais il y en a que ça excite, il paraît ! Et nous continuons par… ça devient sérieux ! Allez, adieu ma jupe. Je passe mes mains derrière, dégrafe, ouvre la fermeture à glissière. Ah oui, ne pas oublier de se dandiner sur la musique. Elle me plaît bien, cette musique. Je pense que c’est celle du strip de Neuf semaines et demie.
Voilà, plus de jupe. Dans les mains de l’assistante. Et moi, essayant de ne pas être trop godiche en collant et pull noirs bien épais. À propos, qu’est ce que j’enlève ? Haut, le pull ? Ou bas, le collant ? En avant pour le collant. Mais faut que je l’enlève sans me casser la gueule. L’assistante vient à mon secours en apportant une chaise. Vraiment sympa cette nana. Je passe les mains sous le pull et descend un peu le collant. Et je m’assois. Je roule alternativement le collant sur une jambe, puis l’autre. Et pour les pieds, je fais comme j’ai déjà vu, je tire sur la pointe. Presqu’une pro ! Je suis donc jambes nues.
Tiens, on voit un peu mon shorty sous le pull. Et il est rouge, moi qui croyais avoir mis le noir. Faut que t’arrêtes de picoler ma fille ! Bon, je ne vais pas enlever le shorty tout de suite, donc en route pour le pull. Je croise les bras et attrape le bas du pull et je remonte. Espérons que le soutif ne suive pas le mouvement ! Eh non, j’oubliais que j’ai mis aussi un caraco. Donc le pull remonte mais on ne voit pas mon soutif. Je remonte je remonte. Je tire sur les manches et je ne vois plus rien, la tête dans le pull. Ah, ne pas oublier de dandiner ou, mieux, de danser. Pratique quand on ne voit rien ! Je fais un tour sur moi-même et je finis par me dégager complètement du pull. Merci l’assistante !
Et je suis en shorty et caraco. Jusque-là, tout va bien. Pas trop le choix maintenant, c’est au caraco de me quitter. Je l’attrape en bas et remonte jusqu’à avoir les bras tendus. Il a suivi et je m’amuse à le faire tourner. Les spectateurs ont l’air content puisqu’ils applaudissent un peu. C’est vrai que la nana est maintenant en shorty et soutif et que, si elle ne se dégonfle pas comme l’autre, elle sera bientôt à poil.
Et, à propos, voyons la tête de mon Jules. Bof, il rigole moins qu’au début. Il commence à se douter que je vais aller jusqu’au bout. Ta faute, mon vieux. Fallait pas me faire picoler et me pousser sur la piste ! Alors, j’enlève quoi ? J’opte pour le soutif. Comment ça s’enlève, un soutif, en public ? Je me tourne et je fais glisser les bretelles sur les bras. Puis un bras en travers de la poitrine pour retenir les bonnets et une main derrière pour dégrafer. Bon, ça doit y être mais pas facile quand on a bu un verre de trop ! J’enlève la main derrière et le soutif est juste tenu par mon bras en travers des bonnets. Courage, ma fille ! Je me retourne et d’un seul coup, j’enlève le bras et je fais tourner le soutif comme un trophée.
Les voyeurs sont contents de voir mes nibards et applaudissent. Je le mérite, je ne me suis pas dégonflée comme l’autre. Reste plus que le shorty. Une main sur chaque hanche, tout en tournant, je descends centimètre par centimètre de chaque côté. Pour pimenter, je me balance en cadence tout en tournant. Quand je suis de dos, je descends vivement mon shorty et le remonte aussi vite, le temps de leur montrer mon cul. Voilà qui plaît, car ils applaudissent. Ils se doutent que je vais aller jusqu’au bout. Je continue à pivoter et je leur refais le même coup de face, le temps de montrer une seconde ma foufoune.
Les bras levés, je fais une sorte de danse tout en tournant puis, de dos, j’enlève mon shorty. Je me penche bien pour dégager mes pieds tout en tortillant du cul. Ils doivent avoir une belle vue, même sur mon petit trou… Joe Cocker vient de finir de chanter quand je me tourne de face, totalement nue, pour la première fois de ma vie devant des dizaines de personnes qui apprécient et applaudissent pour de bon. Je crois bien que j’en rougis.
L’animateur me prend par une main et me fait tourner pour que tout le monde profite bien de mon cul et de mon sexe. Pour la première fois de la soirée, je rougis… Et mon Jules dans tout ça ? Je regarde… il sourit vaguement. Son pote a l’air épanoui, par contre. Je vais à la table, toujours à poil. Et je fais un gros bisou à mon Jules. Sous les applaudissements. Et je sens furtivement une main qui me touche les fesses. Le pote, sa copine, je ne devine pas. Je m’assieds sur les genoux de mon Jules.
Quelques bisous plus tard, l’animateur revient et annonce cette fois le concours de la hardeuse amateur ! C’est quoi, une hardeuse ? Il explique que ce sont les filles qui baisent sur scène ou dans les films pornos. Oh la la !
Et il regarde une à une les femmes de la salle qui font non de la tête pour la plupart. Certaines rigolent bêtement. Elles aussi, elles ont un verre dans le nez ! Je regarde mon Jules et, des yeux, lui pose la question. J’y vais ou j’y vais pas ? Il me murmure : « Fais comme tu veux… »
Je crois qu’après tout, la surprise mon strip ne lui a pas déplu… Je me décide, je lève le bras, j’y vais. D’autant que l’animateur a précisé qu’à tout moment, il suffira de dire stop pour que tout s’arrête. Je me lève, toujours à poil. Je suis la seule. L’animateur me félicite. Il ajoute :
Tu parles, ils sont tous accompagnés et leurs bonnes femmes les étriperaient s’ils disaient oui !
Le hardeur se recule, apprécie, me demande de me retourner et sans que je m’y attende, me pelote le cul et, sur la lancée, passe ses mains sous mes bras et saisit mes seins qu’il caresse avec soin. C’est parti ! Il descend ses mains, mon ventre, mon pubis, ma foufoune. Il s’y attarde, joue avec les poils.
Il me retourne et fait signe à l’assistante qui arrive avec une petite mallette. Il en sort une tondeuse à piles, la met en route et, sans autre forme de procès, commence à la faire descendre de mon nombril à ma vulve. En quelques mouvements, j’ai perdu l’essentiel de ma toison. Il passe les doigts :
Je m’allonge sur le podium qui a maintenant été recouvert d’un grand drap. Sans plus de manières, il me lève les jambes et les écarte. Je vois sur un des écrans que tout le monde a maintenant une belle vue sur mon sexe… et qu’il reste des poils. Il sort de la mallette un rasoir jetable et entreprend de raser tout. Les poils que la tondeuse a épargné, ceux de chaque côté de la vulve, ceux dans la raie. En quelques minutes je suis parfaitement lisse.
D’ailleurs, il me caresse du bout des doigts et dit à un spectateur de venir constater par lui-même la douceur. La main de cet inconnu appuie sur mon sexe, il passe un doigt dans la raie, s’attarde un peu sur le petit trou, revient sur mes lèvres et finit par approuver la douceur.
Le hardeur le remercie. Et en même temps, il descend mes genoux sur ma poitrine. J’ai le sexe et l’anus en gros plan sur les écrans. Fascinant.
Et en même temps, il glisse un doigt sur mes lèvres et me pénètre. Je ne m’y attendais pas et je sursaute un peu.
Il sort un petit pot de sa mallette, y plonge deux doigts et les pose sur mes lèvres. Et me pénètre sans attendre. Un doigt d’abord, puis deux doigts sans problème. Je le sens et le vois sur les écrans. Un peu de lubrifiant en plus et il me pénètre avec un troisième doigt puis un quatrième. Il me masse l’intérieur du vagin et je commence à oublier où je suis et que des dizaines de voyeurs me voient en train de me faire doigter.
Il quitte mon vagin, reprend un peu de lubrifiant et caresse mon petit trou et doucement pénètre son doigt. Je vois sur l’écran que, petit à petit, une phalange, puis deux puis trois sont dans mon rectum. Et moi qui n’aime pas trop quand mon Jules le fait… il va me faire la gueule si j’ai l’air de trop apprécier. Le hardeur ne le sait pas et entreprend de glisser un second doigt, second doigt qui pénètre aussi facilement que le premier.
Putain, ça devient vraiment très bon. S’il continue à me masser l’intérieur, je vais jouir. Et il continue. Et j’ai une secousse, un petit cri, puis un grand et je jouis par vagues. Devant plein de voyeurs. Je n’en reviens pas de m’être ainsi lâchée… Il me fait une bise sur le bout du nez en me murmurant « Bravo ». Et il m’aide à m’asseoir après m’avoir essuyée avec des mouchoirs en papier.
Décidément, tout est prévu dans cette mallette ! Il me caresse doucement les seins, se penche, lèche les tétins, en prend un entre ses lèvres et le titille. Petite gâterie fort sympathique. Il se lève. Il est toujours en caleçon. Il me fait comprendre de m’approcher, à genoux, et quand je suis à côté de lui, il prend ma main et la pose sur son sexe. Je comprends. Je caresse et je glisse ma main dans l’ouverture du caleçon. Je sors son sexe. Il bande, naturellement. Je me décide à descendre son caleçon et je le déshabille. Il est totalement nu devant moi.
Son sexe est à quelques centimètres de mon visage. Je m’approche et, en lui prenant les couilles dans les mains, je pose mes lèvres sur son vit. Il bande encore plus. Mes lèvres vont et viennent, de ses couilles à son gland. Je prolonge ma caresse sur son gland et je finis par le mettre totalement dans ma bouche. Dire qu’on me voit sur les écrans en train de sucer ce mec… Ma langue tourne autour et j’appuie sur le frein. Je le sens frémir. Je le masturbe dans ma bouche en continuant de lui serrer les couilles. Je serre aussi sa bite, j’accentue les mouvements de ma langue et d’un seul coup, sans signe précurseur, il éjacule.
Je sens de longs jets descendre dans ma gorge. Et je pense à mon Jules quand je lui dis que je n’aime pas trop ça. Et là, il est en train de me voir avaler une grosse quantité de foutre d’un inconnu. Va y avoir explication des gravures en rentrant ! Je finis de lui lécher le gland. Il appuie ma tête sur son ventre, en un geste tendre auquel je ne m’attendais pas. Il est mignon. Il s’assied et me fait asseoir moi aussi entre ses jambes. Il m’écarte les jambes pour que ma vulve soit bien visible sur l’écran. Je suis vraiment troublée par ces gros plans…
Ses mains glissent de mes seins à mon sexe tout lisse. Il s’attarde sur mon clitoris, le découvre, le recouvre, écarte bien les lèvres pour que tout le monde le voit. Décidément cette exhibition me plaît. Je ne me connaissais pas comme ça. Et à force d’exciter mon bouton, je jouis à nouveau, d’un seul coup, avec un cri sourd. Il me prend les seins, et m’allonge pour que je reprenne mon souffle… Il fouille à nouveau dans sa mallette et me tend un préservatif. Les choses sérieuses vont commencer !
Fait bien longtemps que je n’en ai pas mis à un mec. D’abord enlever l’emballage avec délicatesse pour ne pas déchirer l’engin. Sortir le caoutchouc et le dérouler sur la bête ! Il est tourné face à moi. Je m’applique et le voilà coiffé. Il prend un peu de lubrifiant, l’étale à l’entrée de ma vulve, m’allonge sur le dos et, sans autre forme de procès, me pénètre d’un seul coup. Il a une belle et grosse bite et je me sens bien pleine, et sans aucune pudeur je me laisse aller, contractant mon vagin. Des va-et-vient et il sort, toujours en bandant. Il me demande de me mettre à quatre pattes, les épaules presqu’au sol. J’ai le cul offert à tous ces yeux qui me regardent… Il me pénètre à nouveau. J’aime cette position, surtout aujourd’hui.
Être prise comme une chienne m’excite et j’adore sentir son ventre contre mes fesses. Que c’est bon ! Et je vois tout ça en gros plan sur l’écran. Je deviens complètement exhibitionniste… Il sort, prend du gel du bout des doigts et m’enduit la rondelle ; ça y est, je vais être enculée en public. Putain, j’aurais jamais cru que, non seulement je me ferais enculer par un inconnu, mais en plus devant des dizaines de mecs et de nanas… Il met sa bite sur ma rondelle, appuie doucement. Je ne peux pas dire que c’est un brutal. Il continue d’appuyer et je sens sa bite qui pénètre, pénètre.
C’est bon, c’est nouveau, ce mec, cette bite, cette situation. Il est totalement dans mon cul. Je glisse une main sous mon ventre. À peine le temps de toucher mon clitoris et je pars dans une explosion. Je gueule, je jouis, je jouis par vagues. Et je le sens qui part à son tour. Nous n’en pouvons plus, nous manquons de souffle. Doucement, le calme revient. Il débande. Il sort de mon cul. Que c’était bon ! Petit jeu de mouchoirs en papier. Il m’essuie et je l’essuie.
Je me retourne et m’allonge pour reprendre mon souffle. Il s’allonge sur moi et m’embrasse. Je pense à mon Jules qui ne va pas apprécier. Tant pis, fallait pas… Il m’a prise pour une dégonflée… Eh bien, non, je crois même que j’ai trouvé un second métier en cas de besoin ! Mais non, je plaisante, je l’aime, mon Jules, je lui ai juste montré jusqu’où je pouvais aller. Maintenant, il sait et il évitera de me faire boire et de me dire « chiche ! »
L’animateur vient me voir pendant que je me rhabille.
Je retourne à la table et montre le DVD à mon Jules. Il sourit. Et je ne lui parle pas du second, sans visage. Ce sera mon petit secret. Et je penserai aux bonshommes qui matent mon cul et se branlent, quand ses doigts me fourrageront…